Les normes morales ne peuvent pas être les mêmes d’une époque à l’autre, d’un pays à l’autre. Par exemple, si vous étiez dans la Rome antique, vous seriez probablement profondément choqué par l'attitude des Romains à l'égard de certaines choses... cependant, pour eux, ce n'était qu'une routine quotidienne.
1. En cas de décès d'un patient, le médecin qui l'a soigné était privé de ses mains.
2. Si une sœur désobéissait à son frère, celui-ci pouvait alors punir son parent par des rapports sexuels.
3. Si plusieurs esclaves appartenaient à une même personne à la fois, un seul nom de famille leur était alors attribué.
4. Parmi les 15 premiers empereurs, 14 étaient homosexuels. Claude était considéré comme un véritable mouton noir. Parce qu’il préférait uniquement les femmes, il était constamment ridiculisé et critiqué.
5. Dans l’armée romaine, les soldats étaient hébergés par groupes de dix sous des tentes. Le chef de la tente s'appelait uniquement le doyen.
6. Il n’y en avait pas à cette époque. Pour ces besoins, un bâton spécial avec un chiffon au bout a été utilisé. Ils l'ont plongé dans un seau d'eau.
7. L'élite de Rome vivait dans des demeures. Il y avait un heurtoir spécial à leur porte. Sur le seuil, un panneau en mosaïque disait généralement « Bienvenue ». Parfois, les esclaves gardaient ces maisons comme des chiens.
8. Les garçons aux cheveux bouclés servaient de serviettes lors des fêtes de Rome. Ils ont vraiment essuyé leurs mains grasses sur leurs cheveux. Cependant, les garçons n'étaient pas offensés, mais considéraient au contraire cela comme un honneur.
9. Pour que leur urine sente la rose, les femmes buvaient de la térébenthine sans crainte d'empoisonnement.
10. Un baiser lors d'un mariage est un héritage romain. Ensuite, cela signifiait un sceau symbolique sous l’accord oral de mariage.
11. Avez-vous déjà réfléchi à ce que sont les « Pénates » ? Ce sont des dieux romains dont la responsabilité était de protéger le foyer. Ainsi, l’expression courante ne devrait pas sonner « … pour les Pénates indigènes », mais « … pour les Pénates indigènes ».
12. Messaline, l'épouse de Claude, était l'une des femmes les plus dépravées de cette époque. Elle dirigeait un bordel et travaillait elle-même comme prostituée. Un jour, elle réussit à servir cinquante clients à la fois.
13. Le mois d'août porte le nom de l'un des empereurs romains.
14. La prostitution dans la Rome antique n'a été condamnée par personne. Les prostituées étaient des membres à part entière de la société, personne ne les méprisait.
15. Les spintrias sont des pièces spéciales en bronze. Ils étaient utilisés pour rémunérer les prostituées pour leur travail dans la Rome antique. Ils représentaient des scènes au contenu exclusivement érotique.
Elle était absolument libérée et dépourvue de tout tabou sexuel. La société romaine libre avait droit à presque tout ce qui pouvait apporter du plaisir sexuel. Cela était dû en grande partie au fait que les tendances orientales et grecques ont progressivement émasculé les fondements de la dure culture militaire romaine.
La vie sexuelle dans la Rome antique est encore considérée comme la norme de fidélité à toutes les formes de plaisir charnel. Ce n'est pas pour rien que tant de termes sexuels nous sont parvenus de la langue latine - coït, cunnilingus, masturbation, fellation...
Les femmes dans la Rome antique
Les Romains traitaient leurs femmes un peu différemment des Grecs. On croyait qu'un Grec se mariait pour avoir des enfants et une maîtresse à la maison. Le Romain recherchait un ami fidèle et un partenaire de vie. La femme romaine était respectée à la maison et dans la société : en sa présence, on ne pouvait pas parler grossièrement ou se comporter de manière indécente. Dans sa maison, la femme romaine était la maîtresse souveraine. La femme pouvait manger à la même table que son mari et ses amis et était en société.
Quant au sexe, à Rome, une femme était égale à un homme dans le droit de recevoir le plaisir de l'amour. De plus, on croyait que sans expérimenter pleinement le plaisir érotique, elle ne donnerait jamais naissance à un enfant en bonne santé. Au début de notre ère, l’émancipation fleurit à Rome. Les femmes étaient autorisées à hériter de la fortune de leurs maris morts à la guerre. Ils recevaient également de l'argent en cas de divorce, ce qui était une véritable révolution. Les dames riches, à la suite des hommes, s'adonnaient à des loisirs érotiques.
