En janvier 1942, par décision du quartier général du commandement suprême, la formation de 20 régiments de mortiers de la garde commença.
L'histoire de la création du légendaire mortier de garde "Katyusha" commence au début des années 1920, lorsque la Russie soviétique a commencé à mener des expériences sur le développement de fusées à base de poudre noire. En 1921, les ingénieurs N.I. Tikhomirov et V.A. Artemyev du laboratoire de dynamique des gaz.
En 1933, les travaux étaient presque terminés et les essais officiels commencèrent. Pour les lancer, des lanceurs aériens à charges multiples et des lanceurs terrestres à charge unique ont été utilisés. Ces obus étaient des prototypes de ceux utilisés plus tard sur les Katyushas. Le projet a finalement été confié à un groupe de développeurs du Jet Institute pour la suite du développement. Au milieu des années 1930, les fusées sont entrées en service dans l’Armée rouge. En 1937-38, ils furent utilisés sur les chasseurs I-15, I-16, I-153, et plus tard sur les avions d'attaque Il-2.
La première utilisation au combat d'un nouveau type de roquettes à poudre par l'Armée rouge remonte aux batailles de Khalkhin Gol. En août 1939, un groupe de chasseurs I-16 sous le commandement du pilote d'essai Nikolai Zvonarev utilisa pour la première fois des missiles RS-82. Les Japonais décidèrent d'abord que leurs avions étaient attaqués par un canon antiaérien bien camouflé. Quelques jours plus tard seulement, l'un des officiers ayant participé à la bataille aérienne rapportait : « Sous les ailes d'un avion russe, j'ai vu des éclairs de flammes brillantes !
Les experts sont arrivés de Tokyo, ont examiné l'avion endommagé et ont convenu qu'une telle destruction ne pouvait être causée que par un obus d'un diamètre d'au moins 76 mm. Mais les calculs ont montré qu'un avion capable de résister au recul d'un canon de ce calibre ne pouvait tout simplement pas exister ! Seuls les chasseurs expérimentaux ont testé des canons de 20 mm. Pour découvrir le secret, une véritable chasse aux avions du capitaine Zvonarev et de ses camarades, pilotes Pimenov, Fedorov, Mikhailenko et Tkachenko, a été annoncée. Mais les Japonais n’ont pas réussi à abattre ou à faire atterrir au moins une voiture.
Les résultats de la première utilisation de missiles lancés depuis des avions ont dépassé toutes les attentes. En moins d’un mois de combats, les pilotes du groupe de Zvonarev ont effectué 85 missions de combat et abattu 13 avions ennemis au cours de 14 combats aériens.
Le succès de la nouvelle arme a stimulé les travaux sur la première version d'une unité à charges multiples, qui s'est ensuite transformée en Katyusha. Au NII-3 du Commissariat du Peuple aux Munitions, comme on appelait le RNII avant la guerre, ces travaux étaient dirigés par Andrei Kostikov en tant qu'ingénieur en chef. La première version du futur Katyusha était chargée d'obus de 132 mm, similaires à ceux que le capitaine Zvonarev avait tirés sur Khalkhin Gol. L'ensemble de l'installation avec 24 guides a été monté sur un camion ZIS-5. Ici, la paternité appartient à Ivan Gvai, qui avait déjà réalisé la «Flûte» - une installation pour fusées sur les chasseurs I-15 et I-16. Les premiers essais sur le terrain près de Moscou, effectués au début de 1939, révélèrent de nombreuses lacunes.
À cette époque, un groupe dirigé par Leonid Shvarts avait conçu et testé des échantillons de nouveaux missiles de 132 mm. À l'automne 1939, une autre série de tests fut réalisée au champ d'artillerie de Léningrad. Cette fois, les lanceurs et leurs obus ont été homologués. À partir de ce moment, le lance-roquettes a commencé à s'appeler officiellement BM-13, ce qui signifiait « véhicule de combat », et 13 était l'abréviation du calibre de la fusée de 132 mm.
Le véhicule de combat BM-13 était un châssis d'un véhicule ZIS-6 à trois essieux, sur lequel était installée une poutre rotative avec un ensemble de guides et un mécanisme de guidage. Pour viser, un mécanisme de rotation et de levage et un viseur d'artillerie étaient fournis. À l'arrière du véhicule de combat se trouvaient deux vérins qui assuraient sa plus grande stabilité lors du tir. Les missiles ont été lancés à l'aide d'une bobine électrique portative reliée à une batterie et à des contacts sur les guides. Lorsque la poignée était tournée, les contacts se fermaient à leur tour et le pétard de départ était tiré dans le projectile suivant.
Le 21 juin 1941, le Katyusha BM fut présenté aux dirigeants du PCUS (b) et du gouvernement soviétique. Quelques heures seulement avant le début de la Grande Guerre patriotique, il a été décidé de lancer la production en série de missiles M-13 et du lanceur BM-13. La production a eu lieu dans 2 entreprises : à l'usine Kompressor de Moscou et à l'usine de Voronej du nom. Komintern. La principale usine de production de fusées était l'usine de Moscou qui porte son nom. Vladimir Ilitch.
Le 26 juin 1941, l'assemblage des deux premiers BM-13 de production basés sur le ZIS-6 fut achevé à Voronej. Le 28 juin, les installations ont été testées sur un terrain d'essai près de Moscou et sont mises à la disposition de l'armée.
Au cours de la première semaine de la Grande Guerre patriotique, une batterie de lance-roquettes multiples a été constituée. Son état-major était composé principalement d'étudiants de l'Académie d'artillerie Dzerjinski. Le capitaine Ivan Flerov, artilleur expérimenté dans la guerre soviéto-finlandaise, a été nommé commandant de la batterie. Ni les officiers ni les effectifs des équipages de combat de la première batterie n'avaient eu de formation particulière ; pendant la période de formation, ils n'avaient réussi à diriger que trois cours ;
Ils étaient dirigés par les développeurs d'armes de missiles, l'ingénieur concepteur Popov et l'ingénieur militaire de 2e rang Shitov. Juste avant la fin du cours, Popov a montré une grande caisse en bois montée sur le marchepied d'un véhicule de combat. "Quand nous vous enverrons au front", a-t-il déclaré, "nous remplirons cette boîte de sabres et mettrons un pétard, de sorte qu'à la moindre menace de saisie par l'ennemi des roquettes, nous puissions faire sauter à la fois l'installation et le coquilles." Deux jours après avoir quitté Moscou, la batterie est intégrée à la 20e armée du front occidental, combattant pour Smolensk.
Dans la nuit du 12 au 13 juillet, la batterie est alertée et envoyée à Orsha. A la gare d'Orsha, de nombreux trains allemands transportant des troupes, du matériel, des munitions et du carburant se sont accumulés. Flerov a ordonné que la batterie soit déployée à cinq kilomètres de la station, derrière une colline. Les moteurs des véhicules n'ont pas été éteints afin de quitter immédiatement la position après la salve. Le 14 juillet 1941, à 15 h 15, le capitaine Flerov donne l'ordre d'ouvrir le feu. L’effet moral de l’utilisation des roquettes de mortier était stupéfiant. L'ennemi a perdu plus qu'un bataillon d'infanterie et une énorme quantité d'équipement militaire et d'armes à la gare d'Orsha. Le même jour, la batterie de Flerov a tiré sur le passage de la rivière Orshitsa, où s’étaient également accumulés de nombreux effectifs et équipements nazis. Dans les jours suivants, la batterie fut utilisée dans diverses directions des opérations de la 20e armée comme réserve de tir pour le chef de l'artillerie de l'armée. Plusieurs salves réussies ont été tirées sur l'ennemi dans les régions de Rudnya, Smolensk, Yartsevo et Dukhovshina.
Le commandement allemand a tenté d'obtenir des échantillons des armes miracles russes. La chasse à la batterie du capitaine Flerov commença, comme autrefois aux combattants de Zvonarev. Le 7 octobre 1941, près du village de Bogatyr, district de Vyazemsky, région de Smolensk, les Allemands parviennent à encercler la batterie. L'ennemi l'attaqua brusquement, en marche, tirant de différents côtés. Les forces étaient inégales, mais les équipages se battaient désespérément, Flerov épuisait les dernières munitions puis faisait exploser les lanceurs. En 1995, par décret du Président de la Fédération de Russie, Ivan Flerov a reçu à titre posthume le titre de Héros de la Russie.
Au début de 1945, 38 divisions distinctes, 114 régiments, 11 brigades et 7 divisions armées de roquettes d'artillerie opéraient sur les champs de bataille.
spécialiste en chef de la Société historique militaire russe,
Professeur agrégé MGIMO(U)
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868ème jour de guerre
Le matin du 6 novembre 1943, la capitale de l'Ukraine, Kiev, est complètement libérée des occupants fascistes. Cette joyeuse nouvelle devient un merveilleux cadeau pour ceux qui, depuis plus de deux ans, travaillent de manière désintéressée au nom de la victoire à l'arrière et qui combattent au front.
Artiste Viktor Ivanov, 1943
Opérations militaires sur d'autres théâtres de la Seconde Guerre mondiale
En 1943, le mouvement de libération nationale des peuples de Chine, de Corée, du Vietnam, de Birmanie, de Malaisie, d'Indonésie et des Philippines a pris une ampleur considérable. Elle est organisée et inspirée par les forces patriotiques de ces pays. Ils unissent les forces partisanes en un Front National uni. Les impérialistes japonais sont particulièrement préoccupés par la reprise des actions actives des Armées révolutionnaires populaires chinoises (8e et Nouvelle 4e). Ces armées, accompagnées de détachements de partisans, libèrent le territoire où vivaient jusqu'à 80 millions de personnes. Les actions des armées populaires révolutionnaires ont contraint le commandement japonais à maintenir 26 divisions et 11 brigades distinctes en Chine.
Sur le front du travail
À l'occasion de leur anniversaire, les membres du Komsomol de l'Uralmashplant produisent dix réservoirs au-dessus du plan et exécutent plus tôt que prévu les commandes du haut fourneau n° 6 en construction à Magnitogorsk.
À l'usine aéronautique n°21, les jeunes organisent une journée de records de production nommée d'après le 25e anniversaire du Komsomol. En ces jours anniversaires, plus de 2 000 jeunes travailleurs de l'usine remplissent au moins une norme et demie, produisant une grande quantité de production au-dessus du plan.
Les membres du Komsomol et les jeunes de tout le pays célèbrent leur anniversaire avec les mêmes succès de production.
Rappelons-nous comment c'était...
La nouvelle de la libération de la belle ancienne Kiev – « la mère des villes russes » – a suscité une grande joie parmi le peuple soviétique, remplissant son cœur de joie et de confiance dans une victoire imminente.
Kyiv
Notre belle Kyiv sur des pentes raides éternelles !
À celui qui souffre depuis longtemps - louange à toi, louange !
Que le jour brille là où la nuit est passée comme la mort,
Que le printemps brille là où le ciel était nuageux !
Pour le tourment, pour la maladie de nos meilleurs enfants bien-aimés,
Pour le sang chaud qui coulait comme une rivière,
Pour tous leurs outrages, pour leurs actes sombres
Que les ennemis tombent de nos puissantes mains !
La justice approche, l’heure des comptes est venue !
L'épée ne s'est pas émoussée et la torche ne s'est pas éteinte,
Et la tristesse vient juger tous les mauvais crimes.
Et à mes chers fils, défenseurs de la patrie,
Apportant un jour lumineux à travers la fumée noire de la guerre,
Notre Kyiv a ouvert le Golden Gate.M. Rylsky (traduit par N. Ouchakov)
6 novembre 1943 samedi. À 4 heures du matin, les troupes de la 38e armée avaient complètement éliminé la résistance ennemie à Kiev. Seulement pendant trois jours de combats pour Kiev, du 3 au 6 novembre, les troupes du 1er Front ukrainien ont vaincu 12 divisions ennemies, capturé de grands trophées, détruit 15 000 et capturé 6,2 000 soldats et officiers fascistes.
Les troupes soviétiques créent une tête de pont stratégique sur la rive droite du Dniepr, importante pour expulser les envahisseurs nazis de la rive droite de l'Ukraine.
Le matin du 6 novembre. Tôt le matin, le Conseil militaire du 1er Front ukrainien envoie un télégramme au commandant en chef suprême I. Staline : « Avec la plus grande joie, nous vous informons que la tâche que vous vous êtes fixée de capturer notre belle ville de Kiev , la capitale de l'Ukraine, par les troupes du 1er Front ukrainien. La ville de Kiev est complètement débarrassée des occupants fascistes. Les troupes du 1er Front ukrainien continuent de remplir la tâche que vous leur avez confiée » (k.1).
Soldats-libérateurs soviétiques près du monument à Bohdan Khmelnitsky sur la place Sofievskaya à Kiev
Des monstres fascistes pendus sur la place Kalinin (aujourd'hui Maidan Nezalezhnosti) à Kiev
Collaborateurs pendus, Kyiv
L'après-midi du 6 novembre . Le gouvernement de la RSS d'Ukraine et le Comité central du Parti communiste (bolcheviks) d'Ukraine, dans un appel aux travailleurs ukrainiens dans le cadre de la libération de la ville de Kiev, les ont appelés à aider encore plus activement le Parti rouge. L'armée bat l'ennemi.
Le général d'armée Nikolaï Fedorovitch Vatoutine à Kyiv libérée. novembre 1943
À la fin de la journée, les troupes du front atteignirent la frontière fluviale. Zdvizh, Mikulichi, Glevakha et plus loin jusqu'au Dniepr. Les unités avancées de la 3e armée blindée de la garde se sont approchées de Fastov et ont occupé Vasilkov, déchirant le front des troupes ennemies.
Le commandant de la 3e armée blindée de la garde, le lieutenant-général P. S. Rybalko, observe le passage d'une colonne de véhicules blindés BA-64 du bataillon de reconnaissance de l'armée.
