La conscience d’une personne est fermée par les informations qui lui sont inculquées depuis l’enfance. Mais dès qu’on lui fait remarquer l’incohérence des versions imposées, il déclare aussitôt : je le savais avant-hier. Ainsi, la majeure partie de notre histoire a été créée précisément dans le but de semer la confusion, de nous éloigner de conclusions logiques, détournez l'attention de la perception de l'ensemble de l'image, divisant cette image en énigmes et en se concentrant sur les fragments les plus colorés, mais n'expliquant rien. La compréhension n’appartient qu’à quelques-uns. Je veux que les rangs des penseurs soient des milliers, des dizaines de milliers, des millions. Peut-être des mots forts, mais j'essaye, je fais au moins quelque chose. (Zigzag).
Et maintenant, je suis assis et je regarde l'ancienne carte de Saint-Pétersbourg, et je suis étonné...
Plan de Saint-Pétersbourg par I. Homann. Papier, eau-forte, burin, aquarelle. 50,5x59,5 cm Années 1720 (avant 1725)
Plan de 1737, 34 ans depuis la fondation.
Et l'histoire dit que Saint-Pétersbourg a été fondée le 16 mai 1703 (l'empereur a posé la première pierre de l'édifice le 16 mai 1703, jour de la Sainte Trinité. Voici la légende de la fondation de la ville), et que tout cela a été fait en 10-15 ans, pendant les hivers - 35-40, les moucherons, l'humidité, le manque de routes et d'usines, et je ne parle même pas du matériel de construction. Jetez simplement un oeil à Île Vassilievski, il n'y a encore rien, mais il y a un marquage et un tracé, mais qu'en est-il de l'échelle ? Personne en Europe n'a jamais pensé à un tel aménagement, mais ici ?
Jardin d'été en 1716, auteur Alexey Zubov. La vitesse de construction n'est-elle « pas la même que celle de la tribu actuelle », ou y a-t-il un piège quelque part, peut-être que les historiens mentent ? Certains des bâtiments représentés sur cette gravure, selon l'histoire officielle, devraient apparaître beaucoup plus tard, après la mort de l'auteur, mais A. Zubov sait exactement quoi et où dessiner.
À gauche et à droite, vous pouvez voir des flèches au loin, à gauche se trouve le château Mikhaïlovski, à droite se trouve le Sauveur sur le sang versé, et ainsi : le 17 avril 1819, les fondations du palais Mikhaïlovski ont été posées. Ce jour est devenu le jour fondateur de l'un des les plus grands musées monde - Musée d'État russe. L'église du Sauveur sur le Sang Versé a été érigée entre 1883 et 1907, à l'endroit où le tsar libérateur Alexandre II a été mortellement blessé le 1er mars 1881. Mais plus à ce sujet ci-dessous. Les piqûres de Zubov Montferan, Falconet, Schubert, Karamzin et le don artistique du célèbre A.S. Nous examinerons Pouchkine en détail ci-dessous.
Il est difficile de croire que la planification, la disposition et l'alignement des bâtiments de Saint-Pétersbourg sous Pierre le Grand ont été réalisés sans géomètres ; l'ampleur et la précision, les volumes et le territoire sont étonnants. Ou peut-être que la ville existait bien avant la version historique actuelle de son apparition ?
A cet égard, une autre observation est très intéressante, alors que toute l'Europe vivait dans des villes, où les égouts n'apparaissaient guère sous les rues, dont la largeur laissait à peine passer les charrettes, et les immeubles élargis depuis le centre (plan de Paris, fin XVIIe). siècle, à cette époque la seule construction urbaine standard)
Le même Amsterdam qui a tout appris à Peter
(Londres (ci-dessous), l'année est indiquée sur la carte.... La capitale est comme une capitale, pas une seule ligne droite)
Moscou ne pouvait pas se débarrasser des bâtiments chaotiques.
Et voici une carte de Kiev – la mère des villes russes
La carte date de 1717, et il ne s'agit que du projet de construction de Saint-Pétersbourg, ordonné mais non lancé.
Mais la carte 1720, comme on dit « en fait »
Alors aménager l'île Vassilievski sans géomètres... eh bien, pas question, alors qui croire ?
Il est nécessaire de faire une réserve sur le fait que les informations historiques survivantes sur la fondation de Saint-Pétersbourg ne sont pas absolument fiables. Le journal de marche Preobrazhensky dit que le 11 mai Pierre s'est rendu par voie terrestre à Shlisselburg, le 14 mai il était à l'embouchure de Syass, le 16 mai il a voyagé encore plus loin et le 17 mai il est arrivé à la jetée de Lodeynaya. Ainsi, si l'on en croit ce journal, le 16 mai, Pierre n'était pas à Saint-Pétersbourg. C’est pourquoi beaucoup considèrent que c’est le jour de la fondation nouvelle capitale Le 29 juin 1703, date à laquelle la première pierre de l'église des Saints Apôtres Pierre et Paul fut achevée. Il convient également de noter qu'en aucun cas documents modernes le nom de Saint-Pétersbourg n'est mentionné ni en mai ni en juin de cette année-là ; Cette zone a conservé le nom de Schlotburg. Mais sur les cartes du début du XVIIIe siècle, la forteresse Pierre et Paul se dresse déjà, non pas une île, mais une forteresse, avec des frontières clairement définies, comme c'est le cas aujourd'hui, tirées de Google Maps, les mêmes six rayons, mais. combien de temps a-t-il fallu pour le construire selon l'histoire ? Et encore une chose... I. E. Kleinenberg a découvert des nouvelles de l'île Vassilievski, située à l'embouchure de la Neva, dans un document livonien de 1426, étrange, n'est-ce pas ?
Il est écrit que la construction a été achevée en 1780 et qu'en 1785, certains murs étaient pour ainsi dire recouverts de granit, et sur les cartes de 1720, tous les murs sont là.
Plan de la forteresse Pierre et Paul
Elle ressemble clairement à toutes les autres forteresses, comme si elles avaient été réalisées selon le même scénario. L’exemple de la ville fortifiée est tiré de la forteresse en forme d’étoile de la Renaissance italienne des années 1500.
