maison > Tout sur les signes du zodiaque

Concept moderne 1 de démocratie. La démocratie comme forme de gouvernement

25.09.2019

Dans un langage ordinaire sur des choses complexes

Il n’est pas nécessaire de penser que la démocratie appartient à l’histoire nouvelle. Le concept lui-même a été introduit par les Grecs de l’Antiquité environ cinq cents ans avant JC. Traduit directement du grec, « democratia » signifie « démocratie ». Cependant, il convient de noter que la noblesse grecque le prononçait avec un sens différent de celui d’aujourd’hui. Selon les chercheurs, les aristocrates utilisaient ces mots pour exprimer leur mépris envers les roturiers qui parvenaient au gouvernement. Quoi qu'il en soit, le concept est fermement entré dans la vie quotidienne et il a aujourd'hui une couleur complètement différente.

Depuis l'époque de Rome antique, fondateur de la démocratie, divers peuples et les États, d’une manière ou d’une autre, ont tenté de mettre en œuvre les principes d’une démocratie complète. En Europe du Nord, ce sont les pays scandinaves. Les Vikings ont tenu une réunion, la soi-disant Chose, au cours de laquelle toutes les questions de gouvernement du pays et de politique étrangère ont été décidées. Dans une autre partie de l'Europe, sur le territoire de la Suède moderne, la démocratie a donné naissance à une nouvelle forme : une république, puis une confédération. Et bien sûr l’Angleterre, qui a rassemblé et amélioré l’expérience de ses prédécesseurs. Un parlement national est né sur ses terres. Ici, les gens libres et les nobles participent simultanément au gouvernement du pays. Elles sont rejointes par des assemblées régionales et diverses assemblées nationales. Tous les députés doivent être sélectionnés.

En termes simples, la démocratie est une structure étatique dans laquelle tous les citoyens contrôlent leur propre ordre de vie et influencent la vie publique. Toute personne a le droit à la libre expression de sa volonté, le droit de déterminer ses choix et ses obligations, en tenant compte des intérêts de la société dans son ensemble. La démocratie donne la possibilité de participer au gouvernement et jouit de droits égaux quels que soient l'âge, le sexe et le statut social.

Principales définitions

Le concept de démocratie est aujourd’hui interprété dans deux directions. C'est une manière de réguler la politique intérieure et étrangère, en organisant l'interaction entre les autorités du pays. Le type d'État et le régime juridique sont également appelés. Lorsqu’on qualifie un pays de démocratique, on entend une combinaison de ces deux concepts. Cela signifie que les personnes qui en font partie sont reconnues comme le pouvoir suprême et comme l'État. Les autorités et le gouvernement du pays sont élus. Les principes de base d’une démocratie complète peuvent être considérés :

Le pouvoir de la majorité.
Sélectivité du pouvoir et du chef de l'Etat, y compris.
Partage du pouvoir.
Suprématie du droit.
Protection des droits et libertés de chacun.
Égalité.

Il existe deux types de démocratie : directe et représentative. La première forme implique que les décisions sont prises directement par chaque citoyen du pays. Si les citoyens élisent leurs représentants dans les organes gouvernementaux, ce type sera alors appelé représentatif. En règle générale, aucun pays ne présente un type particulier de démocratie. La symbiose des deux formes se manifeste dans la capacité des citoyens à exprimer directement leur volonté sur certaines questions. Il existe également d'autres combinaisons de modes. Un exemple frappant L'Angleterre peut être considérée comme un tel phénomène. C’est un État monarchique dans sa forme, mais essentiellement démocratique. Le chef est le roi, mais il ne participe pas à la gouvernance du pays. Le Parlement est élu. Qui dirige les affaires de l’État.

Il existe cinq étapes de développement de la démocratie :

La « paix » est la première étape. Le droit fondamental de chacun est le droit à la survie et à la sécurité. Le développement d'une société démocratique commence par l'octroi de droits primitifs.
La deuxième étape est la « liberté ». L'État, luttant pour la liberté de l'individu, le marché et l'expression de la volonté, traverse une nouvelle étape de développement.
Le droit à « l’égalité » est déterminé par l’État lors de la troisième étape d’amélioration. Les atteintes à la liberté et l'esclavage sont inacceptables.
La « Fraternité » est le quatrième degré de développement. L'égalité sociale et l'égalité des droits entre personnes ayant des revenus différents indiquent un niveau de démocratie assez élevé. L’égalité des chances au sein d’un pays est un État-providence.
Le summum de l’évolution et la cinquième étape du développement de la démocratie est « l’environnement ». L’humanité ne pense à la fiabilité de l’environnement, à la protection de la faune et de son habitat que lorsque ceux-ci sont sûrs, bien nourris et gratuits.

La démocratie n’a ni une forme ni un contenu clairs.

Tous les concepts sont unis par une seule essence : la démocratie et l'égalité. Mais une personne, par nature, ne naît pas absolument la même. Les talents, les capacités et les limitations physiques de certains conduisent à des plaintes pour injustice dans la répartition des biens et des libertés au sein de la société. La soumission à la majorité devient une pierre d’achoppement dans cette forme de gouvernement. Les conflits d'intérêts et l'insatisfaction des individus conduisent à un refus d'obéir règles générales. Il n’existe donc pas aujourd’hui de société démocratique idéale.

Je voudrais terminer avec les belles paroles de Winston Churchill : « La démocratie a de nombreux inconvénients, mais elle a aussi un avantage : jusqu’à présent, personne n’a rien inventé de mieux. »

Le concept de démocratie est depuis longtemps débattu à travers le monde. Presque tous les pays tentent de se conformer à ses principes. Dans cet article, nous aborderons le thème « Démocratie : concept et types ». De plus, vous découvrirez les principes, les formes et les caractéristiques de ce régime politique.

Concept de base

Nous examinerons donc les types de démocratie un peu plus tard. Vous devez d’abord comprendre le terme lui-même. Il s'agit d'une forme spécifique de gouvernement, qui consiste en la pleine participation des citoyens du pays à sa direction. Il assure non seulement l'existence des droits et libertés nécessaires, mais aussi l'égalité universelle devant les lois.

Dans une société démocratique, la démocratie doit être développée au maximum. Autrement dit, tous les pouvoirs ne doivent pas nécessairement être concentrés entre les mains d’une seule personne ou d’un groupe de personnes. Le gouvernement élu par le peuple doit être aussi ouvert que possible au peuple, lui rendre compte de ses activités et s'efforcer de développer l'État.

Principales caractéristiques de la démocratie

Sans eux, cette forme de gouvernement ne peut exister. Ainsi, ses traits caractéristiques :

La démocratie a un caractère politique et étatique.
Cette forme de gouvernement implique la garantie et l'exercice effectif de tous les droits civils.
Conformité lois établies, responsabilité mutuelle de l'État et du peuple pour les atteintes aux droits et libertés des personnes.

Comme vous pouvez le constater, ces signes ne sont pas inhérents à certaines autres formes d'exercice du pouvoir, par exemple la dictature.

Des principes

Les types de démocratie constituent une question très importante non seulement pour les hommes politiques, mais aussi pour des gens ordinaires. Il n’en est pas moins intéressant d’en connaître les principes :

Fonctions de la démocratie

Voyons maintenant ce que devrait exactement mettre en œuvre la forme de gouvernement présentée. Ainsi, il y a les fonctions suivantes de la démocratie :

Sécurité. Il assure la sécurité, la dignité et l'honneur de chaque citoyen. Il contribue à préserver les droits de l’homme et les libertés contre toute violation par des tiers.
Fondation. Cela prévoit la formation d'un appareil d'État à partir des organes gouvernementaux et de l'autonomie locale par le biais d'élections ou de sélection concurrentielle.
Organisationnel et politique. Cette fonction suppose que les personnes sont
Réglementaire. Il prévoit le travail de tous les sujets d'une société démocratique, qui sont tenus d'unir leurs efforts et leurs intérêts pour préserver les libertés et les droits des citoyens.

Contrôle. Il assure le contrôle des autorités, qui doivent agir dans les limites de leurs pouvoirs et compétences.
Stimulant. Il prévoit une fourniture maximale du travail de l'État au profit de la société. Dans le même temps, l’opinion du peuple doit être prise en compte. Les citoyens sont encouragés à être actifs dans la vie publique.

Seule la démocratie peut y parvenir. Vous examinerez ci-dessous les types et les formes de ce mode.

Formes

Il n'y en a donc que deux :

Comme vous pouvez le constater, chaque citoyen doit connaître le concept même de la démocratie, ses types et ses formes. Chaque personne jouit de certains droits et libertés qui sont protégés par l'État.

Types de démocratie

Il y a maintenant une autre question importante à considérer. Il existe ces types de démocratie :

Constitutionnel. Il combine non seulement des principes démocratiques, mais aussi certains signes de libéralisme.
Conservateur. C'est typique de certains pays dans lesquels des traditions de longue date jouent un rôle important. Cette forme de gouvernement est pratiquée en Grande-Bretagne.
Anarchiste. Elle repose sur l’aura populiste créée par les dirigeants.
Polyarchique. Son caractéristique c'est la présence d'un grand nombre de centres politiques capables de prendre des décisions. Autrement dit, le pouvoir est dispersé.
Consensus. Il est encore en développement, mais son objectif principal est d'abandonner le principe majoritaire. Cette forme de gouvernement devrait exister sur la base du partenariat mutuel, du consentement et du compromis.

Vous savez maintenant ce qu'est la démocratie, le concept, les types et les formes de ce régime.

Au dernier décompte, en 2017, il y avait 251 pays dans le monde. Ils diffèrent tous les uns des autres par leur taille, leur population et leur nationalité, leur forme de gouvernement et leur degré de développement. Mais l’une des caractéristiques les plus importantes de l’État, dont dépend tout le mode de vie de la population, est le régime politique. C'est lui qui détermine les méthodes et les formes de gestion qui domineront le pays.

Il n'existe que trois régimes politiques principaux :

Un régime totalitaire, également appelé totalitarisme, est celui l'État contrôle toutes les sphères de la vie. Les autorités s'appuient sur la force, toute opposition est interdite et le leader est exalté.
Un régime autoritaire se caractérise par un pouvoir légèrement « plus doux ». À la barre se trouve un groupe de personnes ou une personne disposant d'un pouvoir illimité, mais en même temps, certaines libertés civiles et économiques des citoyens sont déjà autorisées. L'autoritarisme est une forme plus douce de régime totalitaire.

Le régime politique le plus répandu dans le monde, suivi par de nombreux États, est la démocratie. . Dans ce régime, la première place est placée liberté et droits des citoyens. En bref, le principe fondamental de la démocratie est que la société bénéficie d'un grand nombre de libertés et de droits, y compris le droit de participer pleinement à la vie de l'État.

Signes de démocratie

Chacun des régimes politiques a des caractéristiques, des traits distinctifs, qui sont leur essence. La forme démocratique de gouvernement ne fait pas exception. Elle présente plusieurs caractéristiques qui la distinguent des autres modes de gouvernance et qui définissent ce qu’est la démocratie.

Le mot lui-même signifie le pouvoir du peuple. Ce sont les gens qui sont avec elle la principale et unique source d'énergie.
Le peuple élit des représentants du gouvernement - des députés. La société n’y parvient que d’une seule manière : des élections justes, ouvertes et libres.
Le pouvoir n'est pas élu une fois pour toutes : une particularité de la démocratie est que les députés sont élus pour un mandat déterminé et pas très long, après quoi des élections auront lieu à nouveau.
L'égalité des droits pour toute personne est une autre caractéristique de ce régime. Chaque personne a des droits, qu'il peut défendre avec l'aide de mécanismes indépendants - les tribunaux.
L'ensemble de la structure de l'État, l'ensemble de l'appareil d'État n'est pas concentré dans un groupe restreint de personnes - il est divisé en branches du pouvoir : législatif, judiciaire et exécutif.
Si sous le totalitarisme l'opposition était réprimée et détruite de toutes les manières possibles, alors la démocratie en la matière est radicalement différente - l'opposition fonctionne librement, exprime son mécontentement, organise des cortèges, des manifestations politiques, des rassemblements et d'autres formes d'expression de protestation et de désaccord.
Des moyens indépendants de l'Etat médias de masse qui parlent librement de ce qui se passe dans le pays - la base d'un système démocratique.

