Rapport méthodique "technique du soufflet jouant sur l'accordéon à boutons". Rapport "Techniques de fourrure pour l'exécution de l'accordéon à boutons" développement méthodologique sur le thème Techniques de jeu du soufflet et amincissement du son

30.10.2019

Nom "

DÉVELOPPEMENT MÉTHODOLOGIQUE SUR LE THÈME :

RÉPARTITION DU MOUVEMENT

SOUFFLET LORS DE LA JOUATION DU BAYAN

DÉVELOPPÉ:

Professeur de musique

PLAN DE TRAVAIL:

INTRODUCTION

JE. Changer la direction des mouvements de la fourrure.

II. Principes de répartition des mouvements de fourrure.

III. Technique pour changer la direction des mouvements de la fourrure.

IV. BIBLIOGRAPHIE

INTRODUCTION

L’importance des questions liées à la science de la fourrure dans la performance du bayan, et donc dans la pédagogie du bayan, ne peut guère être surestimée. Le soufflet est impliqué dans la production sonore de l'accordéon à boutons, donc différentes façons de le jouer influencent la nature du son. La dynamique du son dépend de l'intensité du mouvement de la fourrure. En général, l'accordéon à boutons ne sonne que lorsque le soufflet est en mouvement. Et le soufflet se déplace alternativement dans deux directions : expansion (vers la gauche) et compression (vers la droite). Par conséquent, l'accordéoniste doit répartir tout le matériel musical de la composition interprétée dans certains mouvements de soufflet alternés, c'est-à-dire déterminer quel segment (volume) de matériel musical sera interprété pour chaque mouvement spécifique, en tenant compte de la texture de l'œuvre, son phrasé, sa dynamique, ses traits, son tempo, en tenant compte des caractéristiques physiques de l'accordéoniste lui-même, de la qualité de son instrument.

Et même si la répartition des mouvements de fourrure n’est pas encore devenue courante dans le travail des étudiants sur le répertoire, sa nécessité est depuis longtemps devenue évidente. Cela a été prouvé par la pratique même du jeu de l'accordéon à boutons. Des mouvements de fourrure réfléchis et rationnels facilitent grandement la solution de nombreux problèmes techniques et artistiques.

Il est impossible de planifier le mouvement du soufflet dans un morceau de musique, ou, comme on dit, de distribuer le soufflet sans clarifier une autre question : à quels moments du discours musical en direct est-il possible de changer la direction de son mouvement de l'expansion à la compression et vice versa sans causer de dommages à l'image musicale qui se déroule dans le temps.

I. Changer la direction du mouvement de la fourrure.

Souvent, le changement de direction du mouvement du soufflet est associé au souffle de la musique, à la division du discours musical en phrases et en motifs. Dans ce cas, ils partent du fait que « au moment du changement de direction du mouvement du soufflet... il y a une interruption du son ». De là est née l'attitude générale consistant à changer le soufflet lors des césures entre les constructions musicales. Certains accordéonistes ont commencé à considérer le changement même de direction de mouvement du soufflet comme un moyen de procéder à une censure sémantique. Oberyukhtin dans l'article « Démembrement de la musique et changement de direction dans le mouvement du soufflet », notant à juste titre que jouer de l'accordéon à boutons sans souffle vivant est impensable, écrit : « La prononciation compétente et expressive du discours musical par un accordéoniste (comme un texte littéraire récité par un acteur avec certaines intonations et certains jeux) dépend précisément de la détermination du moment naturel pour toute pensée musicale du changement de direction du mouvement du soufflet comme facteur de démembrement.

Comme on peut le constater, M. Oberyukhtin considère le changement de direction de mouvement de la fourrure avant tout comme un moyen de réaliser des césures. Mais pour réaliser une césure, il n'est pas du tout nécessaire de modifier le mouvement du soufflet - il suffit simplement de retirer votre doigt de la touche ou votre main du clavier.

Bien sûr, certaines césures sont réalisées précisément en changeant la fourrure, mais pas toutes. Yu. Akimov, par exemple, pensait que « changer la direction du mouvement de la fourrure est un moyen d'expression vivant, qui doit être utilisé avec parcimonie, au moment où apparaissent les césures les plus importantes. Il s’avère que c’est l’autre extrême : l’efficacité du déplacement de la fourrure avant l’apparition de la césure la plus importante. Mais sauver le soufflet, c'est soit ralentir son mouvement, ce qui entraînera une diminution du niveau de sonorité requis, soit essayer, sans réduire la dynamique, de jouer plus de musique par mouvement, ce qui entraînera un son grumeleux. Dans tous les cas, à la suite de telles économies, la véracité de la transmission du contenu de l'œuvre en souffrira et, en règle générale, il n'est toujours pas possible de terminer le jeu sur un seul mouvement de soufflet avant la césure la plus importante (ils généralement des constructions assez grandes séparées).

Oui, ce n'est pas nécessaire. Après tout, la profondeur de la césure ne dépend pas du tout du fait que le mouvement de la fourrure change ou non à ce moment-là - dans les deux cas, une césure longue et minime est possible.

Une autre chose est que le changement de direction du mouvement du soufflet lui-même est plus facile et plus pratique à effectuer au moment de la césure entre les constructions musicales. C’est une vérité généralement acceptée à laquelle personne ne s’oppose. Césura est définitivement le meilleur endroit pour changer de fourrure.

Cependant, dans la pratique de l'exécution d'œuvres musicales, le soufflet doit souvent être changé même lorsque la césure n'est pas nécessaire. Et les accordéonistes doivent apprendre à le faire non seulement sans « applaudir » le son, mais aussi sans créer de césure. Parfois, on entend encore des doutes : comment éviter la césure lors de la rotation du soufflet, si les voix émises lors de la mise en compression du soufflet ne commenceront qu'après le son des voix émises lors de l'arrêt du desserrage ? Oui, tourner le soufflet évite « l’infusion » d’un son dans un autre, mais il est possible de rapprocher les sons en préservant leur caractère et le lien sémantique entre eux.

