Qui est une définition gopnik. Que signifie gopnik ? Ajoutez votre prix à la base de données Commentaire

30.04.2019

Aujourd'hui, personne n'est surpris par des expressions comme : « Gopniks », « Goparis », « Gopies ». Les termes « gop company », « gopoten », « gopster » sont moins souvent utilisés. Divers noms cacher la même sémantique. C'est un homme certain statut social, avec une certaine apparence, des habitudes comportementales et de parole.

Dans le même temps, pour différents citoyens, la signification du mot « gopnik » variera quelque peu en fonction de l'expérience du répondant. Afin de ne pas se perdre dans des idées fausses et de comprendre si les gopars existent réellement, je propose de considérer cet article.

Quand et pourquoi gopnichestvo est-il apparu ?

La date exacte de l'apparition du groupe gop n'est pas enregistrée. Cependant, en 1980, le phénomène s'est produit assez souvent. Les entreprises représentaient des personnes dépourvues de caractère moral et agressives envers la société.

Ce qui est caractéristique, c'est que l'agression ne s'est pas manifestée contre tous les citoyens, mais seulement contre ceux statut social ou les traits étaient opposés aux leurs.

Cette catégorie comprenait des entrepreneurs, des représentants des travailleurs dits « cols blancs » et une partie très instruite de la population. En d’autres termes, le public cible du gopnik est constitué de tous ceux qui, à son avis, ont un statut plus élevé.

En 1990, la situation change quelque peu. Le nom « Gopniks » a été remplacé par « Gops ». Le concept caractérisait les gens avec une philosophie de vie durable, basé sur l’incapacité de faire ses preuves positivement. Pourcentage de résidents éligibles cette caractéristique 1/3 de plus que le précédent.

Aujourd'hui, en Russie, il est engagé dans le gopnichestvo environ 25% des jeunes."Gopnichestvo" signifie l'absence d'objectifs lointains, le sens de la vie et, par conséquent, le fait de se retrouver uniquement dans un cercle de personnes similaires. Dans 85 % des cas, un gopnik ne se voit pas sans d'autres comme lui. Son identité étant mal formée, elle est renforcée extérieurement.

Qui devient gopnik ?

En 1975-1980, la plupart des représentants de la sous-culture étaient les personnes du contingent criminel, après tout, au moment où les détenus ont quitté la zone, ils avaient établi un ensemble de normes de comportement appropriées.

Même dans l'atmosphère de la vie citadine, ils ont continué à faire tout ce qu'ils faisaient pendant la période d'emprisonnement. Pour éviter des punitions répétées, les Gopniks se sont limités petits vols. Craignant que leurs violations soient signalées, les Gopars ont intimidé les habitants.

Pour cette raison, relativement court terme parmi les citoyens il y avait une peur devant l'image d'un gopnik.

De nos jours, le public principal des entreprises gop est constitué de jeunes majeurs de 13 à 25 ans. La raison de l'existence de ces groupes est considérée comme le négativisme causé par une pression excessive sur une personnalité pas encore suffisamment développée.

Un exemple classique est celui où les parents se soucient excessivement de l’éducation morale d’un adolescent. S’il ne peut pas répondre aux normes requises, il commence à les rejeter. Ainsi, un groupe de personnes apparaît et accepte un jeune homme et est capable d'apprécier hautement sa personnalité.

Dans ce cas, le but de la création d'une image criminelle n'est pas d'éviter la punition par l'intimidation, mais le processus lui-même, qui implique sentiment de pouvoir sur quelqu'un. Ici, il sera important pour le gopnik de choisir la bonne victime. Ce sera plutôt une personne qui a atteint une position que le gopnik lui-même est imaginairement incapable d'atteindre.

Souvent, au fil du temps, les jeunes Gop s’absorbent dans leur propre image et va en prison, cependant, cela ne fait qu'augmenter leur niveau de statut.

Comment les Gopniks se définissent-ils ?

Considérant que l'environnement perçoit le statut des représentants de la sous-culture extrêmement négatif, la haute autorité est extrêmement importante pour eux. Ils se perçoivent comme plus durs et le soulignent de toutes sortes de manières, depuis les vêtements jusqu'aux coups.

Les Gopniks s’opposent aux soi-disant « ventouses ». Ce qui est intéressant, c’est que Gopnik ne peut souvent pas donner une définition exacte de ce concept. Essentiellement, tous ceux qui ne sont pas des gopniks sont des « idiots ».

Cette situation se reflète dans la perception quotidienne des Gopniks par les citoyens, car dans les années 1990-2000, tous ceux dont les mœurs étaient quelque peu différentes des opinions populaires étaient considérés comme des Gopniks. Il n'y avait pas de définition claire de la sous-culture, malgré cela pour les gopyas attribué à 38% des citoyens.

Qu'est-ce qui est valorisé ?

Bien que l'on pense que les Gopniks ont une morale peu développé, ils disposent également d’une variété de critères comportementaux pour déterminer leur statut. Disons qu'il est important pour un gopnik que la victime ait haute position. Il peut s'agir de revenus élevés, d'une position prestigieuse, de respect dans la société, c'est-à-dire de toutes les positions qui peuvent provoquer un sentiment d'infériorité.

Si une personne avec une position basse, à son avis, devient victime des machinations du gopnik, le gopar descend à son niveau. Par conséquent, la plupart des représentants se méfient de tout type de contact avec les titulaires du statut homosexuel.

Gopniks(Aussi gopy, gopari, collectivement - bâtard , hopoten, gopyo, gopna, gopsha) - un mot d'argot en langue russe, désignant des représentants de la couche urbaine de faible statut social, des jeunes (adolescents) peu instruits et à l'esprit agressif, qui ont des traits de comportement criminels (moins souvent proches du monde criminel), provenant souvent de dysfonctionnels familles et unis selon les lignes d'une contre-culture (sous-culture informelle). Le terme est largement utilisé en Russie et dans les pays de l'ex-URSS (depuis la fin du XXe siècle).

Caractéristique

DANS socialement les représentants de la sous-culture viennent principalement de la périphérie des villes industrielles. La plupart des Gopniks venaient de familles pauvres et dysfonctionnelles. L'image et le comportement d'un gopnik typique sont une parodie des représentants du monde criminel des années 1990 en Russie et dans d'autres pays de la CEI. Noir Veste de cuir et le survêtement ont également été adoptés par des adolescents directement auprès d'eux. Les Gopniks se livraient à des larcins, à des extorsions d'argent, à des vols et à des passages à tabac de passants (surtout la nuit).

Ils ne se qualifient pas de « gopniks » et se caractérisent généralement par les surnoms de « garçons normaux », de « vrais garçons » ou de « garçons corrects ». Le mot « gopnik » est considéré comme péjoratif lorsqu'il est appliqué à soi-même. Les Gopniks s'opposent à ce qu'on appelle. « drageons », cependant, parmi les Gopniks, il n'y a pas de définition claire de « drageon ». À cet égard, le terme « meunier » est utilisé par les gopniks, selon qu'il profite ou non au gopnik, et peut même être appliqué à d'autres gopniks. De plus, les représentants de la couche Gopnik se distinguent par une agression prononcée contre les membres de la société dont la vision du monde est axée sur un mode de vie progressiste, l'intelligentsia, etc. Les « valeurs occidentales » (par exemple contre celles orientées Culture occidentale« informels », « opposants »), ainsi que d'autres représentants de la société qui ont un statut social plus élevé que les Gopniks.

Contrairement à la plupart des associations de jeunesse informelles (par exemple, hippies, punks, rockers), les Gopniks n'ont attribué aucun nom au reste de la population et ne se sont pas identifiés comme un groupe distinct par rapport à l'ensemble de la population, ce qui signifie qu'ils n'ont pas reconnu eux-mêmes en tant que sous-culture.

La chercheuse Elena Bessonova note qu'au début de la Perestroïka, les Gopniks étaient les seules sous-cultures de jeunes qui ne s'intéressaient à aucune musique. Plus tard, les représentants de la sous-culture se sont tournés vers la musique criminelle, la chanson russe (Mikhail Krug, groupe Butyrka, Sergei Nagovitsyn). De plus, beaucoup préfèrent le « pop » (musique pop), le «pump» (pumping house) et le «boy rap».