Nyenschanz
Nyenskans - Russifié de Nyenskans (Nyenskans suédois, Nevanlinna finlandais, Kantsy russe) - une forteresse suédoise, qui était la principale fortification de la ville de Nyen (Nyen suédois) au cap Okhta sur les rives de la Neva, à l'embouchure de l'Okhta Rivière sur sa rive gauche, à côté de la place moderne Krasnogvardeyskaya à Saint-Pétersbourg. La forteresse a été fondée en 1611 sur des terres saisies à la Russie, sur le site de la colonie commerciale russe de Nevsky Gorodok (Nevskoye Ustye) pour contrôler la terre d'Izhora, appelée Ingermanlandia par les Suédois, et contrôler la voie navigable remontant la Neva. Littéralement traduit par tranchée Nevski (Nyen) (skans).
Ici carte détaillée forts en forme d'étoile dispersés dans toute l'Europe.
Toutes ces forteresses sont les vestiges d'anciens forts et fortifications, construits selon le même type de plan, et de temps immémorial.
Et dans les profondeurs de la terre, juste sous les fondations des églises et des temples qui se sont délabrés au fil du temps, vous pouvez trouver ceci :
Comme le texte nous rappelle l'époque d'Alexandre Nevski, d'Ivan le Terrible...
Des exemples de falsification de l’histoire nous attendent à chaque étape. Par exemple, un artiste du XIXe siècle peint l’histoire de Saint-Pétersbourg.
L'histoire fictive est prête, maintenant tout cela est retourné et le compte à rebours commence à partir de la date la plus basse. On a dit que c'était ainsi, donc c'ÉTAIT !
Voici une autre carte, faites attention à la date 1698.
Il s'agit de l'histoire officielle commandée pour les manuels scolaires, mais ces cartes contredisent d'autres cartes, comme la carte de 1643 d'Erik Nilsson Aspegreen.
Dans les anciennes sources écrites russes et scandinaves jusqu'au traité Orekhovetsky de 1323, 42 colonies ont été notées dans la région de la Neva, sur la côte baltique et dans la région de Ladoga. Parmi celles-ci, 32 colonies de Novgorod (la taille et l'échelle sociale de la capitale au village monastique), 6 villes « à Chudi », 1 ville à Latgall, 1 ville au pays des Livoniens, 1 ville allemande. Selon le traité d'Orekhovets, la frontière d'État entre République de Novgorod et la Suède s'est déplacée vers le fleuve. Sœur.
Sur la base de données historiques, nous pouvons désormais dire que sur le territoire du futur Grand Saint-Pétersbourg, du XVe à la fin du XVIIe siècle. 900 à 1 000 colonies existaient de manière stable, unies par des centaines de kilomètres de routes. Beaucoup de ces colonies sont devenues les « bourgeons » de la création de colonies, d’ensembles et d’éléments de construction à Saint-Pétersbourg. Même sous Pierre Ier, les frontières de Saint-Pétersbourg comprenaient les territoires d'au moins 55 villages de la période pré-Pétrine, et la zone suburbaine réunissait plus d'une centaine de villages, domaines, hameaux et hameaux préexistants. Saint-Pétersbourg moderne et les territoires sous son contrôle administratif couvrent déjà plus de 200 anciennes colonies.
Cette zone a toujours été assez densément peuplée, et il ne faut pas négliger les notes d'un cartographe de passage, tout comme cette carte du début du XVIIe siècle.
Voici un autre plan de la ville avec la forteresse de Nieshants, daté de 1643.
Et voici la forteresse de Nieshanc, fondée en 1611.
L'embouchure de la Neva, la ville de Nyen et ses environs, fin du XVIIe siècle.
Selon les historiens suédois, en 1691 il y eut une crue catastrophique sur la Neva. L'eau est montée jusqu'à Nien, sept mètres et demi au-dessus de la normale. Il s'agissait de la hauteur d'eau la plus élevée enregistrée pendant toute l'existence de Nyen, de nombreuses structures côtières ont été submergées et ont ensuite été abandonnées.
Magnifiques cartes du début du XVIIIe siècle, d'un passionné d'histoire sous le pseudonyme du Père Sergiy.
Faites attention à la façon dont la carte est signée.
C'est la première carte de Saint-Pétersbourg que je rencontre avec une colonie TARTARE.
Et voici PETROPOLIS en 1703, intéressant non ? Nous venons juste de nous préparer à le construire, mais il est déjà construit
Petropolis en 1744, quelle échelle, quelle vitesse de construction, combien de microquartiers, de canaux et de communications.
De nombreux villages des environs de Saint-Pétersbourg sont beaucoup plus vénérables que l'époque de Palmyre du Nord ; de nombreuses colonies ont changé plusieurs noms ; Par exemple, le village de Korbiselske (sur la carte suédoise de 1662) est l'actuel Korabselki (près de la ferme Bugry). Et le village d'Irinovka, qui a donné son nom au premier chemin de fer à voie étroite de Russie, a changé plusieurs noms au fil des siècles : Mariselka - Orinka - Irinovka.
Malheureusement, beaucoup de choses ont déjà été perdues, beaucoup de choses sont en train de disparaître sous nos yeux. Mais dans les forêts de l'isthme de Carélie, il existe encore des bornes marquant la frontière de 1323 :
Presque dès la fondation de la ville, une légende a commencé à prendre forme sur Saint-Pétersbourg comme une ville fantomatique, sur son « irréalité » et sa déconnexion de l'histoire du pays. En 1845, dans l'article « Saint-Pétersbourg et Moscou », V.G. Belinsky a écrit : « Les gens ont l'habitude de considérer Saint-Pétersbourg comme une ville construite non même sur un marais, mais presque dans les airs. »
L’histoire du retrait de la capitale de l’État russe presque en dehors des frontières de l’État lui-même semble très étrange pour l’époque. Même au début du XIXe siècle, sans parler du XVIIIe siècle, Saint-Pétersbourg était catégoriquement isolée de la Moscovie ; il n'y avait pas une seule voie navigable directe normale (seulement le système infructueux de Vyshnevolotsk, qui descendait d'une manière ou d'une autre jusqu'à Saint-Pétersbourg). À cette époque, bien entendu, il n’y avait pas d’avions ni les chemins de fer, pas d'autoroutes, seulement des voies navigables le long des rivières et de courts tronçons terrestres - des « portages » entre les routes fluviales. Et s’il n’existe pas de voies de communication normales le long desquelles les marchandises, les troupes, etc. peuvent circuler, alors il n’y a pas de connectivité de transport, sans laquelle il ne peut y avoir d’État.
