Travailleurs hautement qualifiés. Travailleurs hautement qualifiés Comment appelle-t-on un travailleur qualifié ?

Dans la Fédération de Russie, les niveaux d'enseignement professionnel supérieur suivants sont établis :

formation professionnelle supérieure, sanctionnée par l'attribution d'un titre (diplôme) « licence » (période de formation d'au moins 4 ans) ;

formation professionnelle supérieure, sanctionnée par le titre de « spécialiste certifié » (durée de formation d'au moins 5 ans) ;

formation professionnelle supérieure, sanctionnée par l'obtention d'un diplôme de Master (durée de formation d'au moins 6 ans).

Le principal programme de formation professionnelle dispensant une formation de master comprend un programme de licence dans le domaine d'études concerné et au moins deux années de formation spécialisée (master).

Les personnes ayant terminé le programme de licence accèdent au programme de maîtrise par concours.

Les personnes qui ont reçu un document délivré par l'État sur l'enseignement professionnel supérieur d'un certain niveau ont le droit, conformément au domaine de formation reçu (spécialité), de poursuivre leurs études dans le programme éducatif de l'enseignement professionnel supérieur au prochain niveau.

Recevoir un enseignement pour la première fois dans le cadre de programmes éducatifs d'enseignement professionnel supérieur à différents niveaux n'est pas considéré comme recevoir un deuxième enseignement professionnel supérieur.

Extrait de la loi fédérale « sur l'enseignement supérieur et postuniversitaire »
enseignement professionnel" du 22 août 1996 n° 125 - Loi fédérale

L'introduction d'un système d'enseignement professionnel supérieur à plusieurs niveaux en 1992 a résolu le problème de l'entrée dans le système éducatif adopté dans de nombreux pays du monde. Auparavant, nous ne diplômés que des spécialistes ayant une durée de formation de 5 à 6 ans, c'est-à-dire il y avait un plan en une seule étape. Et maintenant, le programme est en plusieurs étapes : les 2 premières années - enseignement supérieur incomplet, après 4 années d'études dans une certaine "direction" - diplôme (diplôme) "licence", encore 2 années de formation spécialisée - diplôme (diplôme)" maître". Parallèlement, parallèlement aux licences et aux masters, un « spécialiste » étudie pendant 5 à 6 ans.

Il faut dire qu'il n'y a pas d'unité complète dans la correspondance des diplômes de « licence » et de « master » dans les différents États - un baccalauréat peut être diplômé d'une école supérieure, titulaire d'un premier diplôme universitaire, ou même simplement d'un diplôme d'études supérieures. diplômé de l'école. Et une maîtrise est, dans certains pays, un diplôme universitaire entre la licence et le doctorat.

Quoi qu’il en soit, les candidats doivent décider quelle voie suivre. Nous vous parlerons des principales caractéristiques de chaque « composante » du programme d’enseignement universitaire en plusieurs étapes.

Quelle est la différence

Ainsi, pour les spécialistes : cinq ans - et un diplôme de spécialiste pratique (« ingénieur », « agronome », « économiste », « mécanicien », etc.), puis travailler dans le profil de la spécialité acquise. Pour les bacheliers : quatre ans - et un diplôme de l'enseignement supérieur général, après quoi vous pouvez poursuivre vos études en master pendant encore deux ans. L'admission au programme de maîtrise est compétitive et représente environ 20 % des diplômes de licence obtenus. Les programmes de maîtrise n'existent pas dans toutes les universités russes et vous ne pouvez y inscrire qu'avec un baccalauréat. Les deux premières années de formation des spécialistes et des bacheliers sont les mêmes (éducation de base). Si vous changez d'avis quant à la poursuite de vos études dans cette université, obtenez un diplôme d'enseignement professionnel supérieur incomplet. Dès la 3ème année, les programmes de formation des spécialistes et des bacheliers sont déjà différents. Ainsi, le passage d'un baccalauréat à un spécialiste est associé à l'élimination de la différence dans les matières suivies et réussies, qui s'est accumulée au cours de quatre années d'études. D'ailleurs, un nouveau concept est apparu : « direction de formation d'un spécialiste certifié ».