Une orgie dans les bains publics avec la participation de trois à cinq dames est devenue un événement courant, capturé dans les œuvres d'artistes romains antiques.
Prostitution et bordels
La prostitution dans la Rome antique a pris une ampleur véritablement colossale. Les prostituées romaines exerçaient leur ancien métier avec des visages blanchis et des yeux cerclés de suie. Ils se tenaient partout - sur les murs du Colisée, dans les théâtres et les temples. Visite poumon des femmes ce comportement était considéré comme très courant chez les Romains. Des prostituées bon marché vendaient du sexe rapide dans les quartiers de la vieille ville. Des prêtresses de l'amour de rang supérieur, soutenues par des baigneurs, opéraient dans les thermes romains. Comme dans la Grèce antique, la prostitution romaine avait aussi sa propre classification : un nom ou un autre indiquait les spécificités du libertin. Par exemple, les Alicariae ou boulangères - des filles qui restaient près des boulangers et vendaient des gâteaux en forme d'organes génitaux masculins et féminins. Les Diobolares sont de vieilles prostituées épuisées qui n'exigeaient que deux as pour leur amour. Les Nani sont des petites filles qui ont commencé à se prostituer dès l'âge de six ans.
Au fur et à mesure que l'Empire romain prospérait, les rangs des représentants de l'ancienne profession furent reconstitués par des esclaves étrangers. Il existait même des « fermes de prostituées », dont les propriétaires achetaient des esclaves ou élevaient des orphelins pour les prostituer. La traite négrière était aussi une source légale. Les proxénètes achetaient des femmes et les envoyaient travailler. L'usage sexuel des esclaves était légal à Rome. Le viol d'une esclave par un proxénète n'était pas non plus punissable. Les propriétaires de bordels proposaient également des garçons.
Courtisanes romaines
Il existait également une forme particulière de prostitution dans la Rome antique. Les courtisanes qui appartenaient à cette classe étaient appelées « bonae meretrices », ce qui indiquait leur plus grande perfection dans le métier. En réalité, elles n’avaient rien à voir avec les prêtresses de l’amour ordinaires. Ils avaient tous leurs amants privilégiés et ressemblaient à des hétaïres grecques. Comme ces derniers, ils eurent une grande influence sur la mode, l’art, la littérature et l’ensemble de la société patricienne.
Depuis 40 après JC. les prostituées de la Rome antique devaient payer des impôts. Leur calcul était basé sur un acte par jour. Les revenus dépassant cette norme n'étaient pas imposés. Tous les Césars romains s'en tenaient strictement à l'impôt sur les biens vivants, qui rapportait des revenus considérables au trésor. Même dans la Rome chrétienne, l'impôt bénéfique est resté longtemps. Après 30 ans, la prostituée de Rome n'était presque plus citée. Le sort habituel de ces prostituées était l'ivresse, la maladie et mort précoce. C'était une femme rare qui parvenait à épargner un peu d'argent pour ses vieux jours.
Quant aux bordels, à Rome, les habitants des bordels étaient appelés « lupae » (louves), et les bordels eux-mêmes étaient appelés « lupanaria ». Il y avait des auberges bon marché dans la ville. Lorsque le propriétaire demandait à un visiteur s’il souhaitait une chambre « avec ou sans », cela signifiait « avec ou sans fille ». La facture d'une auberge trouvée à Pompéi comprenait : pour le vin - 1/6, pour le pain - 1, pour le rôti - 2, pour le foin d'un âne - 2 et pour une fille - 8 as. Dans les bordels, sur chaque chambre étaient indiqués le nom de la fille qui y vivait et son prix minimum. Lorsqu'elle recevait un invité, elle verrouillait la porte et accrochait une pancarte indiquant « Occupé ».
Thermes romains antiques
En plus des bordels, les besoins sexuels dans la Rome antique étaient également satisfaits dans les thermes ou les bains. Cela commençait généralement par l'esclave frottant de l'huile sur la peau du client. Les riches visiteurs des bains se voyaient toujours proposer le choix entre plusieurs garçons à servir. Ici, les jeunes hommes issus de familles pauvres devenaient souvent les amants de clients âgés. En échange, ils recevaient une éducation et une promotion. Rien qu'à Rome, le nombre de bains proposant des services érotiques atteignait plus de 900 en l'an 300.