Les courriers munis de décrets peuvent y arriver, mais sans les éléments économiques et sécuritaires, ces décrets ne valent rien. Le pays est immense, et la capitale est au milieu de nulle part, cela ne vous semble-t-il pas absurde ? Jusqu'au XIXe siècle, la principale ville contrôlant les pôles de transport des hautes terres Moscou-Smolensk était à cette époque la « ville clé » de Smolensk, située dans le cours supérieur du Dniepr, où commençait la chaîne de portages reliant le fleuve routes « des Varègues aux Grecs » et « des Varègues aux Perses » » à l'intersection des routes commerciales des bassins fluviaux du Dniepr, de la Dvina occidentale, du Volkhov, de la Volga et de l'Oka. Ce n’est qu’au XIXe siècle que débute la construction à grande échelle de lignes directes. voies navigables de Saint-Pétersbourg à la Volga : Mariinskaya, Tikhvinskaya et reconstruction des systèmes d'eau de Vyshnevolotskaya.
En général, ce n’est pas une ville « Petrovsky », et son échelle n’est pas sa taille.
Si vous avez aimé le début, continuons. J'attends vos commentaires.
Mystères de l'histoire. Faits controversés et spéculations. Quelque chose a déjà été foutu sur Terre. Il y a 300 millions d'années... Il semble qu'une clé ait été utilisée lors de la création du monde, alors qu'il n'y avait même pas de dinosaures sur Terre, la technologie y évoluait déjà. Ou du moins quelque chose qui utilisait des boulons, des bobines d'induction et d'étranges billes métalliques. Ceci est démontré par les résultats des analyses de la découverte sensationnelle faites par des chercheurs russes.... La pierre a été trouvée presque par hasard. À la recherche de fragments de météorites, l'expédition du Centre MAI-Cosmopoisk a parcouru les champs du sud de la région de Kalouga. Et si Dmitry Kurkov, qui avait décidé d'examiner ce qui semblait être un morceau de pierre ordinaire, aurait eu un événement. Cela ne s'est pas produit qui aurait pu changer nos idées sur l'histoire terrestre et cosmique. Lorsque la saleté a été essuyée de la pierre, et sur son éclat, on a pu clairement voir... un boulon qui était entré d'une manière ou d'une autre à l'intérieur ! Environ un centimètre de long. Comment est-il arrivé là ? Vous êtes tombé d'un tracteur ? Perdu, puis piétiné, écrasé dans le rocher ? Mais le boulon avec un écrou à l'extrémité (ou - à quoi ressemblait aussi cette chose - une bobine avec une tige et deux disques) était bien serré. Cela signifie qu'il est entré dans la pierre à l'époque où ce n'était que de la roche sédimentaire, du fond argileux. Êtes-vous tombé d'un bateau ? C'est absurde - qui a ensuite dû traîner ici une pierre soulevée du fond d'une rivière ou d'un lac jusqu'à un champ de ferme collective abandonné à côté du village perdu de Znamya, dans le sud-ouest Région de Kalouga !? Oui et - l'essentiel ! - comme les géologues l'ont déclaré plus tard avec autorité, cette pierre a au moins 300 à 320 millions d'années. Cela signifie ?.. Il y avait aussi une hypothèse : le boulon a été enfoncé dans la pierre par une explosion pendant la guerre. Mais les experts en explosifs ont déterminé qu'il n'y avait aucune déformation caractéristique. De plus, le « boulon » était devenu... de la pierre ! Et cela indique surtout qu’il est resté sous terre depuis des centaines de millions d’années. Une analyse chimique approfondie a montré : au cours du passé, les atomes de fer se sont diffusés, c'est-à-dire qu'ils se sont déplacés à l'intérieur de la pierre jusqu'à une profondeur d'un centimètre et demi, et à leur place se trouvaient des atomes de silicium provenant de la pierre 51. Comme le montre En conséquence, un « cocon » de fer ovale s’est formé et est maintenant clairement visible. Pour les paléontologues et les géologues lithologues, ce phénomène est le plus courant : ils savent que tout ce qui se trouve à l'intérieur d'une pierre pendant des millions d'années devient tôt ou tard de la pierre. Mais il existe une preuve encore plus impressionnante de l'ancienneté du phénomène : les rayons X. les photographies ont clairement montré qu'il y en avait d'autres à l'INTÉRIEUR de la pierre, désormais cachés, des « boulons » et l'échantillon actuellement visible était également autrefois à l'intérieur, jusqu'à ce que la pierre se brise relativement récemment à l'échelle des temps géologiques ! De plus, il semble que ce « boulon » lui-même soit devenu le point de tension à partir duquel la faute a commencé. Un canular bien fait ? Mais la pierre a successivement visité les instituts paléontologiques, zoologiques, physico-techniques, aéronautiques et technologiques, paléontologiques et biologiques. des musées, des laboratoires et des bureaux d'études, de l'Institut d'aviation de Moscou, de l'Université d'État de Moscou, ainsi que de plusieurs dizaines d'autres spécialistes dans divers domaines de la connaissance. Qu'ont-ils réussi à découvrir ? la pierre : elle est vraiment ancienne, elle a 300-320 millions d'années. Il a été établi que le « boulon » a frappé la roche... AVANT QU'ELLE NE DURCI ! Et par conséquent, son âge n’est en aucun cas inférieur, voire supérieur, à celui de la pierre. Le « boulon » n'aurait pas pu toucher la pierre plus tard (par exemple, à la suite d'une explosion, y compris nucléaire), car la structure de la pierre n'en a pas été endommagée. En conséquence, deux camps se sont formés parmi les interprètes de. le phénomène. Les représentants du premier sont convaincus qu'il s'agit d'un produit clairement fabriqué par l'homme, dans lequel sont respectés tous les principes connus et appliqués par nos technologues modernes. Dans tous les instituts