L'essence même de la démocratie réside dans le pouvoir du peuple - votes, référendums, manifestations au cours desquelles la société exprime ses revendications, ses préférences, ses désaccords, etc.

Important! La démocratie ne garantit pas les droits et libertés à absolument tous les citoyens. Par exemple, une personne qui a violé une loi devra être punie sous forme de restrictions à ces mêmes droits et libertés.

Formes de démocratie

Il existe deux formes de ce régime politique : la démocratie directe et la démocratie représentative. Quelle est la différence? Voyons cela.

Les principales caractéristiques distinctives résident dans leur nom. La forme directe de la démocratie se caractérise par le fait que le gouvernement, c'est-à-dire le pouvoir, s'exerce directement par les gens par le vote et les référendums.

Pour une meilleure compréhension, donnons un exemple : il a été proposé d'adopter une certaine loi dans l'État. Afin de décider si cette loi sera adoptée, un référendum est organisé au cours duquel chacun vote pour ou contre l'adoption du nouveau projet de loi. Les questions les plus importantes sont résolues en démocratie directe de cette manière ou de manière similaire.

La démocratie représentative est fondamentalement différente. L'exemple précédent avec un nouveau projet de loi convient également : la décision d'accepter ou de rejeter le nouveau projet de loi sera prise par des députés élus par le peuple au travers de élections libres et équitables.

La principale différence semble être claire, mais chacune des formes a ses propres avantages et inconvénients : sous la domination de la première forme, les gens prennent eux-mêmes des décisions, mais tous ne connaissent pas bien la jurisprudence, les lois, toutes les subtilités et nuances de tels cas. Sous la deuxième forme le pouvoir du peuple est limité, parce qu'il choisit ceux qui prendront les décisions, et ne les prend pas lui-même. Dans ce cas, il peut y avoir beaucoup de mécontents.

Fonctions de la démocratie

Toute méthode de gouvernement remplit certaines fonctions pour l'existence normale du pays et sa prospérité. La démocratie poursuit plusieurs objectifs :

La première et la plus importante est considérée comme la fonction de protection. La société d'un État développé moderne bénéficie de garanties de sécurité, de respect des lois, de protection de la dignité, de l'honneur, des droits et libertés de tout citoyen.
L'organisation et la formation de l'État en tant qu'appareil, en tant que système d'organismes du gouvernement central et d'organismes d'autonomie locale par le biais d'élections justes et libres, sont assurées par la fonction constituante.
La fonction politique et organisationnelle garantit que les gens sont la seule et permanente source d'énergie.
La fonction de régulation assure le bon fonctionnement de toutes les entités nécessaires pour garantir les droits et libertés des citoyens.

Ce n'est que lorsque toutes les fonctions décrites sont remplies que l'on peut dire qu'un régime démocratique prévaut dans l'État.

Avantages et inconvénients de la démocratie

Chaque mode reflète à la fois positif et côtés négatifs, car il n’existe pas d’options idéales. Malgré tous les progrès qu’apporte la démocratie, elle présente des inconvénients qui affectent d’une manière ou d’une autre la vie de la société.

avantages	Inconvénients
Cette forme d'organisation assure un bon contrôle sur les fonctionnaires et sur les institutions démocratiques.	Très un grand nombre de les citoyens adhèrent à une position neutre et indifférente, c'est-à-dire qu'ils n'ont aucun désir de participer à la vie politique de l'État.
La démocratie prévient et réprime par tous les moyens possibles les abus de pouvoir de la part des fonctionnaires et de tout fonctionnaire.	Combien de personnes – tant d’opinions. Cette règle dans les grands États rend parfois très difficile la prise de la bonne et unique décision.
Avec ce dispositif, la voix de chacun sera non seulement entendue, mais elle sera prise en compte dans toute prise de décision.	Le véritable pouvoir n’appartient probablement pas au peuple, puisque toutes les décisions sont prises par des représentants élus.
Dans la grande majorité des pays où prévaut une véritable démocratie, il existe une prospérité stable dans toutes les sphères de la société, de la culture et du développement à la force militaire.	La bureaucratie prospère le plus souvent dans les pays démocratiques.

Malgré tous les inconvénients assez importants qui apparaissent dans la démocratie, les avantages ont un impact beaucoup plus important sur la vie de la société dans un sens positif.

Important! Il ne faut pas oublier qu'à la question qui sont les démocrates, il ne faut pas répondre qu'ils résident dans des pays dotés d'un tel régime. Les démocrates sont les partisans d'une orientation politique qui défend les principes de la démocratie.

Démocraties modernes

Pour examiner clairement l’impact de la démocratie sur la vie de la société, prenons les pays démocratiques qui ont obtenu les plus grands succès.

Suisse est l’un des pays les plus développés économiquement. Ses habitants sont riches, les équipements sont au plus haut niveau et le monde entier admire la médecine, l'éducation et d'autres structures nécessaires en Suisse. La démocratie est un système politique établi ici il y a longtemps.

Le deuxième plus grand pays du monde en termes de superficie est Canada, est également l’un des pays les plus développés économiquement au monde. Le PIB par habitant est extrêmement élevé, c'est-à-dire que le niveau de vie de la population est très développé. Ici, les institutions démocratiques travaillent pour le bénéfice de la société. De plus, le Canada a un taux de criminalité inhabituellement bas, ainsi qu'un excellent...

Nouvelle-Zélande est situé dans le sud-ouest de l’océan Pacifique et est un autre pays démocratique. Une économie très développée, un faible taux de criminalité : la Nouvelle-Zélande, où règne la démocratie, peut se vanter de tout cela.

Grèce n’est pas simplement un autre État doté d’un régime démocratique, mais un État où la démocratie est née. C’est dans la Grèce antique que les citoyens furent pour la première fois autorisés à élire des « hauts fonctionnaires ». Ce pays appartient à pays développés avec un PIB en croissance rapide.

Qu'est-ce que la démocratie, ses types, ses avantages et ses inconvénients

Démocratie, exemples de pays

Conclusion

La démocratie est florissante dans de nombreux pays du monde, et dans la plupart d'entre eux il y a une amélioration significative dans la vie, augmenter le PIB, développer l'éducation, la médecine et d'autres domaines de la société. Le régime démocratique est le plus progressiste de tous ceux qui existent, car quoi de plus précieux pour une personne que la vie et sa sécurité, sa liberté de choix et la garantie de ses droits.

DÉMOCRATIE LA DÉMOCRATIE (du grec demos – peuple, kratos – pouvoir, gouvernement) est une forme de gouvernement dans laquelle les citoyens, personnellement ou par l'intermédiaire de représentants élus, exercent le droit de prendre des décisions (politiques). D. repose sur la reconnaissance du peuple comme source du pouvoir et présuppose le pouvoir de la majorité, l'égalité des citoyens, l'État de droit, etc. En démocratie directe, les principales décisions sont prises par les électeurs eux-mêmes (par exemple, par le biais de référendums) ; en démocratie représentative, les décisions sont prises par des institutions élues (par exemple, les parlements). Une forme de gouvernement où le pouvoir de la majorité s'exerce dans le cadre de restrictions constitutionnelles garantissant à la minorité l'exercice de certains droits individuels ou collectifs (tels que la liberté d'expression, de religion, etc.) est dite libérale, ou constitutionnelle, D .
Pour la première fois, une forme de gouvernement démocratique a été établie au Dr. Grèce. Père grec D. est considéré comme Solon, qui a commencé en 594 avant JC. réforme du gouvernement d'Athènes. Les premiers enregistrements écrits du mot « D ». on ne la trouve cependant que dans les textes du second. sol. 5ème siècle AVANT JC. (Eschyle, Hérodote). Il a fallu au moins un demi-siècle pour comprendre la nouvelle réalité : la démocratie. D. était absent de la société féodale médiévale, qui n'avait ni État ni société civile au sens moderne du terme. Depuis le 17ème siècle. Le mode de gouvernance démocratique s’impose progressivement dans les pays développés d’Europe occidentale. Ainsi, en France en 1814, il y avait 100 000 électeurs pour une population de 30 millions d'habitants. Les femmes n'ont obtenu le droit de vote qu'après la Première Guerre mondiale (en Suisse en 1971). Seulement dans les années 1970. L'âge des électeurs les plus jeunes a été abaissé à 18 ans.
La définition de la démocratie comme un système social dans lequel le pouvoir est entre les mains du peuple ne satisfait plus ni Platon ni Aristote, qui distinguent la démocratie régie par des lois et la démocratie dépourvue de règles. Dans ce dernier cas, le peuple, c'est-à-dire la majorité, tombant sous l'influence des démagogues, assoit son pouvoir illimité sur ceux qui restent en minorité. La démocratie purement formelle, non limitée par des exigences substantielles, peut conduire à la domination des masses (ochlocratie) et à l'établissement des formes les plus extrêmes du système administratif, jusqu'à une société ouvertement totalitaire. On sait qu'Hitler est arrivé au pouvoir en 1933 à la suite d'élections totalement démocratiques. « La démocratie formelle, c'est-à-dire le droit au vote libre, égal et secret en tant que tel n'est en aucun cas une garantie de la liberté, bien au contraire, une menace pour celle-ci » (K. Jaspers).
D. signifie le renouvellement périodique du système de pouvoir par la libre expression de la volonté des citoyens réglementée par la loi. Le concept de « D ». est inextricablement lié au concept de « société civile », qui couvre la sphère de l'expression spontanée des individus et des associations bénévoles, protégée par la loi, et comprend l'ensemble des relations apolitiques dans la société. L'État établit des lois qui empêchent l'ingérence directe et la réglementation arbitraire des activités des citoyens par les organismes gouvernementaux. Le principal instrument de l'influence inverse de la société civile sur l'État est D. Les élections démocratiques des organes gouvernementaux sont des périodes courtes et régulièrement répétées de domination de la société civile sur l'État, gérées par les dirigeants. Le résultat d’une telle domination est un État renouvelé, davantage aligné sur la société civile.
Une démocratie à part entière n’est possible que s’il existe une société civile stable, capable de l’utiliser comme instrument pour rendre l’État plus conforme aux valeurs partagées par la société civile. À son tour, l'existence même de la société civile, guidée dans sa vie par les règles établies par l'État, est stable et productive si la société civile dispose de D. comme moyen décisif d'influencer l'État. Le lien entre la démocratie et une société civile développée est la clé pour comprendre la démocratie et expliquer pourquoi, dans les pays où l’État n’a pas de société civile comme contrepoids, la démocratie s’avère inefficace et parfois même nuisible.
La société représente, pour ainsi dire, deux modèles d’interconnexion humaine, qui se chevauchent et s’alternent. La société du premier modèle apparaît comme un système structurel, différencié et souvent hiérarchique de structures politiques, juridiques et économiques avec de nombreux types d'évaluations qui divisent les gens en « plus » ou « moins ». La société du deuxième modèle s’avère être une société non structurée ou rudimentairement structurée, une communauté indifférenciée d’individus égaux. Les relations structurelles qui présupposent ouvertement l'inégalité des personnes incluent notamment leurs relations selon les positions, les statuts, les rôles sociaux, etc. A l'opposé de ces relations sont les relations communautaires, ou communautaires, qui présupposent l'égalité des personnes et se manifestent particulièrement clairement dans les situations de transition : révolutions, élections (une communauté d'électeurs égaux en droits), un changement de travail (une communauté de les chômeurs), les déplacements dans l'espace (transport de passagers), etc. .P. Les relations communautaires dominent dans les communautés religieuses, dans les communautés universitaires, dans les rassemblements et manifestations, dans les partis politiques, etc. Les exemples paradigmatiques les plus frappants, pourrait-on dire, de relations communautaires sont les relations entre vrais amis et amants. Dans les deux cas, les gens entrent dans des relations en tant qu’individus à part entière, égaux les uns aux autres en tout. Les relations structurelles sont parfois dites verticales, et les relations communautaires sont parfois dites horizontales. « Toute société – moderne ou traditionnelle, féodale ou capitaliste – se caractérise par un système de communications et d’échanges interpersonnels, à la fois formels et informels. Certaines de ces connexions sont essentiellement de nature « horizontale », rassemblant des personnes ayant un statut et des opportunités égaux. Dr. les connexions sont en grande partie « verticales » et rassemblent des personnes inégales à travers des relations asymétriques d’oppression et de dépendance. Dans le monde réel, bien sûr, les connexions des deux types sont adjacentes… » (R. Putnam). Les relations communautaires expriment l'essence profonde de l'homme - l'unité de tous les peuples, leur communauté tribale. Dans un certain sens, elles sont plus fondamentales que les relations structurelles.
La vie sociale est une dynamique complexe et un équilibre instable entre la « communauté », ou égalité, et la structure, ou inégalité. D. est le principal moyen par lequel la société amène les relations structurelles et communautaires à une conformité relative et à un équilibre temporaire. D., ce sont quelques jours et quelques heures où tous les membres de la société deviennent égaux les uns aux autres (en tant qu'électeurs) afin, par leur libre choix, de recréer immédiatement, mais peut-être sous une forme modifiée, l'inégalité qui existe constamment entre eux. D. en tant que domination périodique à court terme des relations communautaires sur les relations structurelles dans le but de changer et de mettre à jour ces dernières n'est efficace que dans les conditions d'une société individualiste, mais pas collectiviste ( cm. SOCIÉTÉ INDIVIDUALISTE ET SOCIÉTÉ COLLECTIVISTIQUE).
Une société collectiviste n'a pas besoin de recourir à D. pour mettre à jour sa structure. Même si elle conserve des procédures démocratiques, comme c'était le cas dans la société communiste, la démocratie devient purement formelle. La participation aux élections est non seulement le droit d'un citoyen, mais aussi sa responsabilité, le « choix » est proposé parmi un candidat incontesté, les résultats du vote sont résumés par les personnes autorisées à le faire par l'élite dirigeante, etc. La société nationale-socialiste traitait généralement D. avec mépris et ne jugeait pas nécessaire d'organiser au moins des élections formellement démocratiques. Le véritable renouvellement de la structure d'une société collectiviste n'est pas réalisé par les électeurs ordinaires, mais par l'élite dirigeante, agissant selon les règles qu'elle a elle-même élaborées. L’équilibre entre les relations structurelles et communautaires est atteint en postulant un futur monde parfait dans lequel les relations communautaires régneront en maître. En réalité, la société existante, caractérisée par une structure particulièrement rigide, est déclarée temporaire et transitoire, juste un seuil imparfait du futur. L'ère de domination des relations communautaires dans une société communiste est proclamée communisme, dans une société national-socialiste - un futur État purement aryen qui a conquis tout ce qui est nécessaire à son existence durable (« millénaire »). L'équilibre actuel des relations communautaires et structurelles dans une société collectiviste contribue en partie à ce qu'on appelle quotidien D. : réunions régulières ; manifestations et rassemblements bondés ; les vacances, qui sont extrêmement nombreuses ; jours d'élections (sans choix), toujours officialisés comme jours fériés, etc.
D. n’est enraciné ni dans la nature humaine ni dans la nature de la société. Ce n'est ni universel ni universel valeur sociale et suppose pour son efficacité toute une série de conditions sociales et de camaraderie. L’une des principales conditions est l’existence d’une société civile durable. Dr. la condition est un État de droit – un État dans lequel les lois ont la même force pour tout le monde et où les changements dans les lois se produisent uniquement par des moyens légaux. Un tel État offre à une personne cette protection contre la violence, dans laquelle seule la signification de ses opinions et de sa volonté peut se manifester.
D. présuppose en outre la possibilité d’une discussion ouverte et sans restriction. Pour que cette dernière soit menée sur la base d’une véritable prise de conscience, la liberté de la presse, la liberté de réunion et la liberté d’expression sont nécessaires. D. requiert également l’existence de partis politiques concurrents. La stabilité de D. est également donnée par ce que l'on peut appeler un mode de vie démocratique : la conscience de la liberté et la conscience du prix auquel elle a été gagnée doivent constamment vivre parmi la masse de la population. La conscience de la valeur de la liberté doit être complétée par la présence au sein de la masse de la population de certaines habitudes (ethos) du vivre ensemble, qui deviennent en quelque sorte une propriété évidente nature humaine(respect de la loi, tolérance dans la communication, respect des droits d'autrui, attention et volonté d'aider, non-violence contre les groupes minoritaires, volonté constante de compromis dans les problèmes quotidiens, etc.).
Une autre condition importante pour D. est un niveau de développement socio-économique suffisamment élevé de la société. « L'expérience empirique suggère qu'une démocratie efficace est corrélée à la modernisation socio-économique... La prospérité allège les fardeaux, tant publics que privés, et améliore l'ordre social » (Putnam).
D. présuppose également une constitution écrite ou non écrite qui protège la liberté, les droits de l'homme et l'État de droit contre les empiétements du parti majoritaire temporairement au pouvoir. D. exige la séparation de la politique de l’économie, la division du gouvernement en trois branches et un système judiciaire fonctionnant efficacement.
D. existe toujours dans un certain contexte social ; ses formes, sa portée et son efficacité changent avec les changements de ce contexte.