Le mot s'est répandu à la fin des années 1980 en ce qui concerne les représentants des jeunes pour qui le vol de biens dans la rue était, comme le note la chercheuse de Saratov Elena Bessonova, « une partie de l’image, un moyen de divertissement et un moyen de maintenir l’autorité ». Selon le chercheur, dans les années 1990 sont apparus les « gops », pour qui tout ce qui était caractéristique de la vie de leurs « ancêtres », parmi lesquels l'auteur inclut les criminels, est devenu « une sorte de philosophie de vie, de vision du monde, de façon de se positionner dans la société ». Cependant, Bessonova note que, contrairement aux criminels, « Pour un gop moderne, il est plus important d'essayer d'effrayer et d'humilier une personne, de tester votre pouvoir sur elle, puis de lui voler son argent.". La proximité du monde criminel a prédéterminé l'utilisation du jargon et des grossièretés des voleurs.

Comme le note le candidat en sciences sociologiques Ramil Khanipov : « Le Centre municipal pour la prévention de la négligence et de la toxicomanie des mineurs de Saint-Pétersbourg désigne les gopniks comme des « associations informelles » et les inclut dans la section « agressive ». Les discussions sur les forums Internet parlent du niveau de développement de ces associations informelles comme suit : « … de Kaliningrad à Vladivostok, les gopniks sont encore aujourd'hui la forme la plus répandue d'associations de jeunesse », et toutes les sources utilisées soulignent le caractère criminel et criminel prononcé. nature de groupe de cette sous-culture : « Il s'agit principalement de bagarres, de vols, de raids visant à obtenir de l'argent..., de l'alcool et des cigarettes. » .

Larisa Pautova, docteure en sciences sociologiques et directrice du projet « Nouvelle génération » de la Fondation « Opinion publique », estimait en 2009 que les « gopota » représentaient au moins 25 pour cent de la jeunesse moderne. Le sociologue entend par ce mot des gens qui ne luttent pour rien, qui se retrouvent parmi les masses de leur espèce.

Le chef de la branche moscovite du LDPR, O. Lavrov, a déclaré que les Gopniks constituent une certaine partie de la base électorale de son parti :

Nous pensons que les Gopniks constituent la force politique la plus puissante de Russie. Les gens se moquent de nous, nous traitent de parti de marginalisés : gopniks, voleurs, clochards et ivrognes. Mais voyez-vous, ce sont tous des gens dont personne d’autre ne représente les intérêts. Nous avons installé nos gares dans les gares ferroviaires et, à une époque, nous avions un million de membres. Lorsque nous avons désigné Malychkine comme candidat à la présidentielle aux élections de 2004, les gens ont été choqués. Eh bien, oui, ce n'est bien sûr pas un intellectuel, mais les gopniks voteront pour lui.

Traits de caractère

En plus des vêtements, les Gopniks possèdent également d'autres objets caractéristiques, par exemple des « graines » - des graines de tournesol (non pelées), souvent dans un sac en papier. Gopnik les mâche et recrache les coques. Les Gopniks emportent aussi souvent avec eux une bouteille en plastique de bière (bien sûr, très bon marché et de mauvaise qualité) ou de la vodka. Ce dernier est souvent versé dans un verre jetable en plastique, car les Gopniks ont la « croyance » que cela a meilleur goût de cette façon. La vodka est aussi presque toujours « brûlée ».

Origine et signification du mot « Gopnik »

DANS fin XIX siècle, dans les locaux de l'hôtel moderne Oktyabrskaya, situé sur la perspective Ligovsky, a été organisée la Société du Prix d'État (GOP), où ont été emmenés des enfants des rues et des adolescents impliqués dans des petits vols et des hooliganismes. Après la Révolution d'Octobre de 1917, le Foyer d'État du Prolétariat fut organisé dans ce bâtiment dans le même but. Le nombre de jeunes délinquants dans la région a augmenté à plusieurs reprises. Parmi les habitants de la ville, le mot « Gopnik » est apparu, utilisé pour décrire les habitants du GOP de Ligovka. L'expression « le nombre de gopniks se mesure en lieues » apparaît, et parmi les habitants de Petrograd, puis de Leningrad, il était d'usage de demander aux gens mal élevés : « Vivez-vous à Ligovka ? » .

adolescent agressif
jeune homme primitif et sans éducation
élève de la classe "G" (dans le jargon des écoliers)

Le philologue E.N. Kalugina est d'accord avec elle, notant que le mot « Gopnik » peut être utilisé pour désigner « un jeune homme primitif et peu instruit". La sociologue Albina Garifzyanova qualifie les Gopniks de « personnes sans instruction, culturellement arriérées, absolument intolérantes ». Les sociologues russes V.I. Dobrenkov et A.I. Kravchenko ont noté que le mot « Gopnik » est dérivé du mot hon.- un mot d'argot désignant les mendiants qui avaient absorbé des éléments de la culture criminelle et signifiait « rester dans un asile de nuit ».

A. A. Sidorov note que le mot « Gopnik » est également utilisé pour désigner « les mendiants, les vagabonds, les sans-abri ». Selon Sidorov, cette signification est apparue avant même la révolution de 1917, lorsqu'en Russie il existait des « ordres de charité publique » - des comités provinciaux chargés de s'occuper des « pauvres, infirmes, malades, orphelins, etc. », qui étaient gardés dans des maisons de charité spéciales aux frais des fonds du zemstvo. Dans ce sens, le mot « Gopnik » vient du mot GOP, qui signifie « Urban Ghost Society » (du mot fantôme- soins, soins). En raison du fait que les fonds alloués à l'aide aux pauvres et aux sans-abri n'étaient pas suffisants, les habitants des maisons de charité se livraient au vagabondage, à la mendicité et à des larcins. Par conséquent, le mot « gopnik » a rapidement commencé à être utilisé pour décrire « les clochards, les vagabonds et les mendiants ». Cette signification est restée après Révolution d'Octobre 1917. Selon la publication « Grand dictionnaire explicatif de la langue russe » ( Rédacteur en chef S.A. Kuznetsov) Gopnik - " une personne issue des classes sociales inférieures ; clochard". Philologue T. F. Efremova, le mot « Gopnik » signifie « une personne dégénérée, un vagabond» .

Concepts de sens similaire : urla, hooligans, punks, gangs de rue, lumpen. [ ]

Le mot « Gopnik » a un analogue dans langue anglaise: "chav" (anglais - chav) est un mot d'argot désobligeant largement utilisé pour désigner un jeune homme de faible statut social qui porte généralement des vêtements de sport « de marque », ce qui est également typique des gopniks de l'espace post-soviétique.

De plus, il existe une version selon laquelle le mot « Gopniks » est tiré de l'histoire de science-fiction samizdat « Journey to Black Uhura », qui décrit la « planète des Gopniks » comme la personnification du mal mondial. Le vulgarisateur de ce mot à la fin du 20e siècle fut Mike Naumenko dans l'un des interview, il a dit directement qu'il avait tiré ce mot des travaux de A. Startsev et A. Dideikin. [ ]

Utilisation du mot comme cliché politique

Depuis la fin de la première décennie du XXIe siècle dans les médias, dans les discours journalistes russes, écrivains, ainsi que politiciens de l'opposition, un nouveau cliché idéologique « bâtard jubilatoire » a commencé à résonner. En utilisant cette épithète, ils ont caractérisé les membres de diverses organisations de masse de jeunesse qui soutiennent l'orientation politique des autorités. Il est apparu pour la première fois le 29 janvier 2008 dans le journal Kommersant dans un article sur le mouvement Nashi.

Le 2 février 2008, l'écrivain et animateur de télévision et de radio Viktor Shenderovich, dans l'émission de radio de son auteur « Processed Cheese », joue avec ironie sur une nouvelle épithète :

Les militants de Greenpeace sont sérieusement préoccupés par la situation en Outback russe, - informe les lecteurs du magazine «Hamsters on the March». Domestiqué mais rejeté anciens propriétaires dans la rue, les soi-disant « Les nôtres » parcourent désormais les forêts et les périphéries des villes, se rassemblent en troupeaux et organisent des rassemblements bruyants aux abords. La capture des gopotas errants et les tentatives ultérieures pour les habituer à la lecture, à l'écriture et à un travail utile n'ont pas encore donné de résultats

L'expression a ensuite été activement utilisée par les médias, les politiciens et les blogueurs, et si au départ elle n'était utilisée que de manière négative en relation avec le mouvement « Nashi », elle a ensuite commencé à être utilisée plus largement.

Le 19 septembre 2009, dans un article du chroniqueur Pavel Svyatenkov, « gopota jubilatoire » fait référence à « une force réactionnaire qui fait obstacle à un coup d’État ».