Au cours des batailles de Kiev, les troupes soviétiques ont vaincu 12 divisions d'infanterie ennemies, 2 divisions de chars et 1 division motorisée. Les troupes du 1er front ukrainien, après avoir libéré la ville de Kiev, se lancent à la poursuite rapide de l'ennemi en retraite.
A ces heures-là. Pour ses excellentes actions militaires dans la lutte pour la libération de Kiev, le commandant en chef suprême J.V. Staline déclare sa gratitude aux troupes du 1er front ukrainien, et les formations et unités qui se sont particulièrement distinguées dans ces batailles reçoivent le nom de « Kiev ». ». La 1ère Brigade séparée tchécoslovaque reçoit le diplôme de l'Ordre de Souvorov, II.
Félicitant le commandant et tout le personnel de la brigade, le Conseil militaire du 1er Front ukrainien note :
"La capitale de l'Ukraine - l'ancienne Kiev slave - n'oubliera jamais que les frères héroïques - les fils du peuple tchécoslovaque - se sont battus pour sa libération aux côtés des soldats de la vaillante Armée rouge sous votre commandement."
Dans les batailles pour la libération de Kiev, les soldats tchécoslovaques ont fait preuve de grandes compétences militaires, de courage et de bravoure. Le Présidium du Soviet suprême de l'URSS a décerné le titre de Héros de l'Union soviétique à trois soldats particulièrement distingués. Le commandant de la brigade, le colonel L. Svoboda, et 138 soldats, sous-officiers et officiers ont reçu des ordres et des médailles de l'Union soviétique (k.1).
Les Kieviens rentrent chez eux
Retour de la population dans son Kiev natal
À partir de documents d'archives et de documents d'aujourd'hui
Le détachement de partisans de Parkhomenko, opérant dans la région de Vileika, a attaqué une gare dans la nuit du 28 octobre. Les patriotes soviétiques ont détruit les gardes ferroviaires allemands, incendié deux grands entrepôts militaires ennemis, détruit les aiguillages et fait sauter les voies ferrées. Ces derniers jours, le détachement de partisans d'Alexandre Nevski a fait dérailler 14 échelons ennemis à double poussée qui se dirigeaient vers la ligne de front. 11 locomotives et 180 wagons et plates-formes transportant des marchandises militaires ont été détruits.
* * *
Le 3 novembre, au nord de Kiev, le commandant de compagnie de la 327e division d'infanterie allemande, le lieutenant Karl P. Prisoner, s'est volontairement rendu en déclarant : « Nous ne nous attendions pas à une offensive russe aussi rapide. L’artillerie soviétique était si précise que mes hommes étaient stupéfaits. La moitié des soldats de la compagnie sont morts. Les autres sont restés sur place et se sont rendus avec moi. L’humeur non seulement des soldats, mais aussi de la majorité des officiers que j’ai rencontrés était extrêmement déprimée. Nous voyons tous à quel point le dénouement approche. En hiver, lorsque la mobilisation totale fut annoncée, on nous assurait que l'Allemagne gagnerait la guerre dans les six mois suivants. Dix mois se sont écoulés après cela, mais l’Allemagne n’est pas parvenue à la victoire, mais au désastre. »
ORDRE DU COMMANDANT-CHEF SUPRÊME
Général d'armée Vatoutine
Les troupes du 1er Front ukrainien, à la suite d'une opération menée rapidement avec une manœuvre de flanc audacieuse, ont pris d'assaut aujourd'hui 6 novembre à l'aube la capitale de l'Ukraine soviétique, la ville de Kiev - le plus grand centre industriel et le plus important pôle stratégique de la défense allemande sur la rive droite du Dniepr.
Avec la prise de Kiev, nos troupes ont capturé la tête de pont la plus importante et la plus avantageuse sur la rive droite du Dniepr, ce qui est important pour expulser les Allemands de la rive droite de l'Ukraine.
Dans les batailles pour la libération de la ville de Kiev, les troupes du colonel général Moskalenko, du lieutenant général Chernyakhovsky, les équipages de chars du lieutenant général Rybalko, les pilotes du lieutenant général de l'aviation Krasovsky et les artilleurs du général de division d'artillerie Korolkov se sont distingués.
Particulièrement distingué :
167e division de fusiliers Sumy deux fois bannière rouge du général de division Melnikov, 232e division de fusiliers Sumy du général de division Ulitin, 340e division de fusiliers Sumy du colonel Zubarev, 163e division de fusiliers Romny du colonel Karlov, 240e division de fusiliers du colonel Umansky, 136e division d'infanterie sous le colonel Puzikov , 180e division d'infanterie sous le général de division Shmelev, 1re brigade tchécoslovaque distincte en URSS sous le colonel Svoboda, 74e division d'infanterie sous le colonel Kuznetsov, 23e division d'infanterie sous le lieutenant-colonel Shcherbakov, 30e division d'infanterie colonel Yankovsky, 218e division de fusiliers, général de division Sklyarov, 121e Rylsk Division de fusiliers, général de division Ladygin, 141e division de fusiliers, colonel Rassadnikov, 226e division de fusiliers Glukhovskaya, colonel Petrenko, 5e corps de chars de la garde Stalingrad, lieutenant général des forces blindées Kravchenko, 6e corps de chars de la garde, général de division des forces blindées Panfilov, 7e corps de chars de la garde, général de division. des forces blindées Suleikov, 291e division d'aviation d'assaut de Voronej, colonel Vitruk, 202e division d'aviation de bombardement du Don moyen, colonel Nechiporenko, 4e division d'aviation d'assaut de la garde, major général de l'aviation Baidukov, 264e division d'aviation d'assaut, lieutenant-colonel Klobukov, 256e division d'aviation de chasse, colonel Gerasimov, 8e division d'aviation de chasse de la bannière rouge de la garde, lieutenant-colonel Chupikov, 208e division d'aviation de bombardiers à courte portée Red Banner Night du colonel Yuzeev, 10e division d'aviation de chasse de la garde Stalingrad du colonel Sryvkin, 235e division d'aviation de chasse de Stalingrad du major général de l'aviation Lakeev, 17e artillerie Division (percée) du général de division d'artillerie Volkenstein, 13e division d'artillerie (percée) général de division de l'artillerie de Krasnokutskiy, 3e division de mortiers de la garde du colonel Kolesnikov, 112e régiment d'artillerie fluffique de la bannière rouge de la garde, lieutenant-colonel de César, 805e régiment d'artillerie d'obusiers, major Teterin, 839e régiment d'artillerie d'obusiers du lieutenant-colonel Chistyakov, 12e brigade de mortiers distincte du colonel Nemov, 9e brigade d'artillerie antichar de chasse de la garde du lieutenant-colonel Tchernov, 491e régiment de mortiers du major Plokhunov, 492e régiment de mortiers du major Glushchenko, 222e régiment de chasse anti- régiment d'artillerie de chars du major Kodyakov, 316e régiment d'artillerie antichar de chasse de la Garde, lieutenant-colonel Karozin, 868e régiment d'artillerie antichar de chasse de la bannière rouge sous le major Cech, 1666e régiment d'artillerie antichar de chasse sous le major Berezin, 1075e régiment d'artillerie antichar de chasse sous le major Andreev, 4e régiment d'artillerie antichar de chasse de la bannière rouge de la garde sous le lieutenant-colonel Ponomartsev, 24e brigade d'artillerie à canon de la garde du colonel Brozgol, 60e escadron d'aviation d'ajustement séparé du capitaine Rastorguev, 811e division d'artillerie de reconnaissance distincte du capitaine Barinov, 8e anti-aérien division d'artillerie du colonel Kamensky, 21e division d'artillerie antiaérienne du colonel Gudkov, 268e bataillon du génie distinct, capitaine Tsitsishvili, 7e bataillon du génie distinct, major Joukov, 1505e bataillon du génie distinct, major Arteev, 1re brigade d'artillerie à canon de la garde, colonel Kerp, 3e gardes (Bakhmach) Brigade d'artillerie légère colonel Zhagaly, 65e régiment de mortiers de la garde, lieutenant-colonel Pavlova, 98e régiment de mortiers de la garde du lieutenant-colonel Tikhonov, 1157e régiment d'artillerie à canon du lieutenant-colonel Nazarenko, 497e régiment de mortiers du major Molchanov, 59e régiment de chars séparés du major Skornyakov, 150e char séparé Brigade du colonel Ugryumov.
Pour commémorer la victoire, les formations et unités qui se sont distinguées dans les batailles pour la libération de la ville de Kiev recevront le nom de « Kiev ».
Désormais ces connexions et pièces seront appelées :
167e division de fusiliers Soumy-Kiev à deux reprises bannière rouge,
232e division de fusiliers Soumy-Kiev,
340e division de fusiliers Soumy-Kiev,
163e division de fusiliers Romny-Kiev,
240e division de fusiliers de Kiev,
136e division de fusiliers de Kiev,
180e division de fusiliers de Kiev,
74e division de fusiliers de Kiev,
23e division de fusiliers de Kiev,
30e division de fusiliers de Kiev,
218e division de fusiliers de Kiev,
121e division de fusiliers Rylsko-Kiev,
141e division de fusiliers de Kiev,
226e division de fusiliers Glukhov-Kyiv,
5e corps de chars de la garde Stalingrad-Kiev,
6e corps de chars de la garde de Kyiv,
7e corps de chars de la garde de Kyiv,
291e division d'aviation d'assaut Voronej-Kiev,
4e Division de l'aviation d'assaut de la Garde de Kyiv,
264e division aérienne d'assaut de Kiev,
256e Division d'aviation de chasse de Kiev,
8e division d'aviation de chasse de la bannière rouge de la garde de Kiev,
208e Division d'aviation de bombardiers à courte portée de nuit de la bannière rouge de Kiev,
17e division d'artillerie de Kiev (percée),
13e division d'artillerie de Kiev (percée),
3e division de mortiers de la garde de Kyiv,
112e régiment d'artillerie de canons de Kiev à bannière rouge de la garde,
805e régiment d'artillerie d'obusiers de Kiev,
839e régiment d'artillerie d'obusiers de Kiev,
12e brigade de mortiers séparée de Kiev,
9e brigade de chasse antichar de la garde de Kiev,
491e régiment de mortiers de Kyiv,
492e régiment de mortiers de Kiev,
222e régiment d'artillerie antichar de chasse de Kiev,
316e Régiment d'artillerie antichar de chasse de la Garde de Kiev,
868e Régiment d'artillerie antichar de chasse de la bannière rouge de Kiev,
1666e régiment d'artillerie antichar de chasse de Kiev,
1075e régiment d'artillerie antichar de chasse de Kiev,
4e régiment d'artillerie antichar de chasse de la bannière rouge de la garde de Kiev,
24e brigade d'artillerie de canons de la garde de Kyiv,
60e Escadron d'aviation d'ajustement séparé de Kiev,
811e division d'artillerie de reconnaissance distincte de Kiev,
8e division d'artillerie antiaérienne de Kiev,
21e Division d'artillerie antiaérienne de Kiev,
268e bataillon du génie séparé de Kiev,
7e bataillon du génie séparé de Kiev,
1505e bataillon du génie séparé de Kiev,
1re brigade d'artillerie de canons de la garde de Kyiv,
3e gardes (Bakhmachsko) - Brigade d'artillerie légère de Kiev,
65e régiment de mortiers de la garde de Kyiv,
98e régiment de mortiers de la garde de Kyiv,
1157e régiment d'artillerie de canon de Kiev,
497e régiment de mortiers de Kiev,
59e régiment de chars séparés de Kiev,
150e brigade blindée séparée de Kiev.
La 202e division d'aviation de bombardement du Moyen-Don, la 10e division d'aviation de chasse de la Garde Stalingrad et la 235e division d'aviation de chasse de Stalingrad, qui se sont distinguées pour la deuxième fois dans les batailles contre les envahisseurs allemands, devraient recevoir l'Ordre du Drapeau rouge.
La 1ère brigade tchécoslovaque distincte en URSS, qui s'est distinguée dans les batailles pour la libération de la ville de Kiev, devrait recevoir l'Ordre de Souvorov, degré II.
Aujourd'hui 6 novembre, à 17 heures, la capitale de notre Patrie, Moscou, au nom de la Patrie, salue nos vaillantes troupes qui ont libéré la ville de Kiev avec vingt-quatre salves d'artillerie de trois cent vingt-quatre canons.
Pour les excellentes opérations militaires, j'exprime ma gratitude à toutes les troupes dirigées par vous qui ont participé aux batailles pour la libération de la ville de Kiev.
Gloire éternelle aux héros morts dans la lutte pour la liberté et l'indépendance de notre Patrie !
Mort aux envahisseurs allemands !
commandant suprême
Maréchal de l'Union soviétique I. STALINE
Le ciel d'automne de Moscou est à nouveau illuminé par les lumières vives des fusées multicolores
La situation à Moscou le 6 novembre 1943
Une réunion solennelle du Conseil des députés du peuple de Moscou s'est tenue conjointement avec le parti et les organisations publiques à Moscou, dédiée au 26e anniversaire de la Grande Révolution socialiste d'Octobre.
Le journal Pravda a publié un message de la Commission d'État extraordinaire chargée d'établir et d'enquêter sur les atrocités des envahisseurs nazis et de leurs complices et sur les dommages qu'ils ont causés aux citoyens, aux fermes collectives, aux organismes publics, aux entreprises et institutions d'État de l'URSS concernant la destruction du ville de Smolensk et les atrocités commises par les envahisseurs nazis sur les citoyens soviétiques.
