La culture de la Rome antique, dont nous avons hérité, est intéressante non seulement pour ses majestueuses ruines de pierre, portant l'empreinte de l'ancienne puissance de l'Empire, mais aussi pour ses traditions vivantes, en partie modifiées et, à bien des égards, remarquablement reconnaissables. Il est parfois utile de revenir sur les siècles pour évaluer : les représentants de l’humanité qui ont vécu à l’aube d’une ère nouvelle étaient-ils si différents de nous ?
Il y a deux mille ans, comme aujourd’hui, la famille n’était pas seulement une unité, mais aussi la base de la société. Les cérémonies de mariage et toutes les fêtes associées à cet événement faisaient partie intégrante de la vie romaine. Il vaut par exemple la peine d’essayer de faire un parallèle entre les coutumes matrimoniales de nos ancêtres et les célébrations modernes en l’honneur du dieu Hymen afin de découvrir de fortes racines anciennes dans nos propres rituels de mariage. Rendons donc gloire au dieu Hymen !
Contrairement aux jeunes mariés des XXe et XXIe siècles, les jeunes Romains n'avaient pratiquement pas la possibilité de choisir un partenaire de vie à leur propre discrétion ; leurs parents bénéficiaient de ce privilège. Les mariages de convenance, notamment période au début Les empires représentaient une majorité de près de cent pour cent. La seule différence était le but poursuivi par les chefs de famille : politique, économique ou social.
Un Romain, qu'il soit patricien ou plébéien, ne pouvait avoir qu'une seule épouse, mais le divorce et le remariage n'étaient pas interdits par la loi. Considérant que l’espérance de vie dans la société ancienne était deux fois moins longue que la nôtre, les jeunes ne restaient pas longtemps dans la maison de leur père. Ainsi, officiellement, une fille pouvait être mariée à l'âge de 12 ans, mais, en règle générale, les parents gardaient la future mariée à leurs côtés jusqu'à l'âge de 14 ans. À ce moment-là, ils essayaient de se prononcer enfin sur la candidature du futur mari et propriétaire.
Ainsi, la mariée est mûre, le marié est déterminé, les parents sont d'accord - il est maintenant temps de conclure un contrat de mariage. Les gens les plus simples le faisaient avec des mots, mais les pères de famille les plus pratiques préféraient fixer les termes de l'union sur papier et, de préférence, en présence d'un avocat, afin de ne pas se plaindre en vain de l'obstination des mariés. qui a décidé d'aller contre la volonté des parents.
Il existait plusieurs types de contrats de mariage, mais leur essence se résumait principalement à savoir si le mariage était « complet » ou « non complet ». La première version de l'union n'était possible qu'entre citoyens de l'État romain, et la seconde était le sort des plébéiens les plus pauvres et des esclaves impuissants. Dans le cas des représentants des « classes inférieures » de la société, le jeune homme achetait sa femme comme propriété, même si la rançon n'était qu'un âne (1). La cérémonie de mariage parmi la plèbe a été simplifiée au minimum, même si les principaux rituels ont été préservés.
Dans un mariage « complet », deux formes étaient autorisées : « cum manu », lorsque la femme passait au pouvoir de son mari et recevait le droit d'être appelée « matrone » (2) et « sine manu », alors elle restait toujours sous l'autorité de son père et s'appelait seulement « uxor » "(3). Une femme romaine qui a décidé de devenir la « mère de famille » est devenue la propriété de son mari ou de son beau-père, si le père du fiancé était encore en vie, mais avait en même temps le droit d'hériter de son mari et de partager toute propriété avec les enfants. Au fil du temps, les femmes issues de familles nobles ont commencé à préférer la deuxième option, conservant leur propre indépendance et perdant en même temps tous leurs droits sur l'héritage de leur mari. "Les Douze Tables" - la première loi écrite de Rome stipulait qu'"une femme tombe automatiquement sous l'autorité de son mari si elle vit constamment dans sa maison pendant au moins un an". Mais était-il vraiment si difficile de contourner cette réglementation ? Il suffisait de passer quelques nuits chez ses parents ou chez une amie, et la femme restait pratiquement libre.
Supposons que la conclusion du contrat ait eu lieu d'une manière ou d'une autre, et nous continuerons à surveiller la série de cérémonies de mariage. Les jeunes mariés étaient sur le point de se fiancer. Le dieu du mariage Hymen est devenu le principal ici acteur. Il fallait l'apaiser de toutes les manières possibles, afin que plus tard, lors du mariage, d'autres esprits nécessaires à l'entreprise familiale se réunissent. Le jour des fiançailles, et plus encore du mariage, a été choisi avec un soin particulier. Il y avait des moments où la mariée, accompagnée de sa mère, se rendait chez l'oracle pour déterminer une date qui plaisait aux dieux. Puis la coutume devint indécente, mais en préparation de cet événement joyeux, ils continuèrent à se tourner vers le calendrier religieux, pour ne pas tenter les célestes. Le plus souvent, les mariages avaient lieu en mai ou dans la seconde quinzaine de juin, période considérée comme particulièrement heureuse et favorable.
La veille des fiançailles, la mariée sacrifiait aux dieux les jouets de ses enfants, c'est-à-dire les brûlait sur l'autel de la maison. En ces temps lointains, la présence d'un ecclésiastique à la cérémonie des fiançailles n'était pas requise, même si elle n'était pas interdite. Les Romains, comme les jeunes mariés modernes, scellèrent futur syndicat anneaux. Le marié a offert à sa fiancée un simple anneau de fer sans pierres en gage du contrat de mariage. La mariée a accepté le cadeau et, en signe de gratitude, l'a mis à l'avant-dernier doigt de sa main gauche, car on croyait qu'il existait un nerf spécial reliant la main au cœur. Ensuite, les jeunes se sont prêtés un simple serment « Ubi Gaius, ego Gaia » (latin : « Où tu es Gai, je suis Gaia ») et ont scellé leur union... mais pas par un baiser, mais par une poignée de main.
Le jour du mariage, la maison du père de la mariée était décorée de guirlandes de fleurs et couverte table de fête. La jeune femme était vêtue d'une tunique blanche. Lorsque le marié, orné d'une couronne, est arrivé à la maison des jeunes mariés, l'une des femmes mariées (entremetteuse) a amené la jeune fille à sa rencontre et a joint leurs mains. Après quoi, les jeunes mariés, en présence des invités, ont signé un contrat de mariage pré-rédigé, le scellant par des promesses verbales. Après cela, ce fut à nouveau le tour des dieux. Le prêtre a fait trois fois le tour de l'autel dans le sens des aiguilles d'une montre en disant une prière, les mariés le suivaient main dans la main. Les jeunes mariés étaient alors assis sur une chaise à double assise recouverte de la peau de l'animal sacrifié, et son foie était jeté au pied de l'autel. Les représailles étaient accomplies en l'honneur de divers dieux qui patronnaient le foyer, la fertilité et la santé, mais plus que d'autres, ils essayaient d'honorer la déesse Junon, la patronne du mariage - elle était apaisée avec du vin avec du miel et du lait. Une mariée qui se respecte amenée à l'autel sacrificiel pain de blé, ce qui signifiait sa volonté d'obéir à son mari sans aucun doute. Cependant, si la jeune femme choisissait de rester sous la surveillance de son père, elle n'était pas obligée de le faire. À la fin du rituel sacré, les invités de la fête félicitaient les époux en exprimant leurs souhaits et criaient de temps en temps « Félicité » - « Heureux ! Suite à cela, le festin de noces commença et dura jusqu'à la nuit.
A la fin du dîner de fête, tous les participants et invités se sont dirigés vers la maison du marié au son de la flûte. Six relayeurs ont marché devant tout le monde, suivis des jeunes mariés accompagnés de la mère de la jeune fille. Pendant le cortège, selon la tradition, les amis du jeune mari ont imité une tentative d'enlèvement de la mariée. Naturellement, ils n'y sont pas parvenus, puis ils ont commencé à fumiger la jeune mariée avec des torches d'aubépine afin de la protéger du mauvais œil et des dommages. Il y avait aussi ici des domestiques qui apportaient une dot symbolique à la maison des jeunes mariés : un rouet avec du fil, un fuseau et un panier en saule avec des objets artisanaux féminins. Les garçons des rues qui ont accompagné le cortège ont chanté des chansons obscènes, dont le sens se résumait essentiellement au fait que l'héroïne de la fête devrait bientôt connaître toutes les facettes. la vie de famille- c'était considéré comme une sorte d'éducation sexuelle pour la fille.