10 octobre 2009 dans la série portails régionaux paraît un article consacré au conflit entre les éditeurs d'un site d'information de Kaliningrad et Ancien chef Konstantin Minich, branche locale du mouvement de jeunesse « Marcher ensemble » et participant au forum Seliger 2009, intitulé « Contrôle de Kaliningrad ». Ru" essaie d'obtenir un "gopota jubilatoire".

Réflexion dans la culture populaire

Dans le film

"Les garçons" - film de 1983.
"Américain" - film de 1997.
"Je m'appelle Arlequin" - Film de 1988.
"Odyssée 1989" est un film de 2003.
« Boomer.
Le deuxième film, 2006.
« Boys of Steel » est une série télévisée russe de 2004.
"Rackeur" - Film de 2007.
"Alien" - film de 2010. « Real Boys » est une série télévisée russe de 2010. Cette série provoque un grand nombre de
des différends quant à savoir s'il a été filmé pour les Gopniks ou s'il s'agit d'une satire de leur vie. Les créateurs de la série ont adopté une position neutre, affirmant que les « vrais garçons » sont « réels » parce qu’ils « vivent selon des scénarios de vie réels et non fictifs ».
« Donnez-moi la jeunesse ! " - Spectacle de sketchs russes (personnages Bashka et Rzhavy).
"Gop-Stop" - Film de 2010.
"Winterreise" - film de 2013.
« La loi de la jungle de béton » est une série télévisée policière russe de 2015.
"Tout à la fois" - Film de 2014.

Un film documentaire de la série «L'enquête a été menée...», intitulé «Death Wish», consacré à un combattant qui a tué des hooligans et des gopniks.

Dans la littérature

« Gopniks » est un livre (une nouvelle et 6 nouvelles) de l'écrivain biélorusse Vladimir Kozlov.

Il y en a beaucoup dédiés aux Gopniks oeuvres musicales. L’une des premières mentions des gopniks a été notée dans la chanson « Gop with a bow » de Leonid Utesov de son répertoire de 1929-1933.

La chanson « Gopniki » de Mike Naumenko et du groupe « Zoo » () est devenue largement connue. L'un des couplets de la chanson décrit le comportement des Gopniks :

Parmi les chansons racontant les Gopniks :

"Gopota" - nom groupe de musique de Saint-Pétersbourg.

Analogues étrangers

Chav - au Royaume-Uni
Drésiaire - en Pologne
Azzi (abréviation de antisocial) - en Allemagne
Neckers - en Irlande
Bogans - en Australie
Cani - en Espagne
Niero - en Colombie
Rakaï - en France
Yankee - au Japon
Arsy - en Israël

voir également

Remarques

, Gopota, -y, zh., collecté. Adolescents agressifs, p. 55.
, Gopnik, -a, m. 1. souvent pluriel. Adolescent agressif. 2. Un jeune homme primitif et sans éducation. 3. Chut. Élève de la classe « G », p. 55.
, Avec. 114.
Elena Bessonova. Ne dites pas « gop » jusqu'à ce que vous sautiez par-dessus lui... // www.rasklad.ru
Pavel Kanyguine. Gopniks // Novaya Gazeta, n° 33, 12 mai 2008
Khanipov R.A.« Gopniks » - la signification du concept et les éléments de la représentation de la sous-culture « Gopniks » en Russie // « Identités sociales dans les sociétés en transformation »
Jeunesse moderne // Moscou parle, 16 octobre 2009
Mark Ames et Yasha Levin. A la recherche des gopniks : L'exil organise un safari en Russie // L'Exil, traduit par InoPressa.ru, 7 juin 2007
Daria Zolotukhina.

Interprétation de Lurkmore :
Gopniks- le multicellulaire le plus bas, un monstre du monde criminel, un petit criminel de rue, un exemple d'un des types d'animaux de rue avec les chats et les chiens, dont l'activité principale est d'arracher de la lave et des téléphones portables aux passants, des petits vols et la fraude et, bien sûr, son passe-temps favori : battre des idiots.

"Gop-stop" - qui en Fen signifie vol ou vol, c'est-à-dire possession ouverte de biens matériels. Vol - avec armes, vol - sans.

Interprétation selon Wikipédia :
Gopniks(aussi - gopy, gopari, collectivement - gopota, gopoten, gopyo) est un mot d'argot en langue russe, une désignation péjorative pour les représentants de la couche urbaine de la jeunesse proche du monde criminel ou présentant des traits de comportement criminels, provenant souvent de dysfonctions des familles. Le terme est largement utilisé en Russie et dans d'autres pays ex-URSS.

Alors, comment se comporter lors d'une rencontre avec des « gopniks » ?

Lapins et boa constricteurs : Leur arme est notre peur.
Notre crainte vient du fait que nous ne connaissons pas les règles selon lesquelles « ce » monde fonctionne. Mais nous les respectons certainement. Parce que ce sont les règles des concepts forts. Nous respectons le monde des forts, le monde des voleurs et des autorités. Mais l’accès direct y est fermé ; l’ensemble des concepts n’est pas accessible à un simple mortel. Nous les acceptons évidemment, mais nous ne connaissons pas leurs principes et leurs normes. C'est ici que le chien est enterré. Nous acceptons les règles du jeu sans les connaître. Naturellement, un monstre plus ou moins « blâmé », même avec un maigre revenu, connaissant quelques « trucs », vous battra en un rien de temps. Parce que tu as accepté de respecter ses règles. Et une personne qui a volontairement accepté de jouer selon des règles qu'elle ne connaît pas est qualifiée de connard.

Qui sont les Gopniks ?
Le mot, comme il faut le comprendre, vient du fameux « gop-stop » - qui en Fen signifie vol ou vol, c'est-à-dire possession ouverte de biens matériels. Vol - avec armes, vol - sans.

Les Gopniks ne sont pas vraiment des criminels. Ils marchent sur une ligne fine - au début, ils « heurtent » la victime avec un « bazar », la sondent, provoquent la peur et la confusion. De plus, cela se fait sans menace directe de violence - de l'extérieur, il semblera que le gopnik n'est que politesse, et vous, au contraire, êtes un type nerveux, déséquilibré, voire complètement agressif. À la suite d'un tel coup, la victime abandonne généralement elle-même ses biens - généralement de l'argent, des téléphones portables, des montres. Bien que ce ne soit pas l'essentiel pour un gopnik, il ne peut rien vous prendre. Il est important pour lui de ressentir sa supériorité. Te faire peur de lui.

Tout est souvent à la limite d'une "blague", d'une conversation "en termes de concepts", alors lors d'une confrontation, on peut toujours dire - il me l'a donné lui-même. Ceci est souvent confirmé par la victime elle-même :

Eh bien, oui, je le leur ai donné moi-même...
- Pourquoi?
- Je ne sais pas...
- Vous ont-ils menacé ? Ils ont dit qu'ils vous battraient et vous emmèneraient ?
- Non, ils n'ont pas menacé. Eh bien là... eh bien, ils ont dit qui il était dans la vie...
- Alors pourquoi tu leur as donné ?
- Je ne sais pas...

Si vous êtes dans la police, le policier commence à devenir nerveux, voire à devenir fou furieux, et finit par essayer de se débarrasser de vous. Il n’y a aucun fondement juridique. S'il y a une confrontation entre les gars, alors vous obtenez le statut de connard. Et l'obtenir d'un meunier est une chose sacrée pour un gopnik. C'est un enfant, tu es un con. Conceptuellement, il a raison. La conversation est terminée.

Comment répondre à des questions telles que : « Hé, viens ici ! »
C'est une invitation directe à la guerre - c'est-à-dire la guerre est déjà en cours. Psychologique. L'essentiel est de ne pas avoir peur et de ne pas se précipiter pour s'approcher, même si vous êtes clairement inférieur en force. Même si vous ne devriez pas montrer ouvertement votre sang-froid. Celui qui commence doit justifier ses actes. Par conséquent, si vous êtes seulement interrogé de cette manière, alors vous devez orienter la « conversation » dans une direction différente.

Alors, selon les situations, vous vous arrêtez ou vous faites demi-tour, en un mot, vous exprimez un certain intérêt. Ne viens pas.

Hé, viens ici, j'ai dit !

Des réponses telles que «viens ici toi-même» ne conviennent pas, comme tu le comprends, à moins que tu ne sois un champion de boxe.
Vous êtes debout.

Ils viennent vers vous. Effrayant.

Vous n'entendez pas ? (gelé, enflé...)

Ne faites pas attention, figez, genre, plus loin :

Puis-je vous aider?