Les bordels n'étaient pas autorisés à ouvrir avant 16 heures, afin de ne pas détourner les jeunes de leurs études. La plupart des invités étaient soit des hommes très jeunes, soit des hommes très âgés ; ces derniers préféraient les jeunes filles. À une époque où régnait le slogan « Celui qui ne jouit pas ne peut pas se plaire », le besoin de tels établissements était très grand. À Pompéi, où il y avait à peine 20 000 habitants, sept bordels ont été découverts lors de fouilles, certains servaient également de tavernes, d'autres de barbiers. À Vicolo del Lupanare, vous pouvez encore voir des chambres troglodytes avec des lits en pierre. Sur les murs extérieurs se trouvent des inscriptions alléchantes : « Pour aimer la vie doux comme pour les abeilles (dans ces cellules). Un autre bordel portait l'inscription « Hic habitat felicitas » (« Ici demeure le plaisir »).
Préférences sexuelles des anciens Romains
Le sexe dans la Rome antique n’impliquait aucune relation entre les deux partenaires. Les hommes et les femmes pouvaient le faire quand ils le voulaient. Il n’y avait aucune obligation morale ou légale entre eux, et rien ne limitait le nombre de partenaires sexuels. Dans la Rome antique, le sexe oral était le service sexuel le moins cher. Il était considéré comme normal qu'une prostituée ou un homme de moindre statut social(esclave ou débiteur) a satisfait le partenaire. Pour d’autres, ce fut une expérience humiliante. Ainsi, par exemple, librement femmes nées Il était strictement interdit de prodiguer de telles caresses. De plus, le sexe oral était encore plus honteux que le sexe anal. Les anciens Romains croyaient que les exécutants de tels services avaient mauvaise haleine et n’étaient souvent pas invités à table. Les femmes qui le pratiquaient étaient considérées comme « impures » à Rome ; elles ne buvaient pas dans le même verre qu’elles et n’étaient pas embrassées.
Dans la Rome antique, les orgies de masse, connues de tous sous le nom de bacchanales, étaient très répandues. Ils sont devenus particulièrement laids à l'époque de Néron (1er siècle avant JC), où presque tous les types de perversions sexuelles étaient pratiqués : homosexualité, lesbienne, sexe en groupe, sadisme, masochisme, voyeurisme, etc. L'immoralité des Romains allait si loin qu'ils impliquaient des enfants dans leurs orgies. De telles orgies de masse furent finalement interdites en 186 après JC.
Description d'une orgie dans le roman romain antique "Satyricon" de Petronius
"... L'esclave a sorti deux tresses de sa poitrine et nous a attaché les mains et les pieds avec elles... La jeune fille s'est jetée à son cou et, ne rencontrant aucune résistance, l'a comblé d'innombrables baisers... Finalement, un kined ( homosexuel corrompu) est apparu dans des vêtements verts en laine hirsute, ceinturés d'une ceinture, soit il s'est frotté contre nous avec ses hanches écartées, soit il nous a souillés de baisers puants... Enfin, Quartilla, levant un fouet d'un fanon de baleine et ceignant sa robe. haut, ordonné de nous accorder, à nous les malheureux, un répit...".
La bestialité était également répandue à cette époque. Les copulations publiques massives d’animaux et de personnes dans la Rome antique sont un phénomène unique dans l’histoire de l’humanité. Les animaux étaient spécialement dressés pour un tel accouplement. Si les filles ou les femmes résistaient, l'animal tentait de le violer. Pour de tels événements, divers animaux étaient dressés: taureaux, girafes, léopards et guépards, sangliers, zèbres, étalons, ânes, chiens énormes, singes et autres.
Relations homosexuelles
Le sexe dans toutes ses manifestations entre partenaires de même sexe existait dans la Rome antique, mais sans division en orientation sexuelle. Pour obtenir du plaisir physique, il était considéré comme normal d'avoir des relations sexuelles, y compris avec un partenaire du même sexe. Cela était totalement indépendant des préférences sexuelles d’une personne dans la vie.
Cependant, il existait à Rome certains tabous sur les relations homosexuelles entre hommes. En particulier, un homme de statut social plus élevé devait jouer un rôle actif dans la sexualité. Sinon, il a été publiquement ridiculisé et expulsé de haute société. Il a été privé du droit de participer aux élections ou de représenter ses intérêts devant les tribunaux. Au sommet de la hiérarchie sociale de la Rome antique se trouvaient les hommes dits « virils » ou « Vir », considérés comme des « intrus non pénétrés ». « Vir » en latin signifie « homme » et de ce mot vient le mot anglais « virilité », qui se traduit par « masculinité ».