Philosophie : Dictionnaire encyclopédique. - M. : Gardariki. Edité par A.A. Ivina. 2004.

DÉMOCRATIE ( grec - démocratie, du - peuple et - pouvoir), forme d'État-politique. structure de la société, fondée sur la reconnaissance du peuple comme source de pouvoir, sur les principes d'égalité et de liberté. Le terme « D ». également utilisé en relation avec l'organisation et l'activité département. politique Et institutions sociales, par exemple partie D., production. D. D. comme une forme de politique étatique. Ce dispositif est apparu avec l'émergence de l'État, remplaçant le clan communal primitif et l'autonomie tribale. Contrairement aux autres formes État dispositif, sous D. le pouvoir de la majorité est officiellement reconnu, l'égalité des citoyens, l'État de droit et les élections sont organisées basique les organes de l'État et T. n. Distinguer directement. et présentera. D. Dans le premier cas basique les décisions sont prises directement par les électeurs (par exemple sur adj. réunions, par référendum), dans le second par les institutions élues (par exemple les parlements). Mais dans les conditions d'une société d'exploitation, démocratique. les formes et les institutions restent inévitablement limitées et formelles, et à travers la démocratie en tant que forme d'État, la domination de la classe dans les mains de laquelle se trouvent les moyens de production et le pouvoir politique s'exerce. pouvoir. Le type historique de D. le plus développé dans une société d'exploitation est bourgeois D. est une forme de dictature de la bourgeoisie. Véritablement scientifique La compréhension de D. a été développée pour la première fois par les classiques du marxisme-léninisme. Analyser l'essence bourgeois D., le marxisme-léninisme révèle tout d'abord son contenu de classe, soulignant que quel que soit le développement, il est démocratique. les institutions et citoyen droits, tant qu'il y aura une propriété privée des moyens de production et une exploitation du travail, aussi longtemps qu'il y aura une politique le pouvoir est entre les mains de la bourgeoisie, D. est inévitablement limité et hypocrite. Limité en . au fait que cela ne s’applique pas à la chose la plus importante – aux conditions de vie matérielle des gens, où continuent d’exister des inégalités flagrantes et l’exploitation de certaines classes et groupes sociaux par d’autres ; hypocrite car il préserve toutes les contradictions entre les slogans proclamés et la réalité. Révéler l'essence bourgeois D. en tant que forme de domination de classe des capitalistes, le marxisme-léninisme met en évidence Ch. caractéristique qui le distingue de etc. formes d’États exploiteurs : dans la démocratie bourgeoise. Dans une république, le pouvoir du capital ne s’exerce pas directement, mais indirectement. La présence du suffrage universel. la loi, le parlement et le gouvernement qui en est responsable, le jury, le système d'autonomie locale, l'inviolabilité officiellement proclamée de la personne et du domicile, la liberté de la presse et de réunion - tout cela crée l'apparence d'une « autocratie du peuple ». » En fait, pour la démocratie. la coquille cache le pouvoir du grand capital. Mais caractère de classe limité bourgeois D. ne veut pas dire que ses institutions ne peuvent pas être utilisées par la classe ouvrière. Démocratique principes, droits, institutions - le résultat de la lutte adj. poids. Aussi limités et formels soient-ils sous le capitalisme, la classe ouvrière les utilise pour protéger son économie. et politique intérêts, pour l’auto-organisation et l’éducation des masses laborieuses. Bien que sous régime démocratique Dans une république, l'État reste une machine d'oppression d'une classe par une autre, un instrument de la dictature de la bourgeoisie, cela ne veut pas dire. que la forme d’oppression est indifférente à la classe ouvrière. Plus le prolétariat conquiert de droits et de libertés, meilleures sont les conditions de son organisation dans révolutionnaire fête, pour promouvoir des idées scientifique communisme et inclusion d’un large adj. des masses dans la lutte contre le pouvoir du capital, plus grande est la possibilité d'utiliser la démocratie. institutions capitalistes les États disposent de leur propre presse, cherchent à faire élire leurs représentants aux gouvernements locaux, envoient des députés au parlement. C’est pourquoi la classe ouvrière lutte pour la préservation et le développement de la démocratie. moderne révolutionnaireÀ l’époque de la transition du capitalisme au socialisme, la lutte pour la démocratie devient partie intégrante de la lutte pour le socialisme. Burzh. D. est un énorme progrès par rapport à la politique de l’État. organisation Milieu du siècle société. Mais c'était et reste une forme de domination de classe de la bourgeoisie, que K. Kautsky et etc. dirigeants de la 2e Internationale qui ont défendu l'idée soi-disant démocratie pure et croyait que sur cette base, quel que soit son contenu de classe, le prolétariat est capable de résoudre les problèmes auxquels il est confronté. révolutionnaire Tâches. Mais l’histoire a réfuté ces concepts. Si l'utilisation par les travailleurs est démocratique. les droits et les institutions menacent réellement d'affecter basiqueéconomique intérêts et politique le pouvoir de la bourgeoisie, celle-ci abandonne la légalité qu'elle a créée, piétine brutalement D. et recourt à la violence directe. Avec l'émergence du Sov. État, un nouvel historien est apparu. Type D. - D. socialiste Le socialisme redonne pour la première fois au concept de D. son vrai sens, remplit la démocratie et les principes d'un contenu réel. Mais cela arrive mais à cause d'un seul révolutionnaire transfert du pouvoir à la classe ouvrière et à ses alliés. Formation et développement du socialisme. D. est assez long. processus. Basique principes socialistes la démocratie ont été formulées par K. Marx et F. Engels et incluses dans la théorie scientifique le communisme comme partie intégrante de la doctrine du socialisme. État. V.I. Lénine a non seulement développé cet enseignement de manière globale, mais a également supervisé directement la construction du socialisme. D. Les principes d'un nouveau type de D. sont devenus une réalité dans PL. des pays. Socialiste D. est devenu un phénomène établi. Développement socialiste D. a trouvé sa pleine incarnation dans la Constitution de l'URSS. Pour socialiste D. caractéristique piste. particularités. Être qualitativement nouveau dans son contenu de classe, politique. phénomène, il hérite de tout le meilleur des démocraties. acquis des travailleurs, les adapte aux nouvelles conditions, les renouvelle et les enrichit de manière significative. Aux côtés des créatifs En utilisant l'héritage du passé, le socialisme crée des principes et des formes de démocratie complètement nouveaux, jusqu'alors inconnus. Les possibilités de cela sont inhérentes à la nature même du socialisme. bâtiment. D’où la domination des sociétés. la propriété des moyens de production signifie que l'objet est démocratique. la gestion et le contrôle deviennent économie et culture, dans les conditions moderne monopole d'État le capitalisme n’est que partiellement réglementé bourgeois par l'Etat. La caractéristique fondamentale du socialisme. D. réside également dans le fait qu'il se développe et s'améliore constamment. Avec la construction d'un pays socialiste développé société et à mesure que nous progressons vers le communisme, de nouveaux moyens et méthodes naissent pour la participation des travailleurs aux affaires de la société. Croissance constante des sociétés. la richesse élargit les droits sociaux des travailleurs et le développement de la culture, des idées et de la morale. la conscience du peuple crée les conditions préalables à un recours de plus en plus répandu à la politique. gratuit La démocratie en politique Le système du socialisme est assuré par une combinaison de méthodes. et directement D. En URSS, le principe adj. représentation incarnée dans les Soviétiques adj. des députés qui forment, de haut en bas, un système unifié d'organismes gouvernementaux qui gèrent les affaires de l'État. Méthodes directes D. sont utilisés sous le socialisme à une échelle impensable dans le passé. C'est une chose nationale. discussion des projets de lois majeures, activités bureau, syndicat, Komsomol et etc. société organisations, système adj. contrôle, fermes. coopératives, créatives syndicats, sociétés diverses (par profession, par intérêt, par lieu de résidence, par affiliation départementale et T. P.), à travers lequel les citoyens participent largement aux décisions concernant la politique et la production. et les problèmes du quotidien. La force dirigeante de ces organisations est socialiste. la société est communiste. l'envoi. Gestion de la société par les communistes. le parti fournit Ch. condition d'une vraie démocratie État pouvoir - la conformité de sa politique avec les intérêts du peuple tout entier. Dans des conditions socialistes développées la société en URSS s'est développée socio-politiquement. et l'unité idéologique du peuple tout entier. Identité des intérêts fondamentaux chouettes les gens ne nie pas pour autant la diversité spécifique. intérêts de divers sociaux, national, âge, prof. et d'autres groupes de population. Agir en tant que porte-parole des intérêts communs de tous chouettes les gens, le parti en même temps prend en compte et se met d'accord sur les détails. intérêts des différents groupes de la population, veille à leur satisfaction dans le cadre d’une politique unifiée. La direction du parti garantit et etc. une condition fondamentale pour la démocratie État pouvoir - conformité de ses politiques avec les intérêts du développement progressif de la société. Fondant ses activités sur la base de la théorie marxiste-léniniste, PCUS réalise non seulement Max. satisfaction des besoins matériels et spirituels des travailleurs, mais aussi mouvement constant vers les objectifs spécifiés scientifique communisme. L'un des principes fondamentaux de D. est l'égalité. Sous le capitalisme, la mise en œuvre de ce principe se limitait uniquement à l'égalité formelle des citoyens devant la loi. Transfert des moyens de production à la société. la propriété a provoqué une révolution radicale dans tout le système des sociétés. des relations. Les conditions d’exploitation de l’homme par l’homme ont été éliminées et le seul fondement fiable et réel de l’égalité a ainsi été créé. Politique égalité des citoyens socialiste. La société se manifeste clairement dans le fait que tous les citoyens peuvent participer aux affaires de l'État, sans distinction de race et de statut. national appartenance, sexe, religion, éducation, résidence, origine sociale, propriété. poste et activités passées. D'énormes progrès ont été réalisés pour surmonter divers types d'inégalités sociales, établir l'égalité des nations et l'égalité des hommes et des femmes. Socialiste D. crée les conditions de la liberté individuelle. Constitutions socialistes. des pays, etc. lois ainsi qu’un large contexte socio-économique. droits proclamés liberté d'expression, de presse, de réunion, liberté de conscience, inviolabilité du domicile, secret de la correspondance et etc. citoyen liberté. De plus, ces éléments constitutifs de la démocratie ne sont pas simplement déclarés, mais effectivement garantis par le transfert entre les mains des peuples des moyens de production de toutes les sociétés. la richesse, le mode de vie même sous le socialisme. En socialiste Dans tous les pays, les droits et libertés des citoyens sont indissociables de leurs responsabilités. Socialiste La démocratie sous le communisme se transformera en un système communiste d’autonomie publique, ce qui ne signifie toutefois pas l’abolition de la démocratie. principes et institutions. Au contraire, dans le régime communiste la société, ils doivent continuer à se développer, et seul l'État disparaîtra en tant qu'instrument politique. puissance et la forme de D. qui lui est associée. Marx K. et Engels F., Manifeste du Parti Communiste. parties, Op., T. 4 ; Marx K., citoyen. guerre en France, au même endroit, T. 17 ; lui, Synopsis du livre de Bakounine « État et anarchie », ibid. T. 18 ; Engels F., L'origine de la famille, la propriété privée et l'État, ibid., T. 21 ; le sien, On Authority, au même endroit, T. 18 ; Lénine V.I., L'État et la révolution, PSS, T. 33 ; le sien, Marxisme à propos de l'État, ibid. T. 33 ; le sien, Thèses et rapport sur bourgeois D. et la dictature du prolétariat, ibid. T. 37 ; lui. La révolution prolétarienne et le renégat Kautsky, ibid. ; son e, ô socialiste. D., sam., M., 1977 ; Programme PCUS (Adopté par le XXIIe Congrès PCUS) , M., 1976 ; Documents du XXVe Congrès PCUS, M., 1976 ; Documents du XXVIe Congrès PCUS, M., 1981 ; Les problèmes de D. moderne monde, M., 1967 ; Marxiste-léniniste théorie générale l'État et la loi. Basique institutions et concepts, M., 1970 ; G i n d e v P., D. et la société. progrès, voie Avec bulgare, M., 1972 ; Shakhnazarov G. X., socialiste. D. Quelques questions de théorie, ?., 19742 ; ?uli-ev V. E., Kuzmin E. L., State et D. Critique des théories anti-marxistes, M., 1975 ; Denisov A.I., Système socialiste général. D., M., 1975 ; Socialisme et D., M., 1976 ; D. et le droit dans le socialiste développé. société, M., 1979 ; Soviétique D. à l'époque du socialisme développé, M., 19792 ; Révolution et D. Inter-iar. discussion des marxistes, Prague, 1980 ; Socialiste D. : fondements constitutionnels, M., 1980 ; K e p i m o v D. A., D. le socialisme développé, M., 1980. G. X. Shakhnazarov.