Nous ne sommes pas des idiots
Si votre « conversation » n'a pas commencé par une provocation directe comme celle décrite ci-dessus, alors généralement le gopnik vous tendra la main lorsqu'il vous rencontrera et vous saluera comme un enfant. Cela vous oblige à être moyennement poli et à répondre aux premières questions. C’est ce qu’il essaie de réaliser. C'est l'une des principales astuces d'un gopnik - après un tel geste" Bonne volonté« Il a le droit de s'indigner « à juste titre » du fait que vous, par exemple, ne vouliez pas communiquer avec lui. De plus, il se crée immédiatement un alibi - « Je l'ai approché comme un garçon, je l'ai secoué avec. ses griffes. C'était comme ça !?" - "Eh bien, oui..." - "Et les gens là-bas l'ont vu. Et puis il a commencé à se montrer pour moi… » 1:0 en faveur du gop.

Nous l'interrompons au tout début. C'est très difficile à supporter - le regard et la main tendus vers vous. Les pochoirs de la politesse sont profondément ancrés en nous. La main se tend d’elle-même. Tenons bon. Regardons-le en face. Nous sourions.

Je sais que c'est difficile, surtout si votre adversaire est clairement plus fort que vous ou s'il y a du monde derrière lui. Mais vous AVEZ LE DROIT DE FAIRE CELA. Un gars bien ne serrera pas la main de la première personne qu’il rencontre sans savoir au préalable qui se trouve en face de lui. En prison, par exemple, ils ne se serrent pas la main – et les règles de la prison sont sacrées pour un Gopnik. Et vous n'êtes pas obligé d'appuyer sur la première patte que vous voyez. "Ou peut-être que vous n'êtes pas du tout un enfant - qui sait", insinuez-vous. Mais vous insinuez qu’il n’a pas le droit de vous accuser de quoi que ce soit. Et en plus, des soupçons s'installent selon lesquels vous connaissez les règles du jeu.

Votre tâche principale est de rester dans le cadre de SES règles, de briser le gopnik en utilisant ses propres méthodes - vous ne devez pas faire appel à la moralité universelle et citer la Constitution. C'est l'atout du gopnik, c'est qu'il vous impose ses règles et vous oblige à les respecter sur son terrain. C'est donc ce que nous faisons : nous jouons au jeu proposé avec un regard sérieux.

Arriver sur le marché
S’ils ne sont évidemment pas venus pour vous battre, alors ce qui suit est la deuxième partie : « un succès sur le marché ». Dans tous les cas, si vous n'êtes pas encore allongé sur l'asphalte et que les gens vous parlent, alors tout est en ordre. En réalité, s’ils n’ont pas peur de vous, alors au moins ils ont peur de vous.

Qui es-tu, d'où viens-tu ?
-... laisse-moi voir le numéro de téléphone.
-...avoir de l'argent?
-...à quelle occasion boit-on ?
-...qui es-tu dans la vie ?

Gelé.(Peut être ignoré)
Donc. Vous DEVEZ sourire et dire :

Si cela ne fonctionne pas (très probablement pas) et que les questions continuent et que l'intonation s'intensifie, alors vous devez passer à l'offensive :

La meilleure défense est l'attaque.
La réponse universelle – ça marche toujours :

Dans quel but êtes-vous intéressé ?

Il est important de comprendre et de se souvenir de l'essentiel : pour vous attaquer, vous avez besoin d'une raison. L'agression sans raison est une anarchie. Ils attendent une raison de votre part. Tant que vous ne le donnez pas, vous êtes en sécurité.

Ne faites en aucun cas la moindre concession - ne répondez à rien. PAS UNE QUESTION, même complètement innocente. Dès que vous répondez à quelque chose, même le plus neutre, mais qui va à l'essentiel de la question, et que vous souhaitez interrompre la conversation plus tard, l'agresseur a le « droit moral » de vous accuser de manque de respect envers lui-même, c'est-à-dire obtenez ce droit de prendre des mesures sévères. Vous avez « soutenu » la conversation, puis refusez de la poursuivre. Pas beau.

Bien entendu, vous n’obtiendrez pas de réponse directe à votre question. Beaucoup d'options la poursuite du développement:

Quoi, c'est une perte de temps de faire des folies avec les garçons ?
- Etes-vous impoli ?
- Vous ne me respectez pas?
- Je n'ai pas compris...

Ne cherchez jamais d'excuses
Dans tous les cas, il faut continuer « bêtement » votre sujet. En aucun cas, encore une fois (voir ci-dessus), ne répondez aux questions - "Je vous respecte, mais...", "Je ne suis pas impoli, mais...". Votre « mais » sera immédiatement considéré comme une faiblesse. Si la phrase suivante suit : « Pourquoi cherchez-vous des excuses ? Sentez-vous quelque chose derrière vous ? ou quelque chose de similaire, alors vous n'aurez rien pour y répondre. C'est à 100% une astuce - peu importe ce que vous répondez ou restez simplement silencieux, tout sera transformé en une tentative de trouver des excuses ou d'être impoli.

Je ne cherche pas d'excuses - regardez-vous de l'extérieur, vous comprenez que cela semble stupide. Mais parlez quand même.
- Justifiez-le.
- Pourquoi devrais-je justifier ?
- Parce que tu cherches des excuses.
- Je ne cherche pas d'excuses !
- Que fais-tu en ce moment?
- Je... eh bien... va te faire foutre ! Je ne veux pas te parler.
- Oh, tu es aussi un grossier...

Brisons la situation.
- Quoi, c'est une perte de temps de faire des folies avec des garçons normaux (!) ? - c'est une réponse probable à votre contre-attaque.

N'oubliez pas : pas de « non », de « non » et surtout de « mais ».

Vous n'avez pas répondu à ma question.

Ça ne fait pas de mal de garder le sourire.

Et tu es sur le mien.
- Allez-vous sombrer dans le chaos ?
-Tu m'accuses de quelque chose ?
- Répondez à ma question. Ai-je le droit de demander ?

Veuillez noter qu'il suffit de « renseigner ». "Demander" a un double sens sur un sèche-cheveux - ils demandent à quelqu'un quelque chose qui sera immédiatement considéré comme une agression - "J'ai le droit de demander". - « Quoi ? Me demander ? Pour quoi ? » Ça y est, c'est encore une impasse, vous êtes dans un sac.

Je m'intéresse à moi.

«Je m'intéresse à moi-même» est une réponse courante à la question «dans quel but êtes-vous intéressé?» Tout va bien. Dès que vous avez entendu quelque chose comme ça, l'ennemi a hésité - vous avez forcé le « bon gars » à se justifier. Maintenant, l’essentiel est de ne pas aller trop loin.

Je ne vous connais pas.

En aucun cas vous ne devez poursuivre cette phrase : « et je ne vais pas vous parler », « pourquoi devrais-je vous répondre », « ce ne sont pas vos affaires ». Seulement des phrases bêtement neutres. Tant que vous n’avez pas donné de casus belli formel, vous êtes dans une meilleure position.

On arrête de sourire et on montre de toute notre apparence que la conversation est terminée.

Maintenir la position
Le cycle peut être répété dans différentes variantes. Vous vous accrochez simplement à votre position, dont le sens est que QUI A COMMENCÉ LA CONVERSATION DOIT JUSTIFIER LA RAISON.

En fait, il y a UNE raison, et vous devez vous en souvenir : VOUS PROVOQUER ET OBTENIR LE DROIT MORAL d'attaquer, d'insulter, d'humilier, de frapper, d'enlever. Mais, naturellement, le « bon gars » ne l’exprimera jamais, car il admet alors lui-même être une personne sans foi ni loi. Et cela n’est plus du bon sens : les bonnes personnes ne provoquent pas le chaos. Ceux. vous posez une question à laquelle il ne peut pas répondre, mais, selon ses propres règles, il y est obligé. Aux échecs, cela s'appelle une « fourchette » : nous attaquons deux pièces avec une seule pièce. Le seul choix dont dispose l’adversaire est de savoir quelle pièce perdre.

Le fait est qu'il est impossible d'admettre que le but du plaquage était de l'écraser, comme vous le comprenez. Gopnik doit se conformer aux lois de la diplomatie des voleurs et rester dans les limites de la loi. Garder le silence ou partir signifie essentiellement admettre tacitement que tout était exactement comme avant. Et cela signifie s’abaisser aux yeux de ses camarades et aux vôtres.

C’est votre nette victoire. Mais personne ne veut être vaincu, même si une telle tournure des événements est fort probable. Bien entendu, admettre sa défaite peut être compensé par des insultes ou des promesses de « vous revoir » - c'est la dernière tentative de vous provoquer. Nous restons simplement silencieux.