Il y avait aussi des relations lesbiennes dans la Rome antique. Par exemple, au tout début du printemps, la fête de Vénus la Fructueuse était célébrée à Rome. Femme mariée et les filles adultes allèrent au Mont Quirinal. Il y avait une monstrueuse idole phallique taillée dans du bois de citronnier. Les femmes le mirent sur leurs épaules et, tout en chantant des hymnes érotiques, le portèrent au temple de Vénus d'Erica. Puis, pendant plusieurs heures, ils se livrèrent à des jeux d'amour dans le temple, après quoi ils remirent l'idole à sa place d'origine.
Sexe et art de la Rome antique
L’art érotique a atteint son apogée dans la Rome antique. Les images d'orgies amoureuses sont devenues presque le thème principal de l'art. De plus, les représentations franches de la copulation à cette époque n’étaient pas du tout considérées comme de la pornographie. Tous les lieux publics et même les murs des maisons étaient décorés de peintures sexuelles. Des sujets évoquant le plaisir érotique étaient également représentés sur la vaisselle et les articles ménagers. Lors des fouilles de l’ancienne ville romaine de Pompéi, de nombreuses preuves de la sexualité romaine ont été découvertes. Par exemple, les maisons des Romains de la classe supérieure étaient décorées de fresques et d’œuvres d’art représentant des personnes participant sans vergogne à des orgies sexuelles. Les jardins étaient décorés de statues de dieux de la fertilité dotés d'énormes phallus. Les tavernes et les bordels, fréquentés par les couches inférieures de la population, avaient leurs propres manifestations spécifiques de la sexualité. On pouvait notamment y voir divers talismans et amulettes.
Le sexe a conquis et scène de théâtre. Partout à Rome, il y avait des spectacles de sexe acrobatique, que les artistes exécutaient dans les positions les plus incroyables. Une telle « libération » sexuelle était généralement manifestée pendant les pauses entre les représentations. Les artistes du sexe théâtral n'étaient pas moins populaires que les artistes sérieux, et des images de leurs performances étaient peintes sur les murs des tavernes. Lors du spectacle érotique de Rome, les acteurs dotés d'énormes phallus visibles de loin étaient particulièrement appréciés. Cependant grosse bite n'était pas du tout un signe de beauté masculine. Les Romains et les Grecs de l’Antiquité le considéraient plutôt comme comique.
Romains célèbres
Empereur Tibère- toute sa vie, il a apprécié le sexe sous toutes ses formes. Dans sa vieillesse, il entretenait même une salle de sport personnelle, où toutes sortes de jeux sexuels se jouaient sous ses yeux. Pendant qu'il nageait, des jeunes garçons, qu'il appelait « poissons », se déplaçaient entre ses jambes, le léchaient et le caressaient.
Empereur Caligula- dans la Rome antique, les lois contre l'inceste, comme beaucoup d'autres lois, étaient très dures. Lors de la formation de la République romaine, les auteurs de cet acte étaient condamnés à peine de mort. La personne la plus célèbre de la Rome antique qui a commis l'inceste en toute impunité est peut-être Caligula (12 - 41 après JC). Un des miens trois sœurs, Drusilla, a été enlevée à son mari et gardée comme son épouse légale.
Valérie Messaline- la nymphomane la plus célèbre de la Rome antique. Son nom lui-même est souvent utilisé comme synonyme de nymphomanie, ce qu'on appelle le « complexe de Messaline » (excitation et besoin sexuels accrus avec exigences correspondantes envers les partenaires). Ayant un appétit sexuel insatiable, elle devint célèbre à la fois comme prostituée et comme séductrice. À l'âge de seize ans, elle épousa l'empereur Claude. On pense qu’elle a commencé à être sexuellement active à l’âge de treize ou quatorze ans. Si un homme lui plaisait, Claude lui ordonnait de se soumettre à ses caprices (le mariage avec l'empereur lui procurait de grands avantages). Dio Cassius a affirmé qu'elle avait fourni à son mari dissolu des servantes comme partenaires sexuelles. Elle-même s'amusait souvent avec les clients d'un bordel local. Une fois, elle a même organisé un concours sexuel, défiant la prostituée la plus célèbre de Rome. Ils s'affrontaient pour voir qui pourrait satisfaire le plus d'hommes en 24 heures. Valeria est sortie victorieuse, ayant réussi à « accepter » 25 hommes en une journée.