Dictionnaire encyclopédique philosophique. - M. : Encyclopédie soviétique. Ch. éditeur : L. F. Ilyichev, P. N. Fedoseev, S. M. Kovalev, V. G. Panov. 1983.

DÉMOCRATIE (du grec demos - peuple et kratos - pouvoir)
une forme de structure étatique et politique de la société dans laquelle le peuple est la source du pouvoir. Le droit du peuple à participer aux affaires publiques est reconnu en combinaison avec un large éventail de droits et libertés civils.

Dictionnaire encyclopédique philosophique. 2010.

DÉMOCRATIE (grec δημοκρατία - pouvoir du peuple, de δῆμος - peuple et κράτος - pouvoir). Le terme « D ». utilisé : 1) pour désigner la démocratie, 2) pour caractériser l'État, le pays se distingue par un certain nombre d'entités juridiques. caractéristiques (reconnaissance de la volonté de la majorité comme source de pouvoir et déclaration de liberté et d'égalité des citoyens), 3) comme synonyme des droits et libertés des citoyens. Cependant, quel que soit le sens dans lequel D. est défini, il s’agit dans tous les cas d’un sens politique. formes de dictature de classe, arme dans la lutte des classes. D'innombrables définitions parmi les plus courantes de D., données par la bourgeoisie. la science, peut être conditionnellement divisée en 3 principales. groupes : 1) D. signifie Ch. arr. ou exclusivement une forme de gouvernement qui diffère des autres formes de gouvernement par ses spécificités. panneaux; 2) D. n'est pas seulement une forme de gouvernement, mais une « philosophie de société » au sens d'idéaux et de principes qui guident et contrôlent le comportement des membres de la société ; 3) définitions de D., incluant dans l'une ou l'autre combinaison des éléments des définitions des deux premiers groupes. Les auteurs du premier groupe de définitions font généralement référence aux signes et critères de la démocratie étatique. structure, séparation des pouvoirs, suprématie du parlement sur le gouvernement, indépendance du pouvoir judiciaire par rapport à l'exécutif. autorités, élus. la loi et certaines autres garanties juridiques proclamées par les constitutions. Les auteurs des définitions incluses dans le deuxième groupe mettent en avant un système d'éthique abstraite. idéaux, « conditions morales » (hautes qualités morales des personnages, capacité de progresser, etc.) qui régulent le comportement des membres de la société et étendent la démocratie non seulement aux relations politiques, mais aussi économiques, sociales et culturelles des personnes . Les auteurs du troisième groupe de définitions estiment que D. comprend des éléments juridiques et moraux ; ils comprennent D. comme le « mode de vie » du peuple. Les idéologues bourgeois et les réformistes sociaux identifient la démocratie avec la bourgeoisie. le parlementarisme, qui est en fait politique. un système qui ne crée pas les conditions nécessaires à la participation active des travailleurs à la politique. vie. La science marxiste ne considère pas la démocratie comme quelque chose d’absolu et de figé, de constant et d’immuable. D. est né et s'est développé sous l'influence de la lutte des classes ; l'essence de classe et les institutions de la démocratie, le degré de son application et son rôle dans la lutte des classes ont changé. On peut donc parler de propriétaires d'esclaves, de propriétaires féodaux. et bourgeois types D. Avec la victoire, socialiste. révolution, un nouveau type de démocratie plus élevé est apparu - le socialiste. D.D. et dictature - corrélats. notions. État sous toute forme et à tous les niveaux de l’histoire. le développement est politique. un instrument de dictature d’une classe ou d’une autre. La dictature ne signifie pas nécessairement la destruction de la démocratie pour la classe qui l'exerce sur une autre classe, mais elle signifie nécessairement la destruction ou la limitation de la démocratie pour la classe contre laquelle la dictature est dirigée. Burzh. D., par exemple, « exprime en pratique tantôt la dictature de la bourgeoisie, tantôt le réformisme impuissant du philistinisme soumis à cette dictature » (V.I. Lénine, Soch., 4e éd., vol. 28, p. 278). La dictature du prolétariat « combine la violence contre la bourgeoisie, c'est-à-dire la minorité de la population, avec le plein développement de la démocratie, c'est-à-dire la participation véritablement égale et véritablement universelle de la masse entière de la population dans toutes les affaires de l'État et dans toutes les questions complexes de l'État. la liquidation du capitalisme » (V.I. Lénine, ibid., vol. 23, p. 13). Dans les conditions du socialisme victorieux, lorsque les restes des classes exploiteuses ont été complètement éliminés et que la fonction de répression s'est éteinte, Ch. contenu socialiste D. en tant qu'instrument entre les mains du peuple pour la construction d'une nouvelle société, trouve sa pleine manifestation. D. et l'état ne sont pas identiques. notions. Les États peuvent être antidémocratiques et antidémocratiques. Ceux-ci sont, par exemple, despotiques. les monarchies à l'époque de l'esclavage, les monarchies absolues à l'époque de la décadence de la féodalité, les États fascistes et semi-fascistes à l'ère de la crise générale du capitalisme. D. est un type d'État (république démocratique bourgeoise, république démocratique populaire, république soviétique), caractérisé par le caractère officiel. reconnaissance du principe de subordination de la minorité à la majorité (voir V.I. Lénine, ibid., vol. 25, p. 428). Mais la démocratie ne peut être comprise indépendamment de l’essence et du rôle de l’État ; elle ne doit pas être identifiée avec la subordination de la minorité à la majorité. La reconnaissance par l'État du principe de subordination de la minorité à la majorité a différentes significations antagonistes. socio-économique formations et dans la période de transition du capitalisme au socialisme. La volonté de la majorité peut devenir valide. État par volonté seulement lorsqu’il est déterminé. conditions liées à la nature de la propriété des moyens de production et à la composition de classe de la société. Pour cela il faut que la base les outils et moyens de production n'étaient pas entre les mains d'une infime minorité de membres de la société, mais entre les mains de la majorité ou du peuple tout entier. En antagoniste les formations de classes - esclavagistes, féodales et capitalistes - dominent la propriété privée des outils et des moyens de production. Cela détermine le caractère des sociétés. et état immeuble et dessert ch. la cause de la domination de la minorité exploiteuse et de la subordination de la majorité à elle. L’expérience de l’histoire montre que le peuple ne peut pas gouverner s’il est motivé par l’économie. ou non économique par la contrainte, ou en même temps par les deux méthodes, ils sont contraints de travailler pour la minorité exploiteuse. Socialiste la révolution qui a triomphé en URSS, puis dans plusieurs autres pays, a transformé le principal outils et moyens de production dans les sociétés. propre. Grâce à cela, une véritable démocratie est devenue possible. D. dépend de la forme de propriété et de production. relations et, à son tour, les influence. « Toute démocratie, comme toute superstructure politique en général (inévitable jusqu'à ce que l'abolition des classes soit achevée, jusqu'à ce qu'une société sans classes soit créée), sert en fin de compte la production et est finalement déterminée par les rapports de production d'une société donnée » (V.I. Lénine). ibid., vol. 32, p. Pour valide la domination de la volonté de la majorité est nécessaire à la classe qui met effectivement en œuvre l’État. Les dirigeants de la société, seuls (ou avec ses alliés), constituaient la majorité de la population du pays. Cette condition des notes en capitaliste. société, tout comme elle n’existait pas dans les époques précédant le capitalisme. Cette situation se pose à l’époque de la dictature du prolétariat. Pour valide Pour identifier et mettre en œuvre la volonté de la majorité, il est nécessaire que l'État proclame et garantisse les droits et libertés des citoyens, en assurant la mise en œuvre de cette volonté dans la législation, la gestion et d'autres formes de manifestation de l'État. les autorités. Cette condition n’est présente dans aucune classe antagoniste. société. Cela est évident dans les conditions de la dictature du prolétariat. Burzh. l'État reconnaît le principe de subordination de la minorité à la majorité et établit certaines politiques. (parlements, collectivités locales, etc.) et juridiques. institutions (liberté politique des citoyens, égalité des citoyens devant la loi et devant la loi, etc.) afin de donner à leur volonté de classe l'apparence d'une volonté nationale. volonté ou volonté de la majorité du peuple. Toutes sortes de déclarations de la bourgeoisie. idéologues sur la liberté abstraite et l'égalité sans prendre en compte la nature de la production. Les relations sociales, la composition de classe de la population et le véritable rapport de force dans la lutte des classes sont une tromperie pour les travailleurs. Burzh. La reconnaissance formelle par l'État de la liberté et de l'égalité universelles masque la réalité. manque de liberté et d'économie l'inégalité de la grande majorité des membres capitalistes. la société et la dictature de la bourgeoisie. La bourgeoisie divise les droits individuels en droits humains et droits citoyens. L'individu considéré dans le cadre de ce qu'on appelle la société civile, la bourgeoisie appelle une personne, et le même individu vivant et agissant en politique. sphère, s’appelle un citoyen. Cette division des droits individuels est provoquée par des facteurs antagonistes. nature capitaliste la société et le caractère du bourgeois. État, qui représente et protège les intérêts non pas de la société dans son ensemble, mais uniquement des égoïstes. intérêts d'une minorité de ses membres - la bourgeoisie. Moderne bourgeois politique Les militants et les théoriciens parlent hypocritement du caractère sacré et de l’inviolabilité des droits et libertés de l’homme. Le fait que l’objectif du capitalisme soit délibérément étouffé. la production n'est pas la satisfaction des besoins matériels et culturels de l'homme, mais l'extraction du capitalisme. arrivé. La campagne réactionnaire largement organisée contre les droits et libertés conquis par les travailleurs au cours de nombreuses années de lutte est laissée dans l’ombre. Le terme « D ». Les impérialistes dénotent la domination de l’impérialisme dans les affaires internationales. arène dirigée contre les peuples véritablement libres ou affranchis de l’esclavage social et colonial. Burzh. D. dans différents pays et à différentes périodes historiques. Les stades ont différents degrés de développement. La libre concurrence correspond généralement à D. en politique. vie de la société et capitaliste. monopoles - une tendance à la politique réactions dans tous les sens. Pendant la période de monopole. Dans le capitalisme, les contradictions de classe sont exacerbées (voir Impérialisme). La classe ouvrière unit tout ce qui est démocratique. forces qui s’opposent à l’antidémocratie. tendances du capitalisme. « Cette démocratie restreinte et la sécurité sociale limitée dont bénéficient les travailleurs sous le capitalisme ont été obtenues et maintenues grâce à de nombreuses années de batailles acharnées » (Foster W., The Superiority of World Socialism over World Capitalism, voir « To Aid Political Self-Education », 1958, n° 8, p. La bourgeoisie, voyant un danger pour elle-même dans le développement de la démocratie, tente de l'annuler en plantant et en utilisant des faits. privilèges de la minorité et, surtout, comme les privilèges de la richesse, bourgeois. l'éducation, les relations, ainsi qu'un rejet direct de D. La classe