Ne te plie pas
Ne vous conformez en aucun cas à des demandes mineures - quelle que soit la norme, vous pouvez exiger d'abord d'en indiquer la raison ou qualifier cela d'attaque directe. Ce que vous devriez dire directement.

Donne-moi un verre.
-...

On se tait, on sourit. Nous attendons des accusations...

Tu es foutu, ou quoi ?

Et nous partons en contre-attaque.

Vous cherchez un costume de meunier ? (ou : - Tu veux me croiser ?)
- Je te le demande comme un gars normal.

Vous avez gagné un point, ça paie. Et devant tout le monde il t'appelle " mec normal". Encore un point.

Ahh. Je suis désolé, je ne comprends pas. Sur le.

Un match nul sur un terrain étranger est une victoire.
Si vous ne voulez pas être vaincu, alors le gopu n'a plus qu'une chose à faire :

1. soit commencer à vous battre, ce qui le place dans la catégorie des délinquants du point de vue de la loi ou dans la catégorie des sans-loi du point de vue des concepts. Il n’en a pas besoin, car le gop veut juste s’élever au détriment de votre humiliation.

2. ou « admettre » que l'objectif était différent : apprendre à se connaître, communiquer, passer du temps ensemble. Autrement dit, pour éviter la défaite. C'est ce qu'il fallait. Un nul sur un terrain étranger nous convient plutôt bien.

"Fourchette" - il choisit déjà seulement entre quelle option de défaite accepter. Il n’est probablement pas un imbécile.

Vous ne me connaissez pas ? Eh bien, faisons connaissance.

Vous pouvez secouer les pattes.

Ne vous laissez pas emporter par la victoire
Si vous ressentez une fracture, vous pourriez alors lui donner l'opportunité de se réhabiliter à vos yeux et aux yeux des garçons. C’est ce qu’il faut faire, sinon le sentiment de défaite entraînera très probablement une nouvelle vague d’agression, que le marché ne pourra pas arrêter.

Après la connaissance, cependant, des cycles des mêmes réponses et questions peuvent à nouveau suivre, et la connaissance elle-même n'était qu'un piège - il suffit d'être vigilant et en aucun cas de se détendre. Quel que soit le nombre de cycles de ce type, votre tâche est une : ne pas fournir de raison. Je le répète, cela signifie :

Ne cherchez pas d'excuses.
Ne répondez pas aux questions.
Ne répondez pas aux demandes
N'utilisez pas un ton « aigu » – restez poli et calme.
Continuez à exiger une réponse à votre question.
Posez des questions « inconfortables ».

Sourions
Remarquez : nous sourions. C'est important. Cela confond et rend l'attaquant nerveux. Cela le rend méfiant et agit avec prudence : « Pourquoi s’écrase-t-il le visage ? Peut-être qu’il sait quoi et qu’il agit comme un imbécile… »

Même...
Si vous rencontrez de véritables salauds, vous n’aurez pas à parler longtemps. Mais en réalité, de tels cas sont extrêmement rares : il s’agit d’une pathologie mentale. Presque tout le monde a un tabou contre les agressions injustifiées. Ceux. Vous avez toujours besoin d’une raison, aussi drôle ou farfelue soit-elle. Les concepts parlent de la même chose.

Même si vous souffrez, alors, tout d'abord, maintenez votre dignité, votre respect face à vos amis et à vous-même. Et même des ennemis, ce qui signifie beaucoup pour l'avenir. Et, deuxièmement, la loi et les concepts sont de votre côté, et vous pouvez très bien exiger satisfaction en gagnant en force, par exemple sous la forme du soutien d'amis. Vous n'êtes plus un perdant, mais un guerrier qui vient de perdre une bataille, mais pas toute la guerre.

les erreurs
Il y a ici deux erreurs stratégiques possibles :
- la peur prendra le dessus et vous abandonnerez, commencerez à marmonner quelque chose d'inarticulé et donnerez volontiers tout ce qui vous est « demandé ».
- vous vous sentirez comme sur un cheval et déciderez de bâtir sur votre succès en dépassant la dose de frappe autorisée - très probablement, dans ce cas, vous serez battu.

Vérification réussie
Si vous ne faites pas d'erreurs et que votre « adversaire » ne quitte pas lui-même le champ de bataille, vous pourriez alors trouver de nouveaux amis, ou même de meilleurs Kent.

Et si un tournant s'est déjà produit, alors peut-être ne devriez-vous pas abandonner le développement ultérieur des événements - il est probable qu'on vous proposera de boire de la bière ensemble et de vous amuser.

Ce n’est pas pour rien que cette personne vous a approché. Rien n'arrive par hasard dans le monde.

Cela arrive souvent - si vous réussissez le test « tout-petit », vous devenez non seulement un égal, mais aussi un égal respecté. Dans les foules de gopniks, il y a généralement un ou deux « vrais » garçons, les autres sont collants. Le leader le sait toujours et, en général, ils ne l'intéressent pas - ce sont ses propres copies pathétiques.

Par conséquent, honnêtement et sincèrement, ils peuvent vous vouloir comme ami.

Le choix t'appartient. Si non, alors non. Ils se tapotèrent l'épaule et s'embrassèrent même comme des frères. Le marché est fini, c'est fini.

La dernière et la plus importante règle
Même si tu as peur, souviens-toi de ça règles simples, et ne reculez pas devant eux. Parce que la dernière et la plus importante règle est de ne pas faire demi-tour. Soit ne commencez pas du tout, soit, une fois que vous avez commencé, n’abandonnez pas.

Souvenez-vous des contes de fées russes - ne vous retournez pas. Celui qui fait demi-tour perd.

Bien sûr, ce n’est qu’un aperçu ; votre créativité sera toujours nécessaire. La peur fera ses propres ajustements, mais il est néanmoins possible de se souvenir.

Vitaly Lozovsky.
Une vue depuis la prison.
www.tyurem.net

Dans les années 1990, il semblait que « Gopniks" va bientôt s’emparer, sinon du monde entier, du moins d’un sixième du territoire. Les "Gopniks" régnaient en maître dans les 11 fuseaux horaires de la Russie - ou. Hommes russes, qui ont adopté le style des gopniks, ont fait irruption dans toutes les sphères de la vie, depuis les « affaires », où ils jouaient le rôle de six, jusqu'à la politique, où ils formaient le noyau de la résistance à l'influence occidentale...

Gopnik(gop. ras. un gars normal ; goper, gopar, gop, gopota, punks, gopson ; à Petrograd post-révolutionnaire - un résident du Dortoir municipal du prolétariat (l'actuel hôtel Oktyabrskaya), selon les contemporains, tout le monde portait des chaussettes rouges et était identifié par eux, et cela venait de là) - un multicellulaire inférieur, un salaud du monde criminel, mais en fait - un punk, un petit criminel de rue et une larve de redneck, un exemple d'un des types d'animaux de rue (chats, chiens, gopniks, etc.), dont le passe-temps principal est de faire des pompes avec les passants et les téléphones portables, enfin et bien sûr, merde avec les emo et les autres. En Occident, les gopniks se qualifient de hooligans.

L'apparition des Gopniks n'est pas difficile pour nos lecteurs : ce sont des gars russes du type « ne mets pas ton doigt dans ta bouche » avec une peau boutonneuse et des visages ternes, qui ne reflètent qu'une seule pensée : « Je te le donne ! »

"Ces gars-là sont plus à l'aise accroupis que debout. Mais, plus important encore, ce sont les derniers hommes sur la planète Terre qui peuvent porter avec style des casquettes de gangster en cuir des années 1920 - tous les autres portant de telles casquettes ressemblent à de simples pédés d'une école d'art dramatique répétant une comédie musicale. », écrit le journal.

Les Gopniks sont cool parce qu'il n'y a pas de place pour l'auto-ironie dans leur monde. Ils sont très "authentiques". La preuve en est leurs goûts fantastiquement aventureux : un mélange de mauvais goût, de menace et de chic criard du tiers-monde.

Même le fait que les Gopniks aiment faire exploser la techno à fond, chanter des chansons de karaoké merdiques dans des cafés bon marché avec de la musique colorée ou porter des bottes en cuir pointues bon marché assorties à leurs casquettes de casemate de style ragtime des années 1920 ne peut pas leur enlever le statut de racaille la plus dangereuse. dans le monde.