La différence entre un spécialiste et un master : les masters sont formés pour un travail scientifique et les spécialistes sont formés pour un travail professionnel dans un secteur particulier.

Ayant un baccalauréat d'une université, vous pouvez vous inscrire à un programme de maîtrise dans une autre université. Cependant, là encore, un problème peut surgir en raison des différences entre les programmes d'études des différentes universités.

Subtilités de transition

Toute innovation nécessite un certain temps pour « s’installer », car des incohérences entre le nouveau et l’ancien apparaissent toujours. Beaucoup de temps s'est écoulé depuis 1992, mais certains problèmes subsistent dans notre système d'enseignement professionnel supérieur à plusieurs niveaux. Par exemple, dans la division des directions et spécialités au cours des quatre premières années. De nombreuses universités publiques ont formé et continuent de former uniquement des spécialistes. Certaines universités, en plus du système traditionnel, disposent également d'un système à plusieurs niveaux. En règle générale, les universités non publiques ne forment que des bacheliers.

Des tensions subsistent quant au prestige du baccalauréat : les employeurs ne sont pas toujours enclins à embaucher des bacheliers. Il existe plusieurs raisons. L’un d’eux est psychologique. À savoir : les employeurs actuels recevaient le plus souvent leurs études supérieures à l'époque soviétique, lorsque nous n'avions que des spécialistes et que le mot « baccalauréat » n'était « pas le nôtre », occidental. De plus, il existe une différence dans les programmes de formation - un spécialiste est formé dans une spécialité spécifique, comme s'il avait un profil étroit, tandis que les programmes de licence sont à profil large, ont en général scientifique et en général caractère professionnel. Ceux. un bachelier reçoit une formation fondamentale sans spécialisation étroite, car J'ai étudié seulement 4 ans. Bien entendu, la loi stipule qu'un bachelier a le droit d'occuper un poste pour lequel les exigences de qualification prévoient une formation professionnelle supérieure. Mais! Il a le droit, mais ce droit ne lui est pas toujours accordé. Ils préfèrent embaucher des « spécialistes » et des « maîtres ».

Ne vous découragez pas - au fil du temps, la question « Que peut faire un célibataire ? ne se posera pas. En attendant, si des problèmes surviennent, nous ne pouvons que vous conseiller de poursuivre vos études au niveau supérieur et d'obtenir le diplôme de « spécialiste certifié » ou de « master ».

Pourtant, choisir un baccalauréat présente des avantages. Listons-les.

  1. Ce type de qualification est accepté selon la classification internationale et est compréhensible pour les employeurs à l'étranger. Ils y invitent souvent des célibataires, sans même préciser le domaine de formation, car le travail de bureau nécessite simplement une personne instruite qui sait travailler avec l'information, avec les gens, et qui peut préparer toutes sortes de documents.
  2. Le caractère fondamental de la formation, sa « non-constriction » permet, si nécessaire, de changer facilement de métier. Le fait est que, conformément à la norme éducative de l'État, les programmes de formation de licence dans les domaines sont structurés de telle manière qu'ils permettent en 1 an d'accéder à l'un des nombreux « éventails » de professions compatibles. Et après 5 ans de formation, un spécialiste devra acquérir un nouveau métier (si nécessaire) en 2-3 ans, et même sur une base commerciale, car celui-ci recevra déjà un deuxième enseignement supérieur. Pour un baccalauréat, les études de master sont classées comme poursuite d'études au niveau supérieur et sont donc gratuites (pour les places économiques).
  3. Dans les 4 ans suivant son entrée à l'université, une personne reçoit un diplôme et acquiert son indépendance économique.

Que choisir ? Quel parcours pédagogique construire pour soi ?

Réfléchissez d’abord à l’orientation de votre formation professionnelle. S'il n'y a aucun désir conscient de s'engager dans des activités scientifiques à l'avenir ou de travailler dans une spécialité étroite, vous pouvez alors vous arrêter au baccalauréat. Renseignez-vous également sur la situation réelle du marché du travail dans votre lieu de résidence. Ceux. essayez de comprendre à quel point la spécialité et la qualification que vous aimez seront compétitives dans votre région et si vous pouvez trouver rapidement un emploi prestigieux avec un baccalauréat en main.