Rapport de la Commission d'État extraordinaire sur la destruction de la ville de Smolensk et les atrocités commises par les envahisseurs nazis contre les citoyens soviétiques
L'ancienne ville russe de Smolensk, riche en événements dans son développement, a reflété de siècle en siècle dans l'histoire de notre patrie la croissance de sa puissance et de sa gloire. Elle a connu une prospérité sans précédent pendant les années du pouvoir soviétique. Le nombre d’entreprises industrielles et d’institutions culturelles et éducatives a augmenté à une vitesse extraordinaire.
Le 15 juillet 1941, les hordes hitlériennes font irruption dans Smolensk. Leur terrible règne a duré 26 mois et 10 jours, accompagné d’atrocités et de violences sans précédent.
Avec une cruauté et une trahison monstrueuses, ils ont détruit jour après jour des usines et des usines, des hôpitaux et des cliniques, des instituts et des écoles techniques, des écoles et des musées, des parcs et des jardins - toute la ville antique, la transformant en cendres et en ruines.
Après la libération de la ville, en seulement 10 jours, les mineurs ont retiré plus de 100 000 kilogrammes de bombes aériennes et de mines à action retardée de divers bâtiments.
Sur la base d'actes rédigés par des représentants d'entreprises et d'institutions d'État, d'organismes publics, de témoignages oculaires et de témoins, ainsi que sur la base d'une enquête menée par un membre de la Commission d'État extraordinaire, l'académicien N. N. Burdenko, sur les faits de destructions et atrocités commises à Smolensk par les barbares nazis, installés :
DESTRUCTION DES SERVICES PUBLICS
Des équipes spéciales de pyromanes ont fait exploser et incendié de nouvelles grandes maisons, des quartiers et des rues entiers. Des poutres en fer ont été découpées dans des bâtiments en pierre à l'aide d'une machine autogène et transportées en Allemagne. Sur les 8 000 maisons d'une superficie utilisable de plus de 650 000 mètres carrés. m, 7 300 maisons ont été détruites et incendiées. Détruit : un pont en arc en béton armé à 3 travées avec voies de tramway à double voie, construit en 1930-1931, reliant la région du Trans-Dniepr au centre-ville ; Pont en fer à 3 travées avec taureaux de pierre bordés de granit ; deux viaducs traversant la voie ferrée à la gare de Smolensk ; toutes les pièces des bains et buanderies de la salle de bains et de la buanderie.
Les occupants allemands ont rendu inutilisable l'ensemble du système de tramway, composé de 27 kilomètres de voies, ainsi que les lignes aériennes du parc de tramway. L'approvisionnement en eau est en panne. La population de la ville s'est retrouvée sans eau. Les éléments suivants ont explosé et brûlé : les châteaux d'eau avec réservoirs en béton armé, la station de pompage principale avec équipements, pompes, moteurs, chambre de contrôle et canalisation, la station de pompage avec structures auxiliaires, les 1ère et 3ème stations de relevage avec réservoirs en béton armé et chambre de contrôle, équipements et bâtiments au-dessus des puits de puits artésiens.
Lors de la retraite de Smolensk, les canailles allemandes ont détruit la centrale électrique et laissé la ville sans lumière ni électricité. Turbines, chaudières et transformateurs ont été rendus inutilisables : 67 kiosques de transformateurs ont été détruits, environ 90 kilomètres de réseaux aériens haute et basse tension ont été supprimés ; les instruments de contrôle et de mesure ont été transportés en Allemagne. Les envahisseurs fascistes ont complètement détruit et incendié 170 magasins, 260 échoppes, 85 cantines et restaurants, 2 usines de cuisines et autres bâtiments annexes des organisations professionnelles à Smolensk.
Les envahisseurs nazis ont causé de gros dégâts au département des communications. Ils ont détruit le bâtiment du télégraphe, du central téléphonique automatique, du bureau de poste, de la station de radio et de la station de réception radio.
Ils ont rendu inutilisables et détruit l'équipement télégraphique et le bloc de la gare, le central téléphonique automatique, le central téléphonique longue distance. Les biens immobiliers, matériels et équipements ménagers du service de communication ont été exportés vers l'Allemagne.
Selon des données loin d'être complètes, le total des dommages causés par les envahisseurs nazis aux services publics, aux communications et au commerce s'élève à plus de 700 millions de roubles.
DESTRUCTION DE L'INDUSTRIE
Les envahisseurs allemands ont détruit les 96 usines et usines de Smolensk. Ils ont détruit le moulin à lin de Smolensk, nommé d'après A. A. Andreev, qui a été mis en service en 1937, et les machines, chaudières, rails et divers équipements restants ont été transportés en Allemagne. L'usine de Metiz, une usine de musique, l'usine n° 35, une usine mécanique, 30 entreprises de coopération industrielle, une usine de tricotage, une usine du nom de Kalinin, qui produisait des voitures de route, des chaudières à bitume et des réservoirs, ont été entièrement détruites par les nazis. . À l’usine « Red Sewing Man », les occupants ont fait exploser et détruit le bâtiment de production, le bâtiment scolaire et les entrepôts.
Dans les derniers jours avant la fuite des occupants allemands de Smolensk, des entreprises et des locaux résidentiels de l'administration régionale de l'industrie des matériaux de construction ont été détruits.
Dans la briqueterie n°1, ils ont fait exploser et détruit le four, les bâtiments de deux ateliers de moulage, un atelier mécanique et une sous-station électrique ; dans la deuxième briqueterie, ils ont fait exploser et incendié tous les bâtiments et structures de production et ont pris le transformateur ; sous-stations et moteurs vers l'Allemagne ; 8,5 kilomètres de voies à voie étroite ; Les bâtiments résidentiels et les bâtiments du campement ouvrier ont été complètement incendiés.
De la briqueterie n°5, il ne restait que des tas de ruines. L'usine de céramique a été détruite et le matériel a été transporté en Allemagne. Les envahisseurs nazis ont emporté l'équipement et les outils de l'usine mécanique en Allemagne et le bâtiment a été partiellement détruit ; Le bâtiment de 4 étages de la Station de recherche et de contrôle des matériaux de construction de Smolensk a été incendié.
Le montant total des dommages causés aux entreprises industrielles par les envahisseurs nazis est estimé à plus de 300 millions de roubles.
DESTRUCTION DU CARREFOUR FERROVIAIRE
Le carrefour ferroviaire de Smolensk, qui reliait la capitale de l'Union soviétique aux centres économiques et industriels les plus importants du pays, par lequel transitaient quotidiennement des dizaines de trains de marchandises et de voyageurs à destination de Moscou, Minsk, Briansk, Vitebsk, Sukhinichi, a été complètement détruit par les occupants. Les installations de locomotives et de voitures, les équipements d'atelier, les centrales électriques, les équipements de communication et de blocage automatique, y compris le matériel roulant, ont été transportés en Allemagne.
Lors de leur retraite de Smolensk, les occupants allemands ont fait sauter 194 kilomètres de voies de gare, 700 aiguillages, 5 dépôts, 3 plaques tournantes, 7 points d'eau ; détruit 3 000 mètres linéaires de zones de chargement et de déchargement, soit 18 300 m². mètres de bâtiments de service, 9 bains ; détruit et incendié 228 immeubles résidentiels d'une superficie totale de 38 000 mètres carrés. mètres.
Le montant des dommages causés au nœud ferroviaire est estimé à 60,5 millions de roubles.
DESTRUCTION DES INSTITUTIONS DE SOINS DE SANTÉ
Après avoir fait irruption dans la ville, les envahisseurs allemands ont détruit la plupart des établissements médicaux. Les patients des hôpitaux ont été jetés à la rue et du matériel médical de valeur a été emporté en Allemagne. Les habitants de la ville ont été privés de soins médicaux.
En se retirant de Smolensk, les canailles nazies ont incendié et fait sauter les bâtiments des institutions médicales. Ils ont détruit les services thérapeutiques, chirurgicaux, infectieux, gynécologiques et de maternité du 1er hôpital clinique soviétique, répartis dans 20 bâtiments. Ils ont complètement détruit la clinique en activité, les troisième, quatrième et cinquième cliniques externes et la sixième clinique externe de l'usine de lin, trois dispensaires antituberculeux, un poste d'ambulance, trois cliniques pour femmes et enfants, un sanatorium pour adolescents, 25 crèches et 1 800 lits, un poste de désinfection, un poste de contrôle du lait, un laboratoire de bactériologie sanitaire, une clinique d'obstétrique, un hôpital des maladies infectieuses, un orphelinat, une clinique dentaire pour enfants ; ils ont pillé un dispensaire dermatologique et vénérien, un institut de médecine physique, un hôpital pour enfants, une école dentaire, une maison d'éducation sanitaire, etc.
Les dégâts causés par les occupants nazis aux établissements médicaux de la ville de Smolensk sont estimés à plus de 70 millions de roubles.
DESTRUCTION D'INSTITUTIONS ÉDUCATIVES, D'INSTITUTIONS CULTURELLES ET ÉDUCATIVES, DE MUSÉES ET DE MONUMENTS ANCIENS
Les envahisseurs nazis ont détruit les instituts, les écoles techniques et les écoles de Smolensk ; Ils ont pillé les collections les plus précieuses des musées, profané et incendié des monuments antiques. Des manuels scolaires et de la littérature, des aides et instruments visuels, des expositions et des collections de musée de grande valeur ont été emportés par les nazis en Allemagne.
La riche bibliothèque de l'institut pédagogique, comptant des centaines de milliers de livres, a été murée dans le sous-sol pour la protéger des incendies lors des bombardements. Des dégénérés allemands ont trouvé cette bibliothèque et ont brûlé tous les livres. De la littérature précieuse, des manuels, des instruments et des instruments de l'institut médical et de l'institut des langues étrangères ont été emportés.
En avril 1943, les canailles nazies avaient besoin de décombres. Ils ont fait sauter le lycée n°23 à cet effet et ont utilisé les décombres extraits pour réparer la route.
Lors de la retraite de Smolensk, les envahisseurs nazis ont détruit presque tous les établissements d'enseignement. Ils ont incendié les bâtiments des instituts pédagogiques, dentaires et agricoles ; détruit les écoles techniques des communications financières, coopératives, ferroviaires et électriques ; a incendié et fait sauter 22 écoles, huit jardins d'enfants, la bibliothèque centrale régionale, la bibliothèque pour enfants de la ville, la bibliothèque Zadneprovskaya et la bibliothèque du nom. Gorki et la bibliothèque Rachev nommée d'après. Premier mai. 646 mille livres ont été perdus dans ces bibliothèques. Les dégâts causés par les occupants nazis aux écoles et aux institutions du Département de l'Instruction publique de la ville de Smolensk sont estimés à 74 millions de roubles.
En 1939, un théâtre dramatique fut ouvert à Smolensk dans un nouveau bâtiment bien équipé. Les envahisseurs allemands ont pillé le département des costumes du théâtre, qui contenait jusqu'à 5 000 pièces. L'équipement électrique est devenu inutilisable ; du matériel d'éclairage et des meubles anciens étaient exportés vers l'Allemagne ; le paysage a été détruit. Ils ont incendié le Cirque d'État pour 2.500 personnes avec tout l'équipement, le bâtiment de la Philharmonie et l'école de musique. Glinka. Les occupants allemands ont détruit les cinémas qui portent ce nom. XVe années d'octobre avec 1000 places, Palais avec 700 places, Detkino, etc.
L'ancienne ville de Smolensk a conservé les monuments les plus précieux de l'histoire et du passé culturel. Elle possédait des églises datant de la période initiale de construction en pierre du XIIe siècle, un Kremlin, qui est l'une des plus grandes fortifications du monde, ainsi qu'un certain nombre d'autres monuments qui caractérisent le développement ultérieur de la culture et de l'art nationaux russes jusqu'à notre temps.
À Smolensk, avant l'occupation allemande, il y avait 4 musées avec de précieuses collections. Le Musée d'Art, qui s'est réuni en 1898, possédait les collections les plus riches d'objets de valeur historiques, artistiques, historiques, quotidiens, ethnographiques et autres à prédominance russe : peintures, icônes, bronze, porcelaine, moulages, tissus. Ces collections avaient une valeur mondiale et ont été exposées lors d'une exposition en France.
Les occupants ont détruit le musée et ont emporté les pièces les plus précieuses en Allemagne.
Seules une sculpture en bronze de Nikita Panin et un grand bas-relief en plâtre ont été conservés dans le musée. À l'extérieur du musée, sur la colline de la Cathédrale, dans l'une des pièces de l'ancienne maison épiscopale, une petite quantité de biens brisés et cabossés a été retrouvée abandonnée au hasard.
Le musée historique, situé dans le bâtiment de l'église théologique du XIIe siècle, a été entièrement pillé, les locaux du musée ont été partiellement explosés. Le musée contenait des expositions authentiques caractérisant l’histoire de la ville et, étant la seule collection à cet égard, elle était extrêmement précieuse.
Le Musée de la nature de la Tour du Tonnerre du Kremlin était constitué d'une collection caractérisant la nature de la région de Smolensk. Les canailles fascistes ont détruit les objets de valeur du musée et transformé le bâtiment en caserne.
Dans l'église Pierre et Paul, construite en 1146, avec des extensions des XVIIe et XVIIIe siècles, on brûla les sols et toutes les parties en bois de l'édifice. L'église d'Arkhangelsk (Svirskaya), construite en 1194, a été incendiée par les nazis le 28 juin 1942. Les revêtements de la tête du clocher et tout l'intérieur de l'édifice construit en 1833 ont été entièrement incendiés.
Pendant l'occupation de Smolensk, les autorités militaires allemandes utilisèrent le bâtiment de l'église comme entrepôt. L'église ivano-théologique de 1180 avec une extension de 1770 a explosé lors de la retraite de Smolensk.