Conclusion
La religion chrétienne a mis fin à l’ancienne liberté sexuelle romaine lorsqu’elle a commencé à pénétrer Rome au début du IVe siècle. Les interdictions devenaient de plus en plus fortes chaque jour et les plaisirs pécheurs prenaient fin. Les héros de l'époque étaient des ascètes sévères - des saints pères qui se consacraient au service du Tout-Puissant. Personne ne se souvenait plus de la malheureuse déesse de l'amour Vénus.
famille a joué un rôle très important. Quand dans la famille un enfant est néça a toujours été une grande fête, mais seulement si père l'enfant le prit dans ses bras. Dans le cas contraire, l’enfant était simplement jeté à la rue. Également jeté à la rue enfants faibles et laids.Dans les familles pauvres Parfois, des enfants en bonne santé étaient également abandonnés. Dans ce cas, ils étaient placés dans des paniers et amenés au marché.
Traditions dans les familles des anciens Romains
Pèreétait dans la Rome antique chef de famille et avait un pouvoir exclusif sur ses proches. Il savait même comment exécuter personnellement, à la discrétion des membres de la famille fautifs. Seulement à l'arrivée à Rome Christianisme Dans la ville, jeter des enfants a commencé à être considéré comme un crime et l'exécution d'enfants adultes était considérée comme un meurtre.
Parentalité
Quand garçon V Rome antiqueÀ l'âge de sept ans, il a commencé à comprendre diverses sciences sous la direction de son père. Les garçons ont appris manier des armes, monter à cheval, ils ont également été endurcis et ont appris à supporter la douleur. Dans les familles romaines riches et fortunées, les garçons apprenaient également à lire et à écrire. Filles ils ont continué à rester avec leur mère.
En atteignant un certain âge garçons dans la Rome antique, ils recevaient une toge adulte et étaient envoyés pour être formés par un fonctionnaire du gouvernement. Dans la Rome antique, une telle éducation était appelée primaire école du Forum Romain. Après cela, les jeunes hommes sont déjà passés entrainement militaire sur Marsovo m champà Rome et furent envoyés servir dans l'armée sans faute.
Enfants d'artisans a grandi dans des insulae exiguës. Contrairement aux enfants de familles aristocratiques, ils reçurent éducation seulement seulement dans école primaire. Cette formation commençait à l'âge de sept ans et durait cinq ans. Étudier à Rome autorisé les passages à tabac constants des étudiants. Vacances d'été ont été assez longues. En ville, ils ont duré jusqu'à quatre mois, et en zones rurales jusqu'à six mois.
Calendrier
Routine de vie des anciens Romains était la même pour le Romain commun et pour le sénateur. Les Romains se levèrent à l'aube. Après avoir enfilé ses sandales, le Romain fit sa toilette en se lavant le visage et les mains.
Le petit déjeuner de Romain consistait en un morceau de pain trempé dans du vin et saupoudré de sel. Parfois, ce pain était tartiné de miel.
Le Romain accomplissait généralement toutes ses affaires pour midi. Puis suivi déjeuner qui était aussi assez modeste. Même les empereurs ne se permettaient pas de grands excès lors du deuxième petit-déjeuner.
Après le deuxième petit-déjeuner est arrivé repos de midi. Après cela, les Romains se rendirent thermes, pour discuter avec des amis, entraînez-vous gymnases et bien sûr, se laver.
Déjà Le soir toute la famille romaine s'est réunie pour dîner. Pendant le dîner, qui durait généralement plusieurs heures, les mœurs des Romains n'étaient plus aussi strictes. Les dîners étaient souvent divertis danseurs. Il y avait une conversation informelle à table et des blagues étaient faites.
Sauf visiter les thermes Les Romains avaient d'autres divertissements. Ils aimaient différemment énigmes et des énigmes, joué aux dés et à la balle.
Après les guerres victorieuses, un flot incessant de personnes commença à affluer à Rome. butin de guerre et esclaves. En conséquence, de nombreux nobles Romains ont acquis des esclaves de diverses catégories. Parmi les catégories requises figuraient - des esclaves des portiers, des esclaves pour porter les civières, des esclaves accompagnant le maître en visite, un esclave cuisinier.
En particulier riches Romains se sont permis de rester entiers théâtres, où les acteurs et les chanteurs étaient des esclaves. Habituellement, ces esclaves coûtent au marché aux esclaves le plus gros argent.