Dans de nombreux domaines de la vie, on entend souvent parler de la présence ou de l’absence de qualification. Dans cet article, vous pouvez apprendre que la qualification est un concept très large et que même son terme a deux traductions principales.

Signification du concept

En anglais, le terme est traduit par « qualité », ce qui signifie le degré de mérite démontré. Dans une traduction plus ancienne (du latin), le mot « qualification » est une combinaison des mots « quoi » et « faire ». En d’autres termes, quelle est la qualité de ce qui est fait.

Selon l'application, le terme désigne une évaluation du degré de qualité ou des niveaux spécifiés.

Types de diplômes

La qualification est un concept assez large. Il en existe différents types, distingués selon le domaine d'application :

  • en éducation, il s'agit du niveau de formation de ceux qui sont diplômés d'un établissement d'enseignement (secondaire ou supérieur) ;
  • dans les relations de travail - le niveau de manifestation des qualités professionnelles, le degré d'adéquation à certaines exigences ;
  • dans le sport - compétitions préliminaires (de qualification);
  • en droit pénal - l'évaluation d'une action spécifique socialement dangereuse.

Outre la répartition par domaine d'application, les qualifications du salarié et du poste sont distinguées.

Qualification des employés

Pour un salarié, la qualification est le degré de sa formation au sens professionnel. En d'autres termes, il s'agit du niveau de sa formation, de la présence d'expérience, de compétences théoriques et pratiques pour exercer un certain type d'activité. Le plus souvent, les qualifications sont établies sous la forme d'une catégorie ou d'un rang.

Un employé a le droit de suivre des cours de formation avancée et de recevoir ensuite une catégorie ou un rang supérieur. Cela augmentera également son salaire. Mais si le salarié ne peut confirmer la catégorie existante, l'employeur aura le droit de la baisser et même de résilier le contrat de travail.

La procédure de détermination du niveau de formation d'un professionnel a ses propres caractéristiques dans chaque pays. Ils sont prescrits par la législation du travail.

Qualifications professionnelles

Cette caractéristique est établie en fonction du degré de complexité et de la responsabilité du salarié dans l'exercice de ses fonctions. Il est déterminé conformément aux registres existants des catégories tarifaires et de qualification liées à une spécialisation spécifique.

Que sont les qualifications professionnelles et pourquoi sont-elles importantes ? Il est utilisé lors de la fixation des taux tarifaires et des salaires, à partir desquels les salaires sont calculés. En termes simples, les salaires dépendent des qualifications.

Qualifications professionnelles

C'est le nom donné à la formation professionnelle d'un salarié qui exercera un certain type d'activité. Le travail nécessite l'une ou l'autre qualification, déterminée en fonction de sa complexité attendue et de la qualité d'exécution requise.

Le plus souvent, les étapes suivantes existent :

  • l'enseignement professionnel primaire permet d'être travailleur ;
  • enseignement secondaire - technicien ;
  • plus haut - un spécialiste.

Parmi les spécialités de travail, il existe 6 catégories, qui sont inscrites dans une grille spéciale. En règle générale, les écoles professionnelles diplôment les travailleurs de 3 à 4 catégories.

Il existe un réseau pour les enseignants. Ainsi, après avoir obtenu son diplôme d'un établissement d'enseignement supérieur, un enseignant occupe un poste de spécialiste et travaille sans catégorie. Ensuite, il peut l'élever au 2ème, 1er, le plus haut. Le dernier niveau de qualification en pédagogie est la catégorie d'enseignant-méthodologue.

Les salariés ont leur propre grille. Il se compose de 18 chiffres.

N'oubliez pas que dans des conditions réelles de travail, les qualifications sur grille ne correspondent pas toujours à une réelle maîtrise. Outre une formation avancée, le salarié doit avoir le sens des responsabilités, du devoir professionnel et une maturité civique.