Avant d'entrer dans le nid familial, le marié a jeté une poignée de noix par terre, en signe qu'il ne serait pas mesquin et gourmand avec sa femme. La mariée a reçu de l'eau et une torche en pin allumée. Les jeunes mariées attachaient des bandeaux de laine aux portes - affirmant ainsi qu'elles seraient une bonne fileuse - et enduit l'encadrement de la porte de saindoux de porc et de loup" (4). Après ce rituel simple, la mariée était portée dans ses bras dans la maison. nouvelle maison, parce que C'était considéré comme un mauvais signe si les pieds d'une jeune épouse touchaient le seuil.
La nouvelle hôtesse a été invitée dans l'atrium (5), elle a reçu une clé et le marié a présenté plusieurs pièces d'or - signe qu'il faisait entièrement confiance à son nouvel ami de toujours. Puis ils ont allumé un feu ensemble dans le foyer - c'est ainsi que tout a commencé vivre ensemble deux Romains entrant dans la vie conjugale.
Le lendemain, la jeune hôtesse a organisé un petit festin au cours duquel elle a joué le rôle d'hôtesse pour la première fois.
1 Cul - Petite monnaie romaine en cuivre.
2 Matrona (lat. Matrona) - vénérable femme mariée, mère de famille.
3 Uxor (lat. Uxor) - conjoint, épouse.
4 Desobri. "Rome au temps d'Auguste".
5 Atrium - la cour d'un immeuble résidentiel romain.
Intérieur d'un édifice romain
Maison romaine. Reconstruction. Relander.
Intérieur d'une maison romaine. Reconstruction.
Fête romaine
Sol en mosaïque de la Villa d'Hadrien à Tivoli.
Atrium de la Maison des Vettii à Pompéi.
Déjeuner dans une maison romaine. La table était entourée de trois lits, et les Romains mangeaient leur nourriture couchés, appuyés sur leur main gauche.
Intérieur d'une villa romaine. Artiste anglais Lawrence Alma-Tadema
Hypocauste - système de chauffage dans les maisons de la Rome antique
Thermes de Caracalla. Vue interne. Reconstruction.
Accessoires de bain.
Éclairage dans les maisons romaines : 1 – chandeliers en argent ; 2 – lampe en bronze ; 3 – lampes en céramique ; 4 – suspension
Braseros
Argenterie de Boscoreale
Récipient en argent du trésor d'Hildesheim.
Produits servis sur la table dans la Rome antique. Mosaïque.
Mosaïque de sol en triclinium représentant des restes de nourriture.
Image de la tombe de Vestorius Priscus à Pompéi. « Lorsqu'un ami rendait visite à un Romain, les bonnes manières exigeaient que l'hôte
Image detombeaux
Vestoria Prisca dans
Pompéi. "Quand
romain
un ami est venu rendre visite
règles du bien
les tons exigés
au propriétaire de la maison
lui a montré
le plus beau
des choses de mon
argent
plats."
Scène de fête. Fresque d'Herculanum.
Statut de la femme
Le chef de famille s'appelait le propriétaire de la maison : il avait des enfants, sa femme et d'autres personnes en son pouvoir.parents (dans les familles classe supérieure la famille comprenait également des esclaves et
serviteur). Le pouvoir du père était qu'il pouvait donner à volonté
fille pour se marier ou divorcer, vendre ses enfants comme esclaves, il pouvait aussi reconnaître ou non
reconnaissez votre enfant. Patria potestas également étendue aux adultes
les fils et leur famille ; avec la mort de leur père, les fils sont devenus à part entière
citoyens et chefs de famille.
En règle générale, les pères de famille contractaient des mariages entre leurs enfants,
guidé par les normes morales en vigueur et par des considérations personnelles.
Un père peut épouser une fille à partir de 12 ans et un garçon à partir de 14 ans.
Après le mariage, la femme reste membre de l'ancienne famille, tandis que
revendiqué l'héritage familial. Ce cas n’était pas le principal et ressemblait plutôt à
pour la cohabitation que pour le mariage, puisque l'épouse peut presque à tout moment
quitte ton mari et rentre à la maison.
Une femme romaine apparaissait librement dans le monde, faisait des visites, assistait
réceptions cérémonielles. Mais s’impliquer en politique n’était pas l’affaire des femmes.
était censé être présent aux réunions du peuple.
Il est important de noter que les Romains veillaient également à ce que les femmes reçoivent
éducation en lien avec le rôle qu'ils avaient dans la famille : organisateur
vie de famille et éducatrice d'enfants en jeune âge. Il y avait des écoles où les filles
étudié avec les garçons. Et c'était considéré comme honorable s'ils parlaient de la fille,
qu'elle est une fille instruite. Ce point doit être considéré davantage
en détail
Portraits de femmes du Fayoum.
Coiffures des nobles femmes romaines. À droite, Livie, épouse d'Auguste.
Bijoux pour femmes.
Accessoires femme : panier à couture, fuseau, vase, vasque, coiffeuse, étui à aiguilles, coffret.
Bracelet en or de Pompéi.
Bijoux
décorations
Sandales et sac à main pour femmes.
Gymnastes féminines
La tunique et la toge - la base du costume masculin romain antique - différaient par leur conception artistique et constructive du chi grec
La tunique et la toge - la base du costume masculin romain antique - à leur manièreles solutions artistiques et constructives différaient de celles grecques
chiton et himation, bien qu'ils aient caractéristiques communes.
Un peu plus tard, ces toges lourdes et volumineuses sont remplacées par un manteau léger, rappelant une chlamyde grecque, qui n'était pas attaché à l'épaule,
Un peu plus tard, ces toges lourdes et volumineuses sont remplacées par un manteau léger,rappelant la chlamys grecque, qui n'était pas attachée à l'épaule, comme les Grecs, mais à
milieu de la poitrine sous le cou. Ils portaient également de la lazerna - un manteau semblable à une chlamyde, mais fait de plus
tissus coûteux tissés avec des fils d'or et d'argent.
Stola (lat. stola) était une forme particulière de tunique féminine à manches courtes, larges et comportant de nombreux plis, atteignant les chevilles, en bas.
Stola (lat. stola) était une forme spéciale de tunique féminine à manches courtes, larges etavec de nombreux plis, arrivant jusqu'aux chevilles, au bas desquels un dessin violet
ruban ou volant (lat. instita).
Vêtements La vie des Romains pendant la période républicaine restait assez stricte. Le costume romain était semblable au costume grec, il était également drapé
TissuLa vie des Romains en
période républicaine
il en restait encore un peu
strict. Costume romain
on aurait dit du grec
était également drapé,
mais un idéal esthétique
il n'y avait pas d'anciens Romains
bel humain
corps et dur courageux
guerriers et majestueux
femmes. Difficile donc
Costume romain, qui
produit à l'origine
de la laine, et plus tard de
toile de lin, attachée
figure statique,
majesté, certains
théâtralité. DANS
période impériale
les vêtements deviennent plus riches et
plus magnifique. Apparaître
tissus de soie importés.
Vêtements des patriciens romains : L'homme porte une tunique brodée, une toge et des chaussures calceus. La femme porte une stola et une basque. Coiffure avec bouffant et extensions
Vêtements romainspatriciens :
L'homme porte une tunique brodée,
toge, chaussures calceus.
Sur une femme - table
et péplum. Coiffure
avec polaire et
factures
boucles.
Sur une femme : cape doublée, tunique avec bordure. Sur un homme : armure de cuir avec épaulettes, cape sagum, bottes calceus
Les principaux éléments romains de l'ornementation sont l'acanthe, le chêne, les feuilles de laurier, les pousses grimpantes, les épis de maïs, les fruits, les fleurs, les figures de personnes et d'animaux, ma
Les principaux éléments romains de l'ornementation sont l'acanthe, le chêne, les feuilles de laurier,pousses frisées, épis de maïs, fruits, fleurs, figures de personnes et d'animaux, masques,
crânes, sphinx, griffons, etc. Avec eux, des vases, des militaires
trophées, rubans fluides, etc. Ils ont souvent une forme réelle.