La Rome antique est l'une des premières et en même temps un exemple brillant la mondialisation dans l’histoire de l’humanité. L’héritage de l’État romain est véritablement colossal. C’est tellement grand et palpable dans notre monde occidental que nous pouvons tous nous considérer comme un petit Romain. Et maintenant, nous allons parler de plusieurs des choses les plus significatives qui, même si elles n'ont pas été inventées à Rome, sont devenues « à la mode » précisément grâce à lui.
1. Alphabet latin 
Où est utilisé l’alphabet latin ?
La pièce la plus évidente du patrimoine romain. Aujourd'hui, la moitié du monde parle et écrit des langues basées sur l'alphabet latin. L'alphabet latin lui-même, selon la théorie la plus populaire (et plausible) des scientifiques, est apparu à la suite de l'adaptation de l'alphabet étrusque et de l'ajout d'éléments grecs.
2. Béton 
Seuls les Romains appréciaient ce matériau.
Le béton était inventé par des gens bien avant les Romains. Cependant, ce sont les Romains qui ont pleinement apprécié tous les avantages de ce matériau. Dans la partie centrale et occidentale de l’empire, tout était littéralement construit en béton, depuis les ateliers et les bâtiments résidentiels jusqu’aux temples, aqueducs, bâtiments gouvernementaux et culturels.
De plus, les Romains fabriquaient du béton spécial, incroyablement solide et durable ! Les scientifiques n’ont découvert son secret que récemment. Le fait est que les Romains renforçaient le matériau eau de mer et de la suie volcanique.
3. Routes pavées et ponts de pierre 
Les Romains furent les premiers à construire largement des ponts en pierre.
Comme pour le béton, les gens construisaient des routes et des ponts partout dans le monde bien avant les Romains. Cependant, dans la partie « occidentale » de notre planète, ce sont eux qui ont décidé qu’il serait bien de rendre les routes et les ponts plus durables. À la suite de la construction de ces infrastructures, la pierre et le béton ont commencé à être activement utilisés. Le besoin de bonnes routes était évident : pendant la « pax romana » (l'ère de la prospérité romaine), l'Empire romain occupait presque tout le territoire. monde connu et était le plus grand État de notre planète. Des routes pavées romaines subsistent encore aujourd'hui.
4. Toile routière
Les voies romaines ont survécu jusqu'à nos jours.
Les voies romaines ne sont bien sûr plus utilisées aujourd'hui là où elles subsistent. Cependant, les Romains nous ont laissé un autre cadeau. Le réseau de transport de l'Europe et de l'Asie Mineure est encore déterminé par les endroits où passaient les voies romaines. De nombreuses autoroutes et autoroutes modernes coïncident aujourd'hui avec les anciennes autoroutes romaines.
5. Plomberie 
Les Romains ont également popularisé les aqueducs.
Il sera difficile de faire breveter aux Romains la paternité du système d’approvisionnement en eau. Ils ont essayé de reconstruire des aqueducs Babylone antique. Cependant, ce sont les Romains qui ont commencé à utiliser les aqueducs partout où ils le pouvaient. Contrairement à toutes les civilisations qui l’ont précédé, les Romains utilisaient les aqueducs non seulement pour l’irrigation, mais aussi pour approvisionner en eau les villes, ainsi que les sites industriels : quartiers artisanaux et sites d’extraction de ressources. La ville de Rome à elle seule était alimentée par 11 aqueducs ! Aujourd'hui, on trouve des aqueducs plus ou moins conservés dans toute l'Europe : en Italie, en France, en Allemagne et ailleurs.
6. Assainissement 
Les plus grandes villes et les plus grands égouts appartenaient aux Romains.
Ce sont les Romains qui ont rendu les eaux usées non seulement « à la mode », mais vitales pour grandes villes. Les égouts romains étaient utilisés à la fois pour évacuer les eaux usées et pour évacuer les eaux pluviales. Au début, il s'agissait de puisards et de fossés plutôt banals, mais plus tard, les Romains ont commencé à les paver de pierre et même à creuser des tunnels souterrains ! Le premier égout romain était la Cloaca Maxima, située à Rome même. À propos, il a survécu jusqu'à ce jour. Ils l'utilisent même ! Certes, aujourd'hui, il s'agit exclusivement d'évacuer les eaux de pluie.
7. Armée régulière et professionnelle 
La milice c'est bien, mais l'armée c'est encore mieux.