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      • Conditions de légalité de la défense nécessaire relative à la défense
      • Dépasser les limites de la défense nécessaire
    • Causer un préjudice pendant la détention d'une personne qui a commis un crime
    • Nécessité urgente
      • Urgence - page 2
    • Coercition physique ou mentale
    • Risque justifié
      • Risque justifié - page 2
    • Exécution d'un ordre ou d'une instruction
    • Autres circonstances excluant la criminalité de l'acte
      • Autres circonstances excluant la criminalité de l'acte - page 2
  • Multiplicité des crimes
    • Le concept et les types d'un crime unique
      • Concept et types d'un crime unique - page 2
    • Le concept et les signes de la pluralité
    • Ensemble de crimes
    • Récidive des crimes
      • Récidive - page 2
    • Concurrence (conflit) de normes de droit pénal
      • Concurrence (conflit) du droit pénal - page 2

Types de délits

Comme on le sait, le concept général de corps du délit est un moyen de comprendre des corps du délit spécifiques et permet de soumettre leurs éléments et caractéristiques à une analyse scientifique sous une forme générale, de classer ces éléments et caractéristiques et le corps du délit les contenant. Le corps général du délit constitue la base pour déterminer correctement dans chaque cas spécifique la présence ou l'absence d'un corps délictuel particulier dans les actions d'une personne.

En d'autres termes, le corps général du délit dans la science du droit pénal est une sorte de base théorique pour la qualification correcte de l'acte commis, car le concept général de corps du délit contient cet ensemble universel d'éléments et de caractéristiques qui caractérisent les éléments nécessaires et caractéristiques de chaque crime.

Tous les éléments d'un crime dans la théorie du droit pénal sont divisés en fonction des signes (propriétés) caractérisant l'objet, les aspects objectifs et subjectifs, ainsi que l'objet du crime. La classification des éléments d'un crime repose principalement sur des critères tels que : le degré de danger social de l'acte, la structure ou la méthode de description des éléments et des caractéristiques du crime dans la loi.

Selon le degré de danger public, on distingue trois types de délits : basiques (simples), qualifiés (avec des éléments aggravants, qualificatifs) et privilégiés (avec des éléments atténuants).

Basique (simple) un crime est reconnu qui contient un ensemble de caractéristiques objectives et subjectives qui se produisent toujours lorsqu'un certain type de crime est commis, mais ne fournit pas de caractéristiques supplémentaires qui augmentent ou diminuent le niveau de danger social du crime.

Parallèlement, le même acte criminel, en fonction de certaines caractéristiques liées à l'objet (l'importance de l'objet attaqué, etc.), au côté objectif (par exemple, la méthode, le lieu, le moment, etc. du crime), au côté subjectif (présence de motifs égoïstes ou autres, etc.) ou au sujet du crime (fonction officielle ou officielle spéciale, âge, etc.), peut contenir divers degrés de danger public.

Si ces signes et d'autres similaires aggravent la culpabilité et affectent donc la qualification (signes qualificatifs), ils sont pris en compte par le législateur dans l'article de la partie spéciale du Code pénal, ainsi que les principaux éléments, éléments qualifiés du crime sont identifiés.

Toutes les circonstances supplémentaires incluses dans le crime et modifiant sa qualification doivent être reconnues comme caractéristiques qualificatives. Il est proposé de qualifier de telles circonstances de qualificatives, c'est-à-dire entraînant un changement dans la classification du délit, l'émergence d'une nouvelle sanction, une différenciation des peines, en d'autres termes - un renforcement des caractéristiques qualificatives (L. L. Kruglikov).

Il semble que l'essentiel dans cette problématique ne soit pas tant la formulation terminologique de ces signes (bien que ce soit un aspect important du problème), mais plutôt leur identification. Le corps du délit qualifié, en règle générale, est formulé dans différentes parties ou paragraphes de l'article correspondant de la partie spéciale du Code pénal en utilisant un modèle terminologique tel que : « Le même acte ».

