Qui sont les Aryens et quel est leur rapport à la « race aryenne ». Les anciens Aryens sont nos ancêtres directs

Airs anciens

aria-yoga:

Selon les idées mythologiques, des races existaient auparavant sur Terre : marron, jaune, noir et rouge. Notre race blanche est la dernière, aryenne, et son représentant le plus caractéristique, qui a conservé dans une plus grande mesure la pureté du sang aryen, est le peuple russe. Les mythologies de tous les peuples de la Terre incluent la légende du Grand Déluge. On peut bien sûr imaginer que la naissance d'un tel mythe aurait pu être facilitée par l'expérience locale d'une très grande crue accidentelle d'une rivière, mais la similitude des détails sur le salut sur l'arche parle encore davantage en faveur d'un événement réel. d'importance mondiale. La question de la glaciation et de la mort si rapide des mammouths n'est pas claire, car dans le pergélisol du nord de la Sibérie, on trouve des carcasses congelées avec des restes de nourriture végétale non digérée dans l'estomac. Une comparaison de sources d’informations disparates suggère ce qui suit :

Les Russes sont l’une des nations les plus anciennes à avoir habité la Terre et possédaient une civilisation déjà développée avant le grandiose cataclysme mondial. Les anciens Aryens sont nos ancêtres directs. Il y a plus de dix mille ans, les Russes vivaient sur le territoire aujourd'hui occupé par la toundra et le pergélisol dans la région du nord de l'Oural. À cette époque, le climat y était complètement différent, tropical. Une végétation abondante couvrait de vastes espaces et les forêts étaient pleines d'animaux et d'oiseaux, les rivières - de poissons. C’était littéralement un âge d’or. Les Russes travaillaient modérément, ne manquaient de rien et le développement de la production n'était dû qu'à une fusion organique avec la nature. Mais pas par les préparatifs de guerres et de troubles civils, si caractéristiques de notre période de civilisation. Les Russes n’avaient pas d’esclavage, pas plus qu’il n’y avait de guerres de conquête. Cependant, ils étaient toujours prêts à repousser les attaques ennemies grâce à la hiérarchie développée du système de gestion de l'État, au sens de la communauté, au courage inné et à la force d'âme extraordinaire. A cette époque, ils possédaient déjà la production métallurgique et l’urbanisme. Ce n'est que récemment que le monde scientifique a été choqué par la découverte tout à fait inattendue d'un certain nombre de vestiges d'anciennes villes de Sibérie et du nord de l'Oural, obtenus grâce à une photographie spéciale du territoire depuis l'espace. L'antiquité des bâtiments est incontestable et il ne fait aucun doute que nos anciens ancêtres pouvaient ériger des structures qui n'étaient pas inférieures aux bâtiments de la Grèce antique plusieurs millénaires avant elle. Les fouilles attendent déjà leurs découvreurs.

La première ville transouralienne, dont le nom a été donné à Arkaim (d'après le nom d'une montagne située à proximité), dans laquelle des fouilles avaient déjà commencé, montrait qu'elle était habitée par des artisans, des agriculteurs et des chasseurs. Les habitants eux-mêmes étaient fans du culte du soleil, comme en témoignent les croix gammées (le signe - Kolovrat), la plus ancienne image stylisée du soleil, appliquée sur des plats en céramique et d'autres restes matériels. Ce symbole était extrêmement courant chez les peuples anciens. En plan, la ville est un cercle régulier avec des rues radialement divergentes. (L’écho de cette architecture a sans aucun doute affecté l’urbanisme de Moscou). Pour une raison quelconque, des figurines très similaires aux statues de l’île de Pâques ont été trouvées. Selon l'analyse au radiocarbone, les anciens outils fabriqués à partir d'os et de bois de mammouth trouvés dans le pergélisol se trouvent à 9 000 ou 10 000 ans de nous. Et pourtant, ce n’est pas l’essentiel. Les principales découvertes attendent encore les archéologues. Le fait est que les bâtiments trouvés représentent une post-culture née sur les restes du précédent, civilisation perdue Aryens à la suite d'une catastrophe mondiale survenue il y a 11,5 mille ans. C'est alors que les mammouths s'éteignirent, et les descendants des Aryens réussirent à survivre au désastre grâce à une culture assez forte et développée.

Vraisemblablement, la raison d'une glaciation aussi rapide est la rotation de l'axe de la Terre, qui se produit de temps en temps. La Terre est une figure ellipsoïde. Chaque écolier sait que la Terre tourne autour de son axe avec une période d'une journée (c'est-à-dire qu'elles sont précisément causées par la rotation). Mais tout le monde ne sait pas que l’axe de la Terre est également circulaire. Ce mouvement est appelé précession en mécanique. Pour plus de clarté, regardez comment tourne une toupie ou une toupie pour enfants. L'axe de rotation ne reste pas strictement vertical et immobile. Elle dessine également un petit cercle avec son mouvement, et le temps nécessaire pour effectuer une révolution est beaucoup plus long que pour la révolution du sommet lui-même. Ainsi, le temps de rotation précessionnelle de l'axe de la Terre est de 44 000 ans. De plus, l'axe de la Terre a tendance à s'écarter de sa position d'équilibre dans les deux sens d'un degré et demi sur une période de 25 776 ans. Autrement dit, il existe des mécanismes qui font pivoter l’axe de la Terre et, dans certaines conditions, une situation avec apparition d’un équilibre instable de l’axe est tout à fait possible. Cela pourrait être l’impact d’une météorite puissante, d’une comète, la déviation par le champ gravitationnel d’un corps cosmique massif proche, ou même la croissance de calottes glaciaires aux pôles, ce qui se produit tout le temps. Avec la croissance des calottes glaciaires aux pôles, la Terre semble prendre la forme d’un haltère, ce qui conduit également à une position d’équilibre instable. Très probablement, c'est la rotation de l'axe de la Terre, survenue il y a 11,5 mille ans, qui a provoqué un cataclysme qui a provoqué des phénomènes irréversibles, un refroidissement brutal dans des zones auparavant climatiquement favorables, avec tous les phénomènes qui l'accompagnent - tremblements de terre, éruptions volcaniques, affaissement et montée de continents, c'est-à-dire e. "Le déluge mondial".

C'est à cette époque, distante de 11 à 12 mille ans de nous, qu'il y eut une grande bataille entre la civilisation hostile des Atlantes et des Aryens, au cours de laquelle nos ancêtres écrasèrent les Atlantes. Les informations sur cette bataille par l'intermédiaire des initiés ont trouvé leur chemin jusqu'à notre siècle. C'est la rotation de l'axe de la Terre qui a provoqué la mort de l'Atlantide. Une partie des Atlantes s'est échappée en s'installant sur le continent américain et en se mélangeant à la race rouge, d'autres sur le continent africain, fondant par la suite la civilisation des Égyptiens. Les Aryens, selon plusieurs légendes, viennent du nord de l'Oural. Les montagnes de l'Oural ont probablement contribué à la survie et une culture développée a aidé à surmonter des centaines d'années de vie dans le désert glacé qui en a résulté. C'est à cette période que l'on peut attribuer le début de l'installation des Aryens sur la planète. D'une manière ou d'une autre, le cataclysme les a obligés à rechercher de nouvelles terres plus adaptées et à faire de longues randonnées à leur recherche. À ce moment-là, nous devons attribuer l'apparence différentes langues. Avant le cataclysme, il existait une langue commune sur la planète.

Ainsi, peu à peu, nos ancêtres ont maîtrisé les espaces du Trans-Oural, de la Sibérie, puis de l'Europe. Certains se rendirent en Inde, y fondant un centre de culture ancienne. Une partie, par le détroit entre l'Asie et l'Amérique, traversa le continent américain, s'assimilant à la race à la peau rouge, qui resta également partiellement. Ce fut la période de formation la plus difficile, associée aux batailles pour les territoires en développement, aux épreuves des campagnes, à la vie nomade. Par rapport aux restes d'autres races qui ont survécu après la rotation de l'axe terrestre et qui étaient à cette époque des habitants des cavernes de l'âge de pierre, les Aryens étaient les porteurs de la civilisation. Ils ont réussi à préserver une partie de la culture et des connaissances qu’ils possédaient auparavant. Le scientifique de la fin du XVIe et du début du XVIIe siècle, Mavro Orbini, auteur du livre, a pu émettre une hypothèse sur l'origine du peuple slave. "Royaume slave" affirmait que la race slave était beaucoup plus ancienne que les pyramides égyptiennes et « elle était si nombreuse qu’elle peuplait la moitié du monde »…

Les anciens Aryens et leurs migrations vers le sud. Société et culture des anciens Aryens.

Dès la fin du IIe millénaire avant JC. à ce jour, la majorité de la population de l'Iran et de l'Inde descend ethniquement d'une branche spéciale d'Indo-Européens - les locuteurs de ce qu'on appelle les langues. Groupe indo-iranien Langues indo-européennes, qui à son tour est divisé en deux sous-groupes - iranien et indo-aryen. Découvrir le foyer ancestral de l'unité pan-indo-iranienne, l'histoire de sa désintégration en communautés d'indo-aryens et de tribus de langue iranienne, leurs habitats et le déroulement de la colonisation est l'un des problèmes les plus difficiles de l'histoire de l'Antiquité. . Il n’existe actuellement aucune solution généralement acceptée et pleinement prouvée à ce problème. Nous pouvons seulement affirmer avec un degré raisonnable de certitude qu'à la fin du IIIe millénaire avant JC, l'unité ethnolinguistique indo-iranienne existait encore et habitait les vastes étendues de steppes s'étendant du Danube à l'Altaï en passant par la région nord de la mer Noire et Kazakhstan moderne.

À la fin du IIIe - début du IIe millénaire, au sein de cette unité, les communautés tribales proto-iraniennes et proto-indo-aryennes se sont séparées les unes des autres, à la suite de quoi leurs langues ont finalement divergé en indien et iranien par au milieu du IIe millénaire. Le nom commun des Indo-Iraniens, conservé par leurs deux branches, était Aryens (un terme ayant le sens général de « personne rituellement pure, la plus élevée et la meilleure » ; les termes ayant le sens littéral de « vraies personnes » étaient acceptés. comme nom personnel par beaucoup groupes ethniques primitivité). Les anciens Aryens de cette époque étaient des éleveurs de bétail qui se trouvaient au stade de développement pré-étatique ; Auparavant, leur activité principale était l'agriculture (comme en témoigne la préservation de la terminologie agricole indo-européenne commune), mais en raison des changements climatiques, elle est passée au second plan. Au cours du IIe millénaire avant JC, les tribus aryennes se sont installées dans le sud en plusieurs vagues, occupant les territoires de l'Iran et du nord de l'Inde. Les documents archéologiques et linguistiques incitent les chercheurs à affirmer que les Iraniens sont venus en Iran via le Caucase plutôt que depuis l’Asie centrale.

À un niveau plus hypothétique, une image plus détaillée peut être recréée. Apparemment, au début. II millénaire avant JC, les ancêtres des Indo-Aryens se sont installés dans la partie occidentale des steppes, en Ciscaucasie, et les ancêtres des tribus de langue iranienne - à l'est. À en juger par les idées reliques qui ont survécu dans l'Avesta - le livre sacré de la religion iranienne tardive, le zoroastrisme - le monde initialement connu de la tradition iranienne s'étendait de l'Altaï et du Tien Shan jusqu'aux sources de la Volga d'est en ouest et de la Sibérie occidentale jusqu'à l'Amou-Daria du nord au sud ; cet immense espace était divisé en sept parties, dont la centrale était Khvanirata - la patrie des Iraniens eux-mêmes. Archéologiquement, c'est l'époque de la domination de la culture des catacombes entre le Dniepr et le Caucase.

Aux XVIII-XVII siècles. En Colombie-Britannique, comme le montrent les données de fouilles, il y a un déplacement massif de tribus à travers le Caucase vers le sud, le long de la route Ciscaucasie - nord de l'Iran - plus à l'est jusqu'à l'Indus. Le rôle décisif dans cette migration fut apparemment joué par les Proto-Indo-Aryens de Ciscaucasie ; en chemin, ils ravageèrent les indigènes d'Iran et les chassèrent devant eux ; ils se sont déplacés vers l'est, se pressant les uns contre les autres et provoquant de nouvelles migrations en chaîne. En conséquence, une bande de peuplement indo-aryenne est apparue, s'étendant du Caucase au centre-nord de l'Iran et de l'Afghanistan jusqu'aux frontières de l'Inde, qui ont été atteintes en cours de route par les détachements « avancés » de la migration indo-aryenne. certains groupes d'Indo-Aryens étaient à la traîne du courant principal ; en particulier, un de leurs groupes est venu à cette époque sur les hauts plateaux arméniens et s'est installé sur le Haut Euphrate, près des frontières de la Haute Mésopotamie, où il est enregistré sous le nom de « Guerriers Manda » par des sources d'Asie occidentale des XVIIIe et XVIIe siècles. . BC (en science, ils sont connus sous le nom d'Aryens d'Asie centrale). De là, les Aryens - « Manda », entrant en symbiose avec les Hourrites, pénétrèrent profondément dans le monde hourrite : depuis leur sein aux XVIIe et XVIe siècles. J.-C., les dynastes du Mitanni et certains royaumes de la Palestine hourrite ont émergé). La région du Haut Euphrate des Aryens a conservé le nom de « Manda », et la famille princière arménienne qui la dirigea plusieurs siècles plus tard fut appelée Mandakuni en son honneur. Certains Indo-aryens sont restés dans la Ciscaucasie et y ont existé même à l'époque ancienne (comme l'ont montré les études d'O.N. Trubachev, les reliques indo-aryennes se sont avérées être les Sindiens et les Méotiens, bien connus d'après des sources anciennes).

En conséquence, au deuxième trimestre - milieu du IIe millénaire, la zone de peuplement proto-indo-aryenne se situe principalement au sud de la ligne Caucase-Caspienne, et la zone proto-iranienne se situe au nord de cette ligne, de sorte qu'il y a un un écart territorial important entre eux. C'est à cette époque que leurs langues, selon la linguistique, divergent complètement. Pour la steppe, c'est l'époque de l'existence de deux cultures archéologiques principales - la culture multi-rollaire dans les steppes à l'ouest de l'Oural - la Volga et la culture d'Andronovo au Kazakhstan ; il y a toutes les raisons d’associer cette dernière à l’unité ethnoculturelle paniranienne.