Rappelons combien de fois les violonistes doivent changer le sens du mouvement de l'archet, mais la continuité ligne mélodique dans la cantilène et l'ampleur de la respiration n'est pas perturbée. Et nous entendons la césure là où le musicien la fait délibérément, et non à chaque changement de mouvement d'archet. Cela signifie qu'en changeant la direction du mouvement de l'archet, le violoniste ne viole pas le lien sémantique entre les sons qui unit leurs phrases. L'archet de l'accordéon est un peu plus lourd que l'archet du violon, mais beaucoup plus long - l'accordéoniste joue plus de musique avec le mouvement du soufflet dans une direction que le violoniste avec le mouvement de l'archet vers le haut ou vers le bas. Cela permet de jouer une phrase entière sans changer la direction du soufflet. Cette possibilité déterminait la règle générale du changement de soufflet au moment de la césure entre les constructions musicales.

Trouvez un moment propice pour changer la fourrure à cas similaires, n'est possible qu'avec un outil en main, puisque ce n'est qu'à l'oreille qu'on peut déterminer la possibilité ou, à l'inverse, l'inacceptabilité de changer le soufflet à un endroit particulier.

II. Principes de répartition des mouvements de fourrure.

Ainsi, il est plus conseillé de changer le sens de mouvement du soufflet aux moments de césure entre les constructions musicales, mais il n'est pas nécessaire de subordonner ses mouvements au système de césure.

Quelles exigences doivent être présentées pour la distribution de la fourrure ? Il y a trois exigences principales. Ce:

Assurer le fonctionnement du soufflet dans une certaine amplitude d'ouverture ;

Éliminer le besoin de sauvegarder son mouvement ;

Prise en compte de l'influence des conditions de dilatation et de compression sur la facilité d'exécution aux endroits individuels.

Examinons ces exigences plus en détail.

L'amplitude de travail de l'expansion du soufflet est individuelle pour chaque interprète. Cela dépend de ses données physiques et de la taille de l'instrument.

L'amplitude maximale pour chaque accordéoniste ne sera pas celle à laquelle la longueur de son bras permet d'étendre le soufflet, mais celle à l'intérieur de laquelle la main gauche conserve la capacité d'exercer librement ses fonctions, de monter et descendre librement et de contrôler le son. Cependant, l'amplitude du relâchement peut être différente lors de l'exécution de différentes compositions, en fonction du caractère, de la texture, de la dynamique, du tempo, des traits et d'autres facteurs.

Par exemple, il est difficile de jouer avec le soufflet largement écarté, surtout après l'avoir tourné pour le comprimer.

Lorsque la fourrure n'est pas très éloignée (pas très étirée), les conditions de travail de la main gauche sont meilleures, mais lorsqu'elle est considérablement enlevée, elle se détériore sensiblement, bien sûr, tout dépend de la texture.

Peut-être que chaque accordéoniste connaît la situation où, au cours d'une représentation, à un moment donné, le soufflet s'étire plus que d'habitude, c'est-à-dire lorsqu'il « dépasse » l'amplitude d'expansion habituelle. En règle générale, cela se produit dans des pièces à la texture riche et à la dynamique sonore élevée. En raison d'un tel excès d'amplitude de travail, après avoir tourné le soufflet pour le serrer, la main gauche est incapable de contrôler le son ou d'effectuer travail nécessaire au clavier. Pour éviter de telles situations, vous devez vous rappeler lors de la distribution de la fourrure que plus la texture est dense et le son plus fort, plus le segment de matériau musical sera joué pour chacun de ses mouvements.

Donc, première condition La répartition du mouvement de la fourrure doit garantir l'amplitude d'ouverture la plus pratique.

Si la distribution du soufflet n'est pas suffisamment maîtrisée, l'accordéoniste peut sentir à un endroit pendant l'exécution qu'il n'a pas assez de la partie restante du relâchement ou de la compression pour finir de jouer à l'endroit où il doit changer le soufflet. Cela l'oblige à ralentir, ce qui entraîne une diminution artistiquement injustifiée de la dynamique sonore.

Éliminer le besoin de sauvegarder les mouvements de la fourrure - deuxième condition indispensable sa répartition.

Tout accordéoniste sait depuis l'école de musique qu'il est plus facile de jouer d'un accordéon non serré que d'un accordéon compressé. Cependant, la conception de l'accordéon à boutons prédétermine l'interprétation d'environ la moitié de la musique en compression. Cette caractéristique de conception de l'instrument est la norme pour l'accordéoniste dès le début et ne lui cause aucun inconvénient. En règle générale, n’importe quel morceau de musique peut être joué avec la même qualité, qu’il soit compressé ou non.

Ainsi, identifier les endroits dont l'exécution de haute qualité nécessite certaines directions de mouvement de la fourrure et leur fournir de telles - troisième condition requise répartition de la fourrure dans un morceau de musique.

Lorsque l'on réfléchit aux mouvements du soufflet dans une composition musicale, il faut tenir compte du fait qu'avec la compression, on ne peut pas jouer le même volume de matériau musical qu'avec le desserrage, avec la même texture et la même dynamique, car lorsque le soufflet est comprimé, son étanchéité se détériore. Par conséquent, si vous envisagez de jouer la première phrase de manière non serrée et la seconde de manière compressée, vous devez alors commencer à jouer non pas avec un soufflet étroitement compressé, mais avec un soufflet légèrement desserré.