La législation pénale prévoit un nombre assez important de critères de qualification, parmi lesquels les plus souvent utilisés sont : les conséquences graves, la violence, le casier judiciaire, la récidive particulièrement dangereuse, le groupe organisé, les mobiles vils, etc.

De par leur nature juridique, les caractéristiques qualificatives sont de double nature. D'une part, ils font partie de l'ensemble des signes d'un crime et présentent à cet égard un certain ensemble de caractéristiques qui les caractérisent comme des signes d'un crime. D'autre part, ils constituent une sorte d'« appendice » (souvent significatif) à la composition principale, puisqu'ils ne font pas partie du seul ensemble possible de signes d'un acte socialement dangereux, qui le définit, selon la loi, comme criminel et pénalement punissable.

Les signes qualificatifs reflètent le degré de dangerosité sociale d'un certain type de comportement, puisqu'ils indiquent un changement significatif du niveau de danger social par rapport à celui reflété par les signes de la composition principale. Cependant, l'absence de caractéristiques qualificatives ou leur non-confirmation au cours de l'enquête ou du procès n'entraîne pas automatiquement l'exclusion du corps du délit de l'acte, puisqu'il peut contenir des éléments du corps du délit principal.

Les éléments qualificatifs d’un crime doivent être distingués des facteurs qui servent uniquement de circonstances atténuantes ou aggravantes. La principale différence entre eux est que les caractéristiques qualificatives d'un crime sont un moyen (technique) de différenciation législative, avant tout de la responsabilité et, à travers elle, de la punition.

Les circonstances atténuant ou aggravant la peine sont un moyen d'individualiser uniquement la peine et ne sont donc prises en compte que lors de l'attribution de la peine, car elles offrent au tribunal la possibilité de varier le choix du type et du montant de la peine dans le cadre de la sanction de l'article. , le réduisant ou, par conséquent, l'augmentant.

Des éléments particulièrement aggravants, s'ils sont inclus par le législateur dans l'article pertinent du code pénal, peuvent avoir une incidence sur la création d'un délit particulièrement qualifié, désigné par le législateur par une phrase telle que : « Les actions prévues aux première et deuxième parties du présent article », etc.

Privilégié(avec circonstances atténuantes) est le corps du délit, qui, outre les éléments principaux, contient également des signes à l'aide desquels le législateur différencie la responsabilité dans le sens de sa réduction. La composition privilégiée peut être contenue soit dans différentes parties d'un même article du code pénal, soit être prévue dans un article distinct.

La classification proposée des éléments du crime n'est pas la seule dans la théorie du droit pénal et dans la pratique de l'application du droit pénal. En plus de diviser les éléments du crime selon le degré de dangerosité sociale de l'acte, dans la théorie du droit pénal, ils sont également divisés selon la méthode de description des éléments et des caractéristiques du crime dans la loi.

Ainsi, selon le critère spécifié, il a été proposé de diviser tous les éléments du crime en simples et complexes. Les éléments simples du crime, à leur tour, sont divisés en éléments descriptifs et généraux ; complexe - en alternatives, avec deux actions, avec deux formes de culpabilité et avec deux objets (A. N. Trainin).

Il semble qu'une telle division des éléments du crime en types ne soit pas entièrement justifiée pour les raisons suivantes. Tout d'abord, dans la théorie du droit pénal, il existe une règle généralement acceptée selon laquelle le corps du délit ne peut être global, puisqu'il contient toujours une description de certaines caractéristiques spécifiques du crime.

Seule une norme de droit pénal peut être générale. En outre, il n'est guère conseillé de classer les éléments alternatifs d'un crime comme complexes, car il s'agit essentiellement d'une description particulière par le législateur dans une norme de droit pénal de plusieurs éléments différents d'un crime, dont chacun présente un ensemble de certaines caractéristiques. et est donc considéré comme indépendant.

Selon la plupart des scientifiques, tous les éléments d'un crime, selon la manière dont leurs caractéristiques sont décrites dans la loi, devraient être divisés en : simples, complexes et alternatifs.

Simple le corpus delicti est une composition contenant une description d'un acte, dont des parties ou des étapes ne constituent pas un crime indépendant. Autrement dit, chaque élément du crime est présenté en un seul exemplaire.