Avant les Romains, il n’existait pas d’armées régulières à proprement parler. Dans la Grèce antique, en Égypte et en Orient, les armées se rassemblaient généralement sous forme de milices lorsqu'elles étaient nécessaires pour se protéger ou, au contraire, pour une campagne militaire contre leurs voisins. Le nombre de guerriers « professionnels » dans tous les premiers États était négligeable et finissait le plus souvent par assurer la protection personnelle du souverain et de la garde du temple.
L’histoire de Rome est l’histoire des guerres, externes et internes. Et tout au long de l'histoire de cet État, son armée s'est également développée, qui a parcouru un long chemin depuis la police et la milice décrites ci-dessus jusqu'à une armée régulière et, de surcroît, professionnelle. Ce sont les Romains qui ont changé le concept de guerrier en soldat, se rendant compte qu'un grand État a constamment besoin de ceux qui défendront ses intérêts les armes à la main.
Il est à noter que la transition finale vers armée régulière s'est produit en raison de la crise économique dans l'État. Le taux de chômage dans le pays augmente à un rythme effroyable en raison de la ruine des exploitations paysannes. La solution a été trouvée par Gaius Marius, qui a commencé à prendre tous les habitants libres du pays (pas seulement les citoyens), service militaire salaire prometteur et terrain à la retraite
8. Mécénat 
Les Romains ont mis à la mode la fréquentation des arts et des sciences.
Ce phénomène social doit son nom à Gaius Cilnius Maecenas, meilleur ami souverain de Rome Octave Auguste. Pour le dire simplement langue moderne, on pourrait appeler Mécène le premier ministre de la culture de l’histoire de l’humanité. En fait, Guy Tsilniy n'occupait aucun poste officiel, mais parrainait activement des personnalités culturelles afin qu'elles glorifient les valeurs de l'État et Octave Auguste lui-même.
9. République 
La République est une cause commune.
Quand les gens modernes Quand on parle de démocratie, de république et de liberté, on pourrait penser que ces trois mots sont synonymes. En fait, ce n’est pas du tout vrai. La démocratie d’Athènes n’avait rien à voir avec la République de Rome, et cette dernière est précisément l’ancêtre de toutes les formes de gouvernement républicain.
Ce sont les Romains qui furent les premiers à apprécier les avantages de la division du pouvoir, réalisant que sa concentration entre les mains d'une seule personne pouvait être dangereuse pour l'ensemble de la société. Ironiquement, c'est la concentration du pouvoir dans une seule main, déjà à l'époque impériale, qui deviendra l'un des fossoyeurs. état ancien.
Néanmoins, pendant longtemps, les Romains ont réussi à partager avec succès le pouvoir dans la société et à parvenir à un consensus public parmi tous les habitants libres du pays. Même si parfois, pour cela, les représentants les plus pauvres de la société ont dû faire chanter les plus riches en migrant massivement vers d'autres pays, voire prendre les armes.
10. Citoyenneté 
Quiconque vit et est libre peut être citoyen.
Peut-être le patrimoine le plus important de Rome, que les gens utilisent aujourd'hui d'une manière ou d'une autre. Le concept de « citoyen » existait dans de nombreux États anciens. Cependant, seuls les Romains parvinrent finalement à la conclusion que tout peuple libre doivent être citoyens de l’empire, quel que soit l’endroit où ils sont nés et dans quelle partie de l’État ils vivent.
11. Christianisme 
Sim, tu vas gagner.
Pendant longtemps dans l’Empire romain, les chrétiens ont été considérés comme une secte juive dangereuse. Cependant, tout a changé sous Constantin le Grand, qui, après la bataille de Rome, a égalisé toutes les religions en droits. Il transférera cette même croix de Jérusalem à nouvelle capitaleétat - Constantinople. Déjà Théodose Ier le Grand fera le christianisme religion d'état. Ainsi, grâce à Rome, la foi chrétienne commencera à se répandre dans le monde entier.
12. Mobilité sociale 
L’Empire romain a presque dépassé les États-Unis modernes en termes de mobilité sociale.
Enfin, je voudrais parler d’un autre « cadeau ». Comme tous les États anciens, Rome était un État esclavagiste. C’est dans la Rome antique que s’est formé le concept de « l’esclavage classique », ce terrible phénomène qui ressemble aujourd’hui à une sauvagerie absolue. Mais avec tout cela, la terrible Rome était remarquablement différente de tout autre État en termes de mobilité sociale.
Avant Rome, dans certaines Grèce antiques, en Égypte, à Babylone, les gens mouraient en naissant. Pendant de nombreux siècles après Rome, les gens sont morts comme ils sont nés. Et ce n'est qu'à Rome que, pour la première fois, les gens ont commencé à utiliser activement la mobilité sociale. Ici, les esclaves sont devenus libres, les affranchis ont accédé à l'aristocratie et les soldats ordinaires se sont dirigés vers l'empereur.