S'il y a des endroits dans la pièce qui sont exécutés par un coup de trémolo avec le soufflet, il faut veiller à ce qu'ils commencent par un relâchement minimum du soufflet.

Cela s'applique également à la méthode de jeu - détail, dans laquelle il y a un mouvement du soufflet par son ou consonance. Dans les notes d'accordéon, ce coup est marqué par des signes d'un changement dans le mouvement du soufflet après chaque son ou consonance.

Dans certains épisodes dont la mélodie est un flux rapide et continu de sons (par exemple, dans certaines variations sur des thèmes folkloriques), le changement de soufflet peut être utilisé comme moyen d'effectuer des césures sémantiques, à condition bien sûr que le changement de le soufflet au moment des césures ne contredit pas les trois exigences fondamentales. L'opportunité de cette utilisation peut être justifiée par le fait qu'elle est préférable à l'ablation du doigt, garantit une césure minimale et n'interfère pas avec la régularité du mouvement et la douceur du son.

Il convient toutefois de noter que les cas d’utilisation de la science de la fourrure constituent l’exception et non la règle. La relation entre les moments de césure et le moment de changement de soufflet doit être limitée par le fait que la césure est le moment le plus pratique pour l'exécution technique et le moment le plus avantageux pour changer le soufflet.

III. Technique pour changer la direction du mouvement de la fourrure.

Changer le sens de mouvement du soufflet lors d'une césure ou d'une pause ne pose de difficultés à personne : à un moment de silence, la main gauche transfère facilement le sens de la force de l'ouverture à la compression, ou vice versa. Mais de telles conditions sont rares. Le plus souvent, s'il y a une césure dans la mélodie dans l'un des éléments de la texture, le son de la mélodie continue à ce moment-là.

Vous pouvez pratiquer la technique du changement de fourrure sans césure grâce à des exercices. Par exemple, jouez avec votre main droite en alternant deux sons, d'abord avec des mouvements unilatéraux du soufflet (desserrage et serrage), tout en obtenant une mélodie du son et une densité de tenuto.

Jouez ensuite ces sons avec des mouvements multidirectionnels du soufflet, en veillant à préserver le degré de mélodie et de densité tenuto obtenu dans la première option.

Après vous être assuré que l'objectif a été atteint - les sons sont tout aussi denses et mélodieux dans les deux méthodes d'exécution - vous pouvez également travailler sur la séquence sonore, en vous assurant que dans la deuxième option (avec mouvements multidirectionnels), chaque son entre immédiatement avec le force dynamique requise.

Après avoir réparti la fourrure dans la pièce, il est utile de s'entraîner à la changer dans certains endroits particulièrement difficiles. Cela doit être fait à l'amplitude d'ouverture à laquelle le changement se produira pendant l'exécution de la pièce. Dans ce cas, il faut obtenir non seulement une synchronisation technique du mouvement du soufflet et des doigts, mais aussi le son souhaité à cet endroit. Après avoir entendu après deux ou trois tentatives que le résultat est obtenu, il faut, en gardant le son sous contrôle auditif, répéter la technique (changement de soufflet) plusieurs fois. La mémoire musculaire mémorisera les mouvements nécessaires des deux mains.

IV. Conclusion.

Certains accordéonistes pensent qu'il n'est pas difficile de répartir le soufflet dans une pièce, mais comment le préserver pendant l'exécution, lorsque des écarts imprévus par rapport au plan d'exécution sont possibles ? Mais le fait est que répartir rationnellement et habilement les mouvements de fourrure n’est pas une tâche facile. Et si pendant l'exécution l'accordéoniste ressent certains désagréments dus à la distribution prévue ou est obligé de faire des efforts particuliers pour s'y conformer, alors la distribution a été effectuée sans succès et elle doit être revue. Le but de la répartition du mouvement de la fourrure est de faciliter la mise en œuvre de la tâche artistique, et non de la compliquer.

La fourrure ne pourra être finalement distribuée qu'à un stade relativement tardif du travail sur l'œuvre, lorsque sa structure, son plan dynamique, ses traits seront compris, lorsqu'elle sera jouée techniquement librement, au bon tempo. Toutes les distributions précédentes doivent être considérées comme provisoires. En revanche, on ne peut pas trop retarder la distribution, puisque les mouvements « planifiés » de la fourrure doivent s'établir dans le temps. Cela signifie qu'il est nécessaire de planifier le mécanisme non pas lorsque le jeu a été appris, mais lorsque les bases techniques de son exécution ont été définies. Et de plus, tout en continuant à améliorer le côté artistique et technique de l'exécution, il faut en même temps confirmer les mouvements prévus de la fourrure. Ce n'est que dans ce cas que la « fourrure lissée » entrera fermement dans la conscience de l'interprète et sera exécutée automatiquement.

La répartition des mouvements de fourrure est l'une des plus importantes tâches importantes quand l'accordéoniste travaille composition musicale. La qualité (résultat artistique) et la stabilité de l'interprétation lors des représentations publiques, ainsi que le bien-être psychologique du musicien, dépendent en grande partie de la justesse de sa décision.

BIBLIOGRAPHIE

1. Changement de mouvement de la fourrure.

2. À propos du changement dans le mouvement de la fourrure.

3. Démembrement de la musique et changement de direction dans le mouvement de la fourrure.

4. École de jeu de l'accordéon à boutons.

Marina d'Ozirnaïa

MBOU DOD « Ecole de Musique pour Enfants du nom. »

ASPECTS THÉORIQUES DES TECHNIQUES DE GESTION DES FOURRURES

AU BAYAN ET À L'ACCORDÉON

Introduction

L’un des principaux facteurs de la maîtrise d’un musicien est la culture d’une culture de reproduction d’une musique à part entière et esthétiquement agréable. beau son outil. Le son expressif est la base performance artistiqueœuvre musicale. Le célèbre pianiste et professeur soviétique Heinrich Neuhaus disait : « Le son est la matière même de la musique, son principe fondamental. » Par conséquent, les efforts de l’interprète doivent viser non seulement à développer la maîtrise des doigts, mais également à former un son expressif.