L'ornementation portait également certains symboles, une allégorie : le chêne était considéré
un symbole de la plus haute divinité céleste, un aigle - un symbole de Jupiter, etc.
Les Grecs appréciaient l'art par amour de la beauté, les Romains - par amour de
luxe. Dans l’ornementation romaine tardive, les motifs orientaux se sont progressivement intensifiés.
influence. Il décrit les caractéristiques du futur style de la culture byzantine,
est devenu le successeur de l'Antiquité.
À l’apogée de l’État romain, ses frontières se sont considérablement élargies, incluant le territoire de l’Angleterre, de la France, de l’Espagne et de la Hollande modernes.
À l'apogée de Romedéclare que ses frontières sont très
élargi pour inclure
territoire de la modernité
Angleterre, France, Espagne,
Hollande et autres pays. Rome
est devenu un monde immense
le pouvoir qui a conduit
des guerres sans fin et vastes
commerce. Butin
richesse, nombreux esclaves,
qui a fait tout le travail, a conduit à
le luxe même au quotidien
vie. Tout cela se reflétait dans
caractère de l'ancien Romain
costume.
Les Romains habillés
couleurs vives : rouge,
violet, violet, jaune,
brun. Costume blanc
les couleurs étaient considérées comme cérémoniales, son
porté pour les cérémonies
sorties.
Peintures murales à Pompéi. La femme est vêtue d'une étole bleue attachée à l'épaule par une fibule.
chaussures
Kaligi. Bottes portées par les paysans, les chauffeurs de taxi et surtout les soldats. Kaliga consistait en une semelle épaisse (environ 8 mm) avec 80 à 90 pointes
Kaligi. Bottes portées par les paysans, les chauffeurs de taxi etprincipalement des soldats. Kaliga consistait en une semelle épaisse (environ
8 mm) avec 80 à 90 clous en fer pointus ; cousu à la semelle
un morceau de cuir coupé en lanières, formant une sorte de maillage autour
talons et pieds : les orteils restent ouverts
Des sandales. Ils consistaient en une semelle qui était fixée au pied avec des sangles souples, tandis que la majeure partie du pied restait ouverte. Des sandales
Des sandales. Composéde la semelle, qui
fixé sur la jambe
doux
avec des sangles, avec
c'est l'essentiel
les pieds sont restés
ouvrir. Des sandales
étaient de couleurs différentes
les semelles sont différentes
hauteurs, en hiver
le temps aussi à partir de
laine. Ils étaient portés
comme des chaussures de maison.
porter des sandales
dans des lieux publics
a été considéré comme une violation
bonnes manières.
S'asseoir à table
j'ai enlevé mes sandales ou
l'esclave les a enlevés pour eux.
Chapeaux. Coiffures
L'idéal de beauté. L’idéal romain de beauté est très différent de l’idéal grec. Politique de conquête et mode de vie militarisé de la population masculine
L'idéal de beauté. L’idéal romain de beauté est très différent de l’idéal grec. Envahirla politique et le mode de vie militarisé de la population masculine de Rome ont créé un climat très
un certain idéal de l'homme : dur, robuste, fort, athlétique
physique. Une femme était considérée comme belle si elle était corpulente, digne, si elle avait
démarche douce et digne. Petits seins et Hanches largesétaient
signes idéaux de sa future maternité de nombreux enfants. Caractéristiques du visage romain
les beautés n'étaient pas censées être petites : de grands yeux avec de grandes paupières,
forme régulière en amande, arête du nez haute, forme de bouche fantaisiste,
ressemblant à un arc de chasse.
CULTURE DE LA ROME ANTIQUE
La culture de Rome est associée à l'achèvement de l'histoire de la société antique. Il poursuit la tradition hellénistique et agit en même temps comme un phénomène indépendant, déterminé par le cours des événements historiques, le caractère unique des conditions de vie, la religion, les traits de caractère des Romains et d'autres facteurs.
Initialement, le territoire de la péninsule des Apennins était habité par diverses tribus, parmi lesquelles les plus développées étaient les Vénètes au nord, les Étrusques au centre et les Grecs au sud. Ce sont les Étrusques et les Grecs qui ont eu une influence décisive sur la formation de la culture romaine antique.
Les Étrusques habitèrent ces terres dès le 1er millénaire avant JC. e. et a créé une civilisation avancée qui a précédé la civilisation romaine. L'Étrurie était une puissante puissance maritime. Métallurgistes qualifiés, constructeurs navals, commerçants, constructeurs et pirates, les Étrusques naviguaient partout mer Méditerranée, assimilant les traditions culturelles de nombreux peuples qui habitaient sa côte, créant ainsi une culture élevée et unique. C'est aux Étrusques que les Romains emprunteront ensuite l'expérience de l'urbanisme, les techniques artisanales, la technologie de fabrication du fer, du verre, du béton, les sciences secrètes des prêtres et certaines coutumes, par exemple célébrer une victoire par un triomphe. Les Étrusques ont également créé l'emblème de Rome - une louve qui, selon la légende, allaitait les jumeaux Romulus et Remus - descendants du héros troyen Énée. Ce sont ces frères qui, selon la légende, fondèrent la ville de Rome en 753 avant JC. e. (21 avril).
Les Latins vivant à l’ouest atteignirent progressivement un haut niveau de développement, conquirent les territoires et les peuples voisins et formèrent plus tard l’un des plus grands empires de l’Antiquité, qui comprenait les pays européens, la côte nord de l’Afrique et une partie de l’Asie.
Chronologie
Dans l’histoire culturelle de la Rome antique, trois grandes périodes peuvent être distinguées :
monarchie - 753 - 509 avant JC e.;
république - 509 - 29 avant JC e.;
empire - 29 avant JC e. - 476 après JC e.
Particularités de la vision du monde
L'ancienne population de l'Italie vivait en communautés territoriales - pagaie, à la suite de l'unification dont est née la ville. À la tête de la Rome archaïque se trouvait un roi élu, cumulant les fonctions de grand prêtre, de chef militaire, de législateur et de juge, et avec lui un Sénat. Les questions les plus importantes étaient décidées par l'assemblée populaire.
En 510-509 avant JC e. une république est formée. Le régime républicain a duré jusqu'en 30-29 avant JC. e., après quoi commence la période de l'empire. Au cours de ces années, Rome a mené des guerres victorieuses presque continues et s'est transformée d'une petite ville en la capitale d'une immense puissance méditerranéenne, étendant son influence sur de nombreuses provinces: Macédoine, Achaïe (Grèce), Espagne proche et lointaine, régions d'Afrique et d'Asie, Moyen-orient. Cela conduit à des échanges culturels intensifs, à un processus intensif d'interpénétration des cultures.
Le butin luxueux des triomphants, les histoires de soldats, la pénétration des riches dans les provinces nouvellement acquises ont conduit à une révolution au niveau de la culture quotidienne : les idées sur la richesse ont changé, de nouveaux besoins matériels et spirituels sont apparus et de nouvelles mœurs sont nées. . La passion des masses pour le luxe oriental a commencé après les triomphes asiatiques de L. Cornelius Scipio et Gn. Mandya de Volson. La mode des robes attaliennes (Pergame), de l'argent ciselé, du bronze corinthien et des cerceaux incrustés semblables à ceux de l'Égypte ancienne s'est rapidement répandue.
La conquête des États hellénistiques, et au 1er siècle. avant JC e. et la Grèce hellénistique a révolutionné la culture de Rome. Les Romains étaient confrontés à une culture qui surpassait la leur en profondeur et en variété. «La Grèce capturée a capturé ses vainqueurs», dira plus tard Horace, l'ancien poète romain. Les Romains ont commencé à étudier la langue, la littérature et la philosophie grecques et ont acheté des esclaves grecs pour enseigner à leurs enfants. Les familles riches envoyaient leurs fils à Athènes, à Éphèse et dans d'autres villes de Grèce et d'Asie Mineure pour écouter les conférences d'orateurs et de philosophes célèbres. Cela a influencé la croissance de l’intelligentsia romaine. Deux nouveaux types comiques sont apparus dans la société et dans la littérature : les grecs absurdes et les durs persécuteurs de la science grecque. Dans de nombreuses familles, l’éducation étrangère était combinée aux anciennes traditions romaines et à l’ambition patriotique.