ouvrière ne peut être indifférente aux formes de domination de la bourgeoisie. La lutte pour l'établissement, la préservation et l'expansion de la démocratie dans le capitalisme. pays revêt une importance énorme pour le cours et l’issue de toute la lutte de classe des masses travailleuses. L'issue de la lutte des temps modernes. Cette époque dépend du rapport des forces de classe dans le capitalisme. pays, sur une coupe de créatures. L’influence est exercée par la puissance croissante du monde socialiste. systèmes et la montée de la libération nationale. mouvements. Burzh. D., étant un grand historique. progrès par rapport au féodal l’État, est néanmoins « un paradis pour les riches, un piège et une tromperie pour les exploités, pour les pauvres » (Lénine V.I. , Soch., 4e éd., vol. 28, p. 222). Révolution socialiste change radicalement l'essence de classe et le contenu de la démocratie, déplace le centre de gravité de la reconnaissance formelle des droits et libertés vers la réalité. leur faisabilité (D. garantit) et étend la démocratie non seulement à la sphère politique. vie, mais aussi à toutes les autres sphères de la société. vie. Sous le capitalisme, la démocratie se réalise exclusivement en politique. région et se résume principalement à la démocratie des élections aux parlements et aux gouvernements locaux. Socialiste la révolution établit l'égalité des droits pour tous les travailleurs, détruit le social, le national. et l'oppression raciale, proclame le droit au travail et au repos, la liberté de conscience au sens de liberté de religion et d'anti-religion. la propagande, crée les conditions de la libre activité de nombreux. société organisations de travailleurs - partis, syndicats et autres sociétés bénévoles. Tout cela signifie une expansion sans précédent de la main-d’œuvre pour les travailleurs. Sous la dictature du prolétariat, la démocratie les droits et libertés sont réels et garantis. Contenu socialiste. D. se caractérise par la participation constante et décisive des masses les plus larges de la population du pays à la politique. la vie, dans la gestion de l'État, l'égalité des citoyens et leur réelle possibilité de jouir de la démocratie. droits et libertés : liberté d'expression, de presse, rassemblements et réunions, cortèges et manifestations, élections actives et passives. droit, quel que soit le sexe, national et la course. Organisation et activité du socialiste. État, communiste les partis et autres associations de travailleurs inclus dans le système de la dictature du prolétariat sont fondés sur les principes du centralisme démocratique. La classe ouvrière ne peut mettre en œuvre sa dictature qu’en s’appuyant sur la démocratie. va présenter. mise en place d'un nouveau type supérieur . Les classiques du marxisme ont donné une analyse approfondie de ceux présentés. institutions créées par la Commune de Paris de 1871. Lénine a créé la doctrine des soviets, dont il a vu notamment la caractéristique fondamentale dans le fait que les députés du conseil, c'est-à-dire une sorte de parlementaires, « doivent travailler eux-mêmes, appliquer leurs propres lois, vérifier eux-mêmes ce qui se passe dans la vie, répondre directement à leurs électeurs » (ibid., vol. 25, p. 396). Une fonctionnalité nécessaire et obligatoire. condition socialiste D. dans la période de transition du capitalisme au socialisme est la suppression de la résistance des exploiteurs, dont le degré et les formes varient selon les pays et à différents stades de leur développement et dépendent du Ch. arr. de la force de résistance des classes renversées. D'où la variété des méthodes de suppression. De plus, aucun d’entre eux ne peut être absolu. En URSS, lors de la transition vers le socialisme, les exploiteurs ont été privés du droit de vote. droite Avec la création du parti socialiste société bâtiment Sov. l'État est passé à l'électorat universel. droite. Lénine avait prévu cela chez les futurs socialistes. les révolutions n’impliqueront pas nécessairement de priver la bourgeoisie de politique. droite En Chine et dans d'autres pays. la démocratie a survécu sans priver la bourgeoisie du droit de vote. droits, à l’exception de la partie qui offrait une résistance armée au nouveau gouvernement. Un homme socialiste. la société a tous les droits sur les exploitations agricoles. vie de la société. Il est fondamental dans le domaine de la production et de la distribution des biens matériels. droits : le droit au travail, au repos, la sécurité matérielle dans la vieillesse, en cas de maladie et de perte de capacité de travail, le droit aux biens personnels, le droit d'en hériter. Socialiste État, attachant une grande importance à ces aspects socio-économiques. droits, ne diminue en rien le rôle et l’importance des libertés des citoyens dans d’autres sphères de la vie. Burzh. et socialiste de droite. les auteurs contrastent avec les aspects socio-économiques. droits et sécurité matérielle des citoyens socialistes. exprimer leur politique liberté. Beaucoup d’entre eux considèrent les États-Unis, l’Angleterre et certains autres pays capitalistes. la norme politique du pays. D. Par exemple, G. Stassen dans le livre. « L’homme est né pour être libre » (N. Stassen, L’homme était censé être libre, 1951) décrit les États-Unis et l’Angleterre comme des bastions politiques. liberté des citoyens. Cependant, en parlant de liberté d'expression, de presse, de personnalité, de bourgeoisie. les politiciens et les scientifiques restent silencieux sur des libertés telles que la liberté du peuple contre l’exploitation, la liberté des travailleurs contre le préjudice économique. crises, chômage et pauvreté. De telles libertés n’existent pas dans le capitalisme. des pays. Ces libertés sont caractéristiques du socialiste. société. Socialiste D., qui est un monument historique mondial progrès par rapport à la bourgeoisie. étatique et bourgeois. D., représente le plein pouvoir et les pleins droits du peuple travailleur, dirigé par la classe ouvrière. Sa consistance diffère. tranquillité. Il s'oppose à l'impérialisme. guerres, les considère comme un crime grave. « La guerre impérialiste », écrivait V.I. Lénine, « est une triple négation, pourrait-on dire, de la démocratie (a – toute guerre remplace les « droits » par la violence ; b – l’impérialisme en général est la négation de la démocratie ; c – la guerre impérialiste complètement assimile les républiques aux monarchies), mais le réveil et la croissance du soulèvement socialiste contre l'impérialisme sont inextricablement liés à la croissance de la résistance et de l'indignation démocratiques » (Works, 4e éd., vol. 23, p. 13). Burzh. D., premièrement, n'exclut pas l'international. politique capitaliste les monopoles, caractérisés par la guerre froide, la préparation à la guerre mondiale, l'armée. des aventures sans précédent d’oppression nationale-coloniale, d’étranglement et de pillage des pays faibles par les pays capitalistes « avancés ». pouvoirs; deuxièmement, le capitalisme est utilisé. monopoles contre les masses travailleuses qui luttent pour la paix. Sous le couvert de la protection de D. bourgeois. les États prennent des mesures législatives, administratives, policières et judiciaires dirigées contre le mouvement des partisans de la paix, des organisations progressistes dénonçant les préparatifs d'une nouvelle guerre mondiale et prônant l'interdiction des armes atomiques et à hydrogène. La lutte du peuple Pour les masses D., les droits et libertés sont inextricablement liés à la lutte pour la paix. Socialiste Dans son développement, la démocratie traverse une période de transition du capitalisme au socialisme, une période de socialisme et une transition progressive du socialisme au communisme. Le modèle de son développement est l'expansion et le renforcement, l'augmentation des opportunités matérielles et des garanties de la démocratie et des libertés et des droits qui découlent du pouvoir du peuple. Le XXIe Congrès du PCUS (1959) a noté que la période de construction extensive du communisme en URSS était caractérisée par le plein développement du socialisme. D., l'implication des couches les plus larges de la population dans la gestion de toutes les sociétés. affaires, augmentant le rôle des sociétés. organisations dans tous les domaines des États, fermes. et la vie culturelle du pays, le transfert progressif des sociétés. organisations d'un certain nombre d'États fonctions, renforçant les garanties démocratiques. libertés et droits de l'homme. Le marxisme-léninisme procède du fait que D. en tant que politique. l'institution disparaîtra sous le communisme avec la même fatalité que l'État, les « fonctions » administration publique perdront leur caractère politique et se transformeront en une gestion populaire directe des affaires de la société » (N. S. Khrouchtchev, Sur les chiffres cibles du développement de l'économie nationale de l'URSS pour 1959-1965, 1959, p. 119), mais les principes La démocratie ne disparaîtra pas, mais se transformera. L'accomplissement des fonctions sociales, qui resteront sous le communisme (répartition planifiée et organisée du travail, réglementation du temps de travail, etc.), se fera sur la base de l'autonomie gouvernementale. des masses travailleuses. Dans les organisations de travailleurs, l'autonomie complète sera le principe principal de leur initiative, que dans une société communiste il y aura « une démocratie vraiment complète, devenant une habitude et donc en voie de disparition... La démocratie totale. n’équivaut à pas de démocratie. Ce n’est pas un paradoxe, mais la vérité ! » (« Marxism on the State », 1958, p. 55). Lit. : Marx K., Critique du programme Gotha, M., 1953 ; Engels F., L'origine de la famille, la propriété privée et l'État, M., 1953 ; Lénine V.I., État et révolution, Works, 4e éd., vol. 25 ; son, Thèses et rapport sur la démocratie bourgeoise et la dictature du prolétariat le 4 mars [au premier congrès de l'Internationale communiste du 2 au 6 mars 1919], ibid., vol. le sien, La Révolution prolétarienne et le renégat Kautsky, ibid. ; son discours sur la tromperie du peuple avec des slogans de liberté et d'égalité, le 19 mai [lors du premier congrès panrusse sur l'éducation extrascolaire, du 6 au 19 mai 1919], ibid., vol. le sien, Le marxisme sur l'État, M., 1958 ; Khrouchtchev N.S., Sur les chiffres de référence du développement de l'économie nationale de l'URSS pour 1959-1965. Rapport au XXIe Congrès extraordinaire du PCUS du 27 janvier 1959, M., 1959 ; Déclaration de la réunion des représentants des partis communistes et ouvriers des pays socialistes, tenue à Moscou du 14 au 16 novembre 1957, M., 1957 ; Mao Tsé-toung, Sur la dictature de la démocratie populaire, 1949 ; À propos de la démocratie populaire dans les pays européens. Assis. articles, M., 1956 ; Peskov E. B. et Shabad V. A., La démocratie socialiste et ses « critiques », M., 1957 ; Shkadarevich I. I., Démocratie des millions, M., 1958 ; Kadlecová E., Socialisticke vlastenectví, 1957 ; Bystřina I., Lidová demokracie, Prague, 1957 ; Flegle A., Geschichte der Democratie, Bd l – Altertums, Nuremberg, 1880 ; Glover T. R., La démocratie dans le monde antique, Camb., 1927 ; Croiset A., Les démocraties antiques, P., 1909 ; Lesku W.E. Η., Démocratie et Liberté, v. 1-2, L., 1908 ; Ruggiero G. de, Histoire du libéralisme européen, Bari, 1925 ; Borgeaud S., L'essor de la démocratie moderne dans l'Ancienne et la Nouvelle-Angleterre, L., 1894 ; Hattersley, Alan F., A short History of Democracy, Camb., 1930, contenant une bibliographie ; Allen J. W., Une histoire de la pensée politique au XVIe siècle, L., 1928 ; Figgis J. N., Études de pensée politique de Gerson à Grotius, 2 éd., L. – Edin., 1916 ; Gooch G. P., English Democratic Ideas in the Seventeenth Century, 2 éd., Camb., 1927. A. Denissov. Moscou.