Aux XVIe/XVe – XIVe siècles. AVANT JC. la deuxième grande migration des anciens Aryens s'effectue approximativement le long de la même route circum-caspienne que la première : les tribus d'Andronovo se déplacent vers l'ouest au-delà de la Volga et, se mêlant aux tribus locales, forment ici une culture particulière de la charpente en bois (tandis qu'à l'époque à l'est de la Volga, l'Andronovo proprement dit perpétue la tradition) ; Dans le même temps, les tribus de langue iranienne se sont répandues au-delà du Caucase vers le nord-ouest et le nord de l'Iran, apportant avec elles le début de l'âge du fer en Iran et la poterie grise caractéristique. À la fin de cette période de migrations, les tribus de langue iranienne se sont déplacées vers l'est jusqu'à la Bactriane ultérieure (le nom même de Bactriane signifie « pays de l'Est » en iranien, les Iraniens sont donc venus ici de l'ouest) et l'Amou-Daria. vallée inclusive. C'est probablement sous leur pression progressivement croissante que les Indo-Aryens se sont déplacés vers le nord de l'Inde aux XIVe et XIIIe siècles. AVANT JC. En Iran, les Indo-aryens ont été en grande partie déplacés ou assimilés par leurs parents étrangers de langue iranienne, bien qu'à la jonction de leurs régions une large bande d'existence et de symbiose irano-indo-aryenne interstriée ait été préservée, qui comprenait une partie importante de l'histoire moderne. Afghanistan. Ainsi, le même territoire avec un centre dans le Kandahar ultérieur est connu de sources indiennes sous le nom de royaume indo-aryen du Cambodge et de sources iraniennes sous le nom de pays portant le nom iranien Harakhati (ancienne Arachosia).

En conséquence, le deuxième cycle des migrations aryennes, l'installation des tribus de langue iranienne a pris la forme suivante, qui est restée en termes généraux à la fin du IIe - début du Ier millénaire avant JC : à l'est de l'Oural et la Volga vivaient les porteurs de la culture Andronovo - les ancêtres des tribus Scythes-Saka, connues avant tout, selon des données anciennes, et les tribus « tura », dont parle « Avesta » ; à l'ouest de l'Oural et de la Volga, la steppe était occupée par les porteurs de la culture Srubnaya, ancêtres immédiats des tribus que les Grecs appelaient collectivement « Cimmériens » ; la majeure partie du centre-ouest et du nord de l'Iran était occupée par une communauté dont émergèrent plus tard les tribus mèdes et perses (iraniennes occidentales) ; sous l'Amu Darya - Hilmend, un groupe de tribus s'est isolé, connu dans la science sous le nom d'« Aryens avestiques » (ils s'appelaient eux-mêmes « Arya », leur territoire - Aryanam-Vaija, « Espace aryen » et Aryoshyana, « Pays des Aryens » ", et c'est avec eux que les événements se sont reflétés dans l'Avesta, dont le noyau s'est formé dans leur propre environnement). Les Aryens avestiques étaient les descendants du chef, partie la plus avancée d'un même flux migratoire vers l'est, dont l'essentiel, resté au centre de l'Iran, était représenté par
Tribus médo-persanes. Cependant, les Aryens avestiques, se déplaçant vers l'est, se sont séparés de leurs parents iraniens occidentaux et se sont retrouvés séparés d'eux par les régions de la région caspienne du sud-est avec la population indigène non iranienne, décrites dans la tradition avestique comme des ennemis terribles et puissants. , et le désert de sel de Dasht-i-Kevir. Cela a empêché les Aryens avestiques de maintenir des contacts avec les tribus de langue iranienne du plateau iranien et a conduit leur histoire à se développer en deux courants indépendants au cours des siècles suivants.

À la suite de l'assimilation progressive de la population aborigène d'Iran par les tribus de langue iranienne, tout l'espace entre le Tigre, l'Indus et l'Amou-Daria vers le milieu du 1er millénaire a commencé à être appelé « Aryanam », « Aryen (terre) ». La forme ultérieure de ce mot est le « Iran » moderne. Les premières sociétés iraniennes (ainsi qu'indo-aryennes) sont caractérisées par la même organisation en trois classes, qui remonte à la pratique indo-iranienne commune : la société était divisée en classes héréditaires de prêtres, de guerriers et de membres ordinaires de la communauté - éleveurs et agriculteurs. . Au niveau des unions tribales, les rôles correspondants étaient souvent attribués à des tribus entières : par exemple, dans l'union des six tribus des Mèdes, les fonctions sacerdotales étaient monopolisées par la tribu des magiciens (d'où le sens du mot « magicien » en langue européenne). langues). La mentalité des Indo-Iraniens était caractérisée par une auto-identification ethnique rituelle et linguistique : ceux qui accomplissaient les rituels corrects dans un langage pur, honorant les dieux correspondants, étaient considérés comme ethniquement « les leurs », quelle que soit leur relation de sang. Cela a grandement facilité l'assimilation de la population autochtone. Les prêtres étaient considérés comme la classe la plus vénérée, mais le pouvoir du chef (plus tard le roi) aurait dû normalement être exercé par quelqu'un de la classe des guerriers ; leader et était considéré avant tout comme le chef organisation militaire tribu.

Les idées religieuses des Indo-Iraniens sont reconstruites sur la base de données sur les croyances de chaque peuple indo-iranien. Les dieux étaient clairement divisés en deux classes - les daivas et les ahuras (asuras iraniens), dans une certaine mesure opposés les uns aux autres (cette division est connue dans de nombreuses mythologies, notamment suméro-akkadiennes). Au début du IIe millénaire avant JC, chez les Indo-Aryens, et indépendamment chez eux, chez les Iraniens, cette division fut repensée comme une division de valeur : les dieux d'une des classes commencèrent à être considérés comme « bons » (répandre la joie , vie, création), et l'autre - comme « mal » (infligeant la mort, la souffrance et la destruction). Dans le même temps, les Iraniens considéraient les Akhur comme de bons dieux, les Daivas comme le mal, et les Indo-Aryens - vice versa. En conséquence, les dieux les plus puissants et clairement bienfaisants, tels que Mithra, le dieu du soleil et de la justice humaine, le gardien des serments, furent crédités. différents peuples en différentes catégories : chez les Iraniens Mithra est ahura, chez les Indo-aryens c'est daiva. Tous les Indo-Iraniens vénéraient Yama (Yima), l'ancêtre de l'humanité et le souverain du royaume des morts, ainsi que du vent, du soleil, de la lune et du feu.

Comme le raconte l'Avesta, le long des rives de la mer de Voorukasha (« mer de lait » du Mahabharata) et de Rankha (Volga) se trouvaient un certain nombre de pays aryens - depuis l'Aryan-Vedzh à l'extrême nord jusqu'à sept pays indiens au sud, au-delà de Rankha. Ces mêmes sept pays sont mentionnés dans le Rigveda et le Mahabharata comme les terres situées entre le Gange et la Yamuna, sur le Kurukshetra. On dit d'eux : « Illustre Kurukshetra. Tous les êtres vivants, dès qu'ils y viennent, se débarrassent de leurs péchés », ou « Kurukshetra est le saint autel de Brahma ; de saints brahmanes - des sages - y apparaissent. Celui qui s’installe à Kurukshetra ne connaîtra jamais le chagrin. La question se pose naturellement : quels sont ces fleuves - le Gange et la Yamuna, entre lesquels se trouve le pays de Brahma ? Nous avons déjà découvert que Ranha-Ganga est la Volga. Mais d'anciennes légendes indiennes considèrent la Yamuna comme le seul affluent majeur du Gange coulant du sud-ouest. Regardons la carte, et il nous deviendra clair que l'ancienne Yamuna est notre œil ! Est-il possible? Apparemment – ​​oui ! Ce n'est pas un hasard si le long du cours de l'Oka se trouvent ici et là des rivières portant les noms : Yamna, Yam, Ima, Imyev. De plus, selon les textes aryens, le deuxième nom de la rivière Yamuna était Kala. Ainsi, à ce jour, l'embouchure de l'Oka est appelée l'embouchure du Kala par les résidents locaux.

Mentionné dans le Rigveda et le Mahabharata et autres grandes rivières. Ainsi, non loin de la source de la Yamuna (Oka) se trouvait la source de la rivière Sindhu coulant vers l'est et le sud et se jetant dans la mer Rouge (Rouge) (« Sindhu » en sanskrit signifie ruisseau, mer). Mais rappelons-nous que dans les chroniques irlandaises et russes, la mer Noire s'appelait Cheremny, c'est-à-dire Rouge. C'est d'ailleurs ce qu'on appelle encore la partie de sa zone d'eau située au nord. Sur les rives de cette mer vivait le peuple du Sind et se trouvait la ville de Sind (Anapa moderne). On peut supposer que le Sindhu des anciens textes aryens est le Don, dont les sources se situent non loin de la source de l'Oka. Dans l'interfluve Volga-Oka, il existe de nombreuses rivières dont les noms ont été perdus depuis des millénaires. Pour le prouver, aucun effort particulier n'est nécessaire : il suffit de comparer les noms des rivières Poochya avec les noms des « sources sacrées » du Mahabharata, plus précisément, dans cette partie connue sous le nom de « Marcher le long de la rivière ». ressorts. » C'est dans ce document qu'est donnée une description de plus de 200 réservoirs sacrés de l'ancienne terre aryenne de Bharata dans les bassins du Gange et de la Yamuna (à partir de 3150 avant JC) :

Rivière Krinitsa à Poochie
Agastya Agashka
Aksha Aksha
Apaga Apaka
Archika Archikov
Ashita Asata
Ahalya Akhalenka
Vadawa Vad
Vamana Wamna
Vansha Vansha
Varaha Varah
Varadana Varaduna
Kaveri Kaverka
Kédara Kidra
Kubja Kubja
Kumara Kumarevka
Kushika Kushka
Manucha Manuchinskaïa
Pariplava Plava
Bébé pleurnichard
lac Lac Rama Rama
Ville de Sita
Soma Som
Sutirtha Sutertki
Touchine Touchina
Urvashi Urvanovsky
Ouchanas Ouchanets
Shankhini Shankini
Shona Shana
Shiva Shivskaïa
Yakshini Yakshina

Il est également surprenant qu'il ne s'agisse pas seulement d'une coïncidence presque littérale des noms des sources sacrées du Mahabharata et des rivières. Russie centrale, mais même avec la correspondance de leurs positions relatives. Ainsi, aussi bien en sanskrit qu'en russe, les mots avec l'initiale « F » sont extrêmement rares : dans la liste des rivières du Mahabharata, une seule rivière a un « F » au début de son nom - Falguna, qui se jette dans le Sarasvati. . Mais, selon d'anciens textes aryens, Saraswati est le seul grand fleuve qui coule au nord de la Yamuna et au sud du Gange et se jette dans la Yamuna à son embouchure. Elle correspond uniquement à la rivière Kliazma, située au nord de l'Oka et au sud de la Volga. Et quoi? Parmi des centaines de ses affluents, un seul porte un nom commençant par « F » : Falyugin ! Malgré 5 000 ans, ce nom inhabituel est resté pratiquement inchangé.

Un autre exemple. Selon le Mahabharata, au sud de la forêt sacrée de Kamyaka, la rivière Praveni (c'est-à-dire le Grand Fleuve) se jetait dans la Yamuna, avec le lac Godowari (où « vara » signifie « cercle » en sanskrit). Quoi de neuf aujourd'hui? Comme auparavant, au sud des forêts de Vladimir, la rivière Pra se jette dans l'Oka et se trouve le lac Godd. Ou un autre exemple. Le Mahabharata raconte comment le sage Kaushika, lors d'une sécheresse, a irrigué la rivière Paru, qui a été rebaptisée en son honneur. Mais plus loin, l'épopée rapporte que les résidents locaux ingrats appellent encore la rivière Para et qu'elle coule du sud jusqu'à la Yamuna (c'est-à-dire jusqu'à l'Oka). Et quoi? La rivière Para coule toujours du sud jusqu'à l'Oka et les habitants l'appellent ainsi il y a plusieurs milliers d'années.

La description des sources il y a cinq mille ans parle, par exemple, de la rivière Pandya, coulant près de Varuna, un affluent du Sindhu (Don). Mais la rivière Panda se jette encore aujourd'hui dans le plus grand affluent du Don - la rivière Vorona (ou Varona). Décrivant le chemin des pèlerins, le Mahabharata dit : « Il y a Jala et Upajala, les rivières qui se jettent dans la Yamuna. » Y a-t-il des rivières Jala (« jala » signifie « rivière » en sanskrit) et Upa-jala qui coulent à proximité quelque part aujourd’hui ? Manger. Il s'agit de la rivière Zhala (Tarusa) et de la rivière Upa, qui se jettent à proximité dans l'Oka. C'est dans le Mahabharata que le fleuve Sadanapru (Grand Danapr) - Dniepr coulant vers l'ouest depuis le cours supérieur du Gange (Volga) a été mentionné pour la première fois.