Ainsi, les origines étrusques et grecques antiques sont clairement visibles dans la culture de la Rome antique.
Toute l'histoire des relations culturelles entre Rome et la Grèce révèle dès lors l'admiration secrète des Romains pour la culture grecque, le désir d'atteindre sa perfection, allant parfois jusqu'à l'imitation. Cependant, en assimilant la culture grecque antique, les Romains y ont mis leur propre contenu. Le rapprochement des cultures grecque et romaine est devenu particulièrement visible sous l’empire. Néanmoins, l’harmonie majestueuse de l’art grec et la spiritualité poétique de ses images restèrent à jamais inaccessibles aux Romains. Le pragmatisme de la pensée et des solutions techniques a déterminé la nature fonctionnelle de la culture romaine. Le Romain était trop sobre et trop pratique pour, tout en admirant l'habileté des Grecs, parvenir à leur équilibre plastique et à leur étonnante généralité de conception.
L'idéologie romaine était principalement déterminée par le patriotisme - l'idée de Rome comme la valeur la plus élevée, le devoir d'un citoyen de la servir, sans épargner sa force et sa vie. À Rome, le courage, la loyauté, la dignité, la modération dans la vie personnelle et la capacité d'obéir à une discipline de fer et à la loi étaient vénérés. Les mensonges, la malhonnêteté et la flatterie étaient considérés comme des vices caractéristiques des esclaves. Si les Grecs admiraient l'art et la philosophie, les Romains méprisaient l'écriture de pièces de théâtre, le travail d'un sculpteur, d'un peintre et le fait de se produire sur scène comme une occupation d'esclave. Dans son esprit, les seules actions dignes d’un citoyen romain étaient les guerres, la politique, le droit, l’historiographie et l’agriculture.
Structure sociale et économie.
La société romaine possédait des esclaves. Les Romains comprenaient :
patriciens, noblesse issue des fondateurs de Rome. C'était la population urbaine qui concentrait tout le pouvoir entre ses mains ;
des clients, de pauvres Latins qui vivaient à la campagne et travaillaient les terres des patriciens ;
les plébéiens, descendants des peuples conquis, la classe la plus nombreuse, et restèrent donc longtemps impuissants ;
esclaves, complètement impuissants, leurs rangs se reconstituèrent de prisonniers de guerre.
Rome était un État économiquement très puissant ; son économie se développait à travers plusieurs industries :
Agriculture;
production industrielle (armes, verre, céramique) ;
commerce;
butin de guerre et tribut payé par les peuples conquis.
Religion et mythologie.
La religion était à l’origine basée sur un mélange de rituels et de croyances. La mythologie et les croyances religieuses des anciens Romains sont simples et naïves. Le dieu à deux visages Janus était vénéré comme le créateur du monde du chaos, le créateur du firmament. Le roi lui-même était le prêtre de Janus. Les principales divinités : Mana - les esprits des ancêtres et Penates - les patrons de la famille. Les Laras, divinités du foyer, étaient considérées comme les patrons des communautés et de leurs terres. Ils adoraient l'eau, le feu et dieux antiques- Jupiter, Junon, Minerve, Mars, Quirinus, Diane, Vénus. À mesure qu'ils se rapprochaient du monde grec, les dieux romains s'identifiaient aux dieux grecs : Jupiter - Zeus, Junon - Héra, Diane - Artémis, Vénus - Aphrodite, Victoria - Nike, Mars - Ares, Mercure - Hermesi, etc. des mythes ont été adaptés, dont il est devenu un mythe particulièrement populaire sur les exploits d'Hercule, que les Romains appelaient Hercule. Le panthéon a commencé à inclure dieux grecs, qui n'avait pas d'analogue dans la mythologie romaine : Esculape, Apollonai, etc. Un peu plus tard, des cultes orientaux commencèrent à pénétrer à Rome, principalement égyptiens - le culte d'Isis, Osiris, Cybèle. Au début de la nouvelle ère, le christianisme se répandit de plus en plus.
Le christianisme est parti long-courrier, avant de devenir une religion mondiale et la base spirituelle de la culture européenne. Son origine remonte au 1er siècle. n. e., que nous comptons depuis la Nativité du Christ, et ont été initialement formés au sein du judaïsme, comme l'une de ses sectes. Mais le contenu du sermon de Jésus de Nazareth allait bien au-delà de la religion nationale des anciens Juifs. C'est ce sens universel du christianisme qui a fait de Jésus le Christ (Sauveur, Messie) aux yeux de millions de personnes qui trouvent le fondement sémantique de leur vie dans la foi chrétienne.
Les autorités romaines ont longtemps persécuté les premiers chrétiens, mais près de quatre siècles plus tard, grâce à l'empereur Constantin, elle est devenue la religion d'État de l'Empire romain, apportant avec elle non seulement une nouvelle vision du monde, mais aussi un nouvel art à sa culture.
Spectacles et vacances.
L’esprit de lutte, de compétition et d’épreuve est inhérent à toute culture ancienne. Les Romains, comme les Grecs, aimaient toutes sortes de compétitions. Il n’y avait rien de plus honorable que de devenir vainqueur d’un concours et de recevoir une couronne en récompense. Des représentations théâtrales ont eu lieu à Rome pendant les vacances. Les spectacles grandioses ont été particulièrement réussis lorsque des détachements de cavalerie et d'infanterie sont apparus sur scène, des processions de prisonniers et des représentations d'animaux rares ont été incluses dans l'action. Les pantomimes solos (généralement sur une intrigue mythologique) avec musique et chant choral étaient très populaires : comédies, spectacles dans les cirques, combats de gladiateurs dans les amphithéâtres.
Scientifique et techniqueréalisations
Le mépris pour les arts et les sciences ne signifiait pas que le Romain restait un exclu. Dans les maisons éclairées, ils enseignaient non seulement le grec, mais aussi le latin correct et élégant.
Déjà à l'époque républicaine, l'art, la philosophie et la science originaux et originaux prenaient forme à Rome et leur propre méthode de créativité se formait. Leur principale caractéristique est le réalisme psychologique et l’individualisme véritablement romain.
Le modèle romain antique du monde était fondamentalement différent du modèle grec. Il n’y avait là aucun événement personnel, organiquement inscrit dans l’événement de la polis et du cosmos, comme chez les Grecs. Le modèle événementiel du Romain a été simplifié en deux événements : l'événement de l'individu s'inscrivait dans l'événement de l'État, ou de l'Empire romain. C’est pourquoi les Romains se sont tournés vers l’individu.
Les Grecs voyaient le monde à travers un modèle harmonieux et global du monde, à travers un système mythologique majestueux et héroïque, qui donnait de la complétude au modèle du monde. Pour les Romains, le monde est devenu extrêmement simplifié, le mythe a cessé d'être une vision du monde et s'est transformé en conte de fées. En conséquence, les phénomènes ont été perçus plus clairement, il est devenu beaucoup plus facile de les connaître, mais quelque chose d'irremplaçable a été perdu - le sentiment d'intégrité d'être disparu. C'est pourquoi les Romains n'ont pas pu se rapprocher de l'idéal grec : le modèle naturel du monde - la base et le secret de la grandeur grecque antique - a été perdu.
La science romaine n’a pas atteint l’échelle de la science grecque, car elle dépendait des besoins spécifiques de l’Empire romain en pleine croissance. Les mathématiques, la géographie, les sciences naturelles et d'autres sciences chez les Romains étaient de nature étroitement appliquée. Une marque notable dans la science a été laissée par les travaux de Ménélas d'Alexandrie sur la géométrie sphérique et la trigonométrie, le modèle géocentrique du monde de Ptolémée (tous deux d'origine grecque). Des ouvrages sur l'optique et l'astronomie ont été écrits (un catalogue de plus de 1 600). étoiles a été compilée), des expériences ont été menées sur des animaux en physiologie. Médecin Galien célèbre pour son habileté et ses opérations complexes, a posé les bases de l'assainissement et a failli découvrir l'importance des nerfs pour les réflexes moteurs et la circulation sanguine.