Les tours et les murs de la forteresse du Kremlin ont été construits entre 1567 et 1602. la destruction a été provoquée. Les envahisseurs nazis ont enlevé le toit de 9 tours du Kremlin : Volkov, Veselukha, Rogovka, Orel, Avraamievskaya, Zaaltarnaya, Voronin, Dolgochevskaya et Zimbulka ; ils ont brûlé la porte du Dniepr avec l'église-porte ; démonté les plafonds inter-étages de la tour Bubleyka. Ils ont installé un entrepôt d'explosifs dans la tour Gurkin. Plusieurs brèches ont été réalisées dans le mur oriental du Kremlin. Les occupants allemands incendièrent le monastère de la Trinité. Dans la cathédrale du monastère construite en 1674, les toits de tous les bâtiments ont brûlé. Dans le clocher du XVIIe siècle. Le chapitre a brûlé, dans l'église de la Conception, construite en 1767, la toiture, les plafonds et toutes les parties en bois de l'édifice ont brûlé. Maison en bois du vice-roi de l'archevêque construite au XVIIe siècle. détruit par le feu. Seules les caves voûtées en pierre ont survécu.
Les envahisseurs allemands ont complètement incendié les églises : Spasskaya - construite au 18ème siècle, Dukhovskaya - 18ème siècle, Pokrovskaya - 19ème siècle. Ils ont brûlé toutes les parties en bois des églises : Nizhne-Nikolskaya au-delà du Dniepr construite au XVIIIe siècle, Georgievskaya - début du XVIIIe siècle, Nizhne-Blagoveshchenskaya - 1779, dans la cathédrale de l'Épiphanie - 1781 ; ils ont fait sauter l'église Verkhne-Saint-Nicolas et l'église Vvedenskaya du monastère Avraamiev ; Un monument en bronze dédié à Koutouzov et des armes du monument de 1812 ont été emportés en Allemagne.
Le quartier général principal de Rosenberg chargé de la saisie et du retrait des objets de valeur des régions occupées de l'Est disposait d'un département spécial à Smolensk, dirigé par le Dr Heppling, l'organisateur du pillage des musées et des monuments historiques.
La Commission d'État extraordinaire considère que les données fournies sur les dommages causés par les envahisseurs nazis et leurs complices aux organismes publics, aux entreprises d'État et aux institutions de la ville de Smolensk ne sont que préliminaires. L'étendue exacte des dégâts sera établie après le nettoyage final du territoire et un examen approfondi de la destruction des bâtiments, usines, usines, institutions culturelles et éducatives, musées, monuments historiques et autres structures.
La Commission d'État extraordinaire, sur la base des déclarations de citoyens soviétiques, des déclarations de témoins, des actes et d'une enquête spéciale, a établi que les envahisseurs nazis dans la ville de Smolensk et ses environs avaient torturé et exterminé des citoyens soviétiques et des prisonniers de guerre.
Composition de combat du Front de Voronej
Bataille de Koursk
|
Tableau des portées de destruction des chars ennemis par les canons antichar et les canons automoteurs des troupes soviétiques*** |
||
|
Subdivision |
Le commandant |
Remarques |
|
Front de Voronej |
Général N.F. Vatoutine | |
|
6e armée de la garde |
Général I. M. Chistyakov | |
| 22e corps de fusiliers de la garde | Général N.B. Ibyansky | |
|
67e division de fusiliers de la garde |
Colonel A.I. Baksov |
|
|
71e division de fusiliers de la garde |
Colonel I.P. Sivakov |
|
|
90e division de fusiliers de la garde |
Colonel V.G. Tchernov |
|
| 23e corps de fusiliers de la garde | Général P.P. Vakhrameev | |
|
51e division de fusiliers de la garde |
Général N.T. Tovartkiladze |
|
|
52e division de fusiliers de la garde |
Colonel I. M. Nekrasov |
|
|
375e division d'infanterie |
Colonel P.D. Govorunenko |
|
|
89e division de fusiliers de la garde |
||
|
27e brigade d'artillerie à canon |
||
|
33e brigade d'artillerie à canon |
||
|
628e régiment d'artillerie à canon |
||
|
27e brigade antichar |
||
|
28e brigade antichar |
||
|
493e Régiment Antichar |
||
|
496e régiment de chasseurs antichar |
||
|
611 régiment de chasseurs antichar |
||
|
694e régiment de chasseurs antichar |
||
|
868e Régiment Antichar |
||
|
1008e Régiment Antichar |
||
|
1240e régiment de chasseurs antichar |
||
|
1666 régiment de chasse antichar |
||
|
1667 régiment de chasse antichar |
||
|
263e régiment de mortiers |
||
|
295e régiment de mortiers |
||
|
16e régiment de mortiers de la garde |
||
|
5e régiment de mortiers de la garde |
||
|
79e régiment de mortiers de la garde |
||
|
26e Division d'artillerie anti-aérienne |
||
|
1487 régiment d'artillerie anti-aérienne |
||
|
69e brigade de chars |
||
|
230e régiment de chars |
||
|
245e régiment de chars |
en service avec "Grant" et "Stuart" |
|
|
1440 régiment d'artillerie automoteur |
||
|
60e régiment de chars distinct |
||
|
96e brigade de chars |
Général V. G. Lebedev |
|
| 7e armée de la garde | Général M. S. Choumilov | |
| 24e corps de fusiliers de la garde | ||
|
15e division de fusiliers de la garde |
||
|
36e division de fusiliers de la garde |
||
|
72e division de fusiliers de la garde |
||
| 25e corps de fusiliers de la garde | Général G.B. Safiulin | |
|
73e division de fusiliers de la garde |
||
|
78e division de fusiliers de la garde |
||
|
213e division de fusiliers |
||
|
81e division de fusiliers de la garde |
||
|
109e régiment d'artillerie de canon de la garde |
||
|
151e régiment d'artillerie de canon de la garde |
||
|
265e régiment d'artillerie de canon de la garde |
||
|
30e brigade antichar |
||
|
114e régiment antichar de la garde |
||
|
115e régiment antichar de la garde |
||
|
1669 régiment de chasse antichar |
||
|
1670 régiment de chasse antichar |
||
|
290e régiment de mortiers |
||
|
5e Division d'artillerie anti-aérienne |
||
|
162e régiment d'artillerie anti-aérienne de la garde |
||
|
258e régiment d'artillerie antiaérienne de la garde |
||
|
27e brigade de chars de la garde |
||
|
201e brigade de chars |
en service avec "Valentine" et "Matilda" |
|
|
148e régiment de chars distinct |
||
|
167e régiment de chars distinct |
||
|
262e régiment de chars distinct |
||
|
34e régiment de chars distinct |
||
|
38e régiment de chars distinct |
||
|
1430 régiment d'artillerie automoteur |
||
|
1529 régiment d'artillerie automoteur |
||
| 38e armée | ||
|
167e division d'infanterie |
n'a pas participé aux batailles |
|
|
180e division de fusiliers |
n'a pas participé aux batailles |
|
|
204e division de fusiliers |
Colonel KM Baidak |
|
|
232e division de fusiliers |
n'a pas participé aux batailles |
|
|
240e division d'infanterie |
n'a pas participé aux batailles |
|
|
340e division d'infanterie |
n'a pas participé aux batailles |
|
|
112e régiment d'artillerie de canon de la garde |
||
|
111e régiment d'artillerie de canon de la garde |
||
|
29e brigade antichar |
||
|
1658 régiment de chasse antichar |
||
|
222e régiment de chasseurs antichar |
||
|
483e Régiment Antichar |
||
|
1660 régiment de chasseurs antichar |
||
|
66e régiment de mortiers de la garde |
||
|
491e régiment de mortiers |
||
|
492 régiment de mortiers |
||
|
314e régiment de mortiers de la garde |
||
|
991e Régiment d'artillerie anti-aérienne |
||
|
1288 régiment d'artillerie anti-aérienne |
||
|
180e brigade blindée |
||
|
192e brigade de chars |
||
| 40 armée | ||
|
100e division de fusiliers |
n'a pas participé aux batailles |
|
|
161e division de fusiliers |
n'a pas participé aux batailles |
|
|
184e division de fusiliers |
Colonel S.I. Tsukarev |
|
|
206e division d'infanterie |
n'a pas participé aux batailles |
|
|
219e division de fusiliers |
Général V.P. Kotelnikov |
|
|
237e division d'infanterie |
n'a pas participé aux batailles |
|
|
309e division d'infanterie |
||
|
36e brigade d'artillerie à canon |
||
|
29e brigade d'obusiers et d'artillerie |
||
|
76e régiment d'artillerie de canon de la garde |
||
|
32e brigade antichar |
||
|
4e régiment de chasseurs antichar de la garde |
||
|
12e régiment antichar |
||
|
869e régiment de chasseurs antichar |
||
|
1244e régiment de chasse antichar |
||
|
1663 régiment de chasse antichar |
||
|
1664 régiment de chasse antichar |
||
|
493e régiment de mortiers |
||
|
494e régiment de mortiers |
||
|
9e régiment de mortiers de montagne |
||
|
10e régiment de mortiers de montagne |
||
|
3 régiments de la 9ème division d'artillerie anti-aérienne |
||
|
86e brigade de chars |
Colonel V. S. Agafonov |
|
|
59e régiment de chars distinct |
||
|
60e régiment de chars distinct |
||
| 69 armée | Général V.D. Kryuchenkin | |
|
107e division d'infanterie |
participation limitée |
|
|
111e division de fusiliers |
||
|
183e division de fusiliers |
Général A. S. Kostitsyn |
|
|
270e division d'infanterie |
||
|
305e division d'infanterie |
||
|
1661 régiment de chasse antichar |
||
|
496e régiment de mortiers |
||
|
225e régiment d'artillerie antiaérienne de la garde |
||
|
322 division d'artillerie anti-aérienne distincte |
||
| 1 armée de chars | Général M. E. Katukov | |
| 3 corps mécanisés | Général S.M. Krivoshein | fin juillet rebaptisé 8e corps mécanisé de la garde |
|
1 brigade mécanisée |
Colonel F.P. Lipatepkov |
|
|
3e brigade mécanisée |
Colonel A. Kh. |
|
|
10e brigade mécanisée |
Colonel Yakovlev |
|
|
49e brigade de chars |
Colonel Burda A.F. |
|
|
1 brigade de chars de la garde |
Colonel V. M. Gorelov |
|
|
58e bataillon de motocyclettes |
||
|
35ème Régiment Antichar |
||
|
254e régiment de mortiers |
||
|
405e division de mortiers de la garde séparée |
||
| 6e corps de chars | Général AL Getman | fin juillet rebaptisé 11e Gardes |
|
22e brigade de chars |
||
|
112e brigade de chars |
Colonel M.T. Leonov |
|
|
200 brigades de chars |
Colonel N.V. Morgunov |
|
|
6e brigade de fusiliers motorisés |
||
|
85e bataillon de motocyclettes |
||
|
538e Régiment Antichar |
||
|
270e régiment de mortiers |
||
|
1461 régiment d'artillerie automoteur |
||
| 31e corps de chars | Général D. Kh. Tchernienko | pas complètement formé au début du renflement de Koursk |
|
100e brigade de chars |
Colonel H. M. Ivanov |
|
|
237e brigade de chars |
Major N.P. Protsenko |
|
|
242e brigade de chars |
Lieutenant-colonel V.P. Sokolov |
|
|
Unités distinctes de subordination de première ligne |
||
|
35e corps de fusiliers de la garde |
Général S.G. Goryachev |
|
|
92e division de fusiliers de la garde |
||
|
93e division de fusiliers de la garde |
||
|
94e division de fusiliers de la garde |
||
| 2e corps de chars de la garde | 11 juillet subordonné à la 5e armée blindée de la garde | |
|
4e brigade de chars de la garde |
||
|
25e brigade de chars de la garde |
||
|
26e brigade de chars de la garde |
||
|
4e brigade de fusiliers motorisés de la garde |
||
|
1500 régiment de chasseurs antichar |
||
|
273e régiment de mortiers |
||
|
755e division distincte de chasseurs antichar |
||
|
1655 régiment d'artillerie anti-aérienne |
||
| 5e corps de chars de la garde | Général A.G. Kravchenko | |
|
20e brigade de chars de la garde |
||
|
21e brigade de chars de la garde |
||
|
22e brigade de chars de la garde |
||
|
6e brigade de fusiliers motorisés de la garde |
||
|
48e régiment de chars de la garde |
||
|
1499 régiment de chasseurs antichar |
||
|
454e régiment de mortiers |
||
|
1696 régiment d'artillerie anti-aérienne |
||
|
23e bataillon de reconnaissance |
||
|
80e bataillon de motocyclettes |
||
|
1528 régiment d'artillerie d'obusiers |
||
|
1076 régiment de chasseurs antichar |
||
|
1689 régiment de chasse antichar |
||
|
36e régiment de mortiers de la garde |
||
|
80e régiment de mortiers de la garde |
||
|
97e régiment de mortiers de la garde |
||
|
309e régiment de mortiers de la garde |
||
|
12e brigade de mortiers |
||
|
315e régiment de mortiers de la garde |
||
|
22 divisions d'artillerie anti-aérienne de gardes distinctes |
||
|
203e régiment distinct de chars lourds |
en service avec les KV-2 et KV-1. Peu de participation aux batailles |
|
|
Donné pendant les batailles |
||
| 10e corps de chars | Général V.G. Burkov | transféré fin 7.07 de la 5e armée de gardes du front des steppes |
|
178e brigade de chars |
||
|
183e brigade de chars |
||
|
186e brigade de chars |
||
|
11e brigade de fusiliers motorisés |
||
| 2e corps de chars | Général A.F. Popov | transféré à la fin du 7.07 du Front Sud-Ouest |
|
26e brigade de chars |
||
|
99e brigade de chars |
||
|
169e brigade de chars |
||
|
58e brigade de fusiliers motorisés |
||
|
15e régiment de chars distinct |
||
|
12 département. bataillon blindé |
||
|
1698 régiment d'artillerie anti-aérienne |
||
|
1502 régiment de chasse antichar |
||
|
269e régiment de mortiers |
||
|
307 gardes |
||
| division de mortier | 5e armée de la garde | Général A. S. Zhadov |
|
10 juillet subordonné au Front de Voronej du Front des Steppes |
42 gardes division de fusiliers |
|
|
Général F.A. Bobrov |
||
| 57e régiment de chars | 32e corps de gardes | |
|
Général A. I. Rodimtsev |
13e division de fusiliers de la garde |
|
|
Général G.V. Baklanov |
||
|
6e gardes VDD |
66 gardes division de fusiliers |
|
| Général A.V. Yakshin | 33 gardes corps de fusiliers | |
|
Général I. I. Popov |
9e division aéroportée de la garde |
|
|
Colonel A.M. Sazonov |
95e division de fusiliers de la garde |
|
|
Colonel A.N.Lyakhov |
97e division de fusiliers de la garde |
|
| Colonel II Antsiferov | 5e armée de chars de la garde | |
|
Général Rotmistrov P.A. |
||
|
10e brigade antichar |
1549 régiment d'artillerie automoteur |
|
|
SU-76 Aucune donnée sur la participation aux batailles |
||
|
26e division de défense aérienne |
||
|
1 régiment de motos |
53e régiment de chars de la garde |
|
|
Major N.A. Kurnossov |
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| 678e régiment d'artillerie de la garde | 18e corps de chars distinct | |
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Général B.S. Bakharov |
170e brigade blindée |
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Lieutenant-colonel A. I. Kazakov |
181e brigade de chars |
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Lieutenant-colonel V.A. Puzyrev |
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|
36e régiment de chars lourds de la garde |
32e brigade de fusiliers motorisés |
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Lieutenant-colonel I. A. Stukov |
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|
292e régiment de mortiers |
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|
1000ème régiment antichar |
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1694 Régiment de défense aérienne |
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| 736e bataillon antichar | 29e corps de chars | |
|
Général I. F. Kirichenko |
25e brigade de chars |
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Colonel N.K. Volodi |
31e brigade blindée |
|
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Colonel S.F. Moiseev |
32e brigade de chars |
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Colonel A. A. Lineva |
53e brigade de fusiliers motorisés |
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Lieutenant-colonel N.P. Lipichev |
1446 régiment d'artillerie automoteur |
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capitaine M. S. Lunev |
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108ème régiment antichar |
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|
271e régiment de mortiers |
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|
747e bataillon antichar |
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| 75e bataillon de motocyclettes | 5e corps mécanisé de la garde | |
| Major-général B.M. Skvortsov |
10e brigade de fusiliers motorisés de la garde |
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Colonel I.B. Mikhaïlov |
11e brigade de fusiliers motorisés de la garde |
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|
Colonel Grishchenko |
12e brigade de fusiliers motorisés de la garde |
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Colonel G. Ya. Borisenko |
24e brigade de chars de la garde |
|
|
Lieutenant-colonel Karpov V.P. |
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|
409e régiment de mortiers de la garde |
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104e régiment antichar de la garde |
||
1447 régiment d'artillerie automoteur
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[email protégé] Régiment de mortiers de la 55e armée 09.12.1942 dans le cadre de l'armée active avec 8.01.1943 Par de l'année. 534e régiment de mortiers de l'armée 08.01.1943 dans le cadre de l'armée active avec 5.01.1945 formé en rebaptisant le régiment de mortiers de la 55e armée, dans le cadre de l'armée active avec
- de l'année. Opération offensive Krasnoborsk-Smerdynsk (10-27 février et 19 mars - 2 avril 1943).