Mais si les noms des rivières ont été préservés, si la langue de la population a été préservée, alors peut-être faudrait-il préserver les peuples eux-mêmes ? Et effectivement, ils existent. Ainsi, le Mahabharata dit qu'au nord du pays de Pandya, situé sur les rives du Varuna, se trouve le pays des Martyas. Mais c'est précisément au nord de Panda et Vorona, le long des rives de Moksha et Sura, que se trouve le pays des Mordva (Mortva du Moyen Âge) - un peuple qui parle une langue finno-ougrienne avec un grand nombre de russes, iraniens. et des mots sanskrits. Le pays situé entre Yamuna, Sind, Upajala et Para s'appelait A-Vanti. C’est exactement ainsi que les voyageurs arabes, les chroniques byzantines et les chroniques russes appelaient le pays des Viatichi entre l’Oka, le Don, l’Upa et le Para. Le Mahabharata et le Rigveda mentionnent les peuples Kuru et Kurukshetra. Kurukshetra signifie littéralement « Champ de Koursk », et c'est en son centre que se trouve la ville de Koursk, où « Le Conte de la campagne d'Igor » place le peuple de Koursk - de nobles guerriers.

char des anciens Aryens

Le peuple guerrier Krivi est également mentionné dans le Rig Veda. Mais les Lettons et les Lituaniens appellent tous les Russes « Krivi », du nom du groupe ethnique russe voisin Krivichi, dont les villes étaient Smolensk, Polotsk, Pskov et Tartu et Riga actuelles. Eh bien, qu'en est-il de l'ethnonyme Rus lui-même - terre russe ? Sont-ils mentionnés dans des textes anciens vieux de plusieurs milliers d’années ? Rusa, Rasa, Rasyane sont constamment mentionnés dans le Rig Veda et l'Avesta. Quant au territoire russe, c’est une question de traduction. Les terres de Bharata, situées le long du Gange et de Yamuna, sur Kurukshetra, étaient autrement appelées Terre sacrée, sainte ou lumineuse, et en sanskrit « Rusa » signifie « lumineuse ». Gavrila Romanovitch Derjavin écrivait un jour : « Le fleuve des temps, dans son élan, emporte toutes les affaires des gens… ».

Nous avons été confrontés à un paradoxe étonnant lorsque de véritables rivières semblaient arrêter l'écoulement du temps, ramenant dans notre monde les gens qui vivaient autrefois au bord de ces rivières et leurs affaires. Ils nous ont rendu notre Mémoire.

A. VINOGRADOV économiste, écologiste, géographe
Candidate S. ZHARNIKOVA sciences historiques, critique d'art, ethnologue.
Journal «Nouveau-Pétersbourg», 18 (485), 26/04/2001

ARIAS ANCIENS –
CIVILISATION DES IMMORTELS,
À LA CONQUÊTE DES POUVOIRS DE L'UNIVERS

À cette époque, les gens naissaient déjà dotés de nobles qualités et de pouvoirs étonnants. Pour acquérir des pouvoirs spéciaux, les gens de ce yuga n'avaient pas nécessairement besoin d'effectuer des pratiques yogiques ou de réciter des mantras qui permettraient d'obtenir des réalisations étonnantes. Ces personnes, par pure dévotion au dharma, étaient des siddhapurusas, ou des personnes dotées de pouvoirs surnaturels.
C'étaient des gens vertueux dotés de connaissances et de sagesse. Ils pouvaient naturellement se déplacer dans le ciel à la vitesse du vent, à leur guise. Ils avaient tous les huit accomplissements suprasensibles, qui sont maintenant appelés surnaturels, connus comme rétrécir à une taille minuscule, grandir jusqu'à une taille gigantesque, devenir extrêmement lourd, devenir en apesanteur, être capable d'obtenir tout ce que vous voulez, être capable de se débarrasser complètement de désirs, obtenant les plus hautes réalisations, acquérant une flexibilité incroyable.

Lorsque nous entendons le mot « Slaves », une chaîne d'images d'association naît immédiatement involontairement : Slaves - paganisme - sorcières - sages - divination - esprits de la nature - guerriers épiques - danses rondes de filles en kokoshniks brodés - sautant par-dessus le feu dans la nuit d'Ivan Kupala - adieu à l'hiver - Maslenitsa, etc.
Cependant, ces chères idées sur les Slaves, nos ancêtres, élevés avec des contes de fées et des épopées pour enfants, font référence à ceux d'entre eux qui ont vécu il y a environ 3 à 5 000 ans, avant la christianisation des peuples slaves. Nous parlerons d'ancêtres plus lointains, qui vivaient il y a environ 5 000 ans et même il y a plus de 8 à 10 000 ans, dans la période préglaciaire - des Aryens, des dieux d'origine surnaturelle, qui ont donné naissance à la plupart des civilisations et cultures terrestres actuelles, en particulier les Indo-slaves
Indo-renommée - les Aryens étaient la plus haute civilisation d'immortels, une civilisation de peuples-dieux qui possédaient les secrets du contrôle de l'espace-temps, pouvaient se déplacer librement dans des dimensions parallèles, courbant l'espace, voyageaient sur des vimanas - des véhicules volants rappelant les OVNIS, possédaient des armes à rayons qui ont surpassé les dernières réalisations de l'humanité dans ce domaine, ont activement exploré l'espace proche et lointain, maîtrisé les technologies de l'alchimie, des méthodes supérieures à la nanotechnologie moderne et ont voyagé jusqu'à la Lune.
Le professeur de la Faculté de sanscrit de l'Université de Madras V. Ragavan estime que les héros de l'épopée « Mahabharata », « Ramayana » - les Aryens, nos anciens ancêtres - sont des représentants d'une civilisation plus ancienne.
«Je suis arrivé à la conclusion», dit V. Ragavan, «que sur d'autres planètes se trouvent des êtres vivants qui ont visité la Terre en 4 000 av. Ceci est démontré par le grand nombre de références dans les Vedas, les anciennes épopées indiennes et d’autres textes sanskrits sur d’étonnantes machines volantes et des armes incroyables.

Avions des Aryens

En effet, dans l'ancienne épopée indienne « Mahabharata », « Ramayana » et d'autres textes en sanskrit, les machines volantes sont mentionnées d'innombrables fois - les vimanas, les armes à rayons, dont l'humanité n'a désormais plus d'analogues - « la foudre divine ».
Le Vimanika Shastra déclare qu'au Satya Yuga (1 728 000 ans), les trois premières classes de vimanas n'existaient pas, c'est-à-dire les premiers vimanas ne contenaient pas de particules de matière grossières, c'est-à-dire ils étaient constitués d’éléments matériels subtils inaccessibles à l’humanité au niveau actuel.
Mais à mesure que l'esprit humain s'est développé au cours du Treta Yuga (1 296 000 ans), les vimanas ont été créés par des mantras - des vibrations sonores et ont été appelés « mantrika ».
Dans le Dvapara Yuga (864 000 ans), les vimanas ont été condensés et créés par des méthodes magiques et tantriques. De tels vimanas étaient appelés « tantrika ».
Au Kali Yuga (432 000 ans), à mesure que la conscience humaine devenait plus dense et de plus en plus immergée dans la matière et perdait le contact avec les mondes des dieux, la technologie de fabrication des vimanas devenait de plus en plus grossière et les vimanas devenaient artificiels, c'est-à-dire constitués de matière grossière, on les appelait « kritaka ».
Il n'y avait aucune différence dans la forme de mouvement et la vitesse des vimanas « mantrika » et « tantrika ». Il y avait une différence dans l’utilisation de l’énergie du ciel et de la terre. Selon le Shaunaka Sutra, il existe 53 types de vimanas tantriques.

« Selon les anciens sages, dans le Krita Yuga, ou la première ère, il n'y avait pas trois classes de vimanas.
Dans le Vimana-chandrika, il est dit : « Je parlerai en termes généraux des variétés de vimanas. Dans le Treta Yuga, lorsque les gens connaissaient les mantras et les hymnes puissants, les vimanas étaient créés grâce à la connaissance mantrique.
Dans le Dvapara Yuga, lorsque les gens développaient une connaissance tantrique significative, les vimanas étaient produits grâce à la connaissance tantrique.
Depuis que la connaissance des mantras et des tantras est devenue insuffisante dans le Kali Yuga, les vimanas créés à cette époque sont connus sous le nom de kritaka, ou artificiels.
Bodhananda Vritti, commentaire sur le Vimanika Shastra

Ainsi, les anciens voyants mentionnent dans les shastras trois classes de vimanas.

L'histoire de la création des vimanas par les anciens Aryens

Selon le Vimanika Shastra, l'art de créer des vimanas a été révélé aux sages aryens comme une révélation divine par le Grand Dieu lui-même, le créateur de notre univers, qui a enseigné aux sages l'art des mantras.

« L'esprit humain est devenu plus dense et le concept des vérités védiques, de l'essence intérieure de l'homme et des forces surnaturelles s'est appauvri. À cause du fait que le Dharma, ou la droiture, a été brisé, les gens ont perdu la capacité de voler dans le ciel comme le vent.
Le Grand Dieu souhaita accorder aux deux-nés la capacité de comprendre correctement les Vedas et descendit miséricordieusement sur Terre sous la forme d'un jeune homme face au sud. Par l'intermédiaire de Sanaka et d'autres initiés, Il a classé les mantras des Vedas et leur a ensuite donné la perception védique.
Le Dieu Divin de la Jeunesse, enchanté par les pouvoirs perceptifs des ascètes, les loua en disant : « Désormais, ayant atteint la Connaissance, vous serez connus comme des voyants (rishis). Vous commencerez à vous perfectionner dans l’art des vibrations sonores et à vivre dans le célibat.
Vous commencerez à adorer la déesse céleste des Vedas, maîtriserez son énergie et, en plongeant dans le samadhi, vous approcherez du Grand Dieu - le Créateur et comprendrez son plan.
Après avoir appris, vous créerez des codes moraux (Dharmashastras), des histoires mystiques (Puranas et Itihasas), ainsi que les sciences de la physique et des mathématiques au profit de l'humanité. Quant aux voyages célestes, vous enseignerez l'art de construire des vimanas. Pour que les vimanas puissent atteindre la vitesse du vent, vous développerez des méthodes basées sur les Kalpashastras, ou traités scientifiques.
Plus tard, les munis, conformément aux Vedas, créèrent des Dharmashastras, ou codes éthiques, des épopées, des chroniques, des manuels rituels, des traités sur les arts et les sciences, des codes de rites et de sacrifices, et les distribuèrent parmi le peuple. On dit que parmi ces ouvrages d’anciens voyants, il existe six traités consacrés à la construction des vimanas. Ils décrivent trois classes de vimanas, connus comme ceux constitués de vibrations sonores, magiques et artificielles, capables de voler n'importe où.
Bodhananda Vritti, commentaire sur le Vimanika Shastra

Description des vimanas dans les textes anciens

Divers textes tels que le Ramayana et le Mahabharata décrivent souvent et en détail des vimanas qui se déplacent à haute altitude dans les airs sur des moteurs vortex et fonctionnent au mercure. Les Vimanas sont décrits comme des avions à deux ponts dotés de hublots ronds. Extérieurement, ils ressemblaient à un OVNI moderne. Ils se déplacent « plus vite que le vent », émettant des sons mélodiques. Les Vimanas étaient stockés dans des endroits spéciaux - des hangars.
Selon les descriptions du Ramayana, les Aryas de la gloire indo-gloire voyageaient sur des vimanas, se déplaçant à la fois sur la Terre et vers d'autres planètes du Grand Cosmos. Il y a aussi un épisode détaillant un voyage sur la lune et une bataille avec d'autres vaisseaux volants appartenant à une autre race. Le Mahabharata contient également des descriptions non moins étonnantes : « Rama, avec un rugissement terrible, monte dans le ciel sur son étonnant char, entouré de nuages ​​​​de fumée et de brouillard. »
Une source importante décrivant les réalisations des Aryens est le Vimanika Shastra, un texte trouvé en 1875 dans des circonstances mystiques. Le Vimanika Shastra est attribué au sage Masarishi Bharadwaja, qui vécut au 4ème siècle avant JC et l'écrivit en état de transe.
Le professeur d'aéronautique Krishna Murthy d'un institut de recherche de Bangalore, étudiant des textes anciens, a conclu que les dieux, extraterrestres venus de l'espace, avaient appris aux Aryens à construire des avions Vimana. Les textes anciens regorgent de nombreuses descriptions des batailles des dieux combattant sur les vimanas. « Le char de Pushpaka ressemble au soleil et appartient à mon frère. Cette merveilleuse machine est transportée d'elle-même dans les airs vers n'importe quel endroit et sur n'importe quelle distance », dit l'un des chapitres du Ramayana.
Le Mahabharata mentionne souvent la « fléchette d'Indra » - un faisceau de lumière émanant d'un réflecteur rond, dirigé vers n'importe quelle cible, guidé par le son. C'est avec cela que Krishna frappa le vimana de son ennemi Salva.
Les Vimanas et leurs capacités sont décrits dans des textes tels que :
1. « Vimana-chandrika »
2. « Tantra Vyomana »
3. « Yantra-kalpa »
4. « Kheta-yana-pradipika »
5. "Vyoma-yana-arkaprakashika"
6. "Kriya-sara"
7. « Yantra-sarvasra »
8. « Manibhadra-karika »
9. "Saunaka Sutra"
10. « Lohatantra » et autres.

Possibilités de vimanas

Les vimanas décrits dans le Vimanika Shastra avaient des capacités inaccessibles aux terriens aujourd'hui :
~ le pouvoir de « gud » permettait au vimana d'être invisible pour l'ennemi
~ le pouvoir de "paroksha" pourrait désactiver d'autres avions
~ le pouvoir du "pralaya" pourrait émettre des charges électriques et détruire les obstacles
En utilisant les énergies de l’espace, les vimanas pouvaient également plier l’espace et créer des effets visuels ou réels – ciel étoilé, nuages, etc.
Selon les descriptions, les Vimanas utilisent principalement sept sources d'énergie : le feu, la terre, l'air, l'énergie du soleil, de la lune, de l'eau et de l'espace :

« Il y en a sept : la lune, l'eau et le ciel. Ces sept types d'énergie sont appelés chaleur solaire, douzaine d'énergie solaire, kuntinee et énergie d'origine.
« Sûtra du saunaka »

Mouvement Vimana

"Le vimana peut effectuer 12 types de mouvements impressionnants, également 12. Ces mouvements et forces comprennent : le mouvement vers l'avant, le tremblement, la montée, la descente, le mouvement circulaire, le mouvement à grande vitesse, le mouvement autour de quelque chose, le mouvement latéral, le mouvement vers l'arrière, le mouvement dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, point final et démonstration de trucs.
Bodhananda Vritti, commentaire sur le Vimanika Shastra

Les auteurs d’anciens traités indiens écrivent naturellement sur d’étonnantes machines volantes et sur leurs capacités. On dit que les Vimanas possèdent 32 pouvoirs surnaturels.