Les Romains étaient d’excellents bâtisseurs. Leurs équipements de construction, qui ont permis de créer le Colisée Flavien à Rome et d'autres amphithéâtres, un pont de 1,5 km de long sur le Danube sous Trajan, etc. La mécanique a été améliorée, des mécanismes de levage ont été utilisés. Selon Sénèque, « des esclaves méprisables » (pour les citoyens de Rome, ils étaient principalement des scientifiques et des inventeurs conquis) à chaque fois ils inventaient quelque chose de nouveau : des tuyaux à travers lesquels coulait de la vapeur pour chauffer les pièces (dans l'Angleterre conquise, les maisons romaines avaient un chauffage à vapeur), spéciaux polissage du marbre, carreaux de miroir pour refléter la lumière du soleil.
L'astrologie, étudiée par de grands astronomes, était très populaire. La plupart des érudits romains ont étudié et commenté les Grecs. La philosophie et la jurisprudence occupaient une place particulière dans la culture des anciens Romains. La philosophie romaine antique (éclectisme - mélange) combine éclectiquement les principes de divers enseignements de penseurs grecs, notamment de l'époque hellénistique. Les philosophes ont adopté leur appareil scientifique, leur terminologie et leurs orientations les plus importantes. Les idées d'amélioration morale de l'homme et les humeurs mystiques caractéristiques de l'époque ont acquis une importance importante pour la philosophie romaine. Parmi les courants philosophiques, les plus répandus dans la Rome républicaine, puis dans la Rome impériale, étaient stoïcisme Et épicurisme.
Représentant du stoïcisme Sénèque a vu le sens de la vie dans l’atteinte d’une tranquillité d’esprit absolue, en surmontant la peur de la mort. Sénèque estime qu'une personne devrait consacrer une grande partie de ses efforts à sa propre amélioration.
L'épicurisme est la seule philosophie matérialiste de la Rome antique. Son représentant le plus éminent est Titus Lucrèce Carus- connu pour son poème philosophique « Sur la nature des choses ».
La mentalité romaine était caractérisée par une passion pour scepticisme. Le fondateur du scepticisme, l’empiriste Sextus, fondait son enseignement sur une réévaluation critique des connaissances modernes. La pointe du scepticisme était dirigée contre les concepts de philosophie, de mathématiques, de rhétorique, d'astronomie et de grammaire. Le scepticisme est devenu une expression spécifique de la crise progressive de la société romaine.
Des idéaux proches des stoïciens de renoncement à la richesse matérielle et de vie en harmonie avec la nature furent également proclamés à cette époque. cyniques, s'adressant aux classes populaires urbaines dans une langue qu'elles comprennent. Les traités philosophiques et moralisateurs étaient populaires Plutarque de Chéronée. Ses œuvres se distinguaient par un excellent langage vivant, du bon sens, de l'amour de la vie et de la tolérance.
L'âge d'or de la science romaine n'est pas tant caractérisé par l'augmentation des connaissances que par l'encyclopédisme, le désir de maîtriser et de présenter systématiquement les acquis déjà accumulés. Les théories des sciences naturelles des Grecs, sous une forme éclectique et apparemment moyenne, étaient acceptées comme données une fois pour toutes, sans discussion. Parallèlement à cela, un vif intérêt pour la connaissance scientifique et rationnelle de la nature est resté et toute une galaxie d'esprits créatifs exceptionnels et de scientifiques merveilleux est apparue. Pline l'Ancien Sur la base de deux mille œuvres d'auteurs grecs et romains, il a compilé l'encyclopédie «Histoire naturelle», qui comprenait tous les domaines de la science d'alors - de la structure de l'espace à la faune et à la flore, de la description des pays et des peuples à la minéralogie.
Les innovations culturelles les plus importantes de l'Antiquité romaine sont associées au développement Les politiciens Et droits. Rome antique - patrie jurisprudence.
Si dans les petites cités-États grecques, avec leurs formes de gouvernement diverses et souvent changeantes, de nombreux problèmes pouvaient être résolus sur la base de la volonté directe de l'élite dirigeante ou d'une assemblée générale des citoyens, alors la gestion de l'immense pouvoir romain exigeait la création d'un système détaillé d'organismes gouvernementaux, d'une structure administrative clairement organisée, de lois juridiques régissant les relations civiles, les procédures judiciaires, etc. Le premier document juridique est la loi en 12 livres, réglementant les relations pénales, financières et commerciales. L'expansion constante du territoire conduit à l'émergence d'autres documents : le droit privé pour les Latins et le droit public régissant les relations entre les Latins et les peuples conquis vivant dans les provinces.
historien romain Polybe déjà au IIe siècle. avant JC e. Il voyait également dans la perfection de la structure politique et juridique de Rome une garantie de sa puissance. Les juristes de la Rome antique ont véritablement jeté les bases de la culture juridique. Le droit romain constitue toujours la base sur laquelle reposent les systèmes juridiques modernes. Mais les relations clairement définies par la loi , les pouvoirs et devoirs de nombreuses institutions et fonctionnaires bureaucratiques - Sénat, consuls, préfets, procureurs, censeurs, etc. n'ont pas éliminé la tension de la lutte politique. La noblesse (noblesse) implique de larges couches de la population dans sa lutte pour une place dans le système de pouvoir, cherchant à obtenir leur soutien. Les slogans et les appels de divers partis et groupes sur fond général de discours patriotiques faisant l'éloge de l'Empire romain et de l'empereur forment la conscience publique des citoyens et remplissent leur monde spirituel. La littérature, l’art, voire l’urbanisme et l’architecture sont mis au service d’objectifs politiques et idéologiques. Et bien que la créativité artistique et la réalité soient loin d'être entièrement subordonnées à ces objectifs, elles influencent néanmoins de manière très significative la nature de l'art et de tout. une vie culturelle La société romaine. Cela conduit à l'une des principales caractéristiques de la culture romaine : politisation.
La passion pour la politique et la jurisprudence a conduit à un haut niveau de développement art oratoire(Gaius Gracchus, Cicéron, Jules César) et logique. Discours, lettres, écrits philosophiques, traités d'oratoire Cicéron ont eu une grande influence sur leurs contemporains. Mais l'impression la plus profonde a été faite par ses discours lors des procès, au Sénat et à l'Assemblée populaire. L'éloquence était le principal moyen de lutte sociale. La rhétorique a eu une grande influence sur la philosophie, la littérature et l'historiographie. L'art de l'éloquence était enseigné dans les écoles publiques, où les enseignants recevaient des salaires de l'État. Quintilien, qui a écrit un grand traité « L'éducation de l'orateur » en 12 livres.
Grand historien romain Tacite, l'un des meilleurs historiens de Rome, dans ses ouvrages « Histoire » et « Annales », montre la tragédie de la société, consistant en l'incompatibilité du pouvoir impérial et de la liberté des citoyens. Un autre historien célèbre est Titus Livius.
Littérature
Du milieu du IIe siècle. avant JC e. le début latin gagnait en force : les prosateurs passaient à leur langue maternelle (auparavant, les écrivains romains écrivaient en grec). Le latin connaissait l’émergence d’une langue littéraire nationale et la littérature commençait à jouer un rôle important dans la culture romaine antique.
L'empereur Auguste attira les meilleurs écrivains de son temps. Son époque est appelée « l’âge d’or de la culture romaine ». Les poètes les plus célèbres étaient Virgile, Horace, qui faisaient partie du cercle des Mécènes - proches d'Auguste - mécène des talents, ainsi que Ovide. Création connue et célèbre Virgile est devenu le poème «Énéide», dédié aux pérégrinations d'Énée, qui réunissait l'amour de l'auteur pour les légendes anciennes, les vues philosophiques grecques sur la structure du Cosmos, les idées grecques sur l'âme du monde et le destin posthume ; pensées sur la récompense pour ceux qui servent fidèlement la patrie et sur la punition pour ceux qui l'ont trahie. L'Enéide est le monument le plus populaire de la littérature romaine.
Horace a écrit des poèmes d'amour et de la satire, ridiculisé les vices de la société romaine. C’est sous sa plume qu’est écrit le célèbre poème « Monument », si habilement traduit par Lomonosov, Derjavin et Pouchkine.