Difficile le corpus delicti est une composition dont la structure législative est compliquée par l'inclusion, en plus d'éléments ou de caractéristiques en un seul numéro, d'éléments ou de caractéristiques quantitatifs supplémentaires, mais dans leur intégralité ils représentent un seul corpus delicti.

Les crimes complexes, à leur tour, sont divisés en :

  1. éléments d'un crime dans lesquels un ou plusieurs éléments d'un crime ne sont pas uniques (plusieurs objets, deux formes de culpabilité, etc.) ;
  2. éléments d'un crime dans lequel un crime est construit par le législateur lui-même à partir de plusieurs crimes qui, par rapport à une autre situation, ont une signification relativement indépendante, mais dans ce crime particulier, ils ne jouent le rôle que de ses éléments ou caractéristiques.

Le dernier sous-type de crime a ses propres variétés, à savoir la composition :

  • avec deux objets (vol, etc.) ;
  • avec deux actes obligatoires (viol, etc.) ;
  • avec deux formes de culpabilité (avortement illégal, entraînant la mort de la victime par négligence, etc.) ;
  • avec deux ou plusieurs conséquences (infliction intentionnelle de lésions corporelles graves, entraînant la mort de la victime par négligence, etc.).

Alternative le corpus delicti est une composition qui décrit non pas un acte criminel ou une méthode d'action, mais plusieurs options alternatives, dont la présence d'au moins une d'entre elles constitue la base pour résoudre la question de la responsabilité pénale. Les éléments d'un crime de ce type sont divisés en éléments :

  • avec deux ou plusieurs actions alternatives (acquisition, transfert, vente, stockage, transport ou port illégal d'armes, de munitions, d'explosifs et d'engins explosifs) ;
  • dans lequel le législateur, au sein d'un crime, combine organiquement deux autres crimes (vol).

Selon les caractéristiques de conception des signes du côté objectif, les éléments du crime sont divisés en : matériels, formels et tronqués.

Matériel le corpus delicti est une composition dont le législateur associe la fin à l'apparition d'un résultat pénal (conséquences). Si un acte visant à obtenir un résultat criminel obligatoire pour un crime donné ne conduit pas à sa survenance, il n'y aura pas de crime accompli. Dans ce cas, l'auteur sera tenu responsable de sa tentative de commettre le crime en question.

Officiel sont reconnus des éléments dans lesquels, pour qu'un crime soit accompli, seule la commission d'un acte spécifié dans la loi est requise, indépendamment de la survenance de certaines conséquences qui peuvent être causées par cet acte.

En fait, les conséquences qui en résultent sur les éléments formels d'un crime peuvent servir soit de caractéristiques qualificatives, soit de circonstances aggravantes.

Tronqué le corpus delicti est un corpus delicti qui, pour être considéré comme complet, ne nécessite pas seulement la survenance d'un résultat criminel, mais également l'accomplissement des actions pouvant entraîner ces conséquences. Le législateur considère que les délits tronqués sont commis à un stade antérieur des actes criminels (vol, banditisme, etc.).

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QUALIFIÉ, oh, oh ; une, Anna. 1. Hautement qualifié et expérimenté. K. travailleur. 2. plein Nécessitant des connaissances particulières. K. travail. | nom les qualifications et les femmes. (à 1 valeur). Dictionnaire explicatif d'Ojegov. SI. Ozhegov, N.Yu. Shvedova. 1949... Dictionnaire explicatif d'Ojegov

qualifié- - [L.G. Sumenko. Dictionnaire anglais-russe sur les technologies de l'information. M. : Entreprise d'État TsNIIS, 2003.] Thèmes technologies de l'information en général EN bien informéavancé ... Guide du traducteur technique

qualifié- oh, oh ; an, Anna 1) Ayant une bonne formation spéciale, hautement qualifiée, expérimentée. Ouvrier qualifié. Personnel qualifié. Synonymes : lettré, compétent, habile Antonymes : non qualifié... Dictionnaire populaire de la langue russe

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