Participation à la Grande Guerre Patriotique de 1944
- 14 janvier - 1er mars 1944 - Opération offensive stratégique Léningrad-Novgorod, où la 42e armée a avancé de la région des hauteurs de Pulkovo jusqu'à Krasnoe Selo, Ropsha. Surmontant la résistance tenace de l'ennemi, ses formations et unités ont pris d'assaut le 19 janvier un fort centre de défense - la ville de Krasnoe Selo et à la fin de la journée, elles se sont unies au sud-est de Ropsha avec les troupes de la 2e armée de choc, complétant ainsi l'encerclement des restes. du groupe vaincu des troupes allemandes dans la zone située au nord de Ropsha et de Krasnoïe Selo.
- 16 janvier 1944 - opération de combat du 534e régiment d'armée, sous le commandement du major Tevzadze D.I., dans la région de Verkhnee-Koirovo. L'ancien village de Verkhnee-Koyrovo a cessé d'exister après la guerre.
- 20 janvier 1944 - après la liquidation du groupe de troupes ennemies encerclées, la 42e armée poursuit l'offensive et libère les villes d'Uritsk (20 janvier), Pouchkine (ville) et Pavlovsk (Saint-Pétersbourg) (24 janvier), Gatchina (26 janvier).
- 28 janvier 1944 - opération du 534th Airborne Regiment dans le secteur de la gare d'Ilkino.
- 4 février 1944 - la ville de Gdov est libérée par les troupes de la 42e armée avec le soutien actif des partisans.
- 16 février 1944 - la nouvelle avancée des troupes soviétiques vers le sud commence.
- 16 février - 1er mars 1944 les troupes du front de Léningrad avec les forces de l'aile droite ont élargi la tête de pont sur le fleuve. Narva et les troupes de l'aile gauche ont continué à poursuivre l'ennemi dans les directions de Pskov et d'Ostrovsky. Les principales forces du 2e front baltique poursuivent les formations en retraite de la 16e armée allemande.
- À la fin de février 1944, les troupes de la 42e armée atteignirent le périmètre extérieur de la zone fortifiée ennemie de Pskov-Ostrovsky par le nord et au sud jusqu'à la ligne Novorzhev, Pustoshka, où, après avoir rencontré une résistance obstinée, elles poursuivirent leur route. la défensive le 12 mars.
- Le 1er mars 1944, les troupes du Front de Léningrad et du 2e Front Baltique, sur ordre du quartier général du Haut Commandement suprême, passent sur la défensive.
- Avril 1944 - le 534e régiment de mortiers, sous le commandement du major Shabliy F.E., mène des batailles prolongées au sein de la 54e armée dans la direction de Pskov près du village de Staroselye, Kaskovskaya volost.
- Le 23 avril 1944, l'ordre fut reçu de se redéployer dans la région de Léningrad et de réaffecter le général Gusev et le commandant d'artillerie Mikhalkin au commandement de la 21e armée.
- 10 juin - 20 juin 1944 - Opération offensive de Vyborg" dans Opération offensive Vyborg-Petrozavodsk(10 juin - 9 août 1944).
- 10 juin 1944 - percée des défenses ennemies dans la région de Sestroretsk-Beloostrov et accès au village finlandais de Kusseina.
- 11 juin 1944 - prise de la ville de Terijoki. Reconnaissance dans la région de Raivolo.
- 12-13 juin 1944 - assaut prolongé contre la forteresse de Kuteselka.
- 15 juin 1944 - percée et avancée vers la colonie d'Inonkyulya - 534 aminp soutiennent l'offensive du 173e régiment d'infanterie de la 90e division d'infanterie.
- 18 juin 1944 - percée derrière les lignes ennemies à travers Koivisto par un groupe d'attaque composé du 176e régiment d'infanterie, de la 46e division d'infanterie (3e formation) sous le commandement du major Semenov, du 1238e régiment de canons automoteurs SU-152 du major Kotov et 534 du 2ème Aminp du Major Chablius, pour frapper par l'arrière le long de la ligne de défense finlandaise - la célèbre ligne Mannerheim au sud du village de Kuppaniscotti. Monument aux soldats de la 46e division de la région de Vsevolozhsk, ville. nommé d'après Morozov.
- 20 juin 1944 - prise de la ville de Vyborg.
- 26 juin 1944 - combats à l'extérieur de Vyborg dans la zone de hauteur 41,6.
- 2 juillet 1944 - Par arrêté du quartier général du commandement suprême n° 0173, les formations et unités qui se sont distinguées dans les combats lors de la percée de la ligne Mannerheim et de la prise de la ville et de la forteresse de Vyborg ont reçu le nom de Vyborg, notamment : 534e Vyborg Aminp (commandant - Major Shabliy, Fedor Eliseevich ).
- 4 juillet 1944 - attaque d'artillerie lourde finlandaise contre le quartier général du 534e régiment. De grosses pertes.
- 17 juillet 1944 - tentative des Finlandais de percer les défenses du régiment dans le défilé des lacs Ihantala-järvi et Salo-järvi.
- 5 septembre 1944 - à 10h00 cessation des hostilités avec la Finlande.
- 2 janvier 1945 - ordre de redéploiement à Jitomir.
Participation à la Grande Guerre Patriotique de 1945
Le 534e Régiment de mortiers de la Garde Vyborg a été formé le 13 janvier 1945 par la transformation du 534e Régiment d'armée.. Faisant partie de l'armée active avec 20.02.1945 dans le cadre de l'armée active avec 11.05.1945 formé en rebaptisant le régiment de mortiers de la 55e armée, dans le cadre de l'armée active avec
- 15 janvier 1945 - arrivée aux camps d'artillerie de Jytomyr, où se trouve le 534e régiment de mortiers de la Garde Vyborg Mortiers de 120 mm est entré avec le 205e régiment de canons (à partir du 21.2.45) et le 211e régiment d'obusiers de la Garde de Riga (transformé du 385e GAP de Riga le 20.1.45) dans la 57e brigade d'artillerie divisionnaire, subordonnée au commandement du général Vindushev. La 57e brigade divisionnaire d'artillerie disposait de 20 canons de 76 mm, 20 obusiers de 122 mm et 20 mortiers de 120 mm. Le commandant de brigade était à la fois commandant adjoint et commandant de l'artillerie de la division. Une division antichar distincte était armée de canons antichar ZIS-2 de 57 mm. La formation de l'artillerie de la division a eu lieu sur la base des ordres pertinents du commandant de l'artillerie de l'Armée rouge, élaborant l'ordre d'état-major du VKG du 14 décembre 1944 n° 0047.
- 6 février 1945 - nous partons pour le front en direction du sud.
- à partir du 21 février 1945, 106e gardes. SD, qui comprenait le 534e garde. Ministère de l'Intérieur, dans l'Armée d'Active.
- 13 mars 1945 - Planification offensive et reconnaissance en vigueur dans la zone de la colonie de Cekbereny, au nord-ouest de Budapest. Le 534e Régiment, qui fait partie de la 57e Brigade d'artillerie, soutient le 351e Régiment de fusiliers de la 106e Division de fusiliers de la Garde sous le commandement du colonel Fedotov. Le 534e Régiment a marché avec le 351e Régiment du début des hostilités jusqu'à la fin de la guerre. Ses activités de combat sont indissociables des activités de combat du 351e Régiment. Et donc l'histoire des opérations militaires de la 351e Garde. régiment de fusiliers - il y a une histoire du 534e gardes. régiment de mortiers.
- 17 mars 1945 - prise de la ville de Mór.
- 20 mars 1945 - prise des colonies de Tarlan, Nadveleg. Avancement en direction du village d’Aka.
- 23 mars 1945 - redéploiement dans la région Durard. Avancez en direction du village de Bakonysintlaszlo.
- 26 mars 1945 - contre-bataille avec un groupe SS dans un véhicule blindé de transport de troupes.
- 29 mars 1945 - traversée du canal de Rab et avance en direction de Vamos, Chalad, Cher.
- 30 mars 1945 - un raid de reconnaissance nocturne sur un véhicule blindé de transport de troupes derrière les lignes ennemies près d'un village hongrois portant le nom russe Ivan. Au cours de la journée, il y a eu une bataille intense entre le 351e régiment de fusiliers de la 106e division de fusiliers de la Garde et avec l'appui-feu du 534e régiment de mortiers et une division du 211e régiment d'obusiers.
- 4 avril 1945 - prise de la ville de Baden (Basse-Autriche). Sortie vers Sant'Elena.
- 5 et 6 avril 1945 - bataille active pour le village d'Alland.
- 8 avril 1945 - prise de la ville de Clausen-Leopoldsdorf.
- 9 avril 1945 - avance vers la zone de la colonie d'Altlengbach.
- 15 avril 1945 - avance rapide dans la région de Reit (Alpbachtal), Pira, Statersdorf. Combattez dans la région de St. Pölten.
- 18 avril 1945 - bataille dans une briqueterie à l'ouest de St. Pölten.
- 25 avril - 4 mai 1945 - vacances à Vienne. Participation au défilé du 1er mai.
- 5 mai 1945 - reconnaissance dans la région d'Eibentheil.
- 8 mai 1945 - poursuite de l'ennemi en retraite en direction : Eichenbrun, Storisdorf, Haugsdorf, Rötz, Drosendorf, Raabe, Hardeck sur Thaya. En cours de route, des groupes ennemis individuels se sont rendus.
- 9 mai 1945 - bataille nocturne avec une barrière de chars ennemie. Pertes : 2 véhicules, 2 canons de 76 mm et plusieurs personnes tuées. A l'aube, à l'approche de la ville de Gardeck, ils rencontrèrent la résistance des groupes du Volkssturm. Le soir, nous sommes arrivés dans la ville de Slavonice sur le territoire de la Tchécoslovaquie. La victoire de la Grande Guerre Patriotique y a été célébrée !
- 10 mai 1945 - le régiment campait près d'une forêt à 10 km de Žinhnoj Hradec.
- 20 mai 1945 - revue générale des unités. Dirigé par : le commandant du corps, le général Utvenko, et le commandant de l'artillerie du corps, le colonel Zubchaninov, le commandant de la 106e division de fusiliers de la garde, le général Vindushev, et d'autres.