Les instruments de musique tels que l'accordéon à boutons et l'accordéon sont capables d'effectuer divers coups avec diverses nuances, créant ainsi un son plus fin, des contrastes dynamiques nets et une flexibilité dynamique expressive. Cependant, les capacités sonores de ces instruments ne peuvent être pleinement utilisées et révélées sans maîtriser la technique du soufflet.

Questions sur la technique du soufflet jouant sur l'accordéon à boutons et l'accordéon, en temps différent ont été résolus par d'éminents méthodologistes de l'enseignement national, tels que P. Gvozdev, B. Egorov, A. Onegin,

Y. Akimov, V. Lushnikov, I. Purits, F. Lips, A. Romanov, A. Krupin et bien d'autres interprètes. Dans son livre « L'art de jouer de l'accordéon », Friedrich Lips, grande attention se concentre spécifiquement sur les questions de propriété de la fourrure. Selon ses mots : « La fourrure remplit la fonction de poumons, « insufflant la vie » au travail effectué.

Il convient de noter que la science de la fourrure est associée à des questions aussi importantes en matière de technique d'exécution de l'accordéon à boutons et de l'accordéon que la production sonore et la science du son. F. Lips souligne également que : « La fourrure, sans exagération, est le principal moyen de parvenir à l'expression artistique. »

En termes de structure et de production sonore, l'accordéon à boutons et l'accordéon sont classés parmi les instruments à vent à clavier et à anche. Le processus de formation du son sur ces instruments se forme lorsque deux conditions sont remplies : le mouvement des doigts qui contrôlent les touches et la main gauche qui contrôle le mouvement du soufflet. Appuyer sur une touche ouvre la valve et le mouvement du soufflet crée un flux d'air sur celle-ci, qui fait vibrer l'anche métallique (ou la voix) et la fait ainsi sonner.

En ouvrant et en fermant les vannes à différentes vitesses, et en utilisant simultanément diverses méthodes de soufflet qui affectent l'intensité des flux d'air, l'étudiant commence, développe et complète le processus de sondage en le bon personnage et la dynamique. Ces deux éléments sont inextricablement liés et ne peuvent exister séparément. Par conséquent, l’étudiant doit comprendre les schémas de base, tant dans les actions des doigts que dans les méthodes de contrôle de la fourrure. Mais souvent, lors de l'interprétation d'une pièce, l'essentiel pour l'étudiant est simplement d'appuyer sur la bonne touche au bon rythme, et le contrôle du soufflet est à un niveau si bas qu'il se résume à une alimentation simple et primitive. d'air à la voix. À l'avenir, une telle attitude envers la fourrure deviendra un énorme obstacle à la performance expressive. Il est important de noter que le développement de la technique du soufflet dépend directement du degré de développement des perceptions auditives de l’élève et de son activité motrice.

Parmi les défauts les plus courants de la technique du soufflet figurent : les saccades du soufflet, le son incomplet, la grande amplitude d'actionnement du soufflet, le manque de progressivité dans le crescendo et le diminuendo.

Comme le souligne Joseph Puritz dans son livre « Articles méthodologiques sur l'enseignement de l'accordéon à boutons », le problème de l'interprétation expressive sur des sonorités calmes, dans les nuances du piano, où le contrôle actif le plus complexe, différencié et le plus techniquement complexe du soufflet est particulièrement pertinent. . C'est en jouant du piano que les coûts techniques liés à la technique du soufflet sont les plus visibles.

Dans la pratique pédagogique, on est aussi souvent confronté à un faible niveau technique de changement de direction de mouvement du soufflet, qui s'exprime par de grandes césures, un changement de notes sonores et dans les différences de niveaux dynamiques. La raison de ces lacunes est le manque de contrôle auditif nécessaire de la part de l'élève.

Ainsi, nous pouvons affirmer avec certitude que la formation et le développement de la technique du soufflet d’un élève sont un problème urgent dans la pédagogie accordéon-accordéon, dont le travail doit commencer dès les premiers cours. Dans le même temps, la tâche de l'enseignant est de s'assurer que l'élève atteigne un tel niveau de maîtrise des techniques de soufflet auquel il, sur la base de l'établissement de ses relations auditives-motrices, comprend ce que sont les techniques de soufflet et les méthodes de manipulation du soufflet. peut être utilisé pour obtenir le caractère sonore requis d’une œuvre d’instrument de musique particulière.

Le but de ce travail est d’examiner les aspects théoriques de la technique du soufflet jouant sur l’accordéon à boutons et l’accordéon, nécessaires à la formation des compétences d’interprétation de l’étudiant.

L'objectif a identifié les tâches suivantes :

· préciser les règles qui facilitent la maîtrise des techniques de manipulation des fourrures ;

· identifier les principales difficultés et erreurs rencontrées dans les techniques de la science de la fourrure ;

Méthodes de jeu moteur pour contrôler la fourrure sur l'accordéon à boutons et l'accordéon

Par où commencer le travail avec un étudiant pour maîtriser la technique de manipulation de la fourrure ? On peut répondre avec certitude à cette question en sachant que la formation des techniques de contrôle de la fourrure commence par la maîtrise des méthodes de contrôle de la fourrure par jeux moteurs, qui sont associées à assise rationnelle de l'étudiant, placement stable de l'instrument et position correcte de la main gauche.