Encyclopédie philosophique. En 5 volumes - M. : Encyclopédie soviétique. Edité par F.V. Konstantinov. 1960-1970.

DÉMOCRATIE LA DÉMOCRATIE (du grec δημοκρατία - démocratie) est une forme de gouvernement dans laquelle le gouvernement populaire de la majorité de la population s'exerce dans l'intérêt de la majorité et avec l'aide de la majorité. Le premier système d'État démocratique a été mis en œuvre dans la Grèce antique à Athènes sous Solon (7ème siècle avant JC) et développé par Clisthène (fin 6ème siècle avant JC) dans son « gouvernement représentatif » - le Conseil des Cinq-Cents. Le terme « démocratie » lui-même a commencé à être utilisé pour désigner la forme de gouvernement qui a existé à Athènes plus tard, vers le milieu. 5ème siècle Initialement, le mot « isonomie » (Ισονομία - égalité de tous devant la loi) et « isegoria » (?σηγορία - le droit égal pour tous les citoyens de s'exprimer à l'assemblée populaire et de voter), « isocratie » (?σοκρατία -autonomie) ont été utilisés. Les auteurs anciens (Platon, Aristote, Hérodote) considéraient cette forme de gouvernement comme un système de polis, dans lequel seuls les citoyens indigènes libres jouissaient de droits complets et égaux. Les métèques (migrants semi-citoyens) avaient des droits considérablement limités et les esclaves n'avaient aucun droit. Les libertés démocratiques des temps modernes sont bien plus larges que les libertés de l’ancienne république, fondées sur l’esclavage, car elles deviennent le droit formel de chacun, et non le privilège de quelques-uns. L'idée d'une législation subordonnée pour tous les citoyens, l'État et les organismes publics a été particulièrement développée dans le concept de démocratie par A. de Tocqueville, le plus influent de la recherche sociopolitique moderne. Tocqueville n’entend pas seulement par « démocratie » une certaine forme d’organisation de la société. Selon lui, il s’agit également d’un processus qui se déroule dans la société. Tocqueville fut le premier à mettre en garde contre le danger de combiner égalité formelle et pouvoir absolu – le « despotisme démocratique ». La base philosophique de la démocratie est la relation entre la liberté et l'égalité en tant que valeurs sociopolitiques, dont la véritable incarnation se produit dans les institutions étatiques pertinentes de la démocratie - directes ou représentatives. Cette dernière forme est aujourd’hui la plus courante sous la forme d’un État de droit doté d’un pouvoir suprême, qui ne s’étend cependant pas aux droits indissociables et inaliénables de l’individu. La garantie des droits individuels dans un tel État est la séparation des pouvoirs - législatif, exécutif et judiciaire, la décentralisation du pouvoir dans les domaines socio-économique et sphères culturelles(théorie de « l’infrastructure institutionnelle » des organismes gouvernementaux). Parallèlement, les associations démocratiques - civiles et politiques - se chargent de protéger les droits des citoyens. Ils deviennent des intermédiaires entre le gouvernement central et les différentes couches de la société, représentant les intérêts de ces dernières, et défendent le droit inaliénable des citoyens à l'indépendance et à la libre initiative, qui est subordonnée à la loi. La liberté de la presse et les procès avec jury contribuent également à la mise en œuvre réelle des droits de l'homme dans la société. Selon les théoriciens de la démocratie du XXe siècle. (par exemple, I. Schumpeter et W. Rostow), les valeurs libérales universelles telles que le respect de l'individu et l'égalité de tous, la liberté d'expression et de la presse, la liberté de conscience, etc., la meilleure façon sont assurées précisément par l’élargissement de la participation des masses à la vie politique. R. Dahl et C. Lindblom, utilisant la catégorie de « polyarchie », mènent une analyse plus réaliste des systèmes démocratiques existants, laissant de côté les idéaux démocratiques abstraits. La véritable mise en œuvre de la démocratie est considérablement compliquée par la concentration progressive du pouvoir économique dans la société moderne entre les mains de « l’élite dirigeante », qui crée un modèle oligarchique de pouvoir et de politique, passant souvent de la démocratie à la kleptocratie. Lit. : Dahl R. Introduction à la théorie de la démocratie. M., 1991 ; Leipmrt A. La démocratie dans les sociétés à plusieurs composantes. M" 1997 ; Novgorodtsev P.I. La crise de la conscience juridique moderne. M., 1909 ; Science politique : nouvelles orientations. M., 1999 ; Tocqueville A. De. La démocratie en Amérique. M" 1992 ; Schumpeter I. Capitalisme, socialisme et démocratie. M" 1995 ; Halt P. R. Gouverner l'économie: la politique de l'intervention obsolète en Grande-Bretagne et en France. Cambr., 1986 : Huffman G. État, pouvoir et démocratie. Brighton, 1988 ; f/ordlmser E. n l'autonomie de l'État démocratique. Cambr., 1981. V.I. Shamshurin

Nouvelle Encyclopédie Philosophique : En 4 vol. M. : Pensée. Edité par VS Stepin. 2001.

Démocratie : concept, principes, types et formes. Signes de démocratie

Depuis un certain temps déjà, la littérature exprime à plusieurs reprises l’idée selon laquelle la démocratie sera naturellement et inévitablement une conséquence du développement de l’État. Le concept a été interprété comme un état naturel qui se produira immédiatement à un certain stade, indépendamment de l'aide ou de la résistance des individus ou de leurs associations. Les penseurs grecs antiques ont été les premiers à utiliser ce terme. Examinons plus en détail ce qu'est la démocratie (concepts de base).

Terminologie

La démocratie est un concept introduit par les Grecs de l'Antiquité. Littéralement, cela signifie « le pouvoir du peuple ». C'est une forme de gouvernement qui présuppose la participation des citoyens, leur égalité devant la loi et l'octroi de certaines libertés et droits politiques à l'individu. Dans la classification proposée par Aristote, cet état de société exprimait le « pouvoir de tous » qui le distinguait de l’aristocratie et de la monarchie.

Démocratie : concept, types et formes

Cet état de société est considéré sous plusieurs sens. Ainsi, la démocratie est un concept qui exprime le mode d'organisation et de travail des agences gouvernementales et des organisations non gouvernementales. On l'appelle également le régime juridique établi et le type d'État. Quand ils disent qu’un pays est démocratique, ils veulent dire la présence de toutes ces significations. L'État présente un certain nombre de caractéristiques distinctives. Ceux-ci inclus:

Reconnaissance du peuple comme source suprême du pouvoir.
Élection des principaux organes gouvernementaux.
L'égalité des citoyens, avant tout, dans le processus d'exercice de leur droit de vote.
Subordination de la minorité à la majorité dans la prise de décision.

La démocratie (le concept, les types et les formes de cette institution) a été étudiée par divers scientifiques. À la suite de l'analyse des principes théoriques et de l'expérience pratique, les penseurs sont arrivés à la conclusion que cet état de société ne peut exister sans l'État. Dans la littérature, le concept de démocratie directe est mis en avant. Cela implique la mise en œuvre de la volonté du peuple à travers des organes élus. Il s'agit notamment des structures de gouvernement local, des parlements, etc. Le concept de démocratie directe présuppose la mise en œuvre de la volonté de la population ou d'associations sociales spécifiques par le biais d'élections, de référendums et de réunions. Dans ce cas, les citoyens décident indépendamment de certaines questions. Cependant, ce ne sont pas là toutes les manifestations extérieures qui caractérisent la démocratie. Le concept et les types d'institutions peuvent être envisagés dans le contexte de certaines sphères de la vie : sociale, économique, culturelle, etc.

Caractère de l'État

De nombreux auteurs, expliquant ce qu'est la démocratie, caractérisent le concept et les signes de cette institution selon un certain système. Tout d'abord, ils indiquent l'appartenance au régime de l'État. Cela se manifeste par la délégation de pouvoirs par la population aux agences gouvernementales. Les citoyens participent à la gestion des affaires directement ou par l'intermédiaire de structures élues. La population ne peut pas exercer de manière indépendante tout le pouvoir qui lui appartient. Elle transfère donc une partie de ses pouvoirs aux agences gouvernementales. L'élection des structures autorisées est une autre manifestation de la nature étatique de la démocratie. De plus, elle s'exprime dans la capacité des autorités à influencer les activités et le comportement des citoyens, à les subordonner à la gestion de la sphère sociale.