techniques, aucun spécialiste ne doutait qu'il s'agissait d'un produit artificiel qui avait pénétré d'une manière ou d'une autre à l'intérieur de la pierre. Cependant, au début, l'idée qu'un tel produit pénètre dans la roche a coûté 300 millions. il y a des années, tout le monde avait des doutes. Mais ils ont rapidement disparu après des études microscopiques et radiographiques. De plus, en plus du « boulon » et à côté de lui, les sceptiques eux-mêmes ont découvert plusieurs autres formations artificielles, dont deux étranges boules microscopiques avec des trous carrés... Le deuxième groupe a fait valoir que le « boulon » n'est rien de plus qu'un ancien animal fossile. Certains ont même appelé l'analogue le plus similaire - le crinoïde - le nénuphar. Mais... un spécialiste de ces crinoïdes, après examen, a déclaré qu'il n'avait jamais vu de crinoïdes aussi gros et exactement de cette forme. Ainsi, quelque chose il y a plus de 300 millions d'années (bien avant l'apparition des dinosaures sur Terre !) est tombé accidentellement sur la Terre. fond d'un ancien océan et ensuite fermement enfermé dans une roche sédimentaire pétrifiée. Qui, après tout, a « jonché » des objets métalliques sur Terre pendant la période du Dévonien ou du Carbonifère de l'ère paléozoïque ? Il est difficile de trancher sur des hypothèses ? Mais il existe plusieurs versions principales : 1) OVNILOGIQUESi les ovnis volent aujourd’hui n’importe où et n’importe quand, alors pourquoi ne sont-ils pas apparus sur Terre il y a des millions d’années ? Il pourrait y avoir de nombreuses civilisations dans l'Univers qui pourraient voler vers la Terre et… jeter des déchets ici. 2) VERSION DES DÉBRIS SPATIAUX Afin de « joncher » la Terre de débris fabriqués par l'homme, il n'était pas nécessaire de voler jusqu'à nous. tous. Il suffisait aux autres civilisations d'aller simplement dans l'espace, et alors le vent stellaire, le mouvement d'inertie sur des millions d'années, répandrait les boulons et les écrous des pièces de fusée usagées dans toute la galaxie. 3) L'ACTIVITÉ DES PROTOCIVILISATIONS est la. explication la plus populaire parmi les ésotéristes, complètement rejetée par les historiens. Mais si une catastrophe arrivait à notre civilisation - et après des centaines de millions d'années, à travers des millions de tremblements de terre, de failles et d'inondations de continents, de montées de montagnes et d'afflux de mers, de toutes nos armadas de machines, il est aussi possible que seul un pitoyable il restera une poignée d'inclusions géologiques... Elles attireront l'attention des futurs paléontologues ne comprennent pas les fragments de mécanismes incompréhensibles, mais qui peut savoir à qui ils appartiennent. Mais cette hypothèse est encore, selon les scientifiques, extrêmement peu convaincante. Si quelqu'un fabriquait des boulons, nous aurions certainement trouvé les restes d'aciéries. Derrière le verrou se trouve la civilisation, et la civilisation est l'infrastructure... 4) ACTIVITÉ DES CIVILISATIONS FUTURES - nous changeons le « moins » en « plus » et nous obtenons exactement la même image. Encore une fois, des civilisations hautement développées opèrent dans le passé, mais elles n'y vivent pas (c'est pourquoi les archéologues modernes n'ont pas trouvé d'anciennes grandes villes ni de cosmodromes), mais y volent pour leurs affaires dans des machines à voyager dans le temps. Ceci, en particulier, peut expliquer le fait que des objets étranges similaires à notre « éclair » se trouvent dans presque toutes les couches temporelles. Pour s'en convaincre, il suffit d'énumérer les données d'archives En 1844, dans la carrière Kingudsky à Millfield (nord de la Grande-Bretagne), comme le rapporte Sir David Brewster, un clou en acier d'environ 2,5 cm a été trouvé. ) encastré avec la tête dans du grès dur. La pointe du clou dépassait vers l’extérieur dans une couche d’argile à blocs, ayant été presque entièrement rongée par la rouille. En 1851, le chercheur d'or Hiram Witt découvre un clou légèrement rouillé dans un morceau de quartz aurifère de la taille d'un poing d'homme... En juin de la même année 1851 à Dorchester (USA), parmi des fragments de pierres détachés d'un rocher par une explosion, au grand étonnement des personnes rassemblées, ont été découverts : « 2 fragments d'un objet métallique, déchiré en deux par l'explosion. Une fois assemblées, les pièces formaient un récipient en forme de cloche de 4,5 pouces (114 mm) de haut, 6,5 pouces (165 mm) de large à la base et 2,5 pouces (64 mm) au sommet avec une épaisseur de paroi d'environ 1/8. pouces (3 mm) ). Le métal du récipient ressemblait à du zinc ou à un alliage avec un ajout important d'argent. Sur la surface se trouvaient six images d'une fleur ou d'un bouquet recouverts d'argent pur, et autour de la partie inférieure du récipient se trouvait une vigne ou une couronne également recouverte d'argent. La sculpture et le placage ont été superbement exécutés par un artisan inconnu. Cet étrange vaisseau d'origine mystérieuse a été extrait d'une couche de roche qui se trouvait à 4,5 m de profondeur avant l'explosion... » Début décembre 1852, près de Glasgow (Ecosse, Grande-Bretagne), dans un morceau de charbon extrait peu de temps auparavant, "tout à coup, il s'est avéré être un instrument d'apparence étrange". En 1968, dans l'Utah (États-Unis), William Meister a découvert deux empreintes claires de pieds humains dans des chaussures. De plus, la chaussure gauche a marché avec son talon sur un trilobite dont les restes ont été pétrifiés avec l'empreinte. Trilobites - des arthropodes semblables aux crustacés modernes, vivaient