I. Purits note que « le travail de maîtrise de la technique d'entraînement d'un soufflet doit être construit dès les premiers cours, en ne permettant pas que le contrôle du soufflet se fasse à un niveau intuitif. Pour ce faire, l'élève doit : contrôler le degré de tension de la fourrure ; établir un contact de la main avec la couverture du demi-corps gauche ; suivez la bonne trajectoire de la fourrure.

Ajustement correctétudiant, comme le souligne F. Lips, doit avoir trois points d'appui : l'appui sur la chaise, l'appui sur les pieds et l'appui dans le bas du dos. Vous devez vous asseoir devant la chaise. La hauteur de la chaise doit garantir que vos jambes sont positionnées à angle droit, légèrement écartées, avec votre jambe droite légèrement devant votre jambe gauche. Le corps du musicien doit être légèrement incliné vers l'avant. .

Mise en place de l'instrument doit assurer le confort de l’élève et la liberté de ses mouvements de jeu. Les bretelles doivent être soigneusement ajustées, la sangle droite étant légèrement plus longue que la gauche, ce qui permettra à la partie inférieure du demi-corps droit de reposer sur la cuisse droite et créera une stabilité pour les instruments lorsque le soufflet se comprime. B. Egorov souligne que : « Des ceintures trop lâches entraînent une instabilité de l'instrument (balancement) et provoquent une levée instinctive des épaules. » F. Lips, à son tour, souligne que : « Des ceintures serrées peuvent conduire au fait que l'accordéon à boutons sera en dans une plus grande mesure pendre à eux plutôt que de s'agenouiller.

La chambre du soufflet doit reposer fermement sur la hanche gauche, ce qui permet au corps gauche des instruments de bouger librement sans difficulté, alors qu'il est important de s'assurer que lors de l'ouverture et de la fermeture du soufflet, la jambe gauche ne se lève pas et les instruments ne bougent pas. se déplacer dans le sens de déplacement du soufflet.

Contrôlé par Mech main gauche, exercice de stress ce qui est extrêmement important en raison du jeu direct sur le clavier gauche. La longueur de la ceinture de travail gauche doit être ajustée de manière à ce que la main ne pende pas entre elle et le côté gauche du corps. Comme le note B. Egorov : « Une ceinture trop longue oblige l'interprète à plier le poignet de sa main gauche, et une ceinture trop courte gêne les mouvements du poignet.

Ainsi, avec une totale sensation de liberté, la main gauche doit être en contact permanent avec la ceinture et le demi-corps, ce qui permet de changer discrètement le soufflet (sans jeu-pause de la poussée) et d'assurer le meilleur amincissement du son.

Lors de l'ouverture du soufflet, le principal point d'appui de la main gauche est le poignet, et lors de la compression, le poignet et l'avant-bras. La technologie de déclenchement du soufflet s'effectue en redressant progressivement le bras gauche en l'étendant au niveau de l'articulation du coude. Après avoir amené la fourrure à peu près au milieu de son étirement, la partie supérieure les bras, c'est-à-dire que l'épaule cesse de bouger et que la seconde moitié du soufflet est déplacée jusqu'au bout avec un seul avant-bras, ainsi le bras se redresse à ce moment-là, se dépliant au niveau de l'articulation du coude. Lorsque vous maintenez le soufflet pour la compression, la séquence de mouvements de la main gauche sera inversée.

Concernant la trajectoire correcte du mouvement de la fourrure, il faut alors s'assurer que lors du jeu, la fourrure bouge en éventail, tandis que, comme A. Krupin et

A. Romanov : « La méchologie doit être réalisée non pas selon le principe « gauche-droite », mais « gauche-bas et droite-haut », ce qui permet d'utiliser l'énergie potentielle inhérente au demi-corps gauche de ces instruments, qui est dans une position élevée. Le mouvement en forme d'éventail du soufflet facilite une arrivée d'air uniforme et assure une position stable des instruments pendant le jeu.

Technique de la fourrure

En termes d'importance, la science de la fourrure peut être comparée à la respiration d'un chanteur ou à la tenue de l'archet lorsqu'il joue du violon. Toute la polyvalence des nuances dynamiques sur l'accordéon à boutons et l'accordéon dépend directement de la nature de l'alimentation en air du soufflet. Ainsi, chaque nuance, même la plus subtile, doit être reflétée par les mouvements appropriés de la fourrure.

Les composants de la technologie de la fourrure sont :

Techniques pour jouer avec la fourrure - desserrage et pressage ;

Types de manipulations de soufflets - desserrage soufflet complet, desserrage soufflet jusqu'à la limite, jeu avec les « soufflets courts » ;

Techniques d'entretien de la fourrure - la fourrure est constamment tendue et la fourrure palpite ;

Façons de modifier le mouvement de la fourrure - perceptibles à l'oreille et invisibles à l'oreille ;

Répartition de la fourrure - division du discours musical, vitesse de déplacement de la fourrure ;

Méthodes de dribble à soufflet – dribble en douceur, mouvement d'accélération et de décélération, saccades à soufflet, dribble en pointillés, trémolo à soufflet, vibrato.

Ainsi, pour qu'un étudiant maîtrise la technique de manipulation de la fourrure, l'enseignant doit se concentrer sur la résolution de trois tâches principales :

Premièrement, enseigner la manipulation correcte et le changement correct de direction de mouvement de la fourrure,

Deuxièmement, enseigner la bonne répartition du soufflet, c'est-à-dire l'alternance d'ouverture et de fermeture du soufflet selon la division de la parole musicale ;

Troisièmement, enseignez différentes façons de manipuler la fourrure.

La réussite de la résolution de ces problèmes dépend à la fois du degré de désir de l'élève de maîtriser lui-même la technique de manipulation du soufflet, ainsi que de son contrôle auditif et du développement de la motricité de la main gauche.