Le concept de démocratie politique

Cet institut, comme économie de marché, ne peut exister sans concurrence. Dans ce cas, nous parlons d'un système pluraliste et d'une opposition. Cela se manifeste dans le fait que la démocratie, le concept et les formes de l'institution, en particulier, constituent la base des programmes des partis dans leur lutte pour le pouvoir d'État. Dans cet état de société, la diversité des opinions existantes et des approches idéologiques pour résoudre les problèmes urgents est prise en compte. En démocratie, la censure d’État et la dictature sont exclues. La législation contient des dispositions garantissant le pluralisme. Ceux-ci incluent le droit de choisir, le vote secret, etc. Le concept et les principes de la démocratie reposent avant tout sur l'égalité des droits de vote des citoyens. Cela vous donne la possibilité de choisir entre différentes options, orientations de développement.

Garantie de mise en œuvre des droits

Le concept de démocratie dans la société est associé aux opportunités juridiques de chaque citoyen dans différentes sphères de la vie, inscrites au niveau législatif. Nous parlons en particulier de droits économiques, sociaux, civils, culturels et autres. Dans le même temps, les responsabilités des citoyens sont établies. La légalité agit comme un régime de vie socio-politique. Cela se manifeste par l'établissement d'exigences pour toutes les entités, principalement les agences gouvernementales. Ces derniers doivent être créés et fonctionner sur la base d’une mise en œuvre constante et stricte des normes existantes. Chaque agence gouvernementale et chaque fonctionnaire ne devrait disposer que des pouvoirs nécessaires. La démocratie est un concept associé à la responsabilité mutuelle des citoyens et de l'État. Il s'agit d'établir l'obligation de s'abstenir de toute action qui viole les libertés et les droits et crée des obstacles à l'accomplissement des devoirs des participants au système.

Les fonctions

Pour expliquer le concept de démocratie, il est nécessaire de parler séparément des tâches que cette institution accomplit. Les fonctions sont les principales directions d'influence sur les relations sociales. Leur objectif est d'accroître l'activité de la population dans la gestion des affaires publiques. Le concept de démocratie n’est pas associé à un état de société statique, mais dynamique. À cet égard, les fonctions de l'institution à certaines périodes du développement historique ont subi certains changements. Actuellement, les chercheurs les divisent en deux groupes. Les premiers révèlent le lien avec relations sociales, la seconde – exprime les tâches internes de l’État. Parmi les fonctions les plus importantes de l'institut figurent :

Relations sociales

Le lien avec eux se reflète dans les trois premières fonctions mentionnées ci-dessus. Pouvoir politique L'État est organisé selon des principes démocratiques. Dans le cadre de cette activité, l'auto-organisation de la population (autonomie gouvernementale) est assurée. Elle agit comme une source de pouvoir d'État et s'exprime en présence de liens appropriés entre les sujets. La fonction de régulation-compromis est d'assurer le pluralisme des activités des participants aux relations dans le cadre de la coopération, de la consolidation et de la concentration autour des intérêts de la population et de l'État des différentes forces. Le moyen juridique d'assurer cette fonction est la réglementation des statuts juridiques des sujets. Dans le processus d'élaboration et de prise de décision, seule la démocratie peut avoir une influence socialement stimulante sur l'État. Le concept et les formes de cette institution assurent un service optimal des autorités à la population, en tenant compte et en appliquant l'opinion publique et l'activité citoyenne. Cela se manifeste notamment dans la capacité des citoyens de participer à des référendums, d'envoyer des lettres, des candidatures, etc.

Tâches de l'État

Le concept de « démocratie représentative » est associé à la capacité de la population à former des organes de pouvoir d'État et d'autonomie territoriale. Cela se fait par le biais du vote. Dans un État démocratique, les élections sont secrètes, universelles, égales et directes. Assurer le travail des agences gouvernementales relevant de leur compétence conformément aux exigences de la loi s'effectue par la mise en œuvre de la fonction de contrôle. Cela présuppose également la responsabilité de tous les niveaux de l’appareil gouvernemental du pays. L’une des fonctions clés est considérée comme la fonction protectrice de la démocratie. Il s'agit des agences gouvernementales qui assurent la sécurité, la protection de la dignité et de l'honneur, des libertés et des droits de la personne, les formes de propriété, la répression et la prévention des violations de la loi.

Exigences initiales

Ils représentent les principes sur lesquels repose un régime démocratique. Leur reconnaissance par la communauté internationale est déterminée par la volonté de renforcer leur position antitotalitaire. Les principes clés sont :

Moyens de mettre en œuvre la volonté de la population

Les fonctions de la démocratie s'exercent à travers ses institutions et ses formes. Il y en a beaucoup de ces derniers. Les formes de démocratie sont considérées comme son expression extérieure. Les principaux incluent :

Participation des citoyens à la gestion des affaires sociales et gouvernementales. Cela se réalise à travers la démocratie représentative. Dans ce cas, le pouvoir s'exerce en identifiant la volonté des personnes autorisées par le peuple dans les organes élus. Les citoyens peuvent participer directement au gouvernement (par le biais d'un référendum, par exemple).
Création et fonctionnement d'un système d'agences gouvernementales basé sur la transparence, la légalité, le roulement, l'élection et la division des pouvoirs. Ces principes empêchent les abus d’autorité sociale et de position officielle.
Légale, tout d'abord, consolidation constitutionnelle du système des libertés, des devoirs et des droits des citoyens et des personnes, assurant leur protection conformément aux normes internationales établies.

Instituts

Ils représentent des composantes juridiques et légitimes du système qui forment directement un régime démocratique grâce à la mise en œuvre des exigences initiales. Une condition préalable à la légitimité de toute institution est sa conception juridique. La légitimité vient de la reconnaissance publique et structure organisationnelle. Les institutions peuvent différer dans leur objectif initial consistant à résoudre les problèmes gouvernementaux actuels. Ils distinguent notamment :

Institutions structurelles. Il s'agit notamment des commissions adjointes, des sessions parlementaires, etc.
Institutions fonctionnelles. Ce sont les ordres des électeurs, opinion publique etc.

Selon leur signification juridique, on distingue les institutions :

Autogestion

Il repose sur la régulation, l'organisation et les activités indépendantes des participants aux relations civiles. La population établit certaines règles et normes de comportement et mène des actions organisationnelles. Le peuple a le droit de prendre des décisions et de les mettre en œuvre. Dans le cadre de l'autonomie gouvernementale, le sujet et l'objet de l'activité coïncident. Cela signifie que les participants reconnaissent le pouvoir de leur propre association uniquement. L'autonomie gouvernementale repose sur les principes d'égalité, de liberté et de participation à l'administration. Ce terme est généralement utilisé pour désigner plusieurs niveaux d’association de personnes :

À l’ensemble de la société. Dans ce cas, nous parlons d’autonomie publique.
Aux territoires individuels. Dans ce cas, l'autonomie locale et régionale a lieu.
À des productions spécifiques.
Aux associations publiques.

Le pouvoir du peuple comme valeur sociale

La démocratie a toujours été comprise et interprétée de différentes manières. Cependant, il ne fait aucun doute qu’en tant que valeur juridique et politique, elle est devenue une partie intégrante de l’organisation du monde. En attendant, il n’existe pas d’étape finale à laquelle tous les sujets seraient satisfaits. Une personne qui subit des restrictions entre en conflit avec l'État sans trouver justice dans la législation. Le conflit surgit lorsque l'inégalité des mérites et des capacités naturelles n'est pas prise en compte, qu'il n'y a pas de reconnaissance en fonction de l'expérience, des compétences, de la maturité, etc. Le désir de justice ne peut être pleinement satisfait. Dans la société, il doit y avoir un éveil constant de la volonté, le développement du désir d’exprimer ses opinions, ses points de vue et d’être actif.
La valeur intrinsèque de la démocratie s’exprime à travers sa signification sociale. Il s’agit à son tour de servir le bénéfice de l’individu, de l’État et de la société. La démocratie aide à établir une correspondance entre les principes d’égalité, de liberté et de justice réellement en vigueur et ceux formellement proclamés. Elle veille à leur mise en œuvre dans la vie étatique et sociale. Le système démocratique combine les principes du public et du pouvoir. Il contribue à la formation d'une atmosphère d'harmonie des intérêts de l'État et de l'individu et à la réalisation d'un compromis entre les sujets. Dans un régime démocratique, les participants aux relations réalisent les avantages du partenariat et de la solidarité, de l'harmonie et de la paix. La valeur instrumentale d’une institution se manifeste à travers sa finalité fonctionnelle. La démocratie est un moyen de résoudre les affaires étatiques et publiques. Il vous permet de participer à la création d'agences gouvernementales et de structures gouvernementales locales, d'organiser de manière indépendante des mouvements, des syndicats, des partis et d'assurer une protection contre les actions illégales. La démocratie présuppose le contrôle des activités des institutions élues et des autres sujets du système. La valeur personnelle d'une institution s'exprime à travers la reconnaissance des droits individuels. Ils sont formellement inscrits dans la réglementation et sont effectivement assurés par la formation de garanties matérielles, spirituelles, juridiques et autres.
Dans le cadre d'un régime démocratique, la responsabilité est prévue en cas de manquement aux devoirs. La démocratie n’agit pas comme un moyen d’atteindre des objectifs personnels ambitieux en empiétant sur les libertés, les intérêts et les droits d’autrui. Pour les personnes prêtes à reconnaître l'autonomie de l'individu et sa responsabilité, cette institution crée les meilleures opportunités pour la mise en œuvre des valeurs humanistes existantes : créativité sociale, justice, égalité et liberté. Dans le même temps, la participation de l'État au processus de garantie et de protection des intérêts de la population revêt une importance incontestable. C'est sa fonction principale dans une société démocratique.

Qu'est-ce qu'un État démocratique ?

Le terme « démocratie » a été utilisé pour la première fois dans les travaux de l’historien grec Hérodote. Le président américain Abraham Lincoln a défini ce concept comme le pouvoir du peuple, qu'il élit et dans l'intérêt duquel il s'exerce. Pour comprendre ce qu'est un État démocratique, il faut considérer ses principales caractéristiques, principes et fonctions.

Définitions du terme « démocratie »

Aujourd’hui, la science juridique et la science politique donnent plusieurs définitions au concept de « démocratie » :

1. Une forme particulière d'organisation étatique dans laquelle le pouvoir appartient à tous ses citoyens, qui jouissent des mêmes droits pour gouverner.

2. La conception de toute structure. Il repose sur les principes d'égalité de ses membres, d'élection périodique des organes directeurs et de prise de décision à la majorité.

3. Mouvement social dans le but d’établir les idéaux de la démocratie dans la vie.

4. Une vision du monde fondée sur les principes de liberté, d'égalité, de respect des droits de l'homme et des minorités nationales.

Un État démocratique est l’incarnation du pouvoir du peuple. Dans le même temps, les citoyens ont des droits égaux pour gouverner et le gouvernement agit dans leur intérêt.

Signes d'un État démocratique

1. Reconnaissance de la souveraineté populaire. Les citoyens des États démocratiques sont les détenteurs suprêmes du pouvoir.

2. La possibilité de participation du peuple tout entier (et non d'une partie de la population) à la gestion des affaires de la société et du pays directement ou par l'intermédiaire d'organes représentatifs.

3. La présence d'un système multipartite. Des élections compétitives, justes et libres auxquelles participent tous les citoyens. Dans le même temps, les mêmes personnes ne devraient pas rester au pouvoir pendant longtemps.

4. Reconnaissance et garanties des droits humains fondamentaux. À cette fin, des institutions juridiques spéciales doivent fonctionner pour prévenir l’anarchie.

5. Liberté politique et égalité des citoyens devant les tribunaux.

6. Disponibilité de systèmes d'autonomie gouvernementale.

7. Responsabilité mutuelle du citoyen et de l'État.

1. Pluralisme dans toutes les sphères de la vie publique. En économie, elle s'incarne dans la présence de diverses formes de propriété et d'activité économique. En politique, le pluralisme se manifeste à travers un système multipartite et dans le domaine de l'idéologie - à travers la libre expression des pensées, des concepts et des idées.

2. Liberté d'expression. Ce principe inclut la transparence des activités de tous les sujets politiques. Tout cela doit être assuré par la liberté des médias.

3. Un État démocratique présuppose la subordination de la minorité à la majorité lors de la prise de décision.

4. Sélectivité de l'État et des autorités locales.

5. Garanties des droits des minorités nationales, prévention de la discrimination sur quelque base que ce soit.

6. Existence et libre fonctionnement de l'opposition politique.

7. Le pouvoir dans un État démocratique doit nécessairement être divisé (législatif, exécutif et judiciaire).

Quelle est la règle de la loi?