sur notre planète il y a 400 à 500 millions d'années... D'anciens bijoux en platine ont été trouvés en Équateur. N'oubliez pas que le point de fusion du platine est d'environ +1800°C, et vous comprendrez alors que sans la technologie appropriée, les artisans indiens ne pourraient tout simplement pas créer de tels bijoux en Irak, lors des fouilles,... les plus anciennes de toutes. éléments galvaniques connus, âgés d'environ 4 mille ans. À l’intérieur des vases en céramique se trouvent des cylindres de feuilles de cuivre et à l’intérieur des tiges de fer. Les bords du cylindre de cuivre sont reliés par un alliage de plomb et d’étain, que les électriciens et ingénieurs radio modernes connaissent seulement maintenant sous le nom de « tertiaire ». Les anciens utilisaient le bitume comme isolant. L'électrolyte a maintenant disparu (séché et érodé), mais lorsqu'une solution de sulfate de cuivre était versée dans de tels récipients, la batterie trouvée donnait immédiatement du courant... D'ailleurs, les premiers échantillons de revêtements galvaniques ont été trouvés là-bas, en Irak. . Comment les anciens pouvaient-ils connaître les méthodes de production et d’utilisation de l’électricité ?.. La liste de ces découvertes est loin d’être close. Qu'est-ce qui valait la peine d'être mentionné ? Une empreinte de chaussure dans le grès trouvée dans le désert de Gobi, vieille de 10 millions d'années, a été signalée. écrivain soviétique Alexandre Petrovitch Kazantsev. Ou une empreinte similaire, mais dans des blocs de calcaire, dans l'état du Nevada (USA)... Un verre en porcelaine à haute tension envahi par des mollusques pétrifiés... Dans les mines de charbon en Russie, les découvertes n'étaient pas moins étranges : des colonnes en plastique , un cylindre de fer d'un mètre de long avec des ronds entrecoupés de métal jaune... En un mot, les découvertes inexplicables et inexpliquées sont nombreuses. D'où viennent-ils? Toujours pas de réponse. Jusqu'à présent, une chose est claire : la pierre « Kalouga » contient d'étranges formations, peut-être créées à l'aide de technologies surnaturelles. Mais pour dissiper ce « peut-être » sceptique, nous avons bien sûr besoin Recherche scientifique. Et ils ont besoin d'argent. À propos, l'un des lecteurs Internet de ce document serait-il prêt à participer au financement de recherches ultérieures ? Vous n'avez pas besoin de grand-chose - 9 mille dollars... Parce que l'âme est très excitée par une sensation étrange lorsque vous touchez ce « boulon » incompréhensible dans la pierre : peut-être que les mains d'autres êtres intelligents l'ont touché de la même manière ...
De nos jours, la jeune génération lit beaucoup moins, on lui donne des films et des émissions de télévision. Écrivez au moins un SMS, lisez au moins le même SMS et tout au plus un magazine. Jusqu'à présent, mes élèves n'en ont eu assez que des images ; l'essentiel est pour eux incertain et vague, et quelle différence cela a-t-il eu, ce qui est important c'est ce qui est et ce qui sera. Mais mon expérience de la vie suggère : sans regarder en arrière, vous ne saurez jamais où aller, car vous ne savez pas d’où vous venez. L’ancienne génération croit fermement à ce qu’on lui a dit, à ce qu’elle a été obligée d’apprendre par cœur, le socialisme, le communisme, l’athéisme. Et que ceux qui dirigent sachent exactement quel chemin, quel cap, quelle direction choisir. Bien que beaucoup aient déjà l'air confus, ne réalisant pas que le parcours n'est pas droit, mais courbe, et que leur vie s'est déroulée comme une course en cercle sans arrêt. Mon professeur d’histoire m’a récemment dit : « Ne nous enlève pas les miettes qui nous restent, la foi en ce qu’on nous a enseigné. » J'en ai marre de croire au parti, Lénine et Staline, mais vous avez visé Pierre Ier lui-même, la splendeur de l'histoire russe. Ne piétine pas le mien le dernier conte de fées, sinon les gens comme moi te piétineront.
C'est difficile pour eux de me comprendre, j'essaie juste de comprendre : Pourquoi ? Pour quoi? À qui profite-t-il ?
La conscience d’une personne est fermée par les informations qui lui sont inculquées depuis l’enfance. Mais dès qu’on lui fait remarquer l’incohérence des versions imposées, il déclare aussitôt : je le savais avant-hier. Ainsi, la majeure partie de notre histoire a été créée précisément dans le but de confondre, de s'éloigner des conclusions logiques, de détourner l'attention de la perception de l'ensemble de l'image, de diviser cette image en énigmes et de concentrer l'attention sur les fragments les plus colorés, mais n'expliquant rien. La compréhension n’appartient qu’à quelques-uns. Je veux que les rangs des penseurs soient des milliers, des dizaines de milliers, des millions. Peut-être des mots forts, mais j'essaye, je fais au moins quelque chose. (Zigzag).
Et maintenant, je suis assis et je regarde l'ancienne carte de Saint-Pétersbourg, et je suis étonné...
Plan de Saint-Pétersbourg par I. Homann. Papier, eau-forte, burin, aquarelle. 50,5x59,5 cm Années 1720 (avant 1725)
Et l'histoire dit que Saint-Pétersbourg a été fondée le 16 mai 1703 (l'empereur a posé la première pierre de l'édifice le 16 mai 1703, jour de la Sainte Trinité. Voici la légende de la fondation de la ville), et que tout cela a été fait en 10-15 ans, pendant les hivers - 35-40, les moucherons, l'humidité, le manque de routes et d'usines, et je ne parle même pas du matériel de construction. Jetez un œil à l'île Vassilievski, il n'y a encore rien, mais il y a un balisage et un tracé, mais qu'en est-il de l'échelle ? Personne en Europe n'a jamais pensé à un tel aménagement, mais ici ?