- 4 juin 1945 - redéploiement des unités du 38th Guards Rifle Corps depuis la Tchécoslovaquie.
- 7 juillet 1945 - installé dans un camp sur l'île de Segetsen Miklos sur le Danube, à l'est de Budapest.
- 20 janvier 1946 – Le 534ème Régiment quitte les camps et charge à la gare. Budapest-marchandise.
- 16 février 1946 - Le 534e régiment de mortiers de la garde Vyborg arrive dans la ville de Teykovo, dans la région d'Ivanovo.
- 8 juin 1946 – Le 534e Régiment est redéployé vers les camps de Toula Tesnitskie.
- Au printemps 1946, des unités de la 106e division de fusiliers de la Garde, rebaptisée 106e division aéroportée de la Garde, se sont redéployées en force dans leur pays d'origine à Tula et ont commencé l'entraînement au combat prévu dans le cadre du programme des forces aéroportées.
Nom et prénom
- Régiment de mortiers (MinP) de la 55e Armée (9.12.42-8.1.43.)
- 534e Régiment de mortiers de l'Armée (AMINP) (8.1.43.-5.1.45.)
- 534e régiment de mortiers de l'armée de Vyborg(à partir du 21.06.44.)
- 534e régiment de mortiers de la garde Vyborg (20.02.45.-11.05.45.)
Commandants
- Tevzadze, David Iosifovich, né en 1905, géorgien, dans l'Armée rouge depuis 1927, membre du Parti communiste de toute l'Union (bolcheviks) depuis 1931, major, décoré de l'Ordre du Drapeau rouge, médaille « Pour la défense de Leningrad. » Membre de la société finlandaise 1939-1940.
- Shabliy, Fedor Eliseevich, né en 1918, ukrainien, lieu de naissance : RSS d'Ukraine, région de Dnepropetrovsk, Krivoï Rog, dans l'Armée rouge depuis 1936 (volontaire), membre du PCUS (b) depuis 1939, art. lieutenant (1941), capitaine (1942), major (1943), gardes. lieutenant-colonel (1945), décoré de l'Ordre de l'Étoile rouge (1942), Guerre patriotique 2e degré (1943), Guerre patriotique 1er degré (1943), Bannière rouge (1944), Alexandre Nevski (1944), Bannière rouge (1945) , Guerre Patriotique 1er degré (1985), médailles « Pour la défense de Léningrad », « Pour la défense de Stalingrad », « Pour la prise de Vienne ».
Subordination
| date | Front (quartier) | Armée | Cadre | Division | Brigade | Remarques |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 12/09/1942 | Front de Léningrad | 55e armée | - | - | - | - |
| 01/08/1943 | Front de Léningrad | 55e armée | - | - | - | - |
| 01/02/1943 | Front de Léningrad | 55e armée | - | - | - | - |
| 01/03/1943 | Front de Léningrad | 55e armée | - | - | - | - |
| 01/04/1943 | Front de Léningrad | 55e armée | - | - | - | - |
| 01/05/1943 | Front de Léningrad | 42e armée | - | - | - | - |
| 01/06/1943 | Front de Léningrad | 42e armée | - | - | - | - |
| 01/07/1943 | Front de Léningrad | 42e armée | - | - | - | - |
| 01/08/1943 | Front de Léningrad | 42e armée | - | - | - | - |
| 01/09/1943 | Front de Léningrad | 42e armée | - | - | - | - |
| 01.10.1943 | Front de Léningrad | 42e armée | - | - | - | - |
| 01.11.1943 | Front de Léningrad | 42e armée | - | - | - | - |
| 12/01/1943 | Front de Léningrad | 42e armée | - | - | - | - |
| 01/01/1944 | Front de Léningrad | 42e armée | - | - | - | - |
| 01/02/1944 | Front de Léningrad | 42e armée | - | - | - | - |
| 01/03/1944 | Front de Léningrad | 42e armée | - | - | - | - |
| 01/04/1944 | Front de Léningrad | 54e armée | - | - | - | - |
| 01/05/1944 | Front de Léningrad | - subordination frontale | - | - | - | - |
| 01/06/1944 | Front de Léningrad | 21e armée | - | - | - | - |
| 01/07/1944 | Front de Léningrad | 21e armée | - | - | - | - |
| 01/08/1944 | Front de Léningrad | 21e armée | - | - | - | - |
| 01/09/1944 | Front de Léningrad | 21e armée | - | - | - | - |
| 01.10.1944 | Front de Léningrad | 59e armée | - | - | - | - |
| 01.11.1944 | Front de Léningrad | 23e armée | - | - | - | - |
| 12/01/1944 | Front de Léningrad | - subordination frontale | - | - | - | - |
| 01/01/1945 | Front de Léningrad | 23e armée | - | - | - | - |
| 13/01/1945 | Tarifs de réserve du Haut Commandement | 9e armée de la garde | 38e corps de fusiliers de la garde | 106e division de fusiliers de la garde | 57e gardes div. art. Brigade | -Camps d'artillerie de Jytomyr |
| 01/02/1945 | Tarifs de réserve du Haut Commandement | 9e armée de la garde | 38e corps de fusiliers de la garde | 106e division de fusiliers de la garde | 57e gardes div. art. Brigade | - |
| 21/02/1945 | 2e front ukrainien | 9e armée de la garde | 38e corps de fusiliers de la garde | 106e division de fusiliers de la garde | 57e gardes div. art. Brigade | - |
| 01/04/1945 | 3e front ukrainien | 9e armée de la garde | 38e corps de fusiliers de la garde | 106e division de fusiliers de la garde | 57e gardes div. art. Brigade | - |
| 01/05/1945 | 3e front ukrainien | 9e armée de la garde | 38e corps de fusiliers de la garde | 106e division de fusiliers de la garde | 57e gardes div. art. Brigade | - |
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Liens
- Feuilles de récompenses pour les soldats du 534e régiment de mortiers de la garde : Site Web du ministère de la Défense de la Fédération de Russie. Banque électronique panrusse de documents « Exploit du peuple dans la Grande Guerre patriotique de 1941-1945 ».
Extrait caractérisant le 534th Mortar Regiment
- Suis-je debout ? après tout, dit-elle ; mais elle ne pouvait s’empêcher de se mettre sur la pointe des pieds. - Alors c'est ce que je suis ! Je n'épouserai jamais personne, mais je deviendrai danseuse. Mais ne le dites à personne.Rostov a ri si fort et si joyeusement que Denisov est devenu envieux de sa chambre et Natasha n'a pas pu s'empêcher de rire avec lui. - Non, c'est bien, n'est-ce pas ? – répétait-elle.
- D'accord, tu ne veux plus épouser Boris ?
Natasha rougit. - Je ne veux épouser personne. Je lui dirai la même chose quand je le verrai.
- C'est comme ça! - a déclaré Rostov.
"Eh bien, oui, ce n'est rien", a continué Natasha à bavarder. – Pourquoi Denisov est-il bon ? - elle a demandé.
- Bien.
- Eh bien, au revoir, habille-toi. Est-ce qu'il fait peur, Denisov ?
- Pourquoi est-ce effrayant ? – a demandé Nicolas. - Non. Vaska est gentille.
- Vous l'appelez Vaska - étrange. Et qu'il est très bon ?
- Très bien.
- Eh bien, viens vite boire du thé. Ensemble.
Et Natasha s'est mise sur la pointe des pieds et est sortie de la pièce comme le font les danseurs, mais en souriant comme seules les filles heureuses de 15 ans sourient. Ayant rencontré Sonya dans le salon, Rostov rougit. Il ne savait pas comment s'y prendre avec elle. Hier, ils se sont embrassés dès la première minute de joie de leur rendez-vous, mais aujourd'hui ils ont senti que c'était impossible de faire cela ; il sentait que tout le monde, sa mère et ses sœurs, le regardait d'un air interrogateur et s'attendait à ce qu'il voie comment il se comporterait avec elle. Il lui a embrassé la main et l'a appelée toi - Sonya. Mais leurs regards, s'étant croisés, se dirent « tu » et s'embrassèrent tendrement. Avec son regard, elle lui a demandé pardon d’avoir osé lui rappeler sa promesse à l’ambassade de Natasha et l’a remercié pour son amour. Avec son regard, il la remercia pour l'offre de liberté et lui dit que d'une manière ou d'une autre, il ne cesserait jamais de l'aimer, car il était impossible de ne pas l'aimer.
"Comme c'est étrange", a déclaré Vera, choisissant un moment de silence général, "que Sonya et Nikolenka se soient maintenant rencontrées comme des étrangères." – La remarque de Vera était juste, comme tous ses commentaires ; mais comme la plupart de ses remarques, tout le monde se sentait mal à l'aise, et non seulement Sonya, Nikolai et Natasha, mais aussi la vieille comtesse, qui avait peur de l'amour de ce fils pour Sonya, qui pourrait le priver d'une fête brillante, rougit aussi comme une fille . Denisov, à la surprise de Rostov, dans un nouvel uniforme pommade et parfumé, apparut dans le salon aussi élégant qu'au combat et aussi aimable avec les dames et les messieurs que Rostov ne s'était jamais attendu à le voir.
De retour de l'armée à Moscou, Nikolai Rostov a été accepté par sa famille comme le meilleur fils, héros et bien-aimé Nikolushka ; parents - en tant que jeune homme doux, agréable et respectueux ; connaissances - comme un beau lieutenant de hussard, un danseur habile et l'un des meilleurs palefreniers de Moscou.
Les Rostov connaissaient tout Moscou ; cette année, le vieux comte avait assez d'argent, car tous ses domaines avaient été réhypothéqués, et donc Nikolushka, ayant son propre trotteur et les leggings les plus à la mode, spéciaux que personne d'autre à Moscou n'avait, et les bottes les plus à la mode, avec les chaussettes les plus pointues et les petits éperons argentés, se sont bien amusés. Rostov, en rentrant chez lui, éprouva un sentiment agréable après un certain temps d'adaptation à ses anciennes conditions de vie. Il lui semblait qu'il avait beaucoup mûri et grandi. Désespéré d'avoir échoué à un examen selon la loi de Dieu, d'avoir emprunté de l'argent à Gavrila pour un chauffeur de taxi, de baisers secrets avec Sonya, il se souvenait de tout cela comme d'une enfantillage dont il était désormais incommensurablement loin. Il est maintenant lieutenant de hussard dans un mentic d'argent, avec un soldat George, préparant son trotteur à courir, en compagnie de chasseurs célèbres, âgés et respectables. Il connaît une dame sur le boulevard qu'il va voir le soir. Il dirigea une mazurka au bal des Arkharov, parla de la guerre avec le maréchal Kamenski, visita un club anglais et entretenait des relations amicales avec un colonel de quarante ans que Denisov lui présenta.
Sa passion pour le souverain s'affaiblit quelque peu à Moscou, puisque pendant ce temps il ne le vit pas. Mais il parlait souvent du souverain, de son amour pour lui, faisant sentir qu'il ne disait pas encore tout, qu'il y avait autre chose dans ses sentiments pour le souverain qui ne pouvait être compris de tous ; et il partageait de tout mon cœur le sentiment général d'adoration à Moscou à cette époque pour l'empereur Alexandre Pavlovitch, qui à cette époque recevait à Moscou le nom d'un ange en chair et en os.
Lors de ce court séjour de Rostov à Moscou, avant de partir pour l'armée, il ne se rapproche pas, mais au contraire, rompt avec Sonya. Elle était très jolie, douce et visiblement passionnément amoureuse de lui ; mais il était à cette époque de jeunesse où il semble y avoir tellement de choses à faire qu'il n'y a pas de temps pour le faire, et le jeune homme a peur de s'impliquer - il valorise sa liberté, dont il a besoin pour beaucoup autres choses. Lorsqu'il pensait à Sonya lors de ce nouveau séjour à Moscou, il se disait : Eh ! il y en aura bien d’autres, bien d’autres encore, quelque part, encore inconnus de moi. J’aurai encore le temps de faire l’amour quand je veux, mais maintenant je n’ai plus le temps. De plus, il lui semblait qu'il y avait quelque chose d'humiliant pour son courage dans la société féminine. Il allait aux bals et aux sororités, prétendant qu'il le faisait contre son gré. Courir, aller dans un club anglais, faire la fête avec Denissov, y aller, c'était une autre affaire : c'était digne d'un bon hussard.
Début mars, le vieux comte Ilya Andreich Rostov s'occupait d'organiser un dîner dans un club anglais pour recevoir le prince Bagration.
Le comte en robe de chambre se promenait dans la salle, donnant des ordres à la gouvernante du club et au célèbre Theoktistus, le cuisinier principal du club anglais, concernant les asperges, les concombres frais, les fraises, le veau et le poisson pour le dîner du prince Bagration. Le Comte, dès la fondation du club, en était membre et contremaître. Le club lui a confié l'organisation d'une célébration pour Bagration, car rarement quelqu'un savait comment organiser une fête de manière aussi grandiose et hospitalière, d'autant plus que rarement quelqu'un savait comment et voulait apporter son argent si nécessaire pour l'organiser. la fête. Le cuisinier et la gouvernante du club écoutaient les ordres du comte avec des visages joyeux, car ils savaient que sous personne d'autre ils ne pourraient mieux profiter d'un dîner qui coûtait plusieurs milliers de dollars.
- Alors regarde, mets des coquilles Saint-Jacques, des coquilles Saint-Jacques dans le gâteau, tu sais ! "Alors il y en a trois froids ?..." demanda le cuisinier. Le comte réfléchit. "Pas moins, trois... fois de mayonnaise", dit-il en pliant le doigt...