Capacités inhabituelles des vimanas

Le Vimanika Shastra énumère 32 secrets qu'un aéronaute devrait apprendre de mentors compétents. Seule une telle personne peut se voir confier la gestion avion, et pas à quelqu'un d'autre. Ces secrets fournissent la clé pour maîtriser les pouvoirs surnaturels.
Tous ces secrets sont expliqués par Siddhanadha comme suit :
- maîtrise de l'art des mantras, des herbes médicinales, des pouvoirs hypnotiques, des pouvoirs de la magie,
- capacité à créer des effets visuels,
- Détruisez les navires ennemis en utilisant la puissance des vibrations
- connaître les itinéraires et les flux d'air,
- posséder les pouvoirs secrets des rayons du soleil et pouvoir les utiliser pour se cacher, être invisible,
- en manipulant diverses énergies de l'espace à l'aide d'un système de miroirs, pouvoir déguiser le vimana,
- avoir la capacité d'attirer l'énergie du soleil et des éléments primaires et, avec son aide, de plier l'espace, en modifiant ses caractéristiques topologiques - dimensionnalité, etc.
- immobiliser les énergies hostiles, les privant complètement de la capacité de percevoir
- créer des effets visuels dans l'espace par exemple, comme un ciel étoilé, etc.
- créez un rugissement tonitruant et supprimez les énergies hostiles grâce au pouvoir des vibrations
- bougez en zigzags comme un serpent
- « lancez » instantanément le vimana d'un endroit à un autre, en utilisant la connaissance des flux d'énergie astrale
- créer une onde de choc qui génère des vibrations tremblantes
- être inaccessible en raison de la rotation rapide
- entendre les conversations et les sons provenant d'autres vimanas
- grâce à un « yantra photographique » installé à bord, recevoir des images télévisées de tout objet situé à l'extérieur du vimana, y compris ce qui se passe au sol, suivre l'approche des autres navires
- fusionner avec le ciel, prendre l'apparence d'un nuage, devenir indiscernable
- paralyser les créatures hostiles sur d'autres avions

Routes aériennes

Toujours dans le Vimanika Shastra, dans le chapitre sur les routes aériennes, les cinq couches atmosphériques de l'espace et 519 800 voies aériennes sont décrites le long desquelles les vimanas voyagent à travers les sept mondes (lokas). Ces lokas sont appelés : Bhu-loka, Bhuvar-loka, Svar-loka, Maha-loka, Jana-loka, Tapa-loka et Satya-loka.

« Selon Saunaka, il y a cinq couches dans le ciel, appelées Rekhaapathha, Mandala, Kakshya, Shakti et Kendra.
Dans ces cinq couches atmosphériques, il y a 519 800 voies aériennes par lesquelles les vimanas voyagent à travers les Sept Lokas ou mondes connus sous le nom de Bhur-loka, Bhuvar-loka, Svar-loka, Maha-loka, Jnana-loka, Tapa-loka, Satya-loka. . " .
Bodhananda Vritti, commentaire sur le Vimanika Shastra

Les tourbillons d'air prescrits
pilotes vimana, méfiez-vous
Le chapitre « Air Vortexes » parle de cinq flux d'énergie destructeurs pour les vimanas, dont le pilote doit se méfier et éloigner le vimana d'eux dans un endroit sûr.

« Les Aavartaa, ou tourbillons d'air, sont innombrables dans les couches supérieures. Cinq d'entre eux sont sur les routes vimana. Ces tourbillons sont destructeurs pour les vimanas et doivent être évités.
L’aéronaute doit connaître ces cinq sources de danger et être capable d’en éloigner le vimana vers un endroit sûr.
Bodhananda Vritti, commentaire sur le Vimanika Shastra

Sources d'énergie

Le chapitre « Sources d'énergie » parle de l'énergie qui fait bouger le vimana et des sept types d'appareils qui produisent et extraient ces énergies. Ceux-ci inclus:
- Appareils qui absorbent l'énergie solaire
- extraire l'énergie des forces opposées (des avions extraterrestres)
- énergie motrice principale
- douze groupes de forces solaires qui aident à décoller, à atterrir, à absorber la chaleur solaire, à limiter le pouvoir des autres et à se déplacer dans l'espace.

Les informations étonnantes sur les vimanas, existant dans un grand nombre de textes sacrés de l'Inde ancienne, sont d'une valeur énorme en tant que preuve matérielle documentée que nos ancêtres - les Aryens, dans les temps anciens, avaient des réalisations colossales à la fois dans le domaine de la connaissance spirituelle et de la magie. , domaines scientifiques et techniques. Les descriptions de vimanas qui nous sont parvenues sont des fragments tardifs, contenant des grains insignifiants de ce potentiel véritablement illimité, de ces capacités mystiques que possédaient nos ancêtres - les Aryens - de l'Indo-gloire.

Selon Valmiki Ganita, les 1ère et 2ème sections de la couche Rekhaapathha conviennent aux vimanas de notre monde (Bhu-loka). Dans la couche Mandala, les zones 3 et 5 conviennent aux vimanas des habitants du monde astral et du monde des dieux (Bhuvar-loka, Svar-loka et Maha-loka). Les 2ème et 5ème sections de la couche Kakshya conviennent au Jnana-loka vimana. Pour les habitants de Brahma-loka, selon les shastras, les 3e et 11e sections de la couche Kendra sont les plus pratiques.

Dans la couche Re-khapathha, se trouve le "Shaktyaavarta" ou vortex d'énergie. Dans Mandala-pathha, il y a un tourbillon de vent. À Kakshyaa-pa-thha, il y a un tourbillon de rayons de soleil. Dans Shakti-pathha, il y a Shytyaavarta, ou le vortex des courants froids. En ce qui concerne Kendra-pathha, il existe un gharshanaavartha, ou un tourbillon créé par la force destructrice.

Plusieurs siècles après le coucher du soleil Civilisation harappéenne Les tribus aryennes sont venues dans les vallées des fleuves Indus et Gange (des Aryens - « nobles »). Les Aryens étaient des nomades, mais, apparus dans le cours supérieur du Gange, ils commencèrent à développer progressivement la vallée de ce fleuve, écartant ou assimilant les petites tribus des aborigènes. Haut niveau culture matérielle- la familiarité avec les métaux, l'utilisation de charrues, d'engrais, d'appareils d'irrigation, de moyens de transport, l'artisanat développé - tout cela a contribué à leur consolidation rapide et réussie dans les territoires occupés. C'est leur langue et leur culture, y compris leurs fondements religieux et idéologiques, qui, pendant des millénaires et jusqu'à nos jours, ont déterminé chemin historique Culture indienne.

Avec l'arrivée des Aryens, une nouvelle période indo-aryenne commence dans la culture indienne. Ce sont les Aryens, avec leur grande attention portée au symbolisme religieux et à la mythologie, aux cultes et aux sacrifices, avec le rôle principal des prêtres brahmanes et la déification des textes sacrés, qui ont donné à l'ensemble de la culture indienne un caractère religieux et spirituel, qui est également devenu la quintessence de la culture artistique de l'Inde. La priorité des problèmes religieux et spirituels a conduit au fait que dans l'Inde de cette période, la mémoire socio-historique n'est présentée que sous une forme religieuse-épique et mythologique-cultuelle. Les chroniques et les écrits en tant que tels n'étaient tout simplement pas nécessaires. Toutes les connaissances nécessaires à la vie étaient apprises par cœur et transmises de génération en génération. C'est ainsi qu'apparaissent les livres sacrés les plus importants de l'Inde - les Vedas (du verbe « connaître », « savoir »).

Les Vedas sont un recueil de textes religieux – hymnes, chants et formules magiques. Ils sont écrits dans la forme la plus ancienne du sanskrit. Les Vedas se composent de quatre parties : le Rig Veda (Livre des Hymnes), le Samaveda (Livre des Chants), le Yajur Veda (Livre du Sacrifice), l'Atharva Veda (Livre des Sorts). La littérature védique comprend également les commentaires ultérieurs des Vedas – les Brahmanas et les Upanishads.

Ainsi, l'idée de karma, l'une des principales de la mentalité indienne, est devenue un régulateur de l'individu et comportement social Indiens. Le concept du samsara a protégé l’Inde des bouleversements sociaux pendant des siècles : le besoin, la pauvreté et le travail étaient perçus comme le résultat d’une vie antérieure pécheresse et d’un mauvais karma, comme la faute de la personne elle-même.

Le but de la vie indienne, cependant, n'était pas simplement d'améliorer le karma, mais de sortir complètement du cercle des renaissances et d'atteindre la libération - moksha. Cet état ne pouvait être atteint que par un Brahman ascétique qui, au fil des années d'abstinence, a acquis une énorme énergie (tapas), qui lui a permis de s'élever au-dessus de la loi du karma, d'atteindre les mondes divins et de s'y dissoudre. Par conséquent, un grand nombre d'ermites ont eu recours à une pratique ascétique sévère dans l'espoir de se dissoudre dans Brahman et de ne plus jamais s'incarner dans ce monde.

À PROPOS culture artistique Inde Période védique nous jugeons principalement par la littérature - les Vedas, leurs commentaires, ainsi que les épopées qui naissaient à cette époque. L'apparition des plus grandes œuvres épiques de l'Inde - le Mahabharata (La Grande Guerre des descendants de Bharata) et le Ramayana (Le Conte des aventures du roi Rama) s'est produite dans la seconde moitié du 1er millénaire avant JC. e. Ils comprenaient des mythes, des contes sur la vie des peuples de l'Inde, des légendes sur ses dieux et ses héros. Ces contes véritablement grandioses ont rempli les beaux-arts indiens de leurs histoires dramatiques, y a introduit de nouveaux motifs vifs et émotionnels. Des images de la nature, des aventures étonnantes, des rituels et des jeux s'y mêlent à des descriptions d'exploits titanesques, de batailles et de héros dotés d'une force divine et surhumaine.

La base de l'intrigue du Mahabharata était l'histoire de la lutte pour le pouvoir des descendants du roi mythique Bharata - les anciennes familles des Kauravas et des Pandavas. Cette lutte prend les dimensions d'une bataille grandiose, à laquelle participe tout ce qui vit sur terre et au ciel - dieux et esprits, hommes et animaux, et la bataille elle-même prend une portée cosmique. La valeur artistique du Mahabharata est donnée par les descriptions des palais des souverains, avec des filets de perles transparents aux fenêtres, des sols en pierres précieuses, des centaines de portes, des tapis et des arbres décoratifs, parsemés de pierres précieuses. Ces descriptions expriment les rêves merveilleux des gens de cette époque sur la beauté magique du monde.

Le Ramayana est basé sur l'histoire de la campagne du roi Rama sur l'île de Lanka pour sauver sa bien-aimée Sita, qui avait été kidnappée par le roi démon Ravana. Rama, avec l'aide du roi des singes, combat le roi des démons, que les dieux ne peuvent pas gérer - cela n'est possible que pour les humains. Le poème glorifie la subordination du plus jeune à l'aîné, la soumission et la fidélité de l'épouse. Chacun des héros est la personnification de l'un des des qualités positives personne. Les héros du Ramayana restent aujourd'hui un symbole de noblesse et d'idéaux moraux élevés.

Qui sont les Aryens ? La science moderne affirme avec certitude qu'il s'agit de tribus apparentées qui vivaient il y a cent mille kilomètres sur le territoire de la Perse et de l'Inde. D'accord, au moins elle reconnaît partiellement la géographie.

Sur la photo : Aryavarta. Le pays des Aryens, décrit dans le Rig Veda.

Aujourd'hui, nous pouvons affirmer avec certitude que la Perse, comme l'Inde, était habitée par des personnes génétiquement identiques aux Slaves. Et nous savons aussi que les Indiens eux-mêmes disent qu'il y a longtemps, des dieux blancs sont venus du nord vers eux et leur ont appris tout ce qu'ils ont ensuite commencé à enseigner au reste du monde. Et il existe des milliers de preuves irréfutables selon lesquelles ces Blancs sont venus dans l’Hindoustan non pas du ciel, mais du nord de la Russie, de la péninsule de Kola, de Carélie, de Vologda et d’Arkhangelsk.

Carte 1542 Sébastien Munster.

Il s’avère que nous parlons de nos ancêtres, communs à certains Indiens d’aujourd’hui, et de nombreuses petites tribus de Blancs préservées dans les montagnes du Caucase, du nord de l’Iran, du Turkménistan, du Tadjikistan, de l’Afghanistan et du Pakistan.
Pour plus de clarté, voici des photographies de représentants des tribus d'Afghanistan, du Pakistan et du Nouristan :

À propos, à I-RA-ne, il existe une tribu qui s'appelle les Khazars. Et c'est une tribu blanche, avec des caractéristiques slaves prononcées, qui a clairement des racines culturelles communes avec nous.
C'est pourquoi je ne crois pas que les Khazars soient juifs. Non. La généalogie ADN moderne définit clairement les Juifs comme des immigrants d'Afrique du Nord, les plus proches parents des AR-abov. Ils se sont déplacés vers l’Europe de la même manière que les Arabes s’y installent aujourd’hui. Ils avaient et n’ont rien à voir avec les Khazars. Les vrais Khazars font partie des tribus slaves et ils n’ont jamais connu la foi juive.

Les voici, les « terribles » Khazars :

Eh bien, que diront maintenant nos confessionnalistes faisant autorité à propos des Khazars appartenant aux Juifs ? Une personne? Vous n'avez même pas besoin d'un test ADN pour dire avec assurance : - NON.
Et la lecture du mot « Khazars » (Khazary) est très probablement déformée par la transcription latine. Il serait correct de lire K(x)-AS-Ary, où K est un son diphtongue conservé, par exemple, dans la langue géorgienne et dans certains dialectes turcs, comme le kazakh.
Eh bien, il n'y a pas une seule preuve documentaire de l'existence du Khazar Kaganate dans les limites dans lesquelles les TORICS l'ont placé. Et généralement sans limites. Il y a la Scythie, la Sarmatie, la Mithridatie, la Nésiotie, tout sauf la Khazarie...

Mais Khazaria semblait exister ! Ou est-ce que « La chanson du prophétique Oleg » nous ment ? Eh bien... En fait, toutes ces épopées « anciennes » soulèvent d'énormes doutes quant à leur authenticité, et d'ailleurs, les Khazars auraient pu n'être qu'une petite tribu à cette époque. Si petits qu’ils n’étaient même pas indiqués sur les cartes.