Ovide célèbre pour ses élégies d'amour, mais surtout pour le poème « Métamorphoses » - une épopée mythologique qui raconte l'histoire de la transformation des hommes en plantes et en animaux. Le poème se termine par la légende de la transformation de Jules César en étoile.
Culture artistique
L'esprit de lutte et le désir de surmonter les difficultés ont joué un rôle important dans vie politique société et dans ses succès militaires, qui ont permis à Jules César et à d’autres commandants romains de créer un immense empire romain. Son unité géographique et son intégrité étaient assurées par de nombreuses colonies et villes. La ville (« polis », « civitas » en latin) était dans l’Antiquité une forme d’organisation de la société, sur la base de laquelle on pouvait dépasser les frontières étroites de la conscience tribale. Les Grecs et les Romains pensaient que l’absence de politique urbaine était un signe de barbarie et, conquérant de nouvelles terres, ils construisirent des villes partout.
De nombreuses villes à travers les vastes étendues de l'Empire romain ont été créées selon le même plan : deux autoroutes en forme de croix qui se croisent - l'une du nord au sud, l'autre d'est en ouest. A leur intersection se trouve une place avec une basilique, un marché, le Temple Capitolin et le Temple de l'Empereur, et à proximité se trouve une place pour les spectacles (un amphithéâtre ou un cirque). Autour de la ville, il y avait une zone où se trouvaient les terrains des citoyens. On croyait que les gens ne pouvaient pas vivre autrement, car vivre comme un être humain, et non comme un barbare, signifiait vivre en ville, participer à la vie publique. C'est pourquoi l'architecture romaine regorge de bâtiments publics. Rome était à juste titre le centre de l’art romain.
La culture artistique de Rome se distinguait par une grande diversité et une grande diversité de formes ; elle reflétait des traits caractéristiques de l'art des peuples conquis par Rome, parfois à un niveau de développement culturel plus élevé. L'art romain s'est développé sur la base de l'interpénétration complexe de l'art originel des tribus et des peuples italiens locaux, principalement des puissants Étrusques, qui ont initié les Romains à l'art de l'urbanisme (diverses versions de voûtes, ouvrages d'art, tombeaux, bâtiments résidentiels, routes, etc.), des peintures murales monumentales, des portraits sculpturaux et picturaux, caractérisés par une perception aiguë de la nature et du caractère. À la tradition étrusque est associé un type spécifique de bâtiment résidentiel italien, dont le centre de composition était l'atrium - une vaste pièce de type hall avec une ouverture rectangulaire au centre du plafond. Mais la principale influence reste l’art grec.
Les principes fondamentaux de la culture artistique des deux peuples étaient d’origine différente. La Grèce, même durant sa période de plus grande prospérité, ne représentait pas un seul État ni un seul espace géographique, mais seulement un conglomérat de cités-États. Rome, à son apogée, était un État unique, un empire s’étendant sur des milliers de kilomètres. D'où les tâches complètement différentes de l'architecture et de l'échelle de construction. Les Grecs reconnaissaient le pouvoir de l’harmonie, de la proportionnalité et de la beauté, les Romains ne reconnaissaient aucun autre pouvoir que celui de la force. Ils créèrent un État grand et puissant, et toute la structure de la vie romaine fut déterminée par cette grande puissance. Les talents personnels n’étaient ni encouragés ni cultivés – l’attitude sociale était complètement différente. La force de l’État s’exprimait avant tout dans la construction, et donc dans l’architecture, qui jouait un rôle prépondérant dans l’art romain.
Architecture et construction. Les principes de base de l'architecture romaine antique, ainsi que de l'art romain antique, ont été formés à l'époque de la république (IV-I siècles avant JC).
Les monuments architecturaux, même en ruines, captivent désormais par leur puissance. Les Romains ont marqué le début d'une nouvelle ère de l'architecture mondiale, dans laquelle la place principale appartenait aux édifices publics destinés à un grand nombre de personnes : basiliques, thermes, théâtres, amphithéâtres, cirques, bibliothèques, marchés. La liste des structures architecturales de Rome devrait également inclure les structures religieuses : temples, autels, tombeaux. Dans tout ancien monde L'architecture romaine n'a pas d'égal en termes d'art de l'ingénierie, de variété de types de structures, de richesse des formes de composition et d'échelle de construction. Les Romains introduisirent des ouvrages d'art (aqueducs, ponts, routes, ports, forteresses, canaux) comme objets architecturaux dans l'ensemble et le paysage urbain et rural, et utilisèrent de nouveaux matériaux de construction (béton) et de nouvelles structures (arcs, dômes, etc.). Ils retravaillèrent les principes de l'architecture grecque, et surtout le système d'ordre : ils combinèrent l'ordre avec une structure voûtée.
Non moins important dans le développement de la culture romaine était l'art de l'hellénisme avec son architecture, qui gravitait vers des échelles et des centres urbains grandioses. Mais le principe humaniste, la noble grandeur et l'harmonie qui constituent la base art grec, à Rome a cédé la place à des tendances à exalter le pouvoir des empereurs et la puissance militaire de l'empire. D’où les exagérations à grande échelle, les effets extérieurs et le faux pathétique des structures immenses.
Les voies romaines sont devenues mondialement connues et n’ont pas perdu de leur importance jusqu’à aujourd’hui. Ils étaient divisés en trois types (selon leur coût et leur degré d'importance) : militaires ou étatiques, sous l'autorité du gouvernement central, petits, appartenant à des magistrats communautaires, privés et de terrain.
La variété des structures et l'ampleur des constructions dans la Rome antique changent considérablement par rapport à la Grèce : un nombre colossal d'immenses bâtiments sont érigés. Tout cela nécessitait un changement dans les fondements techniques de la construction. Réaliser les tâches les plus complexes à l'aide de l'ancienne technologie est devenu impossible : à Rome, des structures fondamentalement nouvelles se développent et se généralisent - celles en brique-béton, qui permettent de résoudre les problèmes de couverture de grandes portées, d'accélérer la construction à maintes reprises et - ce qui est particulièrement important - limiter le recours à des artisans qualifiés en déplaçant les processus de construction qui sont réalisés par des travailleurs esclaves peu qualifiés et non qualifiés.
Vers le IVe siècle. avant JC e. le mortier a commencé à être utilisé comme matériau de liant (d'abord dans la maçonnerie en moellons) et ce dès le IIe siècle. avant JC e. Une nouvelle technologie est apparue pour la construction de murs et de voûtes monolithiques à base de mortiers et de petites pierres de granulats. Un monolithe artificiel a été obtenu en mélangeant du mortier et du sable avec de la pierre concassée appelée « béton romain ». Les additifs hydrauliques du sable volcanique - la pouzzolane (du nom de la région d'où elle a été exportée) la rendaient imperméable et très durable. Cela a provoqué une révolution dans la construction. Ce type de maçonnerie était réalisé rapidement et permettait d'expérimenter la forme. Les Romains connaissaient tous les avantages de l'argile cuite, fabriquaient des briques de différentes formes, utilisaient du métal au lieu du bois pour assurer la sécurité incendie des bâtiments et utilisaient rationnellement la pierre lors de la pose des fondations. Certains secrets des bâtisseurs romains n’ont pas encore été résolus.
Les architectes de la Rome antique connaissaient les subtilités des modèles numériques ; ils connaissaient différents types de dessins utilisant des compas et des règles.
En termes d'importance, le type de bâtiment le plus important était le temple. Le summum de la construction du temple était Panthéon- temple de tous les dieux, construit en 118-125. Le Pathéon n'a pas d'analogue dans l'architecture romaine antique, ni dans sa composition ni dans sa conception. Il s'agit d'un temple rond grandiose, recouvert d'une coupole d'un diamètre de près de 43 m. L'entrée se présente sous la forme d'un profond portique à plusieurs colonnes, surmonté d'un fronton. Construit avec des structures en brique et en béton, l'intérieur du temple était décoré de marbres polychromes. La lumière du jour pénètre dans le temple par une lumière ronde s'ouvrant au zénith du dôme (diamètre 9 m).