Histoire du mot, culture Gopnik

A propos du mot : il existe peu de termes qui correspondent à cent pour cent à l'objet désigné. "Gop" semble colérique, stupide et drôle, mais pas si drôle qu'on ose rire face à un gopnik. Le mot « Gopnik » est basé sur l'abréviation : « Foyer d'État du prolétariat ». Ajouter à "G.O.P." suffixe "nick" - et nouveau espèce biologique prêt.

Les Gopniks sont apparus après la révolution. Les premiers gopniks sont arrivés à Petrograd dans les années 1920 à la recherche de travail. D'origine, ils étaient des paysans ou des ordures complètement sans terre.

L'espèce "Gopnik commun" avait même son propre habitat spécifique - Ligovsky Prospekt, bâtiment 10. En fait, il s'agit d'un hôtel, maintenant appelé "Oktyabrskaya", et les gopniks, à leur manière, l'ont transformé en un club de gangsters collectivistes, écrit la publication.

Comme ils étaient des étrangers dans leur village, souvent des enfants de familles monoparentales, et que beaucoup avaient déjà à leur actif des délits mineurs, voire pire, Indigènes Petrograd, puis Leningrad étaient dégoûtés des Gopniks.

Ils sont entrés dans les légendes comme des voyous et des chanceux que même le système soviétique ne pouvait pas briser. Ils avaient leur propre code d’honneur, ils vivaient selon leurs propres règles, ils avaient leurs propres tatouages sur les doigts, leur propre mode. Ils représentaient quelque chose comme une caste de « voleurs de droit » dans le monde des « hooligans » délinquants.

Plus tard, le sens du mot a changé et l'expression « gopnik » désignait tout type douteux avec la tête rasée, portant une épaisse veste en cuir, de stupides bottes en cuir et une casquette de casemate.

Années 1990 - la montée des Gopniks

Dans les années 1990, il semblait que les Gopniks allaient bientôt s’emparer, sinon du monde entier, du moins d’un sixième du territoire. « Les Gopniks régnaient en maître dans les 11 fuseaux horaires de la Russie. « Les Gopniks - ou les hommes russes qui ont adopté le style Gopnik - ont fait irruption dans toutes les sphères de la vie, depuis les « affaires », où ils jouaient le rôle de six, jusqu'à la politique, où, en tant que députés du Parti libéral-démocrate, ils constituaient le noyau de la résistance à l'influence occidentale. »

Certains gopniks ont troqué leurs vestes en cuir et leurs sweat-shirts contre des blazers marron Hugo Boss, mais n'ont pu s'empêcher de compléter cette splendeur avec des mules brillantes : chaînes en or sur les mains et le cou, montres fantaisie, etc. La culture Gopnik dans les années 90 était accompagnée de musique techno. Cependant, les années 1990 se sont avérées moins être le début de la nation Gopnik que le début de sa fin.

Les Gopniks ont-ils survécu jusqu'à ce jour ?

Pour découvrir la culture gopniks modernes, les correspondants du journal se sont rendus à Lioubertsy, une ville connue dans les années 1990 comme la capitale des Gopniks. La criminalité y était aussi courante que les survêtements et les graines de tournesol.

Imaginez la surprise des journalistes lorsqu'ils n'y ont trouvé aucun gopnik. Ensuite, les représentants du journal ont décidé de se rendre dans l’un des quartiers les plus sinistres de Moscou, Brateevo, mais ils n’y ont pas non plus trouvé de gopniks.

Qu'est-il arrivé aux Gopnik ? La plupart des sources s'accordent sur le fait que deux facteurs ont contribué à leur extinction. Premièrement : dans les années 1980 et 1990, les drogues dures et les armes sont soudainement devenues largement disponibles.

Leur introduction dans une culture aussi intrépide et primitive que la culture Gopnik signifiait qu'en une décennie, près de la moitié des individus partaient vers un autre monde.

"La deuxième raison a davantage à voir avec les changements environnementaux. L'avènement des valeurs et des préférences culturelles bourgeoises occidentales, ainsi que le début d'une période de stabilité extérieure, de croissance et de sobriété sous Poutine, signifient que les 70 ans d'existence de Gopnik Le règne du roi du monde rebelle a soudainement pris fin : les Russes de tous couches sociales j'en suis vite venu à détester l'esthétique idiote des Gopniks"

Rien ne parle plus éloquemment de la disparition tragique de Gopnik de la surface de la terre que le fait que Shnur du groupe de Leningrad, grand fan de la culture Gopnik, va ouvrir un « Musée Gopnik » dans son Saint-Pétersbourg natal.

Le groupe de Shnur romantise les Gopniks auprès d'un public de classe moyenne qui a finalement fini par les apprécier, quoique dans un esprit semi-ironique qui n'aurait pas été possible si les Gopniks n'avaient pas disparu. Même le berceau originel des Gopniks - la maison 10 sur la perspective Ligovsky - n'est aujourd'hui rien de plus qu'un hôtel trois étoiles.

Anatomie d'un Gopnik

Une casquette de casemate est un élément clé de la tenue d'un Gopnik. Ceux en cuir sont destinés aux meurtres graves, les rayures sont destinées à toutes sortes de bagatelles comme le viol à la campagne.

Oreilles – dépassent généralement plus que la normale homo sapiens, grâce aux combats, ainsi qu'à l'inévitable coupe de cheveux à zéro.

Shashlik - Les Gopniks (comme tous les Russes) pensent que la viande a meilleur goût lorsqu'elle est rôtie sur un bâton au-dessus du feu.

Les pantalons de survêtement restent toujours les plus ergodynamiques pour s'accroupir.

Chaussures - Les Gopniks préfèrent a) des bottes pointues en cuir ou b) des pantoufles, mais à mesure qu'ils s'assimilent culturellement, ils portent parfois des baskets.

Verre - tout le monde sait que la vodka est meilleure lorsqu'elle est servie chaude dans des gobelets en plastique. Il est très important que plusieurs moucherons flottent à sa surface.

Veste - s'il avait un autocollant pour pare-chocs, il dirait "Je ne pense pas que j'ai une veste en cuir".

Front - convexe lobes frontaux hérité d'ancêtres lointains - les gens.

Comment éviter d'être victime de gopniks - instructions

"Une fois, il y a eu un incident vers 19 heures... Mon ami et moi avons pris une bouteille de tonic et étions debout en train de boire poliment près du magasin, puis tout à coup, un des habitants est arrivé et a tendu la main pour nous dire bonjour (comme tout le monde sinon c'est généralement le cas).

Il y avait les questions habituelles : qui sont-ils, d'où viennent-ils, à quelle occasion buvez-vous, puis huit autres personnes différentes sont arrivées. les groupes d'âge, tout le monde a commencé à poser des questions, qui était bon dans quoi, certains sur l'argent, certains sur les téléphones portables, certains sur les concepts (certains sur la vie)..."

Quelque chose de similaire est arrivé à presque tout le monde au moins une fois. Ils prennent une personne en tenaille et commencent à la tromper - d'abord pour une conversation, puis pour une cigarette, puis pour un "appel" et finalement pour de l'argent. Pour beaucoup, cela suscite peur et confusion. Que faire dans de telles situations ? Comment se comporter lors d'une rencontre avec des « gopniks » ?

Leur arme est notre peur

Notre crainte est de ne pas connaître les règles selon lesquelles « ce » monde fonctionne. Mais nous les respectons certainement. Parce que ce sont les règles des concepts forts. Nous les acceptons évidemment, mais nous ne connaissons pas leurs principes et leurs normes. C'est ici que le chien est enterré. Nous acceptons les règles du jeu sans les connaître.

Naturellement, un monstre plus ou moins « giflé », même avec de maigres revenus, connaissant quelques « trucs », vous battra en un rien de temps. Parce que tu as accepté de respecter ses règles. Et une personne qui a volontairement accepté de jouer selon des règles qu'elle ne connaît pas est qualifiée de connard.

Qui sont les Gopniks

Le mot vient probablement du fameux « gop-stop » – qui en Fen signifie vol ou vol.
Les Gopniks ne sont pas vraiment des criminels. Ils marchent sur une ligne fine - ils « heurtent » d'abord la victime avec un « bazar » et enquêtent. De plus, cela se fait sans menace directe de violence - de l'extérieur, il semblera que le gopnik n'est que politesse, et vous, au contraire, êtes un type nerveux, déséquilibré, voire complètement agressif.

À la suite d'un tel coup, la victime abandonne généralement elle-même ses biens - généralement de l'argent, des téléphones portables, des montres.
Tout est souvent à la limite d'une "blague", d'une conversation "en termes de concepts", alors lors d'une confrontation, on peut toujours dire - il me l'a donné lui-même. Ceci est souvent confirmé par la victime elle-même.