2.1. Techniques pour jouer avec la fourrure. Techniques de manipulation de la fourrure.

Il existe deux méthodes principales pour jouer avec le soufflet de l'accordéon à boutons et de l'accordéon : le desserrage et la compression.

Il existe deux méthodes principales de gestion de la fourrure :

1) le soufflet est constamment tendu (continu) dans lequel il n'y a pas de poussées, de secousses, de « cris » ou de forçages sonores, ce qui permet de ressentir la vitesse du mouvement du soufflet, la douceur et l'uniformité de son mouvement ;

2) soufflet pulsé, lorsque des harmonies individuelles sont exécutées avec un certain arrêt dans le mouvement du soufflet.

La variété des pièces nécessite l'utilisation d'une méthode spécifique de conduite de la fourrure. Ainsi, par exemple, dans les œuvres à la sonorité large et mélodieuse ou à la texture polyphonique, le soufflet est en tension constante. Lorsque vous jouez de la musique au rythme aigu ou syncopé, qui nécessite l'isolement d'accords et d'harmonies individuels, le soufflet doit vibrer. Il existe également des œuvres où ces deux techniques de jeu avec la fourrure sont utilisées ensemble.

2.2. Types de gestion de la fourrure

A. Onéguine, l'auteur de la célèbre « École de jeu de l'accordéon », attire l'attention sur le fait que : « Dans la technique du soufflet, il existe des concepts tels que : la décompression complète du soufflet, la décompression partielle du soufflet ou le jeu le « soufflet court » et la décompression du soufflet à la limite.

Le relâchement complet du soufflet se produit lorsque le soufflet est largement étiré, mais pas jusqu'à la limite. Le recours à la décompression complète du soufflet est inévitable lors de l'exécution d'œuvres musicales à caractère polyphonique, cantilènes, ou avec une forte augmentation de la sonorité ou avec une respiration large.

Jouer avec un « soufflet court » demande moins d’effort physique et les mains sont moins tendues. Sur un « soufflet court », il est plus pratique de jouer de la musique active, par exemple de la musique de danse ou de marche.

La plus grande stabilité des instruments et le meilleur contact avec eux sont obtenus avec des amplitudes d'ouverture moyennes et courtes du soufflet.

Jouer en dépliant le soufflet jusqu'à la limite au cours de la période initiale n'est pas souhaitable, car cela augmente la charge sur la main gauche, ce qui complique la capacité de contrôler le soufflet avec flexibilité, complique le mouvement des doigts de la main gauche et entraîne également un affaiblissement et interruption du son. Mais l'utilisation d'une grande amplitude d'expansion du soufflet est nécessaire lors de l'exécution d'œuvres qui se distinguent par une plus grande sonorité et nécessitent une durée sonore importante. Lorsque vous étendez le soufflet jusqu’à la limite, celui-ci doit être guidé selon un léger arc « vers vous », que la main gauche décrit autour du corps de l’interprète. De cette façon, une largeur de respiration maximale est obtenue. Lorsqu'on déplace le soufflet en ligne droite ou loin de soi, l'amplitude du déclenchement est inévitablement limitée par la longueur du bras gauche, ce qui entraîne des changements de soufflet plus fréquents, ce qui n'est pas souhaitable.

Dans chaque cas spécifique, vous devez rechercher Meilleure option mouvements de fourrure en fonction du contenu artistique et de la nature de l'œuvre.

Il est important de rappeler que jouer avec un soufflet trop « large », privant la ligne mélodique de césure, ainsi que des changements fréquents de sens de déplacement du soufflet hors césure naturelle, entraînent une distorsion du principe de diviser le discours musical selon son sens, et donc à un changement dans son interprétation.

B. Poteryayev estime que : « Lors de l'exécution d'œuvres musicales, le changement de direction du mouvement du soufflet remplit deux fonctions : il démembre la parole musicale et affecte dynamiquement le début des constructions. » Il est donc important d'apprendre à l'étudiant à maîtriser à la fois le déclenchement complet du soufflet et son déclenchement partiel, dont le choix est déterminé par un morceau de musique spécifique.

2.3. Façons de modifier le mouvement de la fourrure

Il faut dire que dans la période initiale d'entraînement, un changement de sens de déplacement de la fourrure,

Cela semble à l'étudiant une action simple et compréhensible, mais plus tard, avec l'augmentation des tâches artistiques, cette technique technique devient pour lui l'une des tâches techniques complexes.

Le changement correct du soufflet est l'une des conditions les plus importantes pour une interprétation compétente des œuvres musicales. Yu. Akimov dans son manuel « École de jeu de l'accordéon » décrit deux façons de modifier le mouvement du soufflet :

Perceptible à l'oreille ;

Invisible à l'oreille.

Un changement audible dans le mouvement de la fourrure est utilisé :

Quand cela coïncide avec le début de motifs, de phrases, de phrases et autres éléments structurels, ce qui à son tour contribue à la division naturelle de la mélodie et à la « prise de souffle », mais une condition importante est l'inadmissibilité des secousses du soufflet ;

Lorsque vous devez mettre en évidence l’emphase, la syncope ou le point culminant.

Un changement auditivement imperceptible dans le mouvement du soufflet est important lors de l'exécution d'une polyphonie imitative et de travaux avec de très grandes phrases ou des sons soutenus. Dans de tels travaux, plusieurs options pour modifier le mouvement de la fourrure peuvent être utilisées :

Avant le rythme fort d'un bar ;

Avant l'accent ;

Avant le point culminant ;

Dans un moment de pause.

Il est important de noter que c'est le changement imperceptible du mouvement du soufflet qui permet de ne pas perturber le développement de l'idée musicale de l'œuvre.