L'ancienne culture de Rome, qui existait depuis le 8ème siècle. AVANT JC. et jusqu'à l'effondrement du Saint Empire romain germanique en 476 après JC, a donné au monde sa propre vision d'un système d'idéaux et de valeurs. Pour cette civilisation, l’amour de la patrie, la dignité et l’honneur, le respect des dieux et la foi en l’unicité étaient primordiaux. Cet article présente principaux aspects, capable de décrire brièvement un phénomène aussi unique que la culture de la Rome antique.
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Culture romaine antique
Selon les données chronologiques, l'histoire culturelle de la Rome antique peut être divisée en trois périodes principales :
- royal (8e-6e siècles avant JC) ;
- Républicain (VIe-Ier siècles avant JC) ;
- impérial (1er siècle avant JC – 5e siècle après JC).
La période royale de la Rome antique est considérée comme la plus primitive en termes de culture romaine. Cependant, à cette époque, les Romains possédaient déjà propre alphabet. À la fin du VIe siècle, commencent à apparaître les premières écoles anciennes, dans lesquelles les enfants étudiaient le latin et langues grecques, l'écriture et le calcul.
Attention! Dans cette courte période histoire ancienne, qui dura de 753 à 509. J.-C., sept rois réussirent à monter sur le trône romain : Romulus, Numa Pompilius, Tullus Hostilius, Ancus Marcius, Lucius Tarquinius Priscus, Servius Tullius, Lucius Tarquinius le Fier.
La période républicaine se caractérise par la pénétration de la culture grecque antique dans la vie de la Rome antique. A cette époque, ils commencent à se développer philosophie et droit.
Le philosophe romain le plus éminent de cette époque était Lucrèce (98-55), qui, dans son ouvrage « De la nature des choses », appelait les gens à cesser de craindre les superstitions et le châtiment de Dieu.
Il a donné une explication tout à fait logique de l'émergence de l'homme et de l'univers. Une innovation dans le système du droit romain fut l'introduction du concept « entité", grâce à quoi les positions des propriétaires privés sont renforcées.
Durant la période impériale de développement de la culture antique, tout ce qui était grec fut abandonné. L'unicité romaine se développe. Cela est clairement visible dans la culture et l'architecture de cette époque : le Colisée et le Panthéon. Pour la première fois, on tente d'étudier l'activité du cerveau. Les expériences ont été réalisées par un célèbre les temps anciens docteur Galien. Sont en cours de création écoles de formation des médecins. Il y a également eu des changements dans la religion. L’empereur romain était désormais reconnu comme une divinité qui, après sa mort, montait au ciel.
Patrimoine romain antique
De nombreuses réalisations de la Rome antique dans le domaine de la civilisation et de la culture, créées en période ancienne, et sont maintenant populaires partout dans le monde :
- Tuyaux d'eau. Les aqueducs étaient utilisés à Babylone, mais dans la Rome antique, ils ont commencé à être utilisés non seulement pour l'irrigation, mais aussi pour les besoins domestiques. Des conduites d'eau ont également été installées vers les zones industrielles : les lieux d'extraction des ressources et les quartiers artisanaux. Les aqueducs construits pendant la période de l'Antiquité sur le territoire de l'Europe moderne se trouvent encore en Allemagne, en France et en Italie.
- Assainissement. Elle devint un élément incontournable des grandes villes romaines. Les systèmes de drainage étaient utilisés à la fois pour évacuer l'eau pendant la pluie et les eaux usées. de nature diverse. Les égouts antiques sont encore utilisés aujourd’hui, cependant, uniquement pour évacuer l’eau après une tempête de pluie.
- Citoyenneté. Le principal héritage de la Rome antique. Ce sont les Romains qui ont établi les procédures d'obtention de la citoyenneté. Tous les peuples libres étaient considérés comme des résidents légaux de l’Empire, quel que soit leur lieu de naissance et le territoire de l’État où ils vivaient.
- République. La forme républicaine de gouvernement, créée à Rome dans la période antique, mettait le début de la création type moderne les autorités. Ce sont les Romains qui ont commencé à partager les rênes du gouvernement, car, à leur avis, sa concentration entre les mains d'un seul dirigeant pourrait être désastreuse pour tous les citoyens. Les Romains ont réussi à maintenir pendant longtemps l’harmonie entre les couches de la société grâce à la délégation. Ironiquement, c’est la forme de gouvernement républicain qui a enterré l’État romain.
- Monuments culturels de la Rome antique. Ce riche patrimoine comprend des édifices romains, des sculptures, travaux littéraires, ouvrages philosophiques.
Art
La culture artistique de la Rome antique était très similaire à celle grecque de la même période. Mais cela a aussi ses avantages. Merci aux Romains réussi à sauver de nombreuses œuvres de peinture ancienne copiées sur des artistes grecs.
Les sculptures des Romains ont acquis des émotions. Leurs visages reflétaient leur état d’esprit, donnant vie à la sculpture. C'est dans la Rome antique que cela est apparu direction littéraire comme un roman.
La culture gréco-romaine unifiée de la période antique a donné naissance à de nombreux écrivains, dramaturges et poètes. Une nouvelle direction de la littérature est née : le roman. Parmi les satiristes célèbres de l'époque, il convient de noter Plaute et Térence.
Leurs comédies ont été conservées jusqu'à ce jour. Tite-Live Andronicus devint la première tragédienne de Rome et traduisit l'Odyssée d'Homère en latin. Parmi les poètes, il convient de noter Lucilius, qui a écrit des poèmes sur des sujets quotidiens. Le plus souvent, dans ses œuvres, il ridiculise l'obsession de la richesse.
À l'époque de Cicéron dans la Rome antique la philosophie gagne en popularité. De telles tendances sont apparues comme le stoïcisme romain, dont l'idée principale était la réalisation d'un idéal moral et spirituel par l'homme, et le néoplatonisme romain, qui prêchait l'ascension de l'âme humaine vers l'unité avec une certaine extase.
Dans le domaine de l'astronomie, l'ancien scientifique Ptolémée est célèbre, qui a créé le système géocentrique du monde. Il a également écrit de nombreux ouvrages sur l'optique, les mathématiques et la géographie.
Architecture de la Rome antique
L’époque romaine antique a laissé des monuments majestueux de l’architecture ancienne que l’on peut encore voir aujourd’hui.
Colisée. Un immense amphithéâtre dont la construction débuta en 72 après JC. et n'a pris fin qu'après 8 ans. Son deuxième nom, l'Amphithéâtre Flavien, est associé à la dynastie régnante, dont les représentants furent les initiateurs de la construction. La capacité totale du Colisée romain était plus de 50 mille personnes.
Note! Le plus souvent, les prisonniers de guerre participaient à des combats de gladiateurs. Leur vie dépendait de la façon dont ils étaient capables de démontrer leurs capacités de manière colorée et de la mesure dans laquelle ils convainquaient le public. Si le gladiateur a fait forte impression, les spectateurs de Rome lui ont permis de vivre et de l'élever. pouce en haut. Si le public voulait la mort, alors le pouce descendait froidement.
Arc de Triomphe de Titus. La construction du monument a été initiée par l'empereur romain Domitien, peu après la mort de son prédécesseur Titus. Cet ancien monument a été construit en 81 après JC. en l'honneur de la conquête de Jérusalem en 70 après JC. L'arc est connu pour son relief convexe à l'intérieur de la travée. Il représente une procession de soldats romains transportant des dépouilles capturées à Jérusalem.
Panthéon. Une structure majestueuse construite par l'empereur Hadrien en 126 après JC. Le Panthéon est un temple dédié à tous les dieux. Parfaitement conservé jusqu'à nos jours dans sa forme originale, ce monument culturel de l'époque antique est unique par sa proportionnalité et sa légèreté visuelle. Le sommet du temple romain est décoré d'un dôme avec un trou au centre pour laisser passer la lumière du soleil.
Les traditions culturelles
Les traditions les plus marquantes et originales de la culture romaine de la période antique sont présentées dans cérémonie de mariage.
À la veille du mariage, la jeune fille, comme pour dire au revoir à l'enfance, a dû faire don de ses jouets et de ses vêtements. Un châle rouge était noué autour de la tête, la mariée était vêtue d'une tunique blanche nouée avec une ceinture en laine de mouton.
La robe de mariée dans la Rome antique était rouge et se portait sur une tunique. Une couverture jaune vif était jetée sur la tête, qui correspondait à la couleur des chaussures.