Jardin d'été en 1716, auteur Alexey Zubov. La vitesse de construction n'est-elle « pas la même que celle de la tribu actuelle », ou y a-t-il un piège quelque part, peut-être que les historiens mentent ? Certains des bâtiments représentés sur cette gravure, selon l'histoire officielle, devraient apparaître beaucoup plus tard, après la mort de l'auteur, mais A. Zubov sait exactement quoi et où dessiner. À gauche et à droite, vous pouvez voir des flèches au loin, à gauche se trouve le château Mikhaïlovski, à droite se trouve le Sauveur sur le sang versé, et ainsi : le 17 avril 1819, les fondations du palais Mikhaïlovski ont été posées. Cette journée est devenue le jour de la fondation de l'un des plus grands musées du monde, le Musée national russe. L'église du Sauveur sur le Sang Versé a été érigée entre 1883 et 1907, à l'endroit où le tsar libérateur Alexandre II a été mortellement blessé le 1er mars 1881. Mais plus à ce sujet ci-dessous. Les piqûres de Zubov Montferan, Falconet, Schubert, Karamzin et le don artistique du célèbre A.S. Nous examinerons Pouchkine en détail ci-dessous.
Une correction est arrivée de violet3333 (un merveilleux magazine, je vous le dis) : Dans l'article « D'où vient la ville », j'ai trouvé une inexactitude dans la description de la gravure de Zubov - en fait, le château Mikhaïlovski est au centre, sur à gauche, c'est l'église des Saints et Justes Siméon le Dieu-Receveur et Anna la Prophétesse, à droite je ne sais quoi mais pas le Sauveur sur le Sang Versé. Mais avec tous les amendements, Zoubov a quand même dessiné ce qui, selon les documents historiques, devrait apparaître beaucoup plus tard.
Il est difficile de croire que la planification, la disposition et l'alignement des bâtiments de Saint-Pétersbourg sous Pierre le Grand ont été réalisés sans géomètres ; l'ampleur et la précision, les volumes et le territoire sont étonnants. Ou peut-être que la ville existait bien avant la version historique actuelle de son apparition ?
19ème siècle. Une autre observation à cet égard est très intéressante :
Quand toute l'Europe vivait dans des villes, où les égouts n'apparaissaient guère sous les rues, dont la largeur permettait à peine aux charrettes de se croiser, et où les immeubles s'étendaient depuis le centre (plan de Paris, fin XVIIe siècle, alors seul standard pour la construction de la ville)
Le même Amsterdam qui a tout appris à Peter
(Londres (ci-dessous), l'année est indiquée sur la carte.... La capitale est comme une capitale, pas une seule ligne droite)
Moscou ne pouvait pas se débarrasser des bâtiments chaotiques.
Et voici une carte de Kiev – la mère des villes russes
La carte date de 1717, et il ne s'agit que d'un projet de développement de Saint-Pétersbourg, commandé mais non lancé. Mais voici une carte de 1720, comme on dit « en fait, voici d'autres dessins, tous originaux et conservés ». musée. Cliquez simplement sur ce lien.
Alors aménager l'île Vassilievski sans géomètres... eh bien, pas question, alors qui croire ? Mais la ville en 1716, avant même le projet général, ces données proviennent-elles d'une gravure, ou mentent-elles encore ?
Notes d'un homme ennuyeux - Plans des capitales d'Europe et de certaines villes remarquables d'Asie, d'Afrique et d'Amérique. 1771
Alors aménager l'île Vassilievski sans géomètres... eh bien, pas question, alors qui croire ?
Mais la ville en 1716, avant même le projet général, ces données proviennent-elles d'une gravure, ou mentent-elles encore ?
Des exemples de falsification de l’histoire nous attendent à chaque étape. Par exemple, un artiste du XIXe siècle peint l’histoire de Saint-Pétersbourg.
1756
1738
1705
L'histoire fictive est prête, maintenant tout cela est retourné et le compte à rebours commence à partir de la date la plus basse. On a dit que c'était ainsi, donc c'ÉTAIT !
Voici une autre carte, faites attention à la date 1698.Il s'agit de l'histoire officielle commandée pour les manuels scolaires, mais ces cartes contredisent d'autres cartes, comme la carte de 1643 d'Erik Nilsson Aspegreen.
Dans les anciennes sources écrites russes et scandinaves jusqu'au traité Orekhovetsky de 1323, 42 colonies ont été notées dans la région de la Neva, sur la côte baltique et dans la région de Ladoga. Parmi celles-ci, 32 colonies de Novgorod (la taille et l'échelle sociale de la capitale au village monastique), 6 villes « à Chudi », 1 ville à Latgall, 1 ville au pays des Livoniens, 1 ville allemande. Selon le traité Orekhovetsky, la frontière entre la République de Novgorod et la Suède s'est déplacée vers le fleuve. Sœur.
Cette zone a toujours été assez densément peuplée, et il ne faut pas négliger les notes d'un cartographe de passage, tout comme cette carte du début du XVIIe siècle.
Selon les historiens suédois, en 1691 il y eut une crue catastrophique sur la Neva. L'eau est montée jusqu'à Nien, sept mètres et demi au-dessus de la normale. Il s'agissait de la hauteur d'eau la plus élevée enregistrée pendant toute l'existence de Nyen, de nombreuses structures côtières ont été submergées et ont ensuite été abandonnées.
De merveilleuses cartes du début du XVIIIe siècle m'ont été envoyées par un passionné d'histoire sous le pseudonyme de Père Sergiy.
Faites attention à la façon dont la carte est signée.
C'est la première carte de Saint-Pétersbourg que je rencontre avec une colonie TARTARE.
Et voici PETROPOLIS en 1703, intéressant non ? Nous venons juste de nous préparer à le construire, mais il est déjà construit.
Petropolis de 1744, quelle échelle, quelle vitesse de construction, combien de microquartiers, de canaux et de communications.
« Nous nous tourmentons à cause de petits problèmes inutiles, nous gaspillons nos pensées et nos sentiments, dès la naissance nous regardons nos pieds, seulement nos pieds. Rappelez-vous comment, dès l'enfance, on nous apprend : « Regardez vos pieds... Faites attention à ne pas tomber. … » Nous mourons sans rien comprendre : qui nous sommes et pourquoi nous sommes ici. Et pourtant, au plus profond de nous, vit un désir : là-haut, chez nous ! Monologue d'Andrei Mironov du film "Faryatyev's Fantasy".