Pour la première fois, R. von Mohl a pu analyser et justifier ce concept d'un point de vue juridique. Il a déterminé qu'un État de droit démocratique repose sur l'inscription dans la constitution des droits et libertés des citoyens et sur la garantie de leur protection par la loi et les tribunaux. Il convient de noter qu’au départ, tous les scientifiques n’ont pas reconnu la réalité et la possibilité de mettre en œuvre ce concept. Jusqu’à présent, certains chercheurs ont souligné la faiblesse des fondements de cette forme d’État, en particulier dans l’espace post-soviétique.

Ce concept se caractérise par la reconnaissance de la suprématie du droit sur le pouvoir. Il est reconnu que :

1) priorité de l'individu et de la société sur l'État ;
2) la réalité des droits et libertés de chaque citoyen ;
3) la responsabilité mutuelle de l'État et de l'individu ;
4) l'indépendance et l'autorité du tribunal ;
5) le lien du pouvoir avec la loi.

Qu’est-ce qu’un État providence ?

Dans l'histoire de la formation du concept d'État social, trois étapes principales peuvent être distinguées. La première se caractérise par l’adoption dans différents pays de décisions politiques qui ont ouvert la voie à sa formation. À ce stade, le concept d’« État social démocratique » est apparu pour la première fois dans les travaux de Prance et Shershenevich. Sa définition a été formulée par Heller au XXe siècle. De plus, à cette époque, la politique sociale commence à se démarquer dans le domaine de la politique intérieure de l'État.

La deuxième étape se situe au début-milieu du 20e siècle. Cette période est caractérisée par l'émergence de deux traditions d'établissement du modèle social de l'État. Le premier en tant que concept collectif a été mis en œuvre en Allemagne, le second en tant que principe fondamental du système constitutionnel - en France et en Espagne.

La troisième étape est la formation du droit social. A cette époque, des documents spéciaux paraissent réglementant les relations dans ce domaine.

Signes d’un État-providence

1. Un État démocratique avec une société civile développée. Disponibilité d'un système juridique efficace.

2. Disponibilité d'une base juridique. Elle se présente sous la forme d'une législation sociale qui répond aux principes de justice et répond rapidement aux changements de la société.

3. Disponibilité d'un cadre économique équilibré. Elle apparaît sous la forme d’une économie de marché développée et socialement orientée.

4. L'État veille à la protection des droits civils fondamentaux.

5. Garanties de sécurité sociale de la population du pays. Dans le même temps, les citoyens, grâce à leur activité, se dotent du niveau de capacité financière nécessaire.

6. Assistance sociale de l'État à la population incapable de subvenir à ses besoins.

7. Renforcer la stabilité du pays. Les activités de l'État visent à minimiser la différenciation de la propriété.

États démocratiques, autoritaires et totalitaires

Le contraire d’un État démocratique est un État autoritaire et totalitaire. Les signes suivants doivent être soulignés :

1. Le pouvoir est concentré entre les mains d’une personne ou d’un groupe de personnes. Ils, parlant au nom de l'État ou de la société, agissent uniquement dans leur propre intérêt et ne tiennent pas compte des opinions de la majorité.

2. Dans le travail des organismes gouvernementaux, des méthodes de pression et de diktat sont utilisées.

3. La portée des droits de l'homme et des libertés dépend des dirigeants et peut être modifiée à tout moment.

4. Il n'y a pas de délimitation des pouvoirs entre les branches du gouvernement. Le même organe peut élaborer des lois et contrôler leur mise en œuvre.

Caractéristiques des principales formes de gouvernement

Pour comprendre qui est le détenteur suprême du pouvoir dans un État démocratique, il est nécessaire de considérer les caractéristiques des deux formes de gouvernement.

la monarchie. Sur la carte politique du monde, il existe plusieurs États dotés de cette forme de gouvernement. Il s'agit de monarchies constitutionnelles (parlementaires) : Grande-Bretagne, Belgique, Espagne, Norvège, Japon et Suède. Ce sont des États démocratiques. Le pouvoir du monarque dans ces pays est considérablement limité et les parlements s'occupent des principales questions de la vie publique.

République. Il existe plusieurs types d'États dotés de cette forme de gouvernement.

Une république parlementaire se caractérise par la priorité du plus haut organe législatif. Parmi ces pays figurent l'Allemagne, la Grèce et l'Italie. Le gouvernement de ces États est formé par le Parlement et n'est responsable que devant lui.

Dans une république présidentielle, le chef de l’État est élu par le peuple. Il forme lui-même le gouvernement avec l'accord du Parlement.

Mise en œuvre des principes d'un État démocratique à l'aide de l'exemple de la Russie

La Russie est un État démocratique. Ceci est indiqué dans la Constitution du pays. La démocratie représentative en Russie est assurée par l'élection de la Douma d'État et la formation légalement déterminée du Conseil de la Fédération. En outre, le pays met en œuvre une caractéristique d'un État démocratique telle que la garantie et la reconnaissance des droits et libertés humains fondamentaux.

La Russie, de par sa structure, est une fédération constitutionnelle et juridique. Cela signifie que certaines parties du pays (territoire) jouissent d’une certaine indépendance. Les sujets d'une telle fédération ont des droits égaux.

La Russie est un État démocratique qui garantit les droits de l'homme et les libertés, met en œuvre le principe de diversité idéologique et politique, etc.

Qu'est-ce que la démocratie ??

★ Carmen ₱uis

La démocratie (grec ancien δημοκρατία - « pouvoir du peuple », de δῆμος - « peuple » et κράτος - « pouvoir ») est un régime politique basé sur la méthode de prise de décision collective avec une influence égale des participants sur l'issue du processus. ou sur ses étapes significatives. Bien que cette méthode soit applicable à tout structures publiques, aujourd’hui son application la plus importante est l’État, car il dispose d’un grand pouvoir. Dans ce cas, la définition de la démocratie est généralement réduite à l’une des définitions suivantes :
*La nomination des dirigeants par le peuple qu'ils gouvernent se fait par le biais d'élections justes et compétitives ;
*Le peuple est la seule source légitime de pouvoir ;
*La société exerce son autonomie gouvernementale pour le bien commun et la satisfaction des intérêts communs.
Un gouvernement populaire nécessite de garantir un certain nombre de droits à chaque membre de la société. Un certain nombre de valeurs sont associées à la démocratie : la légalité, l'égalité politique et sociale, la liberté, le droit à l'autodétermination, les droits de l'homme, etc.

Véronique Anina

La démocratie (grec ancien δημοκρατία - « pouvoir du peuple », de δῆμος - « peuple » et κράτος - « pouvoir ») est un régime politique basé sur la méthode de prise de décision collective avec une influence égale des participants sur l'issue du processus. ou sur ses étapes significatives Bien que cette méthode soit applicable à n’importe quelle structure sociale, son application la plus importante aujourd’hui est l’État, car il dispose d’un grand pouvoir. Dans ce cas, la définition de la démocratie est généralement réduite à l’une des définitions suivantes :
La nomination des dirigeants par le peuple qu'ils gouvernent se fait par le biais d'élections justes et compétitives [env. 1]
Le peuple est la seule source légitime de pouvoir
La société exerce son autonomie gouvernementale pour le bien commun et la satisfaction des intérêts communs

Un gouvernement populaire nécessite de garantir un certain nombre de droits à chaque membre de la société. Un certain nombre de valeurs sont associées à la démocratie : la légalité, l'égalité, la liberté, le droit à l'autodétermination, les droits de l'homme, etc.

L’idéal de la démocratie étant insaisissable et sujet à diverses interprétations, de nombreux modèles pratiques ont été proposés. Jusqu'au XVIIIe siècle, le modèle le plus connu était la démocratie directe, dans laquelle les citoyens exercent leur droit de prendre des décisions politiques directement, par consensus ou par des procédures de subordination de la minorité à la majorité. Dans une démocratie représentative, les citoyens exercent le même droit par l'intermédiaire de leurs députés élus et d'autres fonctionnaires en leur déléguant certains de leurs propres droits, tandis que les dirigeants élus prennent des décisions en tenant compte des préférences de ceux qu'ils dirigent et sont responsables devant eux de leurs actes.

L’un des objectifs communs de la démocratie est de limiter l’arbitraire et les abus de pouvoir. Cet objectif n’a souvent pas été atteint lorsque les droits de l’homme et d’autres valeurs démocratiques n’étaient pas généralement acceptés ou n’étaient pas efficacement protégés par le système juridique. Aujourd'hui, dans de nombreux pays, la démocratie est identifiée à Démocratie libérale qui, outre des élections équitables, périodiques et générales des plus hauts fonctionnaires au cours desquelles les candidats concourent librement pour obtenir les voix de l'électorat, inclut l'État de droit, la séparation des pouvoirs et les limites constitutionnelles du pouvoir de la majorité en garantissant certains ou des libertés de groupe. D’un autre côté, certains mouvements de gauche estiment que l’exercice du droit de prendre des décisions politiques nécessite de garantir les droits sociaux et de faibles niveaux d’inégalités socio-économiques.

Un certain nombre de régimes autoritaires présentaient des signes extérieurs de régime démocratique, mais dans ceux-ci, un seul parti était au pouvoir et les politiques poursuivies ne dépendaient pas des préférences des électeurs. Au cours du dernier quart de siècle, le monde a été caractérisé par une tendance à la propagation de la démocratie. Les problèmes relativement nouveaux auxquels elle est confrontée comprennent le séparatisme, le terrorisme et la migration de population. Les organisations internationales telles que l'ONU, l'OSCE et l'UE suggèrent que le contrôle des affaires internes L’État, y compris les questions de démocratie, relève en partie de la sphère d’influence d’autres pays.

« Démocratie » se traduit par « pouvoir du peuple » ou « démocratie ». Nous ne l’avons plus depuis 20 ans, car la démocratie en Russie n’est possible que sous une forme socialiste. Parce que d’autres « élus » capitalistes peuvent facilement prendre pied au pouvoir et partir.

Un système politique qui donne aux citoyens le droit de participer à la prise de décision politique et d'élire leurs représentants dans les organes gouvernementaux.

Excellente définition

Définition incomplète ↓

DÉMOCRATIE

DÉMOCRATIE) Dans la société grecque antique, la démocratie signifiait un gouvernement par les citoyens, par opposition au gouvernement d'un tyran ou d'une aristocratie. Dans le moderne systèmes démocratiques Les citoyens ne gouvernent pas directement ; ils élisent généralement leurs représentants au Parlement par le biais d'un système de partis compétitifs. Dans ce sens, la démocratie est souvent associée à la protection des libertés individuelles contre l’ingérence du gouvernement. Il y a plusieurs étapes dans l’histoire des recherches sociologiques sur la démocratie. De nombreux concepts de démocratie développés au XIXe siècle, comme celui d'A. de Tocqueville, se sont concentrés sur les conséquences sociales du fait de permettre à des groupes traditionnellement subordonnés la possibilité d'une plus grande participation politique, thème développé par la suite par les théoriciens de la société de masse. Des travaux plus récents ont examiné la relation entre le développement social et la démocratie parlementaire. Les chercheurs ont tenté de lier la démocratie au degré d’industrialisation, au niveau de réussite scolaire et à l’ampleur de la richesse nationale. Il a été noté que la démocratie est naturellement soutenue par un niveau plus élevé de développement industriel, qui garantit une participation plus large de la population à la politique. D’autres approches se sont concentrées sur la question de savoir comment la démocratie syndicale peut conduire à la bureaucratie et sur la relation entre démocratie et citoyenneté. Il y a actuellement un débat sur la question de savoir si les démocraties modernes représentent réellement les intérêts de leurs citoyens ou protègent les libertés individuelles. Certains théoriciens de l’État soutiennent que les démocrates ne servent que les intérêts de l’élite ou de la classe capitaliste. Voir également : Démocratie associationnelle ; Vote; Citoyenneté; Organisations bénévoles ; Démocratie industrielle ; Capitalisme; Michels ; Partis politiques; Participation politique; Élite. Lit. : Dahl (1989) ; Pierson (1996)

Excellente définition

Définition incomplète ↓