Avec un son soutenu, un changement imperceptible du soufflet est obtenu à condition qu'avant et au moment du changement de direction du soufflet, une position inchangée de la main sous la ceinture gauche soit maintenue.

La maîtrise par l'étudiant des changements visibles et imperceptibles dans le mouvement du soufflet sont des éléments importants de la technique du soufflet. C'est le changement habile dans la direction du mouvement du soufflet qui est l'un des principaux indicateurs qualitatifs de la culture d'interprétation d'un accordéoniste et d'un accordéoniste.

Pour obtenir le changement correct dans le mouvement de la fourrure, l’étudiant doit prêter une attention particulière aux éléments suivants :

Lors du changement de mouvement du soufflet, la pensée musicale ne doit pas être interrompue ;

Ne laissez pas une secousse involontaire et brusque pendant un court instant de rotation du soufflet

Maintenir pleinement la durée du son sans lui permettre de se raccourcir ;

Maintenir une régularité rythmique en jouant de petites notes, sans accélération ni agitation ;

La dynamique après changement de fourrure ne doit pas changer s'il n'y a pas de contraste dynamique et ne pas perturber la progression en diminuendo et crescendo.

2.4. Distribution de fourrure

La réflexion sur la problématique de la répartition de la fourrure est associée à la solution de deux problèmes : le premier est de déterminer correctement les endroits où le sens de déplacement de la fourrure change dans le travail et le second est de maîtriser le contrôle de la tension de la fourrure. lors de l'expansion et de la compression.

M. Oberyukhtin dans son article « Le démembrement de la musique et le changement de sens de mouvement du soufflet » indique que : « La prononciation expressive compétente de la parole musicale dépend précisément de la définition du moment naturel pour chaque pensée musicale de changement de direction de mouvement du soufflet comme facteur de son démembrement.

Généralement, erreurs typiques dans la distribution des fourrures lors de l'exécution des travaux sont :

Il n’y a pas assez de soufflets à presser pour achever avec précision la construction musicale. La première raison était que la fourrure était faible ; la deuxième raison est que la fourrure compressée a été « pressée » ;

Le soufflet se dilate jusqu'à la limite en raison de la consommation élevée d'air, en conséquence, le développement dynamique est perturbé et un à-coup injustifié du soufflet pour se comprimer se produit ;

Le soufflet est changé avant la fin des phrases, ce qui déforme le « souffle » naturel de la parole musicale ;

Incapacité de supprimer le son pendant de courtes durées.

Ces erreurs sont dues à un faible contrôle auditif de l’élève et à un développement insuffisant de la motricité de la main gauche.

V. Lushnikov écrit : « Lorsqu'il joue sur un soufflet plein ou « court », il est important que l'élève apprenne non seulement à ressentir les limites du son des constructions musicales pour l'expansion et la compression, mais aussi à réguler correctement la force de l'air. fournir.

Il convient de noter que parmi tant d'autres caractéristiques spécifiques Ce qui suit s'applique également à l'accordéon à boutons et à l'accordéon : avec un mouvement équivalent du soufflet dans les deux sens, le son à l'ouverture est un peu plus fort que lorsqu'il est comprimé. En conséquence, un plus grand volume de matériau musical est joué lorsqu'il est desserré que lorsqu'il est compressé, et avec la nuance ff, une fois le soufflet desserré, une certaine baisse de la dynamique en compression se fait sentir.

Ces compétences en science de la fourrure exigent que l'interprète effectue des calculs précis pour contrôler la fourrure. Pendant le jeu, il est important d'utiliser habilement l'alimentation en air du soufflet, c'est-à-dire d'obtenir la résistance et la qualité sonore nécessaires tout en utilisant l'air qu'il contient avec parcimonie. Le soufflet ne doit pas être amené aux limites extrêmes de dilatation et de compression pour éviter les manques d'air et les chocs lors du changement du soufflet. En d’autres termes, l’élève doit apprendre à « sentir la fourrure ».

Un certain nombre de facteurs doivent être pris en compte dans la répartition des mouvements de la fourrure :

Un moment propice pour modifier le mouvement du soufflet peut être le début des constructions musicales - motifs, phrases, phrases, sections de parties ;

Le changement de soufflet entre forte et piano (l'effet « écho ») rend le contraste des formations plus impressionnant ;

Dans les grandes phrases et les sons soutenus, il faut changer le mouvement du soufflet avant le fort battement de la mesure ;

Dans les œuvres polyphoniques et de grande forme, un changement de direction du soufflet est nécessaire au moment où le thème entre, ce qui rend son apparition plus perceptible ;

Au fur et à mesure que vous apprenez l'œuvre, des ajustements sont autorisés dans le transfert du changement de soufflet entre les motifs et les phrases, en fonction du changement de tempo.

Par conséquent, l'étudiant doit savoir non seulement comment changer le soufflet d'un morceau particulier, mais aussi où il est préférable de le faire pour ne pas perturber la structure logique de la ligne mélodique et comment « calculer » correctement la force de sa ligne mélodique. tension.

Lorsqu'il travaille sur la distribution des fourrures, Viktor Bryzgalin distingue trois étapes : initiale, de travail (ajustement) et finale.

· Première étape comprend l'analyse et la détermination des endroits de l'œuvre favorables à la modification du mouvement du soufflet, à partir de la division de la parole musicale.

· L'étape de travail (ajustement) vise à corriger le changement de fourrure, car l'amélioration constante des performances, la recherche de nouvelles solutions performantes conduisent à des changements de ligne, de tempo, de dynamique dans le jeu et, par conséquent, à une répartition différente de la fourrure. . Il est pris en compte que plus le tempo est rapide, plus le segment sémantique (ou plusieurs segments) s'insère dans le mouvement du soufflet dans une direction ou, comme disent aussi les musiciens, « par soufflet ». Dans le même temps, l'installation est maintenue de telle sorte que chaque partie doit se terminer par la compression du soufflet et que la partie suivante doit commencer par le relâchement, comme si « à partir de la ligne rouge ».