- Alors, tu vas nous ordonner de prendre de gros stérlets ? - a demandé la gouvernante. - Que pouvons-nous faire, prenez-le s'ils ne cèdent pas. Oui, mon père, j'ai oublié. Après tout, nous avons besoin d’une autre entrée pour la table. Ah, mes pères ! « Il lui a attrapé la tête. - Qui m'apportera des fleurs ?
- Mitinka ! Et Mitinka ! « Partez, Mitinka, vers la région de Moscou », se tourna-t-il vers le directeur venu à son appel, « sautez vers la région de Moscou et dites maintenant à Maximka d'habiller la corvée pour le jardinier. Dites-leur de traîner toutes les serres ici et de les envelopper de feutre. Oui, pour que j'aie deux cents pots ici d'ici vendredi.
Ayant donné des ordres de plus en plus différents, il sortit se reposer avec la comtesse, mais se souvint d'autre chose dont il avait besoin, revint lui-même, ramena le cuisinier et la gouvernante, et recommença à donner des ordres. Une démarche légère et masculine et le cliquetis des éperons se firent entendre à la porte, et un beau, vermeil, avec une moustache noire, apparemment reposé et bien soigné de sa vie tranquille à Moscou, entra dans le jeune comte.
-Oh, mon frère ! J'ai la tête qui tourne», dit le vieil homme, comme honteux, en souriant devant son fils. - Au moins tu pourrais aider ! Nous avons besoin de plus d'auteurs-compositeurs. J'ai de la musique, mais dois-je inviter les gitans ? Vos frères militaires adorent ça.
"Vraiment, papa, je pense que le prince Bagration, lorsqu'il se préparait pour la bataille de Shengraben, s'en souciait moins que toi maintenant", dit le fils en souriant.
Le vieux comte feignit d'être en colère. - Oui, tu l'interprètes, tu l'essayes !
Et le comte se tourna vers le cuisinier qui, avec un visage intelligent et respectable, regardait père et fils avec observation et affection.
- Comment sont les jeunes, hein, Feoktist ? - dit-il, - les vieux se moquent de notre frère.
"Eh bien, Votre Excellence, ils veulent juste bien manger, mais comment tout assembler et servir n'est pas leur affaire."
"Eh bien, eh bien", cria le comte, et attrapant joyeusement son fils à deux mains, il cria : "Alors ça y est, je t'ai eu !" Maintenant, prends la paire de traîneaux et va chez Bezukhov, et dis-lui que le comte, dit-on, Ilya Andreich a envoyé te demander des fraises et des ananas frais. Vous ne l'obtiendrez de personne d'autre. Ce n'est pas là, alors tu entres, tu le dis aux princesses, et de là, c'est quoi, va à Razgulay - Ipatka le cocher le sait - trouve-y Ilyushka la gitane, c'est avec ça que le comte Orlov dansait, souviens-toi, dans un cosaque blanc, et ramène-le-moi ici.
- Et l'amener ici avec les gitans ? – Nikolai a demandé en riant. - Tant pis!…
A ce moment-là, d'un pas silencieux, avec un regard à la fois professionnel, préoccupé et en même temps chrétiennement doux qui ne la quittait jamais, Anna Mikhaïlovna entra dans la pièce. Malgré le fait que chaque jour Anna Mikhailovna trouvait le comte en robe de chambre, à chaque fois il était gêné devant elle et lui demandait de s'excuser pour son costume.
"Rien, comte, ma chère", dit-elle en fermant docilement les yeux. "Et j'irai à Bezukhoy", dit-elle. "Pierre est arrivé, et maintenant nous allons tout récupérer, comte, dans ses serres." J'avais besoin de le voir. Il m'a envoyé une lettre de Boris. Dieu merci, Borya est maintenant au siège.
Le comte était heureux qu'Anna Mikhaïlovna ait suivi une partie de ses instructions et lui a ordonné de mettre en gage une petite voiture.
– Tu dis à Bezukhov de venir. Je vais l'écrire. Comment vont lui et sa femme ? - Il a demandé.
Anna Mikhaïlovna roula des yeux et une profonde tristesse s'exprima sur son visage...
« Ah, mon ami, il est très malheureux », dit-elle. « Si ce que nous avons entendu est vrai, c’est terrible. » Et y avons-nous pensé quand nous nous réjouissions tant de son bonheur ! Et une âme si haute et si céleste, ce jeune Bezukhov ! Oui, je le plains du fond du cœur et j'essaierai de lui apporter la consolation qui dépendra de moi.
- Qu'est-ce que c'est? - a demandé à Rostov, l'aîné et le plus jeune.
Anna Mikhaïlovna inspira profondément : « Dolokhov, le fils de Marie Ivanovna, murmura-t-elle mystérieusement, on dit qu'il l'a complètement compromise. » Il l'a emmené dehors, l'a invité chez lui à Saint-Pétersbourg, et ainsi... Elle est venue ici, et cet homme impétueux l'a suivie", a déclaré Anna Mikhaïlovna, voulant exprimer sa sympathie pour Pierre, mais avec des intonations involontaires. et un demi-sourire, montrant de la sympathie pour l'homme décapité, comme elle l'appelait Dolokhov. "On dit que Pierre lui-même est complètement submergé par son chagrin."
"Eh bien, dis-lui quand même de venir au club et tout s'éclaircira." La fête sera une montagne.
Le lendemain, 3 mars, à 14 heures, 250 membres du Club anglais et 50 invités attendaient pour le dîner leur cher hôte et héros de la campagne d'Autriche, le prince Bagration. Au début, en apprenant la nouvelle de la bataille d’Austerlitz, Moscou resta perplexe. À cette époque, les Russes étaient tellement habitués aux victoires que, ayant reçu la nouvelle de la défaite, certains n'y croyaient tout simplement pas, tandis que d'autres cherchaient des explications à un événement aussi étrange pour des raisons inhabituelles. Au Club anglais, où se rassemblait tout ce qui était noble, avec des informations correctes et du poids, en décembre, lorsque les nouvelles commençaient à arriver, rien n'était dit sur la guerre et sur la dernière bataille, comme si tout le monde était d'accord pour garder le silence à ce sujet. Les personnes qui ont orienté les conversations, telles que : le comte Rostopchin, le prince Youri Vladimirovitch Dolgoruky, Valuev, gr. Markov, livre. Vyazemsky, ne s'est pas présenté au club, mais s'est réuni chez lui, dans ses cercles intimes, et les Moscovites, parlant à travers les voix d'autres personnes (à laquelle appartenait Ilya Andreich Rostov), ont été laissés pendant une courte période sans jugement définitif sur la cause. de guerre et sans dirigeants. Les Moscovites ont estimé que quelque chose n'allait pas et qu'il était difficile de discuter de cette mauvaise nouvelle et qu'il valait donc mieux garder le silence. Mais au bout d'un moment, alors que le jury quittait la salle de délibération, les as qui donnaient leur avis dans le club apparurent, et tout commença à parler clairement et définitivement. Les raisons ont été trouvées pour l'événement incroyable, inouï et impossible de la défaite des Russes, et tout est devenu clair, et dans tous les coins de Moscou, ils ont commencé à dire la même chose. Ces raisons étaient : la trahison des Autrichiens, le manque de nourriture de l'armée, la trahison du Polonais Pshebyshevsky et du Français Langeron, l'incapacité de Kutuzov, et (disaient-ils en catimini) la jeunesse et l'inexpérience du souverain, qui s'est confié à des personnes mauvaises et insignifiantes. Mais les troupes, les troupes russes, tout le monde le disait, étaient extraordinaires et accomplissaient des miracles de courage. Les soldats, les officiers, les généraux étaient des héros. Mais le héros des héros fut le prince Bagration, célèbre pour son affaire de Shengraben et sa retraite d'Austerlitz, où il mena seul sa colonne sans être dérangé et passa toute la journée à repousser un ennemi deux fois plus fort. Le fait que Bagration ait été choisi comme héros à Moscou a également été facilité par le fait qu'il n'avait aucune relation à Moscou et qu'il était un étranger. En sa personne, l'honneur a été rendu à un soldat russe combattant, simple, sans relations ni intrigues, encore associé aux souvenirs de la campagne d'Italie sous le nom de Souvorov. De plus, en lui accordant de tels honneurs, le mécontentement et la désapprobation de Koutouzov ont été mieux montrés.
"S'il n'y avait pas de Bagration, il faudrait l"inventer, [il faudrait l'inventer.] - dit le farceur Shinshin, parodiant les paroles de Voltaire. Personne n'a parlé de Koutouzov, et certains l'ont grondé à voix basse, l'appelant lui une plaque tournante de cour et un vieux satyre. Dans tout Moscou répétaient les paroles du prince Dolgorukov : « sculpte, sculpte et reste », qui se consola dans notre défaite par le souvenir des victoires précédentes, et les paroles de Rostopchin furent répétées sur le fait que les Français les soldats doivent être enthousiastes à l'idée de se battre avec des phrases pompeuses, il faut raisonner logiquement avec les Allemands, les convaincre qu'il est plus dangereux de courir que d'avancer ; mais les soldats russes ont juste besoin d'être retenus et de se taire de tous les côtés ! De plus en plus d'histoires ont été entendues sur les exemples individuels de courage montrés par nos soldats et officiers à Austerlitz. Il a sauvé la bannière, il a tué 5 Français, il a chargé à lui seul 5 canons. On a également dit de Berg, qui ne le connaissait pas. lui, blessé à la main droite, prit l'épée dans sa gauche et s'avança, ils ne dirent rien de Bolkonsky, et seuls ceux qui le connaissaient de près regrettèrent sa mort prématurée, laissant une femme enceinte et un père excentrique.
Le 3 mars, dans toutes les salles de l'English Club, il y avait un gémissement de voix parlantes et, comme des abeilles en migration printanière, se précipitaient d'avant en arrière, s'asseyaient, se levaient, convergeaient et se dispersaient, en uniformes, fracs et quelques autres en poudre et caftans, membres et invités du club . Des valets de pied en livrée poudrés, bas et bottés se tenaient à chaque porte et s'efforçaient de capter chaque mouvement des invités et des membres du club afin d'offrir leurs services. La plupart des personnes présentes étaient des personnes âgées et respectables, avec des visages larges et sûrs d'elles, des doigts épais, des mouvements et des voix fermes. Ce type d'invités et de membres s'asseyaient dans des endroits bien connus et familiers et se réunissaient dans des cercles bien connus et familiers. Une petite partie des personnes présentes était composée d'invités aléatoires - principalement des jeunes, parmi lesquels Denisov, Rostov et Dolokhov, qui était encore un officier de Semionov. Sur les visages des jeunes, notamment des militaires, s'exprimait ce sentiment de respect méprisant envers les personnes âgées, qui semble dire à l'ancienne génération : nous sommes prêts à vous respecter et à vous honorer, mais rappelez-vous qu'après tout, le l'avenir nous appartient.
07.01.1915 - 30.09.1996
Héros de l'Union soviétique
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M Evgeniy Tikhonovich Orozov – commandant du bataillon d'artillerie du 492e régiment de mortiers de la 38e armée du Front de Voronej, lieutenant supérieur.
Né le 7 janvier 1915 dans la ville de Nevel, province de Tver (aujourd'hui région de Pskov) dans la famille d'un employé. Russe. Diplômé de la 7ème année du lycée. En 1935, il est diplômé du Collège hydrotechnique de Kaluga. Il a étudié par correspondance à l'Institut pédagogique de la ville de Kalinin (aujourd'hui Tver), a travaillé comme enseignant dans le village de Daryino, district de Staritsky, région de Kalinin (aujourd'hui Tver).
Dans l'Armée rouge à partir du 25 septembre 1939. Il a servi comme soldat de l'Armée rouge dans la 14e division d'artillerie de la 20e division de cavalerie. En avril 1941, il est diplômé des cours pour lieutenants subalternes du district militaire d'Asie centrale (CAMD) dans la ville de Termez. A servi comme commandant d'un peloton de pompiers du 950e régiment d'artillerie SAVO.
Participant à la Grande Guerre Patriotique depuis avril 1942. Il était commandant d'une batterie d'artillerie, d'un bataillon d'artillerie et commandant adjoint d'un régiment de mortiers. Il a combattu sur les fronts de Briansk, de Voronej, des 1er et 2e fronts ukrainiens. Membre du PCUS depuis 1943. Au combat, il fut blessé deux fois.
Participé:
- dans des batailles défensives sur la rivière Tim, au nord de Voronej et dans la région du village de Terbuny - en 1942 ;
- dans l'opération Voronej-Kastornensky, dans les batailles sur les Ardennes de Koursk, dans la libération des villes de Soumy, Romny, dans la traversée du Dniepr avec la conquête de la tête de pont de Lyutezh, dans la libération de Kiev - en 1943 ;
- dans les opérations Jitomir-Berdichev, Korsun-Shevchenko, Uman-Botoshan, Yassy-Kishinev, Debrecen, y compris la libération de la ville de Kazatin, dans les combats dans la région des villages de Lysyanka, Shenderovka, dans le traversée des rivières Bug du Sud, Dniestr, Prut, lors de la libération des villes moldaves, roumaines et hongroises de Balti, Buzau, Ploiesti, Cluj, Miskolc - en 1944 ;
- dans les combats dans les monts Métallifères en Tchécoslovaquie, dans l'opération morave, y compris la libération des villes de Zvolen, Banska Bystrica, Prostejov - en 1945.Le commandant de division du 492e régiment de mortiers, le lieutenant Morozov, s'est distingué dans les combats lors de la traversée du Dniepr du 27 au 29 septembre 1943. Après avoir atteint la rivière avec la division, il a supprimé 8 points de mitrailleuses ennemies avec des tirs ciblés, ce qui a permis aux unités de fusiliers de traverser le Dniepr et de capturer la tête de pont de Lyutezh. Puis, après avoir traversé le Dniepr, il participa aux batailles pour son agrandissement.