Vous pouvez le vérifier vous-même. A l'endroit où les historiens plaçaient la Khazarie, il y avait toujours le royaume des Circassiens de Piatigorsk (Chirkassi Petigorski). En termes modernes - Terek Cosaques.
Ainsi, les Khazars de Rus' n'étaient qu'une des nombreuses tribus, très probablement des Russes du sud, du Kouban, ou Caucase du Nord, mais ils font partie des Cosaques du Kouban, des Circassiens ou des Alains.
Vous souvenez-vous du nom du plus célèbre des Aryens, le roi de Perse, le commandant invincible ?
Il s'appelait D'Arius !

Darius le Grand. Quelqu’un doutera-t-il qu’il soit Dieu ? Il est assis, plus grand que les gens debout... Et toutes sortes d'appareils secrets dans le bureau...
Mais pas de chance... Un jour, l'invincible Darius fut complètement vaincu par le roi de Scythie, Ariant. Arius+ANT. Fourmis = Russes, ce qui signifie que le nom du glorieux roi scythe est traduit en termes compréhensibles par « Aryen russe ». Et qui pourrait le contester !

Tout est d'accord, ce sont les descendants des Aryens, et la mémoire des nouveaux venus du nord a été conservée dans de nombreuses sources, notamment écrites. Et l'attitude des ancêtres envers les Aryens était totalement sans ambiguïté. Dans n’importe quelle langue, dans n’importe quelle culture, un Aryen est :
- Le mien,
- Gratuit,
- Noble (descendant des Dieux),
- Né libre,
- Relatif,
- Noble,
- Saint,
- Camarade,
- Pieux,
- Courageux.
- Ami.

Pas une seule épithète avec une attitude négative ! Tout le monde aimait les Aryens.
Parmi les Arméniens, Ara est encore aujourd'hui un ami, et le nom des Arméniens suggère qu'ils sont aussi des Aryens. Ariy + Man (humain) Ahriman = arménien (en). Et chez les hindous, Aryaman est la divinité de l’amitié, de l’hospitalité et des mariages ! Oh comment!

Et voici une autre observation intéressante : les bouddhistes s’appellent eux-mêmes « Aryapuggala ». Cela se traduit par « peuple aryen », mais il est difficile de nous en convaincre au début. Où mettre « l’épouvantail » ? Et le fait n’est probablement pas que quelqu’un essayait d’intimider quelqu’un. Probablement, ce mot ou un autre avec la même racine a été utilisé pour appeler toutes les statues, y compris celles du jardin, pour effrayer les garçons du gang de Mishka Kvakin (les oiseaux n'ont pas peur de toute façon).

Vous pouvez également vous souvenir de la rivière Amou-Daria, qui traverse le territoire de la Tartarie, où régnait Tamerlan, qui était également un descendant direct des dieux et a été nommé dirigeant par les dieux. Seulement, il n’aimait pas le mot « Tartarie », le cosmopolitisme est tout, c’est pourquoi les « Tartares » eux-mêmes appelaient leur pays TURAN. Et c’est un mot tout à fait approprié si l’on sait que l’animal sacré en Russie était le Tur. Sinon Veles. Eh, c'est juste dommage que les vraies tournées n'aient pas survécu jusqu'à ce jour. Ce dernier, dit-on, fut tué par Vladimir Monomakh lui-même en 1627. en Polyanie. En même temps, miraculeusement, il n’est pas mort.

Les hindous ont aussi H'are Krishna, qui est probablement Ariya Kryshen, et aussi H'are Vishnu, peut-être l'indicatif d'appel Ariya Vyshenya, et bien sûr, H'are RA - MA. RA est le Dieu Soleil, MA est la Mère, tout comme le Soleil est le Créateur de toutes choses, père et mère dans une seule incarnation. Tout est entièrement védisme, ou plus précisément vision du monde slave centrée sur le soleil, considérée à tort comme une proto-religion, appelée paganisme et chamanisme.

Et ce n'est pas une conscience mythologique, ni une superstition. C'est la responsabilité de l'AR. Entier, unifié, non divisé en branches et sous-secteurs, connaissance de la structure du monde et des lois de son existence et de son développement harmonieux.

La paix, non pas dans le sens d'absence de guerre, mais la paix en tant qu'univers, est le Mont Meru sacré, dont les Indiens ont été informés par les dieux venus du nord et qui était situé au centre de la Terre, dans Arctida - Hyperborée.

Connaissant une caractéristique de la vision du monde de nos ancêtres, nous pouvons retracer de nombreuses choses merveilleuses à la surface qui aident à pénétrer le sens des mots que nous utilisons quotidiennement, en les utilisant comme un ensemble de sons. Cette particularité est qu'un certain concept positif acquiert le sens opposé en le lisant simplement à l'envers. Mais c'est tellement logique ! Alors de nombreux mots avec la racine AR sont clairs.

Si RA est le Soleil, alors AR est tout le contraire. C'est l'obscurité. Et si Ra est bon, alors Ar, bien sûr, est mauvais.
MARS est le Dieu de la Guerre, et même si vous le lisez dans le sens inverse, cela ressort en général : - SHAM. Eh bien, c'est comme ça, n'est-ce pas ?

Alors les ARchanges sont le côté obscur des Anges ? Après tout, il se peut que le mot « ange » ait été prononcé aspiré, « h’angel » ! Mais quelque part, j’ai déjà découvert que « Allah » se prononçait à l’origine « h’allah ». Quelle que soit la manière dont vous le lisez, le résultat est le même. Dieu idéal, qui... Tous les côtés dans un même récipient...

Vous pouvez également spéculer sur la signification du mot « porte ». En RA – ta, ou entrée au Paradis. Et si c'est l'inverse, IN AR-ta, ou VATRA. Savez-vous que le concept de « feu de joie » avait autrefois de nombreuses significations différentes ? Alors voilà. Un feu de joie, comme une flamme, était auparavant désigné en Russie par le mot « vatra ». Il est encore utilisé aujourd’hui en Ukraine et en Biélorussie. Alors, si l’on ne nie pas la possibilité de l’existence, à première vue impossible, tout commence à prendre un sens.
Il ne s’agit plus d’un ensemble de sons dénués de sens, ce sont des images qui, par leur son même, donnent une idée de l’essence d’un objet, d’un concept ou d’un événement. La porte est le chemin vers le ciel, et vatra, au contraire, est le chemin vers l'enfer. La Géhenne est enflammée, n'est-ce pas ? Ne donnez pas à ce mot un sens aussi négatif. L’enfer a été inventé par des prédicateurs chrétiens dont le but était la soumission inconditionnelle des masses par l’intimidation. Parlant langue moderne, avec l'aide de la terreur.
Mais en fait, le contraire ne signifiait pas du tout quelque chose de terrible. Cela supposait la présence d’un point de vue différent, en termes modernes : le pluralisme. C'est tout. Pas de monde souterrain, avec des pécheurs dans des poêles à frire et dans de la résine bouillante.

Alors, comment peut-on interpréter le sens du mot « Aryavarta » ? (voir photo au tout début). Peut être lu comme un Aria enflammé, c'est-à-dire le pays des Aryens, où il fait chaud (bien sûr, après Vologda, il fait absolument chaud là-bas). Ou cela peut être comme le Pays – l’enfer (encore une fois, au sens figuré) pour les Aryens. Mais le nom européen de notre pays T-AR-T-Aria n’a-t-il pas une signification similaire ? Tartare... Tar-tar-ry... À qui profite le fait de faire trembler le monde d'horreur aux sons de Tar-tar-y ?
N’est-ce pas ceux qui ont tout mis en œuvre pour faire gémir le monde « démo(no)cratique » à la simple évocation de l’URSS ? La situation a-t-elle changé maintenant ? Dans les pays baltes, des tranchées sont déjà creusées dans les fermes, en prévision de « l’agression russe » !
Mais dans l’ensemble… TARTE. Savez-vous ce qu'est le TRT ? Non? Et le gâteau ? Alors voilà ! Le mot gâteau, visiblement pas étranger, nous est revenu d’Europe comme un boomerang. Au début, c'était une tarte sacrificielle des Slaves, apportée au Dieu Soleil de RA le jour de l'équinoxe de printemps (Jour du Yar, également connu sous le nom de Maslenitsa) les 21 et 22 mars (le nom du mois est apparu grâce au Dieu de Guerre Mars/Honte).

Tarte. C'est un gâteau. Si la tarte appartient à un Aryen, à qui appartient-elle ? Bonne réponse : Tarta aria, c'est-à-dire Tartarie.

En vérité, rien n’est nouveau sous ce Soleil. Tout comme au Moyen Âge ils effrayaient les enfants à l’ouest du Danube avec la Tartarie, de même maintenant ils effraient la partie mentalement instable de la population juive avec la Russie. Il est donc nécessaire de connaître l'histoire...
Ou tu en as marre de vivre ?

Andreï Golubev

Ajout:

Les matériaux et les résultats des recherches d'A. Klesov et de ses collègues, généticiens, pour déterminer l'appartenance haplogroupe - clan, ont permis de détruire de nombreux mythes créés autour de l'histoire des peuples.

MYTHE D'ABORD - LES VRAIS ARYENS SONT DES PEUPLES ALLEMANDS, et les Slaves sont récemment venus de pirogues.

Des études génétiques ont montré que plus de 50 à 70 % de la population sont des Slaves de l'Est et sont des descendants directs des anciennes tribus aryennes du genre R1a qui vivaient en Eurasie. Les Allemands modernes n’ont que 18 % de descendants aryens. En outre, il est clair pour les archéologues que les Slaves aryens vivaient déjà dans des villes il y a 3 500 ans.

MYTHE DEUXIÈME : - LES ESCLAVES ET LEURS ANCÊTRES SONT CULTURELLEMENT ARRIÈRES.

Parmi les six religions du monde, les proto-slaves en ont créé trois : le zoroastrisme, l'hindouisme, le bouddhisme et ont amélioré la quatrième, le christianisme. Ils ont fondé les civilisations védique indienne, trypillienne, étrusque, hittite, crétoise-mycénienne et grecque. Pendant plus de 5 000 ans, les Slaves-Aryens possédaient une langue écrite à partir de laquelle provenaient les écrits de nombreux pays eurasiens ; ils ont laissé une variété infinie de sources écrites précieuses.

TROISIÈME MYTHE : - « CULTURE TRIPOLIENNE » - comme si elle avait été créée par des peuples inconnus.

La génétique a établi que « Tripolye » est une civilisation d'origine aryenne, les descendants directs des « Tripiliens » vivent et parlent encore des dialectes de la langue russe.

MYTHE QUATRE – LE « JOUG MONGOL » EN Rus' EST IMPRIMÉ DANS LA GÉNÉTIQUE DES ESCLAVES.

La génétique n'a trouvé aucune trace de la présence de « gènes mongols » parmi les Slaves - jusqu'à 75 % de la population masculine de Russie, d'Ukraine et de Biélorussie ont des preuves génétiques claires d'origine provenant du grand-ancêtre du genre R1a, qui vivait il y a plus de 3 500 ans. De plus, des parents directs appartenant au genre R1a se trouvent en Inde, au Kirghizistan, en Allemagne, dans les Balkans, même sur les îles d'Angleterre et dans de nombreux autres pays où vivaient les Slaves-Aryens à différentes époques, dont il existe aujourd'hui plus de 500 millions de personnes sur la planète.

MYTHE CINQUIÈME : - LES JUIFS SONT DESTINÉS « D'ABRAHAM »

La pratique génétique a établi que ceux qui se considèrent comme des « Juifs biologiques », qui vont à la synagogue, prêchent le sionisme, peuvent s'avérer être des « Juifs biologiques » Slave oriental-Aryen, turc et même chinois. Au total, sur 18 genres-haplogroupes, sept se retrouvent parmi les Juifs modernes.

Le problème « aryen » est le problème de l'origine et du foyer ancestral, du rôle culturel et Héritage historique Classements des tribus aryennes science mondiale plus de deux siècles. Qui sont les Aryens-Aryens ?

Les Aryens sont des personnes qui parlent les langues des groupes iraniens et indiens de la famille des langues indo-européennes, ainsi que les Kafirs (Nuristanis) et les Dards. Leurs ancêtres avaient un nom commun - "arya", "aryana", une culture et un mode de vie similaires, vivaient sur le même territoire, mais il y a plusieurs milliers d'années, ils ont quitté leur berceau et ont commencé à se déplacer vers des terres éloignées les unes des autres ; Peu à peu, l’unité aryenne s’est désintégrée. Actuellement, les peuples du groupe iranien vivent en Ossétie, au Tadjikistan, en Iran, en Afghanistan, en Turquie, en Syrie, en Irak et au Pakistan, ainsi que dans les pays voisins. Des représentants des groupes ethniques indo-aryens habitent l'Inde - principalement ses régions du centre et du nord, le Sri Lanka, le Népal, le Bangladesh, les Maldives, l'est et le sud du Pakistan. Les migrants, descendants des Indo-aryens, formèrent de grandes colonies au Myanmar, à Singapour, en Malaisie, sur les îles Maurice de l'océan Indien et Fidji dans l'océan Pacifique, aux Antilles (mer des Caraïbes) et en Guyane, en Afrique du Sud et sur la côte de l'Afrique de l'Est. Un nombre considérable d'entre eux se sont installés Amérique du Nord et en Europe. Les Dardis et les Nuristanis vivent au Cachemire et dans les provinces adjacentes de l'Afghanistan et du Pakistan. Le nombre total de peuples de langue aryenne est d'environ 1 milliard de personnes, ils représentent environ un septième de la population totale de la Terre. Sur ce milliard, il y a environ 900 millions d'Indo-Aryens, plus de 90 millions d'Iraniens, 5 à 6 millions de Dards et de Nuristanis.