L'histoire est un mot étrange. Mais je ne parle pas du sens de ce mot, on le trouve maintenant facilement sur Internet, je parle de l'histoire en tant que science qui, comme une fille corrompue, s'adapte à chaque fois au pouvoir. Celui qui paie le plus obtient l’option la plus lumineuse et la plus colorée. Toute une équipe d’« historiens rémunérés » travaille sans relâche jour et nuit sur son image. Elle porte ses options « au sommet » pour les ajustements, crée, sculpte et sculpte à partir de tout cela une belle et majestueuse statue de la splendeur de l'État, qui par nature reste la même fille corrompue, s'enfuyant à chaque fois vers un nouveau propriétaire. Ainsi l’histoire russe se précipite de siècle en siècle à la recherche de l’unique chose à laquelle elle sera fidèle pour toujours. Mais les « seuls » vont et viennent, les siècles changent, mais on veut bien vivre, on veut vivre dans la splendeur et le luxe, alors il faut dissimuler, esquiver, mentir ouvertement ici et là, et parfois, comme si ce n'était pas le cas. exprès, mais à cause du besoin de l'État de faire couler le sang parmi ceux qui sont particulièrement bien informés ou qui s'expriment particulièrement bien.
Histoire moderne il n'est pas écrit par des moines ermites, comme au Moyen Âge, une page par jour, relu et revérifié cent fois, mais par des gadgets modernes. Des milliers, des millions, des milliards de caractères par seconde, il est facile de se noyer dans un tel volume d’informations, mais quelqu’un qui connaît la direction atteindra la terre ferme. Technologies modernes Les zombifications sont perverties en compétition entre elles pour :
- vendre n'importe quelle merde au prix maximum ;
- la suggestion selon laquelle le blanc est noir ;
- gestion des foules. Avec un seul message dans les médias, sur un sujet fictif, il est facile de chasser les masses dans la rue, et il suffit alors que quelqu’un crie « ils battent notre peuple ! Ces points peuvent être répertoriés grande quantité, de la « fin du monde » à la hausse du prix des jetons de métro, mais je m’écarte du sujet.
En travaillant sur l'article « D'où vient la ville ? », j'ai été confus par un grand nombre d'incohérences dans ce qui, à mon avis, est une histoire très récente. Une période de 200 à 300 ans n’est pas celle du Moyen Âge analphabète, où l’écriture était rare et où les livres étaient considérés comme un miracle. C'est la partie la plus importante histoire russe, le souverain le plus promu m'a appelé un grand nombre de des questions. Jusqu'à récemment, je croyais que les manuels d'histoire lycée, il n'y avait aucune raison d'en douter, mais en le relisant dans un endroit isolé, je me suis surpris à penser que je lisais un conte de fées bien connu de toute ma génération d'A.S. Le souverain Pierre Ier y apparaît comme un magicien : il agita sa main gauche - une ville grandit, agita sa droite - la ville fut peuplée de nobles et de populaces, la renversa et des canaux furent creusés, immédiatement bordés de granit. Je ne parle pas des bâtiments, je n'ai tout simplement pas compris ce qu'il a fait avec sa main quand il avait besoin de centaines de milliers de cubes de brique et de granit (il me manque du marbre, il n'y avait tout simplement nulle part où l'obtenir) . En l’absence de routes, de briqueteries, de carrières de granit et de camions, des constructions colossales ont été réalisées. Et il réussit quand même à établir des forts, ici et là. V.I. Chapaev a probablement appris les tactiques de formation au combat auprès de Piotr Alekseevich. Nous prenons une pomme de terre et la mettons dessus - ce sera la cathédrale Saint-Isaac, mais cette plus petite sera l'Ermitage. Celles qui se réveilleront seront les forteresses de la baie. Et voilà, le lendemain matin, tout était toujours debout. Et autour de la ville, tous les gens vivaient dans des cabanes en bois ; heureusement, le bois de construction était disponible pour une utilisation future ; une telle construction ne nécessitait aucune compétence ni main d'œuvre particulière. Pendant des siècles, ils ont construit en bois, un matériau excellent, bien et rapidement traité ; à cette époque, seuls les Kremlins de Moscou et de Novgorod, une douzaine ou deux cathédrales avec monastères et quelques forteresses dans les grandes villes, construites sous Ivan IV le Terrible. et avant lui, ils étaient en brique.
En lisant les lignes du manuel officiel, je suis tombé sur un détail encore plus intéressant de l’histoire. Ce n'est pas Pierre le Grand qui a commencé ce conte ; ils ont commencé à l'écrire, arrachant les pages d'un livre plus ancien et, à mon avis, plus grand. histoire significative. La prise du pouvoir par les Romanov et l'extermination totale des héritiers de Rurik, de leur histoire, de leurs actes, de leur influence sur l'Europe et l'Asie, nécessitaient de nouvelles pages, et ces pages furent écrites après la destruction totale des chroniques ecclésiales de l'époque de Rurik. . D’étranges incendies éclatèrent ici et là dans les archives des églises, et ce qui fut sauvé fut confisqué pour être mis en sécurité par le peuple du souverain. Nous sommes à propos Rome antique Et la Grèce ancienne Nous en savons désormais plus sur le règne des Ruriks. Même les icônes et les fresques des églises ont été enlevées et écaillées sur ordre des Romanov. Et si vous commencez à mentir, ne vous arrêtez pas, car vous serez pris dans l’inconstance. À l'époque de Pierre le Grand, en raison du transfert de la capitale à Saint-Pétersbourg, le Kremlin de Moscou tomba en ruine. Des mariages ont eu lieu et des spectacles ont été organisés dans les murs sacrés des Ruriks, une taverne était située sur le territoire du Kremlin et des prisons étaient situées dans ses sous-sols. Lorsque la question s'est posée de réparer le Kremlin délabré, Pierre n'a pas donné d'argent, il ne s'est pas soucié des vieux sanctuaires russes, il s'est tourné vers l'Europe, qui, étonnamment, ne s'est pas agenouillée devant lui, comme sous Ivan IV Vasilyevich le Terrible, mais sur le au contraire, j'ai tout enseigné et tout contrôlé. Autour de Peter se trouvaient des Suédois et des Néerlandais, des Allemands et des Autrichiens, voire des Turcs. Il n'aimait pas les conseils de ses compatriotes. L'incendie de Moscou de 1737 n'a pas seulement détruit une partie du Kremlin, il a également détruit les archives situées dans le bâtiment. grand palais, avec des documents sur les actions du souverain et de l'État. « Dossiers d'inventaire des années passées », cartes, données sur les frontières de 1571 à 1700, documents et décrets, offrant ainsi un champ de travail non labouré aux « historiens Romanov », à composer en table rase c'était beaucoup plus facile que de citer des sources primaires. Les Romanov ont transformé le Kremlin en un grand bordel. Au début du XIXe siècle, des maisons de débauche et des repaires de voleurs étaient implantés sur son territoire. Monuments historiques L'époque de Rurik provoqua une extrême irritation parmi les Romanov. Les cathédrales de l'époque de Rurik sur le territoire du Kremlin ont été soit démolies (cathédrale Sretensky, tour armoriale) soit reconstruites (palais Khlevenny, Kormovoy et Sytny). Le palais d'Ivan le Terrible sur la colline des Moineaux a été détruit. En 1806, le palais de Boris Godounov est vendu aux enchères. Lorsque la perestroïka n'était pas nécessaire, des barils de poudre à canon étaient utilisés, comme dans le cas du monastère de la Sainte Trinité Ipatiev à Kostroma, la propriété des Godounov, où environ 60 personnes de la famille Godounov ont été enterrées. Quelqu'un a-t-il vraiment prévenu les Romanov qu'avec le temps, un examen ADN serait trouvé et qu'il ne serait pas difficile de prouver que Boris Godounov était de la famille Rurik ?