U du Présidium du Soviet suprême de l'URSS le 10 janvier 1944 pour l'exécution exemplaire des missions de combat du commandement sur le front de la lutte contre les envahisseurs nazis et le courage et l'héroïsme manifestés au lieutenant supérieur Morozov Evgueni Tikhonovitch a reçu le titre de Héros de l'Union soviétique avec l'Ordre de Lénine et la médaille de l'Étoile d'or (n° 2582).
Après la guerre, il continue à servir dans l'armée. Jusqu'en 1948, il fut inspecteur du département de l'enseignement général au bureau régional d'enregistrement et d'enrôlement militaire de Lvov. En 1951, il est diplômé de l'Institut pédagogique militaire. Ensuite, il a travaillé comme professeur dans la spécialité « topographie militaire » : en 1951-52 et en 1954-64 - à l'École d'infanterie de Moscou (depuis 1958 - le Commandement supérieur interarmes) du nom du Conseil suprême de la RSFSR ; en 1952-54 - au département d'études régionales de l'Institut militaire des langues étrangères. Depuis 1965, il a travaillé comme maître de conférences et responsable du cycle sur les instruments d'artillerie militaire du département militaire de l'Institut de géodésie, de levés aériens et d'ingénieurs en cartographie de Moscou (MIIGAiK).
Depuis août 1971, le colonel E.I. Morozov est en réserve. A vécu à Moscou, a travaillé au MIIGAiK. Décédé le 30 septembre 1996. Il a été enterré à Moscou au cimetière Kuzminskoye (site 23).
Citoyen d'honneur de la ville de Nevel.
Récompensé de l'Ordre de Lénine (10.01.44), du Drapeau Rouge (08.03.45), 2 Ordres de la Guerre Patriotique, 1er degré (14.06.44 ; 06.04.85), de l'Ordre de la Guerre Patriotique, 2e degré (15.10. 43), l'Étoile rouge (05.11.54), les médailles « Pour le mérite militaire » (15.11.50), « Pour la victoire sur l'Allemagne », « XXX ans de la SA et de la Marine ».
Après avoir terminé ses sept années d'études dans sa ville natale de Nevel, Evgeny Morozov est entré à l'école technique hydraulique de la ville de Kaluga. Il lui a fallu 4 cours entiers pour enfin comprendre que la construction directe de barrages, barrages, écluses et autres objets techniques n'est pas sa vocation. Mais c'est à l'école technique qu'il suit un cours de topographie et de cartographie hydrauliques, et cette spécialité, transférée sur une base militaire, deviendra son métier principal dans les années d'après-guerre.
Entre-temps, en 1936, Evgeny Morozov entre au département de correspondance de l'Institut pédagogique Kalinin. Parallèlement, il a commencé à travailler comme enseignant dans une école du village de Daryino, district de Lukovnikovsky (maintenant dans les limites de Staritsky), région de Kalinin. De là, en septembre 1939, il rejoint l'armée.
Morozov a fait son service militaire en Ouzbékistan et était numéro de bataillon d'artillerie dans la 20e division de cavalerie. Un an plus tard, un jeune artilleur intelligent et assez instruit fut envoyé suivre un cours de lieutenant subalterne dans la ville de Termez. Le 28 avril 1941, Morozov devient lieutenant subalterne et est nommé commandant du peloton de tir du 950e régiment d'artillerie. 2 mois plus tard, la guerre commençait...
Eugène Morozov n'est pas arrivé au front tout de suite. Il a continué à servir en Ouzbékistan pendant une année entière. Et ce n'est qu'en avril 1942 que le sous-lieutenant Morozov fut envoyé sur le front de Briansk. Là, il est nommé commandant de la batterie d'artillerie du 692e régiment d'artillerie de la 240e division d'infanterie de la 3e armée. Il reçut son baptême du feu lors des batailles au détour de la rivière Tim. En juillet 1942, à la suite de violents combats, ils durent se retirer de l'autre côté de la rivière Don, au nord de la ville de Voronej. Lorsque la 38e armée de la 2e formation s'y concentre, la 240e division d'infanterie en fait partie. En septembre 1942, l'armée est transférée au Front de Voronej. Dans le même temps, Morozov reçut le grade militaire de lieutenant.
Jusqu'en janvier 1943, la batterie de Morozov dut mener de nombreuses batailles au nord de Voronej. Ils se sont révélés particulièrement difficiles en septembre 1942, lorsque les troupes de la 38e armée ont mené des batailles offensives tout au long du mois. La batterie du lieutenant Morozov a détruit les postes de tir ennemis dans les villages de Perekopovka et Lomovo au cours des dix premiers jours de septembre. Les artilleurs ont passé toute la seconde moitié de ce mois à se battre pour les villages de Gnezdilovo et d'Olkhovatka. L'intensité des combats était intense - Olkhovatka a changé de mains à plusieurs reprises. En octobre 1942, après les batailles pour les villages de Pribytkovo et Bolshaya Polyana, la 240e division d'infanterie fut déplacée encore plus au nord, dans la zone du village de Terbuny dans la région de Lipetsk, où la batterie de Morozov combattit des batailles de position jusqu'en janvier 1943. .
En janvier 1943, l'opération Voronej-Kastornensk des troupes soviétiques commença. Le 25 janvier, les artilleurs du lieutenant Morozov ont participé à la prise des grands bastions de la défense ennemie de la division, le village de Kozinka et la ville de Zemlyanskoye. En outre, la batterie de Morozov a participé à la libération de nombreuses colonies dans la région de Koursk. En février 1943, près de la ville de Sudzha, le lieutenant Morozov fut blessé et soigné dans un bataillon médical.
Après sa guérison, Morozov fut promu lieutenant supérieur à la fin du mois de mars 1943 et, de manière inattendue, il fut nommé commandant d'une division d'artillerie faisant partie du 492e régiment de mortiers distinct de subordination de l'armée. Le régiment était situé à l'est de la ville de Soumy, dans le virage sud de la partie centrale des Ardennes de Koursk. La bataille principale de la phase défensive de la bataille de Koursk en juillet 1943 s'est déroulée autour du déploiement du régiment de mortiers dans lequel Morozov a combattu. Les mortiers et les artilleurs des divisions assignées à cette époque, par le bombardement actif des lignes ennemies suivi de la transition des unités de fusiliers vers des attaques tactiques, ont immobilisé des forces importantes des troupes nazies dans la région de la ville de Soumy et n'ont pas permettre le transfert d’une seule unité ennemie significative depuis cette section du front.
Mais lorsque les troupes soviétiques lancèrent une offensive générale, le 26 août 1943, le 492e Régiment de mortiers passa également aux opérations offensives. Début septembre 1943, la division du lieutenant Morozov, avec ses tirs sur les pas de tir ennemis, assiste les régiments de fusiliers des 167e et 240e divisions de fusiliers dans la libération de la ville de Soumy. En outre, lors de la libération des régions de Soumy et de Tchernigov, les canons de la division se sont déplacés dans les formations de combat de ces deux divisions et ont participé aux batailles pour la ville de Romny, le village d'Ichnya et d'autres zones peuplées. Pour sa distinction lors de la libération de l'Ukraine de la rive gauche, le lieutenant Morozov a reçu l'Ordre de la Guerre Patriotique, 2e degré.
Le 20 septembre 1943, les troupes de la 38e armée du front de Voronej atteignent le Dniepr, dans la région de Kiev. Le commandant de l'armée a décidé d'effectuer la traversée principale du fleuve au nord de la capitale de l'Ukraine, dans la région du village de Vyshgorod et de ses environs. Les premiers groupes de parachutistes de la 240e division d'infanterie traversèrent la rivière dans la nuit du 27 septembre 1943 près du village de Lyutezh. Alors qu'ils traversaient, l'ennemi a ouvert un feu nourri depuis son rivage. Le lieutenant Morozov, dont la division a débarqué dans les formations de combat du 842e régiment d'infanterie, a identifié les postes de tir ennemis et, le matin, déployant les canons jusqu'au bord du Dniepr, a commencé à les frapper les uns après les autres avec des volées précises. Jusqu'à 10 points de mitrailleuses nazies ont été détruits, ce qui a permis aux principales forces des bataillons de fusiliers de traverser plus facilement le Dniepr. En outre, il a transféré à plusieurs reprises le feu sur le village de Lyutezh lui-même, où les forces ennemies s'accumulaient pour des contre-attaques ultérieures. Avec l'aide directe des artilleurs de la division du lieutenant Morozov, ce village fut bientôt débarrassé de l'ennemi. Les combattants ont également capturé les villages voisins de Starye et Novye Petrivtsi. Le 2 octobre 1943, Morozov transporta sa division vers la tête de pont nouvellement formée de Lyutezhsky, où les artilleurs commencèrent à favoriser son expansion vers le village de Guta-Mezhigorskaya avec leurs tirs. Pour ces batailles, le lieutenant Morozov a été nominé pour le titre de héros de l'Union soviétique.
La division Morozov participa le 3 novembre 1943 à une puissante préparation d'artillerie, complétée par des volées de roquettes Katyusha, après quoi des unités de fusiliers se précipitèrent pour attaquer Kiev. Le 6 novembre, la capitale de l'Ukraine est libérée. Après la libération de Kiev en novembre 1943, Morozov reçut le grade de capitaine.
Le 24 décembre 1943, l'opération Jitomir-Berdichev commence. Cela a commencé par un puissant barrage d’artillerie de 51 minutes, auquel a également participé la division du capitaine Morozov. Les résultats des tirs, des mortiers et des canons de Katyusha ont été si positifs et destructeurs pour l'ennemi qu'en 2 jours d'offensive, les troupes de la 38e armée du 1er front ukrainien ont libéré à la fois 3 centres régionaux - Brusilov, Kornin et Popelnya.
Après la libération de la ville de Kazatin, le 492e régiment de mortiers fut transféré d'urgence à la 27e armée. Fin janvier 1944, les troupes des 1er et 2e fronts ukrainiens encerclèrent le groupe nazi Korsun-Shevchenko avec des attaques convergentes sur Zvenigorodka. La 27e armée, après avoir attaqué Lysyanka, se retrouve sur le front intérieur de l'encerclement. Pour détruire un ennemi qui refusait de capituler avec moins de sang, il fallait l'aviation et, bien sûr, l'artillerie. La division du capitaine Morozov, faisant partie du régiment, a participé à repousser une tentative de percée ennemie près du village de Shenderovka et à la liquidation finale du « chaudron » Korsun-Shevchenkovsky.
En mars-avril 1944, déjà au sein de la 27e armée du 2e front ukrainien, la division du capitaine Morozov participa à la grandiose opération Uman-Botosha. Ses artilleurs ont supprimé les points de tir ennemis lors de la prise du carrefour de Khristinovka et ont aidé les unités de fusiliers à traverser le Bug du Sud dans la région du village de Ladyzhin et le Dniestr près du centre régional de la Moldavie, le village de Soroka. En avril 1944, Morozov participa à la libération des villes moldaves de Balti et Floresti, traversa les rivières Prut et Zhizhia, traversa la frontière soviéto-roumaine et, dans le cadre de sa formation, atteignit les abords de la ville de Iasi. Pour sa gestion habile de la division lors de l'opération Uman-Botosha, le capitaine Morozov a reçu l'Ordre de la guerre patriotique, 1er degré. Il est également devenu major.
En août-septembre 1944, la division du major Morozov participe à l'opération Iasi-Kishinev. Le tir de ses canons a contribué à la percée des unités de fusiliers hitlériens entre les villes de Tirgu-Frumos et Iasi, à la libération des colonies roumaines de Negresti, Ajud, des villes de Rimnicul, Buzau et Ploiesti.
À l'automne 1944, la division du major Morozov participa à l'offensive de Debrecen, au cours de laquelle elle contribua à percer les défenses ennemies dans la région de la ville de Turda, capturant un grand centre de défense ennemi dans la ville de Cluj et l'entrée d'unités de fusiliers de la 27e armée sur le territoire hongrois. Ici, en novembre 1944, le 492e régiment de mortiers fut transféré à la 40e armée. Au même moment, le major Morozov est nommé commandant adjoint du 492e régiment de mortiers.
À ce poste, en décembre 1944, Morozov participa à la libération de la ville de Miskolc et, en février 1945, dans le cadre de son armée, il entra sur le territoire de la Tchécoslovaquie aux abords de la ville de Banska Bystrica, et les artilleurs et Les mortiers du régiment ont dû surmonter les monts Métallifères slovaques dans des conditions hivernales. Dans cette offensive, le major Morozov a montré ses meilleures qualités de commandant. C'est lui qui fut engagé dans le soutien d'artillerie des bataillons de fusiliers de la 40e armée lors de la prise des cols dans les gorges des montagnes. Pour sa distinction dans ces batailles, le major Morozov a reçu l'Ordre du Drapeau Rouge.
En avril 1945, le régiment de Morozov participa à la percée des défenses ennemies sur la rivière Hron, à la libération des villes de Zvolen et Banska Bystrica et du village de Zlin. Ici, dans la région de la ville de Prostejov, sur le territoire de la Moravie tchèque, le major Morozov a célébré le brillant Jour de la Victoire.
En juin 1945, le major Morozov devient instructeur au commissariat militaire régional de Lvov. Il est ensuite diplômé de l'Institut pédagogique militaire et devient enseignant spécialisé en topographie militaire. Il a enseigné dans des écoles militaires pendant 14 ans, puis en 1965, il a rejoint le département militaire de l'Institut d'ingénieurs de géodésie, de photographie aérienne et de cartographie de Moscou, où il a travaillé non seulement jusqu'à son renvoi de l'armée soviétique en octobre 1971, mais aussi jusqu'à sa retraite. Ces dernières années, il a vécu dans le district municipal de Vykhino à Moscou et était membre du Club des anciens combattants du district administratif du sud-est de Moscou.