Les anciens Aryens ont créé trois civilisations très développées et uniques - perse, indo-gangétique et tourano-scythe, et ont eu une influence significative sur les cultures de l'Asie occidentale et du Sud-Est, du Caucase, de la Chine, des peuples turcs, mongols, slaves et finno-ougriens. . Leur contribution au trésor des valeurs spirituelles de l’humanité est d’un poids extraordinaire. Airs- Indo-Iraniens fait irruption dans l'histoire du monde au début du IIe millénaire avant JC. - à une époque où les grandes civilisations d'Égypte, de Mésopotamie, d'Harappa (vallée de l'Indus) et des îles de la Méditerranée orientale (monde créto-mycénien) connaissaient une profonde crise interne. Les tribus d'origine aryenne ont contribué au renouveau des sociétés anciennes et ont donné une puissante impulsion au processus culturel et historique mondial. Pendant deux millénaires - jusqu'aux IIIe-IVe siècles après JC. - ils furent les personnages principaux de l'histoire du monde - jusqu'à ce qu'ils vieillissent et cèdent la place à des peuples plus jeunes.

Parmi les Indo-Européens, les « Aryens » ne constituaient pas un groupe isolé et dénué de liens familiaux. Les langues slaves, baltes (letto-lituanien), ainsi que l'arménien et le grec ancien sont proches de leurs dialectes. Les locuteurs de ces langues avaient de nombreux traits ethnographiques communs, idées cultes-mythologiques et traits psychologiques avec les Indo-Iraniens, remontant à une seule source ancestrale. Cela indique que les ancêtres des Grecs et des Arméniens, des Balto-Slaves et des Indo-Iraniens constituaient un bloc culturel et historique dans les temps anciens. Cependant, les proto-Grecs et les proto-Arméniens se sont séparés très tôt de ce bloc et n'ont pas entretenu de liens familiaux aussi étroits avec les Indo-Iraniens que les ancêtres des Balto-Slaves. Bien plus loin que les peuples répertoriés se trouvent les locuteurs d'autres dialectes indo-européens, notamment les Allemands et les Celtes, issus des Aryens. Par conséquent, les Slaves et les Baltes (Lituaniens et Lettons) ont bien plus de raisons d'être appelés Aryens que les Allemands, les Scandinaves, les Français et les autres peuples européens.

À quoi ressemblait l’ancienne société aryenne ? L'étude de diverses sources suggère que bien avant le début des migrations à grande échelle, les Indo-Iraniens étaient des tribus pastorales. La pierre angulaire de leur vie sociale était la grande famille patriarcale, typique des peuples pasteurs d'Eurasie. La base de l'économie était l'élevage de bovins et de chevaux. Le nombre de vaches et de taureaux était la principale mesure du bien-être matériel et de la richesse ; une vache était considérée comme le meilleur sacrifice que les dieux pouvaient souhaiter. La base de la puissance militaire des Aryens était la cavalerie militaire et de magnifiques chars. Un cheval pur-sang valait tout un troupeau de chevaux ordinaires. Tous les autres animaux étaient d'importance inférieure aux vaches et aux chevaux, et en plus d'eux, les Indo-Iraniens élevaient des chèvres, des moutons et des chameaux de Bactriane. L'élevage de porcs leur était presque inconnu ; c'était considéré comme une activité modeste ; les porcs n'étaient pas sacrifiés aux dieux. Les Aryens étaient également engagés dans l'agriculture, mais c'était pour eux une occupation secondaire.

Les tribus indo-iraniennes étaient semi-sédentaires ; toutes les quelques années, elles déplaçaient leurs villages vers un nouvel endroit, généralement non loin de leur camp précédent. Les Aryens ne connaissaient pas le tour de potier ; ils sculptaient la céramique « à la main » et la cuisaient non pas dans une forge, mais dans des fosses spéciales ou sur un feu. Leurs ustensiles rituels étaient en bois.

Les Indo-Iraniens vivaient dans de grandes maisons enfoncées dans le sol, ils utilisaient également des habitations sur roues - comme des fourgons ou des tentes ; ils connaissaient de nombreux métaux et alliages - le cuivre, l'or, l'argent, le bronze, et en fabriquaient des armes et des ustensiles. Les Aryens étaient doués dans l'art du travail du bois ; ce sont eux qui perfectionnèrent la technique de construction des chars.

Les Indo-Iraniens étaient un peuple guerrier et le butin de guerre - bétail, pâturages, captifs - était l'une des sources les plus importantes de leur bien-être. Des guerres ont eu lieu presque constamment - à la fois entre les Indo-Iraniens eux-mêmes et entre eux et d'autres peuples.

Les Aryens étaient des collectionneurs expérimentés de miel sauvage, élément essentiel de leur alimentation. La nourriture principale pour eux était fraîche lait de vache et les produits qui en sont issus : le lait aigre et le beurre, ainsi que les plats à base de céréales comme le porridge et la viande bouillie. Pour divers rituels et célébrations religieuses, les Indo-Iraniens préparaient le « sauma » - une boisson qui conduisait à un état d'extase sacrée. Lors des fêtes laïques, publiques et familiales, l'enivrante « sourate » était utilisée. Ces vacances s'ouvraient par des concours équestres, suivis d'une fête collective.

Les Aryens portaient des pantalons, des bottes et des vestes en cuir, ainsi qu'un bashlyk, un vêtement qui devint plus tard traditionnel pour les masses des nomades eurasiens.

Les Indo-Iraniens soit incinéraient leurs morts, les enterraient sous des tumulus, soit (beaucoup moins souvent) les laissaient aux éléments et aux charognards sur le territoire des cimetières réservés à cet effet.

Les Aryens les plus anciens ne connaissaient pas de spécialisation, ils se concentraient sur relations de marché, l'artisanat, le commerce monétaire et les villes, n'ont construit aucune forteresse, palais ou temple, et n'avaient probablement aucune image ni écriture religieuse.

Au milieu d'eux, trois groupes sociaux se formèrent, appelés « fleurs ». Les « fleurs » les plus nombreuses étaient les bergers communautaires. Le deuxième groupe était représenté par des guerriers, le troisième par des prêtres. Ils constituaient la couche sociale la plus respectée. Les rois, les « fils du Soleil », qui couronnaient tout le système d'organisation sociale des Aryens et dirigeaient des tribus individuelles et des unions tribales, étaient considérés comme des prêtres-guerriers.

Diverses branches des Aryens ont créé de grands monuments de la pensée religieuse ancienne, les Indo-Aryens - les Vedas, les Iraniens du sud - l'Avesta. À en juger par ces monuments, ils adoraient une multitude de dieux, croyant en même temps que derrière toute la diversité des phénomènes de la vie se cache un principe de base unique et éternel, le principe spirituel et créateur qui a créé ce monde, Dieu l'Absolu. Chacun de leurs nombreux dieux incarnait différents aspects de cet Absolu.

Il y avait très peu de divinités féminines dans le panthéon indo-iranien et un patriarcat sévère y régnait. Les dieux aryens étaient des dieux bergers. Leurs épithètes les plus fréquentes sont « seigneur des vastes pâturages », « émetteur de belles richesses en chevaux », etc. Il était demandé aux dieux d'irriguer les pâturages et de donner des troupeaux de chevaux et de taureaux. Dans les hymnes indo-iraniens, les dieux étaient représentés chevauchant des chars tirés par des chevaux ; leur fonction la plus importante était de protéger le bétail des démons ou de leurs serviteurs dans le monde terrestre.

Le sacrifice était l'élément principal de la pratique religieuse des Aryens. Des sacrifices étaient faits non seulement aux dieux, mais aussi aux ancêtres. En plus des animaux, ils ont fait don de ghee, de sauma et de lait aux dieux. En l'honneur de leurs ancêtres, des tumulus avec des autels en pierre ont été construits.

Le culte du cheval était extrêmement développé chez les Indo-Iraniens, parallèlement à lui existait probablement un culte moins répandu du castor.

Une composante essentielle de la religion aryenne était également la vénération du feu et le culte du Soleil. Il est possible que le nom « Arya » lui-même remonte à nom ancien Soleil - Svar, Svara.

Dans l'environnement indo-iranien, un langage mythopoétique sacré s'est développé, utilisé pour accomplir des rituels et s'adresser aux dieux. La poétique des Aryens était basée sur des termes pastoraux. Les images d'une vache, d'un taureau et d'un cheval imprègnent les Vedas indiens et le Zend-Avesta iranien. Sur leur base se construit tout le système symbolique des textes religieux, chatoyant d'allitérations et de sens cachés, utilisant un grand nombre deépithètes et synonymes. Seulement dans le « Rigveda » - le principal des « Vedas » - pour désigner images clés- cheval, taureau et vache, au moins 10 à 15 synonymes différents sont utilisés.

Où se trouve la demeure ancestrale des Aryens, que les peuples de la branche indienne appelaient « Arya Varta », les peuples de la branche iranienne appelaient « Aryana Veja », c'est-à-dire « Espace aryen » ?

Comme déjà mentionné, sa recherche se poursuit depuis plus de deux siècles, mais consensus Il n’existe toujours aucune information scientifique sur l’endroit où il se trouve. Le berceau aryen a été recherché dans l’Himalaya et en Inde, au Moyen-Orient et en Asie centrale, en Europe et dans le Caucase, dans l’Arctique et au Tibet. Les partisans du point de vue le plus autorisé et le plus fondé estiment qu'il était situé dans la bande allant des Carpates à la Volga.

On sait que la demeure ancestrale des Aryens occupait la partie orientale du foyer indo-européen commun, était située dans une zone de climat tempéré, relativement sec et continental et regorgeait d'espaces ouverts et étendus. Tout cela semble indiquer en faveur de la localisation de la maison ancestrale aryenne précisément dans les steppes et les steppes forestières de la grande plaine russe, mais de nombreux faits suggèrent qu'elle était située plus à l'est - sur les pentes de l'Oural et dans la Trans -Oural.

Premièrement, sur la base de données linguistiques, il a été établi que les montagnes se trouvaient à proximité du centre de formation des peuples indo-iraniens. Dans cette partie de la ceinture des steppes eurasiennes, où auraient théoriquement pu vivre les ancêtres des Aryens, ces montagnes ne pourraient être que les crêtes de l'Oural ;

Deuxième. Les Indo-Iraniens connaissaient les phénomènes qui se produisent aux hautes latitudes : les hivers froids et enneigés, les phénomènes du jour polaire, de la nuit polaire et de l'aube polaire, ainsi que les aurores boréales. Leurs informations étaient très précises. S’ils vivaient dans le sud de la Russie, trop éloigné des régions arctiques, ils ne pourraient pas disposer de telles informations. Au contraire, si les ancêtres des Aryens vivaient dans l'Oural et au-delà de l'Oural, ils auraient dû bien connaître la nature du Nord, puisque là se situe la frontière de la forêt-steppe non loin des latitudes où se situent les pôles polaires. des phénomènes sont régulièrement observés.

Troisième. Les Indo-Iraniens ont eu très tôt et des contacts très étroits avec les ancêtres des Finno-Ougriens. Leurs relations avec des locuteurs d'autres dialectes non indo-européens furent plus tardives et moins représentatives. La similitude maximale dans le domaine de la langue et de la culture, atteignant parfois une identité complète, se retrouve chez les Aryens avec Tribus ougriennes, qui vivait dans la taïga transouralienne depuis l'Antiquité, et qui n'existait pas en Europe de l'Est à l'époque de l'existence de la communauté indo-iranienne.

Enfin, la recherche archéologique dernières décennies identifié dans la steppe et la steppe forestière du Trans-Oural une grande communauté culturelle et historique qui pourrait appartenir aux anciens Aryens, puisque ses créateurs, comme les Indo-Iraniens, appartenaient à la race paléo-européenne, dirigeaient une économie basée sur l'élevage de chevaux et de bétail, et la période d'existence de cette communauté archéologique et l'époque d'existence d'une seule masse d'Indo-Iraniens coïncident pratiquement. L'élevage de chevaux parmi les tribus transouraliennes était plus ancien et plus développé que chez les habitants de l'Europe de l'Est, et le culte du cheval, si caractéristique des Aryens, se répandit très tôt parmi eux. Ces tribus entretenaient des liens étroits avec les habitants de la taïga sibérienne, dans lesquels divers scientifiques voient les Paléo-ougriens. De plus, le territoire sur lequel se trouvaient les monuments de cette communauté archéologique est devenu le noyau de la formation des cultures du cercle d'Andronovo, qui appartenait sans aucun doute aux Indo-Iraniens ; De plus, les complexes créés par les prédécesseurs asiatiques du peuple Andronovo ont constitué un élément important dans la formation de leur culture.

La combinaison de tous ces faits et de bien d’autres suggère que la patrie des peuples aryens se trouvait dans les steppes asiatiques, dans le sud de l’Oural et dans le Trans-Oural.

La génétique permet aujourd’hui aux scientifiques non seulement de créer des produits génétiquement modifiés. La génétique permet, entre autres, d'étudier l'histoire des peuples du monde. Cela est devenu possible grâce à un certain nombre de découvertes dans le domaine de la biologie.

Tous les hommes et femmes sur Terre possèdent 46 chromosomes, soit 23 paires de chromosomes. Ils sont organisés par paires, appariés et disposés en ADN chromosomique dans le noyau de chaque cellule humaine. Un seul des 23 chromosomes est placé dans la tête du spermatozoïde et est livré à sa destination. Après une livraison réussie, les molécules d’ADN se déroulent et s’entrelacent, c’est ainsi qu’elles sont copiées. C'est une manière de transmettre des informations héréditaires. C’est ainsi que l’ADN se transmet des parents aux enfants, précisément par déroulement, copie, tissage.

Une paire de chromosomes est une paire sexuelle. Elle transfère le sexe à l'enfant. Chez un homme, cette paire est constituée des chromosomes Y et X. Chez la femme, elles ne possèdent que deux chromosomes X.

Le sperme ne porte qu'un seul chromosome, également probable - X ou Y. Le chromosome X s'est glissé, entrelacé chez une femme avec son chromosome X (et les femmes n'ont pas d'autre chromosome sexuel), le résultat a été une paire de chromosomes XX - une fille était né. Le chromosome Y s'est glissé, s'est à nouveau entrelacé avec X, le résultat a été une paire de chromosomes XY - un garçon est né.