Si vous êtes dans le « flic », alors l'officier commence à devenir nerveux, voire à devenir fou furieux, et, à la fin, essaie de se débarrasser de vous. Il n’y a aucun fondement juridique. S'il y a une confrontation entre les gars, alors vous obtenez le statut de connard. Et l'obtenir d'un meunier est une chose sacrée pour un gopnik. C'est un enfant, tu es un con. Conceptuellement, il a raison. La conversation est terminée.

Comment répondre à des questions telles que : « Hé, viens ici ! »

Ceci est un test pour la combinaison Sucker. La ventouse regardera certainement en arrière et se dépêchera de s'approcher.

Disons que vous avez fait une erreur, c'est-à-dire s'est arrêté et s'est retourné, en un mot, a exprimé un certain intérêt. Mais ils ne sont pas venus.
- Hé, viens ici, dis-je !
Les réponses telles que « viens ici toi-même » ne conviennent pas, sauf si tu es un champion de boxe.
Vous êtes debout.
Ils viennent vers vous. Effrayant.
- Tu n'entends pas ? (gelé, enflé...)
Ne faites pas attention, figez, genre, plus loin :

Nous ne sommes pas des idiots

Disons que votre « conversation » n’a pas commencé par une provocation directe comme celle décrite ci-dessus. Dans ce cas, le gopnik vous tend généralement la main lorsqu'il vous rencontre et vous salue comme un garçon. Cela vous oblige à être moyennement poli et à répondre aux premières questions. C’est ce qu’il essaie de réaliser.

C'est l'une des principales astuces d'un gopnik - après un tel geste de « bonne volonté », il a le droit de s'indigner « à juste titre » que vous, par exemple, ne vouliez pas communiquer avec lui. De plus, il se crée immédiatement un alibi : « Je me suis approché de lui comme un garçon, ils l'ont secoué avec ses griffes. C'était comme ça ! » - «Eh bien, oui…» - «Et les gens là-bas l'ont vu. Et puis il a commencé à se montrer pour moi… » Dix points en faveur du gop.

Qui es-tu?

La question la plus fréquemment posée aux candidats aux drageons. Vous n’avez pas besoin d’y répondre, sinon vous deviendrez accro.
Important! Si vous n'êtes pas le bon gars, c'est-à-dire un connard, alors vous serrerez certainement la main du gop sans même savoir qui est devant vous. En prison, par exemple, on ne se serre pas la main, mais les règles de la prison sont sacrées pour un Gopnik.

N'oubliez pas qu'au cours de la conversation, des questions vous seront posées de telle manière qu'il est impossible d'y répondre. "Pourquoi marches-tu ici ?", "Pourquoi souris-tu ?"

Votre tâche principale en tant que véritable idiot n'est PAS de rester dans SES règles, PAS de rompre avec le gopnik en utilisant ses propres méthodes. Mieux vaut essayer de faire appel à la moralité universelle et citer la Constitution, et vous serez alors assuré de rentrer chez vous le nez cassé et les poches vides.

Si cette option ne vous convient pas et que vous souhaitez savoir comment sortir victorieux du jeu, lisez la suite.

Arriver sur le marché

S’ils ne sont évidemment pas venus pour vous battre, alors ce qui suit est la deuxième partie : « un succès sur le marché ». Dans tous les cas, si vous n'êtes pas encore allongé sur l'asphalte et que les gens vous parlent, alors tout est en ordre.
- Qui es-tu?
-Qui es-tu? D'où venez-vous?
- Donne-moi ton numéro de téléphone (tu as de l'argent ? A quelle occasion on boit ?)
- Je ne vous connais pas.
Allez (debout) plus loin.
Si cela ne fonctionne pas (très probablement pas) et que les questions persistent, vous devez passer à l'offensive :

La meilleure défense c'est l'attaque

La réponse universelle est que cela fonctionne toujours :
- Dans quel but êtes-vous intéressé ?

Ne faites en aucun cas la moindre concession - ne répondez à rien. PAS UNE QUESTION, même complètement innocente.

Dès que vous répondez à quelque chose, même le plus neutre, et que vous souhaitez interrompre la conversation plus tard, l'agresseur a le « droit moral » de vous accuser de lui manquer de respect. Vous avez « soutenu » la conversation, puis refusez de la poursuivre. Laid.

Bien entendu, vous n’obtiendrez pas de réponse directe à votre question. De nombreuses options de développement ultérieur :
- Quoi, c'est une perte de temps d'aller faire du shopping avec les garçons ? (Es-tu impoli ? Tu ne me respectes pas ? Je ne comprends pas...)

N'allez pas "au marché"

Vous ne pouvez pas sortir du sujet. Ne répondez en aucun cas à des questions du type « Je te respecte, mais… », « Je ne suis pas impoli, mais… ». Votre « mais » sera immédiatement considéré comme une faiblesse ; seuls les idiots réagissent de cette façon. Cela sera suivi de la phrase « Pourquoi trouvez-vous des excuses ? » Tu ressens quoi ?

C'est à 100% une astuce - peu importe ce que vous répondez ou restez simplement silencieux, tout sera transformé en une tentative de trouver des excuses ou d'être impoli.

"Je ne cherche pas d'excuses", regardez-vous de l'extérieur, vous comprenez que cela semble stupide.
- Justifiez-le.
- Pourquoi devrais-je justifier ?
- Parce que tu cherches des excuses.
- Oui, je ne cherche pas d'excuses !
- Que fais-tu en ce moment?
- Je... eh bien... va te faire foutre ! Je ne veux pas te parler.
- Oh, tu es aussi un grossier...

Brisons la situation

Quoi, c'est une perte de temps de faire des folies avec des garçons normaux ? est une réponse probable à votre contre-attaque. N'oubliez pas : pas de « non », de « non » et surtout de « mais ».
-Tu n'as pas répondu à ma question.
- Et tu es sur le mien.
— Allez-vous sombrer dans le chaos ?
-Tu m'accuses de quelque chose ?
- Répondez à ma question. Ai-je le droit de demander ?

Veuillez noter qu'il suffit de « renseigner ». "Demander" a un double sens sur un sèche-cheveux - ils demandent à quelqu'un quelque chose qui sera immédiatement considéré comme une agression - "J'ai le droit de demander". - "Quoi? Demande moi? Pour quoi? Justifier." Ça y est, c'est encore une impasse, vous êtes dans un sac.

— Je m'intéresse à moi.
«Je m'intéresse à moi-même» est une réponse courante à la question «dans quel but êtes-vous intéressé?» Tout va bien. Dès que vous avez entendu quelque chose comme ça, l'ennemi a hésité - vous avez forcé le « bon gars » à se justifier. Maintenant, l’essentiel est de ne pas aller trop loin.

- Je ne vous connais pas.
En aucun cas vous ne devez poursuivre cette phrase : « et je ne vais pas vous parler », « pourquoi devrais-je vous répondre », « ce ne sont pas vos affaires ». Seulement des phrases bêtement neutres. Tant que vous n’avez pas donné de casus belli formel, vous êtes dans une meilleure position.

Maintenir la position

Le cycle peut être répété dans différentes variantes. Vous vous accrochez simplement à votre position, dont le sens est que celui qui a lancé la conversation doit en justifier la raison.

En fait, il y a UNE raison, et vous devez vous en souvenir : vous provoquer et obtenir le droit moral d'attaquer, d'insulter, d'humilier, de frapper, de voler. Mais, naturellement, le « bon gars » ne l’exprimera jamais, car il admet alors lui-même être une personne sans foi ni loi.

Et cela n’est plus du bon sens : les bonnes personnes ne provoquent pas le chaos. Ceux. vous posez une question à laquelle il ne peut pas répondre, mais, selon ses propres règles, il y est obligé. Aux échecs, cela s'appelle une « fourchette » : nous attaquons deux pièces avec une seule pièce. Le seul choix dont dispose l’adversaire est de savoir quelle pièce perdre.

Ne nous plions pas

Ne vous conformez en aucun cas à des demandes mineures - quelle que soit la norme, vous pouvez exiger d'abord d'en indiquer la raison ou qualifier cela d'attaque directe. Ce que vous devriez dire directement.

-Donnez-moi un verre.
On se tait, on sourit. Nous attendons des accusations...