Exactement pareil la cérémonie était accompagnée sacrifice d'un cochon. Il était déterminé par ses entrailles s'il mariage heureux. Et si tel est le cas, alors la personne qui dirige le rituel de divination a donné sa permission.
Déjà à l'époque antique, des contrats de mariage étaient rédigés, qui précisaient la dot de la mariée et la procédure de partage des biens en cas de divorce. Le contrat a été lu à haute voix devant dix témoins, après quoi ces témoins ont signé.
Détails
Bien que la Rome antique ait imité la Grèce à bien des égards, elle présentait des caractéristiques caractéristiques distinctives dans la culture. Si les Grecs occupaient des territoires en distribuant leurs biens, alors Rome menait hostilités, privant complètement le territoire conquis d'indépendance.
Tous les cinq ans, une enquête démographique était menée - un recensement. L'activité de la population était valorisée aussi bien en temps de guerre qu'en temps de paix.
La toge était considérée comme un vêtement national à Rome. C'est pourquoi les Romains étaient appelés « togatus ». Le compagnon éternel de la Rome antique était l’armée, qui se tenait en dehors de l’État. Les particularités de la culture de la Rome antique lui ont permis de devenir la base de l'épanouissement ultérieur de l'Europe.
Culture musicale
La culture musicale de la période antique n'était pas différente de la culture artistique dans le sens où elle copiait également complètement la culture grecque.
Des chanteurs, musiciens et danseurs étaient invités de Grèce. L'interprétation d'odes d'Horace et de poèmes d'Ovide, accompagnés de la musique de la cithare et du tibia, était populaire.
Cependant, plus tard, dans la Rome antique performances musicales ont perdu leur aspect d'origine et ont acquis un caractère exclusivement spectaculaire. Les performances des musiciens étaient accompagnées représentations théâtrales. Même les combats de gladiateurs étaient accompagnés de sons de trompettes et de cors.
Durant la période antique, ils étaient très populaires professeurs de musique. Une lettre du poète Martial à son ami a survécu jusqu'à nos jours, dans laquelle il dit que s'il devient professeur de musique, sa carrière sera garantie.
La pantomime est devenue un nouveau mouvement artistique. Elle a été interprétée par un danseur solo au son d'une chorale et grand nombre instruments de musique.
Le dernier empereur de Rome, Domitien, à la fin du Ier siècle. ANNONCE organise un « concours capitolien » entre solistes, poètes et musiciens. Les gagnants ont été couronnés de couronnes de laurier.
La contribution de la Rome antique à la culture mondiale
La contribution de la Rome antique au développement de la modernité civilisation européenne indéniable. Durant la période antique, les Romains ont créé l’alphabet latin, dans lequel tout était écrit. l'Europe médiévale. A été créé à Rome système droit civil , les valeurs civiques sont définies : patriotisme, croyance en sa propre identité et en sa grandeur. Le christianisme s'y est également développé historiquement, ce qui a grandement influencé les étapes ultérieures du développement humain. Les Romains ont introduit le béton. Ils ont appris au monde comment construire des ponts et des conduites d’eau.
La sculpture et l'art dans le cadre de la culture de la Rome antique
Culture et histoire de la Rome antique en bref
Conclusion
Les plus grands hommes de l'histoire salués Rome antique et sa culture dans ses citations. Ainsi Napoléon disait : « L’histoire de Rome est l’histoire du monde entier. » Il est évident que si l’Empire romain avait pu résister aux assauts des tribus « barbares » en 476, la Renaissance serait apparue au monde bien plus tôt. La contribution de la Rome antique à culture mondiale si formidable qu'il faudra beaucoup de temps pour l'étudier.
Nous venons avec de nombreuses habitudes résidents locaux peut paraître inhabituel. Ainsi, des Italiens galants et polis dans une foule peuvent créer un véritable « coup de cœur ». Cependant, un tel comportement n’est pas du tout considéré comme impoli. Les résidents locaux sont habitués aux foules immenses transport public et en centres commerciaux, alors ils essaient avec tout le monde moyens possibles faites votre chemin. De nombreux résidents locaux utilisent activement la langue des signes lors des conversations, mais parmi les membres de l'élite, les gestes sont considérés comme un signe de mauvaises manières.
Les Italiens ne sont pas habitués à prendre un petit-déjeuner copieux, c'est pourquoi la plupart des cafés et restaurants locaux proposent uniquement du café et des petits pains frais pour le petit-déjeuner. Le repas principal est considéré comme le déjeuner, composé d'au moins trois plats. Les Italiens peuvent remplacer le dessert familier aux Européens par un plateau de fromages et un verre de vin, qu'il n'est pas interdit de boire même en pleine journée de travail. Malgré l'amour des autochtones pour le vin, en général, leur attitude envers les boissons alcoolisées est plus que retenue. Ils sont le plus souvent consommés uniquement pendant les repas. Concernant apparence et des vêtements, les résidents locaux préfèrent s'habiller de manière très stricte. Pas de tenues provocatrices ou révélatrices Vie courante non utilisé.
La fête nationale la plus intéressante est le Jour de la Fondation de Rome, célébré chaque année le 21 avril. Parfois, la célébration dure plusieurs jours ; pendant les vacances, de nombreux événements culturels et rituels intéressants ont lieu. Ainsi, chaque année, ils choisissent la déesse de Rome, qui devient la gagnante du concours de beauté. L'un des rôles principaux pendant les vacances est confié aux vestales - des filles sous la forme de messagères de la déesse romaine Vesta, qui surveillent le respect de tous les rituels anciens. Pendant la fête, ils doivent entretenir le feu sacré qui, selon vieille légende, et est l'incarnation de la déesse Vesta. Pendant la célébration, les voyageurs peuvent assister à des représentations théâtrales dédiées à d'importantes événements historiques. Les principaux événements se déroulent près du Temple d'Hercule. Copyright www.site
En visitant la ville sur le Tibre en février, vous pourrez vous plonger dans l'ambiance de la célébration du Mardi Gras. Les traditions, comme dans le cas du Jour de la Fondation de Rome, remontent à l’époque païenne. En l'honneur du festival, à partir de la Piazza del Popolo, à côté de la fontaine de Neptune, des calèches anciennes accompagnées de gardes à cheval - les gens qui voient un tel spectacle semblent être au XVIe siècle, et l'un des représentants de la famille Borgia est assis dans la voiture. Mais le fait que nous soyons au 21ème siècle ne peut être découvert qu'en regardant les tenues des spectateurs. Le cortège est accompagné de musique, les calèches sont entourées de personnages de la Comedia del arte. L'action se termine tout au bout de la via Corso sur la Piazza Venezia.
Cependant, la fête la plus « romaine » s’appelle Noantri. Il se tient traditionnellement dans la région du Travester dans la seconde quinzaine de juillet. Pendant la célébration, la Madonna del Carmine (une relique sacrée trouvée à l'embouchure du Tibre) « circule » dans Rome, accompagnée de personnes en robes blanches. En même temps, Danses folkloriques, chants et jeux ne vous laissent pas vous ennuyer pendant la stricte cérémonie. Ici, vous pourrez déguster du vin et plats de viande. Et si vous visitez Rome le 10 août, cette nuit-là, lorsque vous verrez une étoile filante, vous devrez demander qu'un vœu soit exaucé. A cette époque, les étoiles filantes symbolisent les larmes du martyr saint Laurent, qui demandera au ciel les croyants. C'est peut-être pour cela que les Italiens réussissent toujours ?
Un autre festival qui a lieu en été est Ferragosto. Il s’agit d’une combinaison bizarre des traditions du christianisme et du paganisme – cependant, cela peut être considéré comme le « zeste » lui-même. Ville Eternelle, qui, en fait, a absorbé à la fois ces coutumes et d'autres. Elle est célébrée le 15 août. Cependant, étant arrivé à Rome à temps donné, on peut trouver la ville à moitié vide et les cafés et restaurants fermés - cela est dû au fait que les Italiens préfèrent célébrer l'occasion à la montagne ou en mer. Malgré cela, le jour de la célébration, tout en restant à Rome, vous pourrez visiter des spectacles, des expositions, des musées et des attractions aquatiques.