Dans cette histoire, nous parlerons principalement des garçons. Cela concerne le chromosome Y. Celui qui transmet l'hérédité de père en fils. Et du fils - à son fils. Et ainsi de suite, pendant des milliers et des dizaines de milliers d’années. Mais il n’existe qu’un seul chromosome, le même chromosome Y original, et il se transmet sur des centaines et des milliers de générations, à travers des centaines et des milliers de femmes. La mère de l'enfant n'a rien à voir avec elle si l'enfant est un garçon. Elle le prend simplement dans son ventre, le démêle, l'entrelace avec le sien et donne naissance à un garçon. Et le chromosome Y est resté le même chez le père, peu importe qui était le père.

C'est réglé. Le chromosome Y masculin « traverse » des milliers de femmes sur des dizaines de milliers d’années, porteur d’informations héréditaires provenant des toutes premières personnes, leurs ancêtres directs. Les femmes ne peuvent pas la changer. Le fait que, par exemple, dans la loi juive Halakha, la judéité soit déterminée par la mère, n'a rien à voir avec la transmission du chromosome Y. Le garçon aurait pu naître d'un légionnaire romain, mais était considéré comme juif selon la Halacha, avait été élevé comme juif, portait les gènes d'une mère juive (et, par conséquent, une grande partie de l'apparence de sa mère), mais son Y -le chromosome a été tiré de l'obscurité des millénaires, d'ancêtres lointains du légionnaire romain. Et cela ira aux enfants de ce garçon lui-même s'il a des garçons.

Au fait, à propos des gènes. Il n'y en a presque pas sur le chromosome Y - seulement 27 gènes pour 50 millions de nucléotides. Les 45 chromosomes restants contiennent environ 30 000 gènes, avec une moyenne de 670 gènes par chromosome. Ainsi, le sexe n’a pratiquement aucun effet sur la composition des gènes, et vice versa, du moins quantitativement. Autrement dit, nous parlons ici de la transmission de l’hérédité généalogique, en laissant de côté la transmission des gènes. Nous parlons d’un enregistrement « dans le livret généalogique », d’un « enregistrement de brassard » d’ADN.

Mais ce record définit nos ancêtres pour toujours. Et des descendants en lignée masculine.

De plus, grâce à cet enregistrement, les ancêtres peuvent être retrouvés. Il est possible de déterminer où ils ont vécu pendant longtemps, d'où venaient leurs tribus dans les temps anciens, dans quelles directions ils se sont déplacés et ont migré, et les tribus elles-mêmes peuvent être identifiées. Et tout cela parce que la composition, la structure et les caractéristiques du chromosome Y changent de temps en temps au cours des millénaires. Changement dû à des mutations. Les mutations dans ce cas sont les erreurs du corps lors de la copie du chromosome Y. Les enzymes, et avec elles toute la « machine » de biologie moléculaire, commettent parfois des erreurs lors de la copie, fonctionnent mal et remplacent un nucléotide dans la chaîne d’ADN par un autre, laissent des lacunes dans la chaîne copiée ou effectuent des insertions inutiles de nucléotides et de leurs séquences. S'il se trouvait dans la zone génétique, alors l'enfant serait soit mort-né, soit ne vivrait pas longtemps, soit souffrirait d'une maladie héréditaire, l'une ou l'autre, selon le gène endommagé. Ou bien, au contraire, il acquerrait des caractéristiques utiles, comme ceci, « au hasard ».

Mais il n'y a presque pas de gènes sur le chromosome Y, donc les « enregistrements sur les poignets » changent tout simplement. Mais dès qu'il a changé, c'est sous cette forme qu'il est copié et transmis au fils et à ses fils, petits-enfants, etc. Jusqu'à la prochaine mutation, où les « notes de manchette » changent à nouveau légèrement. Mais méthodes modernes la biologie moléculaire - et c'est ce qu'utilise la généalogie moléculaire, ou généalogie de l'ADN - même les plus petits changements « sur les poignets » de l'ADN sont facilement identifiés.

C'est à l'aide de telles mutations dans les chromosomes Y que l'histoire des ancêtres est révélée. Ces « enregistrements » dans le chromosome Y s’apparentent à l’histoire du parcours militaire d’une unité militaire. Si absolument rien n'était arrivé à l'unité, il n'y aurait pas eu de voie de combat. Ce sont les mouvements de l'unité militaire et les événements associés à ces mouvements qui permettent de retracer sa chronologie... .

Selon la déclaration de nos scientifiques, en 2009, une « lecture » complète (séquençage) du génome du représentant a été réalisée. appartenance ethnique russe.

« Le décodage a été réalisé sur la base du Centre national de recherche « Institut Kurchatov » à l'initiative du membre correspondant de l'Académie des sciences de Russie, directeur du Centre national de recherche « Institut Kurchatov » Mikhaïl Kovalchuk. L'institut a dépensé 20 millions de dollars. sur l'achat d'équipements spéciaux. Le portrait génétique complet d'un homme russe est devenu le huitième au monde".

Qu’a révélé cette recherche scientifique coûteuse ?

Les Aryens ne sont pas du tout un peuple inventé, comme le pensent certains historiens, mais un peuple réel, né dans l'hémisphère nord de la terre ! En raison de cette circonstance, les Aryens ont reçu dès leur naissance une peau blanche et des yeux bleus (clairs). Les deux sont des adaptations naturelles d’un génotype humain donné à une déficience. lumière du soleil dans la demeure ancestrale du Grand Nord. Les Aryens sont le nom propre du peuple, c’est ainsi qu’ils s’appelaient eux-mêmes, et cela est enregistré dans les anciens « Vedas » indiens et les légendes iraniennes.

Les résultats des dernières études ont montré : la proportion d'Aryens, ou plus précisément de leurs marques chromosomiques (haplogroupes) chez les hommes en Lituanie est de 38 %, en Lettonie de 41 %, en Biélorussie de 40 %, en Ukraine de 45 % à 54 %. En Russie, la population aryenne est en moyenne de 48 % ; dans le sud et le centre, cette part atteint 62 % et plus. Environ 16 pour cent des Indiens ont également un haplotype similaire, soit environ 100 millions de personnes vivant en Inde. La moitié des classes supérieures de ce pays ! Les haplotypes ancestraux des Indiens et des Slaves sont presque les mêmes, mais l'haplotype slave est plus vieux de 500 à 600 ans.

L'haplotype de base typique de l'Europe occidentale, désigné par les lettres R1b, que possèdent environ 60 % des Européens occidentaux et centraux et jusqu'à 90 % des hommes des îles britanniques, « s'écarte » des haplotypes hindous et des haplotypes des Russes de souche par un « distance » de 50 mutations. Leurs ancêtres sont séparés d'au moins 30 mille ans.

En Inde et en Iran, il n'existe presque aucun haplotype de l'haplogroupe R1b.

Les itinéraires de déplacement des anciens Aryens vers l'Inde sont marqués par leur chromosome Y. Il s'agit d'une proportion importante de Tadjiks (64 %), de Kirghizes (63 %), d'Ouzbeks (32 %), d'Ouïghours (22 %), de Khakass (Ienisseï Kirghizes, ce sont aussi, selon certaines sources, des Usuns, des Gegunis et des Dinlins). , les peuples de l'Altaï (50 %) puis un certain nombre de peuples avec la transition vers la Chine. Le petit peuple Ishkashim du Pamir représente les deux tiers R1a1.

Pourquoi des airs avec Oural du Sud, a quitté Arkaim pour l'Inde il y a environ 3600 ans ? La réponse devient claire si l’on examine l’histoire des catastrophes mondiales. Il y a 3 600 ans, l’une des plus grandes éruptions de l’histoire de l’humanité s’est produite au volcan de Santorin, également connu sous le nom de Théra, dans la mer Égée. Cette explosion a anéanti la civilisation minoenne en Crète, jetant 60 kilomètres cubes de cendres dans l'atmosphère, ce qui a entraîné une forte baisse de la température sur toute la Terre... Pendant longtemps, le Soleil était pratiquement invisible.

Les Balkans, la Serbie, le Kosovo, la Bosnie, la Macédoine sont la zone des haplotypes les plus anciens du genre R1a1. Et la durée de vie de ce « premier ancêtre » remonte à 12 000 à 10 000 ans. La généalogie ADN indique clairement que pendant près de 6 000 ans, les ancêtres balkaniques ont vécu dans ces régions sans se déplacer nulle part. Mais il y a environ 6 000 ans, la Grande Migration a commencé. Dans toutes les directions, y compris vers l’Ouest.

Aujourd'hui, le nombre de propriétaires de R1a1, déjà porteurs de mutations, est en moyenne de 18 % en Allemagne, mais peut atteindre un tiers dans certaines régions. Il est à noter que des fouilles ont récemment été effectuées en Allemagne, que l'ADN a été extrait de la moelle osseuse préservée et qu'il a été déterminé que ses porteurs possédaient l'haplogroupe R1a1 et vivaient il y a 4 600 ans. Correspondance presque exacte avec les calculs basés sur les haplotypes.

En Norvège, la part des R1a1 s'élève désormais en moyenne à 18 à 25 % de la population, contre 17 % en Suède. En Angleterre et en général dans les îles britanniques - de 2 % à 9 %. En Écosse, au nord, sur les îles Shetland, ils sont 27 %, et ce nombre chute à 2 à 5 % dans le sud du pays. En Pologne, le nombre moyen de descendants aryens est de 57 %. En République tchèque et en Slovaquie, ce chiffre est d'environ 40 %. En Hongrie, jusqu'à un quart. Par pays européens- 4% en Hollande et en Italie (jusqu'à 19% à Venise et en Calabre), 10% - en Albanie, 8-11% - en Grèce (jusqu'à 25% à Thessalonique), 12-15% - en Bulgarie et Herzégovine, 14- 17% - au Danemark et en Serbie, 15-25% - en Bosnie, Macédoine et Suisse, 20% - en Roumanie et en Hongrie, 23% - en Islande, 22-39% - en Moldavie, 29-34% - en Croatie, 30-37% - en Slovénie (16% dans l'ensemble des Balkans), et en même temps 32-37% - en Estonie, 34-38% - en Lituanie, 41% - en Lettonie, 40% - en Biélorussie, 45-54 % - en Ukraine ; en Russie, en moyenne, 45 %.

Un certain nombre d'historiens qui ont été (et sont toujours impliqués dans) la recherche de traces de « l'Hyperborée » considèrent cette zone de la péninsule de Kola - la région de la toundra de Lovozero avec Seydozero au milieu - comme la demeure ancestrale des Aryens.

La carte est cliquable.

Pourquoi cette région particulière est-elle considérée par un certain nombre de scientifiques comme la demeure ancestrale des Aryens ?

Il vaut probablement mieux interroger les Juifs à ce sujet. Ils entretiennent une relation particulière avec les Aryens depuis les temps bibliques, et peut-être même avant. Cependant, il est peu probable qu’ils nous disent la vérité. Mais un fait le révèle, cette vérité.

Permettez-moi de vous rappeler qu'il y a eu une révolution en Russie en 1917 et que sa poursuite a été Guerre civile, qui a duré de 1918 à 1922 et a coûté la vie à des millions de Russes. Lorsque les collègues commissaires avaient au moins un peu de temps libre par rapport à leur travail principal, ils voulaient à tout prix retrouver la demeure ancestrale des Aryens. Les commissaires bolcheviques, qui rêvaient de l'idée d'une révolution mondiale, pensaient que s'ils retrouvaient la patrie ancestrale des Aryens, décrite dans littérature ancienne comme Shambhala, ils pourront y trouver des connaissances secrètes ainsi qu'une source naturelle pouvoir magique, ce qui leur permettra d’acquérir un pouvoir encore plus grand sur la société.

Ce n'était pas le rêve de quelques garçons romantiques, mais d'hommes investis du pouvoir le plus élevé de la Russie soviétique. L'organisation de l'expédition a été réalisée par un département spécial de l'OGPU, dirigé par le commissaire à la sécurité de l'État lui-même et l'un des créateurs du Goulag - Gleb Bokiy (1879 - 1937). Ce bourreau est mieux connu comme le créateur du camp de Solovetsky, le premier camp de concentration communiste. La recherche de la demeure ancestrale des Aryens était supervisée par le chef de la Tchéka, Félix Dzerzhinsky. Les préparatifs de l'expédition n'ont pas eu lieu n'importe où, mais dans les profondeurs du laboratoire secret de neuroénergétique situé dans le bâtiment de l'Institut de l'énergie de Moscou, dirigé par le neurophysiologiste et écrivain Alexander Barchenko (1881 - 1938). Et cette expédition top secrète, créée par de hautes autorités dans le but de rechercher les traces de l'ancienne Hyperborée, se dirigeait précisément vers région des toundras de Seydozero et Lovozero...

Qu'a trouvé cette expédition ? Aucun simple mortel ne le sait. On sait seulement que les archives du NKVD contiennent 20 dossiers cachant le secret de l’expédition d’A. Barchenko. On sait également qu’en 1937 Staline fusilla d’abord Gleb Bokiy, le chef du NKVD, comme ennemi du peuple, et en 1938 Alexandre Barchenko lui-même pour « activités d’espionnage maçonnique ». Félix Dzerjinski, le chef de la Tchéka, comme vous le savez, est décédé lui-même - des suites d'une maladie, en 1926.

Les initiés savaient que la demeure ancestrale des Aryens se trouvait dans le Grand Nord, là où brillent les aurores boréales et où vivent les cerfs, même avant la révolution de 1917. La preuve en est le livre d’Eduard Shure « Les Grands Initiés », publié en 1914.

Ce qui est également curieux dans l'histoire des Hyperboréens, c'est la reconnaissance d'Eduard Shure selon laquelle "Les Aryens ont créé culte solaire feu sacré et a apporté au monde un désir de patrie céleste..." Et c'est vrai.

Le mouvement de la terre par rapport au Soleil, tant quotidien qu'annuel, était noté par les Aryens dans leurs symboles solaires et leurs fêtes, qui sont encore célébrées par les peuples du Nord : Couverture- le début de la Nuit Polaire au Pôle Nord, Fête du Soleil- Fête de janvier de fin de Nuit Polaire dans la Kola Nord, Maslenitsa- adieu l'hiver, et autres...