Mais la plus grande irritation de la dynastie des Romanov fut provoquée par les sources écrites, qui contenaient des informations « sur la hiérarchie du peuple du souverain, sa parenté, ses mérites et ses actes militaires ». Toutes les nominations aux postes gouvernementaux se faisaient sur la base du « localisme », la hiérarchie même prescrite dans les « classements ». Le 12 janvier 1682, les Romanov abolirent le « localisme » en Russie, détruisant tous les vieux « livres de rang » qui mentionnaient les basses origines des Romanov eux-mêmes. Au lieu de cela, de nouveaux furent commandés pour les personnes fidèles et dévouées à la dynastie. La « chambre des affaires généalogiques » créée à cet effet n'a compilé que deux livres, celui « de velours » et celui perdu. Le premier cas vérifié s’est avéré être une falsification, dans laquelle les généalogies des familles de nombreux fonctionnaires ont été écrites de toutes pièces. Jusqu'à la fin du XVIIe siècle, un « livre d'études supérieures » rédigé en 1560-1563 était conservé à Moscou. à l'initiative du confesseur d'Ivan le Terrible Macaire, métropolite de Moscou. Le livre contenait l'histoire des premiers princes russes jusqu'à l'époque d'Ivan IV Vasilyevich le Terrible, une chronique grandiose de la dynastie Rurik. C'est sur cette base que des fresques ont été réalisées dans de nombreux monastères russes (cathédrale d'Arkhangelsk du Kremlin de Moscou). Le livre indiquait que la dynastie Rurik descendait de l'empereur romain Auguste, mais à l'époque d'Alexei Mikhailovich, le livre, conservé dans un ordre écrit sous sept serrures, a mystérieusement disparu. En 1672, sur ordre de l'ambassade, les Romanov rédigèrent le « Grand Livre d'État » ou « La racine des souverains russes », appelé « livre titulaire ». Il contenait des portraits dessinés à la main de tous les grands princes, de Rurik à Alexei Mikhailovich. Le «Livre titulaire» a été écrit arbitrairement, sans s'appuyer sur l'histoire antérieure, dans l'esprit de la grandeur de la dynastie des Romanov, selon leur propre ordre. Au même moment, le diplomate autrichien Lavrenty Khurevich (le nom de famille à lui seul vaut la peine), sujet de l'empereur autrichien Léopold Ier, qui visita Moscou en 1656, est nouvelle histoire de la dynastie des Romanov, et l'envoie au tsar comme instruction pour la transformation ultérieure de l'histoire. Et en 1673, le même Khurevich a publié une histoire élargie, "Généalogie des très saints et plus grands grands-ducs de Moscovie", appelée généalogie, où il justifie scrupuleusement le sang royal dans les veines d'Alexei Mikhailovich sur un pied d'égalité avec d'autres monarques européens. , et en 1674 il l'envoya à Moscou. La commande a été exécutée, l'argent a été transféré, une vieillesse confortable et la prospérité familiale sont assurées, pour la révélation du secret - vous savez...
En Europe, les Romanov étaient traités avec condescendance, non considérés comme des égaux, mais ils les aimaient à leur manière, pour leur dévouement. Traditions européennes et le manque de pression qui a toujours été présent sous la dynastie Rurik. Dans la plupart des chroniques européennes de ces années-là, les Romanov sont décrits comme dynastie royale cela n'a tout simplement pas été mentionné. La seule chose qui ne pouvait pas être détruite était Cartes géographiques, copié et transporté par les voyageurs du monde entier. Ivan Kirillovich Kirilov a été nommé par Pierre Ier responsable de la création d'un atlas géographique de la Russie, l'ensemble du travail consistait en trois volumes de 120 cartes chacun, mais académie impériale interdit l'atlas de Kirilov, 360 les cartes les plus précises a été détruit, même les planches d'impression ont été cassées. Pierre Ier était horrifié par la taille des territoires qui restaient des Ruriks et avec lesquels les Romanov traitaient si médiocrement. La Grande Tartarie, avec son étendue, sa puissance et ses rois descendants des empereurs romains, n'existait plus, ce qui signifie qu'elle ne valait pas non plus la peine de s'en souvenir. Et seulement après la mort de Pierre Ier, Kirilov a publié et préparé pour l'impression 37 cartes, dont 28 ont survécu. Le dernier tsar de la dynastie des Romanov, Nicolas II, n'avait pratiquement pas de sang russe, mais il est devenu russe d'esprit, c'est lui qui a élevé l'État sans écouter les conseillers européens, pour lesquels il a payé. Depuis lors, de nouveaux États, de nouveaux dirigeants sont apparus sur la carte du monde, ce qui signifie que la nouvelle horloge d’une autre histoire réécrite a tourné.