Post Scriptum 
Mausolée d'un simple boulanger.
Le héros lui-même.
Aujourd'hui, dans la Rome moderne, dans le centre-ville, près du Colisée et des ruines du Forum, se trouve un petit mausolée. Le propriétaire de ce mausolée n’était ni un empereur, ni un sénateur, ni même un citoyen respectable. Son propriétaire est un simple boulanger - Mark Virgil Eurysak. Il est né esclave dans une famille de migrants grecs, a pu obtenir la liberté, a conclu un accord avec la capitale du pays pour la fourniture de pain et est devenu si riche qu'il a finalement pu s'offrir ce monument pour lui et sa femme. .
La Rome antique, ainsi que La Grèce ancienne, considéré comme le berceau culture européenne. Cependant, certaines traditions de cette époque semblent étranges même à nous qui avons tout vu ou presque.
10ème place : Les rues de Rome portaient souvent le nom des artisans ou marchands qui s'y installaient. Par exemple, il y avait dans la ville une rue « Sandal » - une rue de spécialistes de la fabrication de sandales (vicus Sandalarius). Dans cette rue, Auguste érigea la célèbre statue d'Apollon, connue sous le nom d'Apollon Sandalarius.
9ème place : Aucune fleur ni arbre n'a été planté dans les rues romaines : il n'y avait tout simplement pas de place pour cela. Les Romains connaissaient les embouteillages bien avant la naissance du Christ. Si un détachement militaire à cheval passait dans la rue, il pouvait repousser les piétons et même les battre en toute impunité.
8ème place : Les murs de nombreuses maisons étaient décorés d'images explicites de scènes sexuelles. Ce n’était pas considéré comme de la pornographie, mais comme un objet de culte et d’admiration. Les artistes étaient particulièrement appréciés pour leur capacité à transmettre au public toute l’intensité de telles scènes.
7ème place : Rome est généralement célèbre pour sa liberté des mœurs. La pédophilie, les relations homosexuelles et les relations sexuelles en groupe étaient à l'ordre du jour. Mais il était conseillé aux riches nobles romains d'éviter d'avoir des relations sexuelles avec des femmes de la haute société, car si le résultat était un enfant illégitime, alors gros problèmes avec le partage de l'héritage.
6ème place : Les fêtes romaines n'étaient pas un très beau spectacle. Quelle que soit la taille de la salle et le nombre de personnes à manger, la table était très petite. Les convives étaient séparés des autres par des oreillers et des draps. Les gens bondés, réchauffés par le vin et la nourriture, transpiraient sans cesse et, pour ne pas attraper froid, se couvraient de capes spéciales.
5ème place : Les Romains ont adopté les combats de gladiateurs des Grecs. Non seulement un prisonnier de guerre, mais aussi tout citoyen libre souhaitant gagner de l'argent pouvait devenir gladiateur. Pour devenir gladiateur, il fallait prêter serment et se déclarer « légalement mort ».
4ème place : Les criminels civils pourraient également être condamnés à l'arène. Comme par exemple ce bijoutier qui trompait ses clients.
3ème place : Les Romains avaient aussi quelque chose qui ressemblait à un film. Pendant les naumakhiyas, les batailles historiques se sont déroulées de manière très détaillée. Pour organiser une bataille, un immense lac artificiel a été creusé. 16 galères avec 4 000 rameurs et 2 000 soldats gladiateurs ont participé au spectacle.
2ème place : La prostitution a prospéré à Rome. Les prostituées travaillaient presque partout et variaient non seulement par leur coût, mais aussi par la nature des services fournis. Par exemple, les bustuaries (« Bustuariae ») étaient des prostituées qui se promenaient la nuit autour des tombes (busta) et des feux de joie dans les cimetières. Souvent, ils jouaient le rôle de personnes en deuil lors des rites funéraires.
1ère place : les toilettes romaines (en latin on les appelait « latrina » ou « forica ») étaient assez spacieuses - la plus grande pouvait accueillir environ 50 personnes en même temps. Les sols des toilettes étaient pavés de mosaïques, représentant généralement des dauphins, et il y avait une fontaine au centre. Les musiciens jouaient souvent dans le foriki, et les personnes rassemblées discutaient et partageaient des nouvelles. On y entendait souvent des plaisanteries politiques et de la poésie.
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