- Tu es foutu, ou quoi ?
et lancez une contre-attaque.
- Tu veux me croiser ?
"Je te le demande comme un gars normal."
Vous avez gagné un point, ça paie. Et devant tout le monde, il vous traite de « gamin normal ». Encore un point.
- Ahh. Je suis désolé, je ne comprends pas. Sur le.

Un match nul sur un terrain étranger est une victoire

Si vous ne voulez pas être vaincu, alors le gopu n’a plus qu’une chose :

"Fourchette" - il choisit déjà seulement entre quelle option de défaite accepter. Il n’est probablement pas un imbécile.
- Vous ne me connaissez pas ? Eh bien, faisons connaissance.
Vous pouvez secouer les pattes.

Ne vous laissez pas emporter par la victoire

Si vous ressentez une fracture, vous pourriez alors lui donner l'opportunité de se réhabiliter à vos yeux et aux yeux des garçons. C’est ce qu’il faut faire, sinon le sentiment de défaite entraînera très probablement une nouvelle vague d’agression, que le marché ne pourra pas arrêter.

Comment devenir une victime

Le désir normal de chacun personne normale est d'éviter les collisions dans la rue. Bien que dans certains cas, cela soit inévitable, le plus souvent les gens sont victimes de conneries en raison de leur ignorance des règles de base de « ce » monde.

Alors, que devez-vous faire pour vous assurer que vous êtes définitivement battu : ou, dans le pire des cas, que vous êtes simplement escroqué de l'argent. Listons les principales erreurs :

Faire des excuses.
Répondez aux questions.
Passez aux tons « aigus ».
N'exigez pas de réponse à votre question.
Marmonnez quelque chose d'inarticulé.
Dépasser la dose de collision admissible.
Répondre aux demandes : « laisse-moi allumer une cigarette (appeler, regarder le numéro de téléphone) »

Vérification réussie

Si vous ne commettez pas d'erreur et que votre « adversaire » ne quitte pas lui-même le champ de bataille, vous pourriez alors trouver de nouveaux amis, ou même de meilleurs Kent.

Et si un tournant s'est déjà produit, alors peut-être ne devriez-vous pas abandonner les développements ultérieurs - il est fort probable qu'on vous proposera de boire de la bière ensemble et de vous amuser.

Cela arrive souvent - si vous réussissez le test de « toddishness », vous devenez non seulement un égal, mais aussi un égal respecté. Dans les foules de gopniks, il y a généralement un ou deux « vrais » garçons, les autres sont collants. Le leader le sait toujours et, en général, ils ne l'intéressent pas - ce sont ses propres copies pathétiques.

Par conséquent, honnêtement et sincèrement, ils peuvent vous vouloir comme ami. Le choix t'appartient. Si non, alors non. Ils se tapotèrent l'épaule et s'embrassèrent même comme des frères. Le marché est fini, c'est fini.

La dernière et la plus importante règle

La dernière et la plus importante règle est de ne pas faire demi-tour. Soit ne commencez pas du tout, soit, une fois que vous avez commencé, n’abandonnez pas.

Souvenez-vous des contes de fées russes – ne vous retournez pas. Celui qui se retourne perd.

Bien sûr, ce n’est qu’un aperçu ; votre créativité sera toujours nécessaire. La peur fera ses propres ajustements, mais il est néanmoins possible de s'en souvenir.

Probablement, toute personne vivant dans l’espace post-soviétique a entendu au moins une fois le mot « Gopnik ». La sous-culture est apparue au XXe siècle et est devenue extrêmement répandue après l'effondrement Union soviétique.

Le plus souvent, les jeunes sont appelés gopniks, mais les caractéristiques notables de cela groupe social peut être observé dans plus catégories d'âge. En raison du manque d’identification claire et du déni des Gopniks eux-mêmes d’appartenir à une sous-culture particulière, il est assez difficile de nommer le nombre de « Gopniks » dans les pays de la CEI. Quelques hommes politiques russes Il a été suggéré qu'un quart de la jeunesse russe serait gops.

Origine

Même au début du XXe siècle, la sous-culture n'était pas encore clairement formée et n'était utilisée qu'à Saint-Pétersbourg. Dans les années 20, à la périphérie de la ville (qui s'appelait déjà Leningrad), il y avait une zone pour les enfants des rues et les adolescents hooligans. Le « foyer urbain du prolétariat » parmi les habitants de la ville était appelé par l'abréviation GOP. C'est de là que vient le nom, qui s'est progressivement répandu dans toute l'Union soviétique.

Diffusion

Déjà à la fin des années 80 chez les jeunes grandes villes Les Gopniks ont commencé à se démarquer clairement. Cette sous-culture était la plus répandue parmi les mouvements de jeunesse. Cependant, la difficulté de l'étudier en détail réside dans le fait que les gopniks eux-mêmes ne s'associent pas à l'appartenance à un groupe social particulier. De plus, une telle généralisation provoque chez eux une agression. L'apparition des gops est associée à l'effondrement de l'Union soviétique. Parallèlement à la grave crise économique, un changement radical du système de valeurs s'est produit. Dans les années 90, la situation s'est fortement détériorée. De nombreuses personnes ont préféré gagner de l'argent illégalement. Et le plus souvent, ils étaient liés au monde criminel, vivant selon les concepts dits de Zonov.

Le désir de s'affirmer a poussé les couches les moins instruites et les plus pauvres de la population à s'efforcer de ressembler aux « autorités », c'est ainsi qu'apparaissent les Gopniks ; La sous-culture a immédiatement acquis certaines caractéristiques. Le plus souvent, tous les mouvements de jeunesse présentent certains signes extérieurs qui les distinguent des autres membres de la société. Il s'agit avant tout du style vestimentaire, de la coiffure, de l'argot, des manières.

Qui sont les Gopniks : apparence

Les Gopniks ont un certain style vestimentaire. En raison de la nature massive et du manque d'auto-identification en tant que membre d'un certain groupe social, il n'existe pas de magasins ou de marques spéciaux pour les gopniks (comme dans le cas des punks, des rappeurs et d'autres cultures). Les vêtements sont un contraste entre la propreté et « l'intelligence » - les canons vestimentaires acceptés dans la société. Toute personne vêtue de ce que les Gopniks considèrent comme des vêtements excessivement élégants provoque chez elle une agression. Les gopas eux-mêmes portent principalement des vêtements de sport. Il s'agit d'un pantalon et d'un sweat-shirt (parfois avec une capuche). Comme chaussures - baskets ou (souvent sous un survêtement). En raison de leur situation financière précaire, ils ne peuvent pas se permettre des vêtements coûteux de marques célèbres. Par conséquent, ils portent le plus souvent des articles contrefaits de marques telles que Adidas, Nike, Reebok et autres.

Un symbole de « netteté » est également la veste en cuir noire classique portée sur un survêtement. Ce style sont issus des milieux criminels auxquels les gops s'associent. Gopnik nie et méprise toute coiffure à la mode. Par conséquent, comme coupe de cheveux, ils choisissent eux-mêmes des coiffures simples. Le plus souvent il s'agit de « boxe » ou simplement Les filles, au contraire, s'habillent de manière trop contrastée et provocante afin de mettre en valeur leur genre.

Comportement

Qui sont les Gopniks est devenu connu grâce à leurs traits de comportement. Le plus souvent, ils se trouvent dans la rue au sein de leur quartier. DANS grandes villes Il y avait souvent des bagarres entre représentants de différentes régions pour des raisons farfelues. Les Gopas marchent en groupes de plusieurs personnes. Les endroits préférés sont les zones mal éclairées avec des bancs ou des tables. Pour se divertir, les gopniks boivent des boissons alcoolisées et fument des cigarettes. Une bouteille en plastique de bière bon marché, un paquet de graines de tournesol et une cigarette derrière l'oreille sont les attributs invariables d'un Gopnik typique.

Mode de vie

Les bagarres et les petits vols constituent un type particulier de passe-temps. Les Gopas attaquent en groupe les soi-disant drageons (membres non marginaux de la société) afin de s'approprier leurs biens - téléphones portables, argent de poche, bijoux précieux. Le plus souvent, les attaques ne se produisent pas dans un but lucratif, mais dans un souci d'affirmation de soi. Un état émotionnel instable chez les Gopniks conduit souvent à des conflits au sein de leur propre groupe. L'essentiel pour les gops est le respect imaginaire, qui, à leur avis, peut être atteint en démontrant leur supériorité physique sur les autres.

Le mode de vie des Gopniks se reflète dans Tout d'abord, c'est une musique dans laquelle le jargon Gopnik est présent. Les genres préférés sont la chanson, le rap « boyish », la pop primitive.