Dans la continuité de son travail sur le sujet "Les ARYAS SONT UN VRAI PEUPLE" Je publie des extraits du livre "La patrie arctique dans les Vedas", B. G. Tilak, un remarquable scientifique indien et personnalité publique, auteur de livres sur l'étude de l'antiquité des Vedas et de la philosophie védique.

Origines de la civilisation
Certains scientifiques sont convaincus que la région originelle de l'origine de l'humanité devrait être trouvée dans la région arctique, et le Dr Warren, recteur de l'Université de Boston, a publié le livre scientifique « Le paradis trouvé, ou le berceau de l'humanité au pôle Nord ». La science a déjà établi que le début de la civilisation aryenne devrait être repoussé de plusieurs milliers d’années. La recherche et l'identification de la patrie des premiers Aryens sont pleinement confirmées par les traditions des Vedas et de l'Avesta, et - ce qui est encore plus important - les dernières découvertes des archéologues ne sont pas seulement cohérentes avec la destruction du paradis aryen décrite dans l'Avesta, mais nous permettent d'attribuer son existence à la période précédant la dernière période glaciaire.

Temps préhistoriques
À l’origine, les Aryens ne vivaient ni en Europe ni en Asie centrale : leur région d’origine se trouvait quelque part près du pôle Nord à l’époque paléolithique. Et de là, ils ont migré vers l'Asie et l'Europe non pas sous l'influence d'une « impulsion irrésistible », mais parce que des changements défavorables se sont produits dans le climat de cette région.
Les Vedas et l'Avesta contiennent des informations qui confirment pleinement ce point de vue.
De nombreux chercheurs ont déjà commencé à considérer le pôle Nord comme le lieu où est née la vie végétale, animale (et humaine). DANS livres anciens Le peuple aryen - les Vedas et l'Avesta - contiennent suffisamment de déclarations pour prouver que ancienne patrie Les Aryens se trouvaient quelque part autour du pôle Nord.

Région arctique
La profondeur de l’océan Arctique au nord de la Sibérie est peu profonde, et cette étendue de terre, aujourd’hui recouverte d’eau, aurait pu autrefois s’élever au-dessus. Cela fournit une indication suffisante de l'existence d'un continent autour du pôle Nord avant la dernière glaciation. En ce qui concerne les traditions et les croyances des Vedas, nous pouvons voir qu'elles sont apparues il y a plusieurs milliers d'années et nous ont été transmises sans changement.
Par conséquent, il est fort possible que dans ces livres anciens, nous puissions trouver des traces de la patrie polaire originelle des Aryens. Les régions du nord ont des caractéristiques astronomiques particulières, et si des indications peuvent en être révélées dans les Vedas, cela signifie que les ancêtres des sages védiques - les rishis - ont dû connaître ces caractéristiques lorsqu'ils vivaient dans ces régions. Ce qui suit décrit les principales caractéristiques du pôle et de la zone polaire, que l’on ne retrouve nulle part ailleurs sur le globe. Caractéristiques du pôle et des régions polaires :
1. Le soleil se lève et est toujours visible au sud.
2. La plupart des étoiles ne se lèvent ni ne se couchent, mais tournent dans un plan horizontal.
3. Une année se compose d’une longue journée et d’une longue nuit pouvant aller jusqu’à 6 mois.
4. Le lever et le coucher du soleil durent de plusieurs jours à deux mois. Le soleil peut apparaître et disparaître, étant visible au-dessus de l'horizon pendant une partie de la journée.
Ces instructions peuvent être considérées comme de véritables guides dans l'étude des données données dans les Vedas. Là où dans les Vedas l'une ou l'autre des caractéristiques suivantes est donnée, alors là nous pouvons déterminer le lieu d'origine de la tradition.

Nuit des Dieux
Dans la littérature védique, nous trouvons un système clairement organisé de chronométrage des rituels et des cérémonies, régulé par le calendrier luni-solaire. Cela indique que les sages védiques de cette époque avaient acquis une connaissance approfondie de l’astronomie. Dans le Taittiriya Samhita et dans les Brahmanas (écritures interprétant les textes des Vedas, la principale est le Rig Veda) mois de lune de 50 jours et une année de 12 mois. Les étoiles se levant et se couchant sur le Soleil ont également été systématiquement observées. Dans le Rig Veda, la constellation de la Grande Ourse est décrite comme étant haute, indiquant une position visible uniquement dans la région polaire. L'affirmation selon laquelle le jour et la nuit des dieux durent 6 mois est extrêmement répandue dans les anciens Vedas. Ceci est confirmé par une source aussi faisant autorité que les « Lois de Manu » : « Les dieux ont à la fois le jour et la nuit - l'année (humaine), encore une fois divisée en deux : le jour est la période de mouvement du soleil vers le nord, la nuit est la période du mouvement vers le sud. Dans le Taitiriya Brahmana, nous trouvons également une définition claire : « L’année n’est que le jour des dieux. » Dans l’Avesta, le livre sacré des Parsis, on retrouve une affirmation similaire, balayant tous les doutes sur son caractère polaire : « Ce qu’ils considèrent comme un jour est une année ». Et ici Ahura Mazda dit : « Là-bas, les étoiles, le mois, le soleil ne peuvent être vus se lever et se coucher qu’une fois par an, et l’année semble n’être qu’un jour. »

Aubes védiques
La déesse de l'aube Ushas, ​​​​​​une divinité très importante et bien-aimée dans les Vedas, est glorifiée dans le Rig Veda dans 20 hymnes et mentionnée plus de 300 fois dans le Rig Veda. Dans ces hymnes, il existe des preuves solides que les descriptions les plus anciennes de l'aube sont clairement de nature arctique. Dans le Rig Veda, les chevaux de l'aube sont parfois qualifiés de si lents que les gens se lassent d'attendre en voyant l'aube s'attarder à l'horizon. On dit des aurores qu'elles sont comme des guerriers rassemblés en armée ou des vaches rassemblées en troupeau, et qu'elles ne se disputent pas, bien qu'elles vivent ensemble. Cela ne peut en aucun cas s’appliquer aux 365 aurores quotidiennes par an. Ainsi, nous pouvons conclure que le Rig Veda parle clairement de l'unité de nombreuses aubes, dont le cours n'est pas interrompu par l'apparition quotidienne du Soleil. Le Taittiriya Samhita, qui explique les mantras du Rig Veda, indique clairement que la description des aubes - lorsque les dieux ont vu 30 aurores - est une tradition ancienne.

Longue journée et longue nuit
Puisque la littérature védique parle expressément d'une longue aube de 30 jours ou d'un groupe de 30 aubes, il est clair que cela aurait dû être précédé d'une longue nuit, et dans ces conditions, il devrait également y avoir une longue journée dans l'année.
De nombreux versets du Rig Veda parlent des longues et terribles ténèbres qui cachent les ennemis du dieu Indra, qu'il doit détruire en combattant les démons. Les sages védiques priaient souvent les dieux de les délivrer des ténèbres, comme par exemple dans le Rig Veda et l'Atharva Veda, il y a un hymne dans lequel les fidèles demandent « Puissions-nous atteindre en toute sécurité l'autre bout de la nuit » et « ce bord qui n’est même pas visible. Pourquoi donc? Était-ce parce que c'était une nuit d'hiver ou une longue nuit arctique ? Après tout, les nuits ordinaires de la saison d'hiver durent aujourd'hui autant de temps qu'elles duraient ici il y a des milliers d'années, et aucun d'entre nous, même les plus ignorants (des Vedas), ne ressent d'excitation en prévision de l'aube qui surviendra. terminer la nuit. Cela signifie qu’il ne s’agissait pas uniquement de nuits d’hiver, ce que craignaient les sages védiques dans les temps anciens. C'était autre chose, quelque chose qui durait longtemps, quand, même s'ils comprenaient que cela ne durerait pas éternellement, cette durée d'obscurité était encore fatigante et nous faisait attendre avec impatience l'aube.

Mois, années et chemin des vaches
Les mêmes traces des conditions arctiques concernant les saisons, les mois et les années se retrouvent-elles dans les Vedas ?
Nos ancêtres de la période védique, se déplaçant vers le sud en raison de l'avancée des glaciations, ont été confrontés au besoin de percevoir un calendrier associé aux conditions géographiques de nouveaux lieux. Mais nous devrions voir que les prêtres conservateurs cherchaient à préserver autant que possible les caractéristiques de l’ancien calendrier et des anciennes traditions. Dans la littérature védique, il existe des indications précises sur la durée des cérémonies annuelles - les sattras. Ces instructions sont précises et réalistes. Parmi ces sattras annuels se trouve le « chemin des vaches »... - l'un des rituels védiques les plus anciens. Ces vaches sont considérées comme des Adityas, c'est-à-dire les divinités des mois solaires. L'Aitareya Brahmana dit : « Les vaches, désireuses d'acquérir des sabots et des cornes, effectuèrent une fois une cérémonie de sacrifice au dixième mois de la cérémonie, elles obtinrent des cornes et des sabots. » Tant dans l'Avesta que chez d'autres peuples aryens, des calculs similaires de la durée de l'année sont révélés. Il suffit de rappeler ici que l'année romaine antique comptait 10 mois et a ensuite été remplacée par une période de 12 mois. Et cette tradition ne peut être simplement ignorée, puisque le nom « dixième » est conservé pour le dernier mois du calendrier : « décembre » (décembre) - « 10 ». La théorie polaire met en lumière ces traditions anciennes, vestiges de l’époque où les ancêtres de ces deux peuples vivaient ensemble dans la région polaire. Ces deux mois « supplémentaires » furent un temps de longue nuit. Les gens qui ont déménagé vers le sud les ont simplement ajoutés à l'année précédente.

Védas sur les divinités du matin
Les exploits des divins jumeaux Ashvins sont décrits dans un certain nombre d'hymnes du Rig Veda. Elles sont considérées comme des étoiles du matin, précédant l'apparition de l'aube et du soleil, et leurs exploits sont corrélés à la restauration des puissances du Soleil perdues pendant l'hiver. Dans les textes sur les règles des rites et rituels, les Ashvins sont clairement associés à l'aube. L'allumage du feu rituel, l'aube et le lever du soleil sont décrits dans le Rig Veda comme coïncidant avec l'apparition des Ashwins, ou ils apparaissent avec l'aube flamboyante, lorsque « l'obscurité se cache encore entre les vaches rouges ». Les Ashvins étaient les assistants d'Indra dans sa bataille entre la lumière et les ténèbres, en tant que médecins des dieux. Et après la victoire, ils menèrent la marche des divinités du matin. Cela peut aussi s'expliquer par la bataille quotidienne entre l'obscurité et la lumière, puisqu'un hymne spécial aux Ashvins (« Ashvin-shastra ») doit être récité dans son intégralité à l'aube. Ils étaient censés rajeunir, guérir et sauver les personnes aveuglées et blessées au combat. Le soleil est comparé au séjour du fœtus dans l'utérus pendant 10 mois. Puis le soleil s'est perdu, est né là et s'est retrouvé dans une terre abandonnée, où il est resté 2 mois. De nombreux hymnes parlent de ces 10 mois et du fait que le bébé, retrouvé deux mois après la perte, a été de nouveau amené à la mère à l'aube d'Ashwins. Et dans tous ces hymnes, nous ne pouvons pas parler de latitudes moyennes. Et c'est la théorie arctique qui parle non seulement de l'affaiblissement du soleil en hiver, mais montre que la base naturelle de nombreux hymnes du Rig Veda est la longue nuit polaire.

Roue du Soleil
Dans de nombreux hymnes, Indra est décrite comme l’amie du Soleil ou Surya. Mais soudain on dit qu'il lui enleva une des 10 roues de son char. En même temps, il semble que le Soleil lui-même soit appelé dans ces cas-là une roue, c'est-à-dire que le Soleil lui-même a été volé. Qu'a fait Indra avec cette roue ? Il utilisait les rayons du soleil comme une arme pour tuer ou brûler les démons. La lutte d'Indra contre les démons vise l'ascension de la lumière.
Le Rig Veda indique clairement que le Soleil était dans l'obscurité, ce qui signifie qu'Indra pouvait y utiliser son disque dans la bataille contre les démons pour allumer la lumière du matin.
Cela s'est produit au bout de 10 mois (ou à la fin de l'année romaine).
Cette explication des hymnes védiques révèle la véritable image du mouvement annuel du Soleil dans les temps anciens dans la patrie des Aryens.

Année de Vishnu
Le Rig Veda dit que Vishnu déplace ses 90 chevaux, qui portent quatre noms, comme une roue. Il s’agit clairement de 360 ​​jours répartis en 4 groupes, soit une saison de 90 jours. Cela suggère que la course annuelle du Soleil devrait être considérée comme la base de toutes les affaires de Vishnu. Dans le Rig Veda, Vishnu a ressuscité le Soleil, l'aube et le feu Agni.

Conclusions de l'étude védique
Les résultats de l'étude de l'histoire de la culture et de la religion originelles des Aryens védiques, des problèmes de leur patrie et des preuves fournies ci-dessus, constituées principalement de passages tirés des Vedas et de l'Avesta, prouvent sans équivoque que les auteurs des anciens Vedas connaissaient les conditions climatiques caractéristiques uniquement des régions arctiques et que les divinités mentionnées révèlent leur origine arctique. Nous voyons que dans la littérature des Aryens védiques, il y a beaucoup de choses qui conduisent aux mêmes conclusions, et cela est en corrélation avec les traditions anciennes, les légendes de l'Avesta, ainsi qu'avec les mythes appartenant aux branches européennes des peuples anciens. Ces mythes désignent également le pôle Nord comme la terre d'origine de peuples autres que les Aryens, et on ne peut pas affirmer que seuls les Aryens sont originaires du nord. Au contraire, il y a des raisons de croire que les cinq races de personnes (panca janah) souvent mentionnées dans le Rig Veda pourraient être celles qui vivaient aux côtés des Aryas dans une patrie commune. Il a déjà été prouvé qu’au tout début de la période à laquelle remontent les restes humains découverts, la race humaine était déjà divisée en plusieurs types différents. Bien entendu, la culture aryenne n’aurait pas pu se développer soudainement à la fin de la dernière période interglaciaire, et son début devrait être repoussé à des époques plus profondes.

Traduction de l’anglais N. Guseva