· La dernière étape est la consolidation du changement exact de fourrure grâce à la connexion de toutes les parties de l'œuvre en un tout.

La musique polyphonique nécessite une répartition particulière des soufflets, étant donné que, compte tenu de la nature spécifique de l'accordéon à boutons et de l'accordéon, il est impossible d'y interpréter toutes les voix sans rompre leur ligne mélodique et phrasée en changeant le soufflet. Par conséquent, la répartition de la fourrure est déterminée par la voix principale - le thème de la fugue ou la mélodie solo de l'interlude. Ainsi, la priorité de la voix mélodique principale oblige les autres voix à « s’adapter » à elle, les brisant par un changement forcé de soufflet.

2.5. Méthodes de gestion de la fourrure

Les méthodes de manipulation du soufflet affectent le caractère et la force du son. I. Purits souligne : « La tâche principale d'un étudiant maîtrisant les méthodes de manipulation du soufflet est de développer les sensations associées aux différents modes (degrés) de tension du soufflet et les résultats sonores obtenus en fonction de ceux-ci. En se concentrant sur les mouvements de la fourrure et en comparant les sensations physiques avec le résultat sonore, l'élève développe les compétences motrices-auditives nécessaires au contrôle souple de la dynamique sonore.

Les principales méthodes de guidage du soufflet, décrites par B. Egorov dans son article « Sur la question de la systématisation des coups d'accordéon », comprennent : même le guidage ; accélération ou décélération du mouvement de la fourrure ; secousse de fourrure; trémolo à soufflet ; vibrato; plomb pointillé.

Le mouvement fluide du soufflet pendant l'expansion ou la compression est obtenu par une vitesse de mouvement constante du soufflet, due à la force constante et égale de la main gauche, qui crée un niveau constant de pression du flux d'air sur les anches. Le guidage fluide est dû à la nécessité d'obtenir une sonorité uniforme et identique, ce qui est possible dans toutes les gradations dynamiques de base de pp à ff.

Il convient de noter qu'avec cette méthode de science de la fourrure, les étudiants sont souvent confrontés à l'erreur selon laquelle, lors du changement de direction du mouvement de la fourrure, la préservation d'une dynamique uniforme n'est pas observée. La raison en est la formation d'une « poussée » dynamique due aux différents efforts de la main gauche lors de l'ouverture et de la fermeture du soufflet.

L'accélération et la décélération du mouvement du soufflet, résultant de l'augmentation ou de l'affaiblissement de la tension du soufflet, sont utilisées lorsqu'il est nécessaire d'obtenir une augmentation ou une diminution uniforme du son. Les nuances dynamiques du crescendo et du diminuendo sur l'accordéon à boutons et l'accordéon sont obtenues précisément en recourant à cette méthode de jeu à soufflet. Un point essentiel est que l'étudiant se rende compte que les changements de niveau de dynamique dépendent de la nature du soufflet, du degré de sa tension, et non de la densité du toucher sur les touches. Ce fait aidera à éviter une augmentation de la densité du toucher (touch), ce qui conduit à une utilisation irrationnelle de l'énergie, à une rigidité de la machine de jeu et à une rugosité du jeu. Remarque : pour obtenir un glissando non tempéré, c'est précisément un appui incomplet sur la touche combiné à un guidage accru du soufflet qui conduit à une hauteur plus grave.

Comme le souligne F. Lips : « Un point très important est la capacité de répartir crescendo et diminuendo sur la longueur requise du matériel musical. Les lacunes les plus courantes à cet égard sont les suivantes :

· Le crescendo ou le diminuendo nécessaires sont exécutés si lentement, mollement, qu'ils ne sont presque pas ressentis.

· La dynamique de renforcement (affaiblissement) s'effectue non pas poco a poco, mais par sauts, en alternance avec une dynamique égale.

· Crescendo n'atteint pas le volume requis et, par conséquent, ne conduit pas au point culminant.

Pour éviter ces défauts, l'étudiant doit contrôler très soigneusement

lyrate les efforts de la main gauche appliqués sur le soufflet.

Dans la pratique du spectacle, il existe également une technique de jeu qui combine simultanément l'accélération et la décélération du mouvement du soufflet (c'est-à-dire crescendo et diminuendo) sur un son ou une consonance, appelée amincissement. Traduit du français mot donné signifie « tirer un son ». L'archivage peut être utilisé pour raviver un son long au sein d'une phrase, en cantilène sur le son ou l'accord final prolongé, et même sur de courtes durées, lorsqu'il est nécessaire de « éteindre » brusquement le son.

Ruée vers la fourrure effectué avec un mouvement court et brusque de la main gauche. Un coup de soufflet est nécessaire lors de la captation ou de la suppression d'un son, d'une consonance avec un accent, pour un affichage vivant du point culminant, effectuant une syncope, subito forte, sforzando, coups marcato, martele. Usage cette technique possible à une grande variété de niveaux sonores dynamiques.

Les étudiants apprennent généralement la technique dynamique du sforzando relativement facilement s'ils sont suivis d'un diminuendo. Il est beaucoup plus difficile de pratiquer une contrainte dynamique puis de maintenir la force de la sonorité, qui est obtenue par une tension uniforme et forte du soufflet après une secousse. Une compétence encore plus complexe est la combinaison du sforzando avec l'amincissement ultérieur du son en sreschendo, qui est obtenu en changeant successivement la dynamique d'un son ou d'une consonance : sforzando - subito piano - sreschendo - forte.

Mine pointillée fourrure– entraîner le soufflet dans un sens, c'est-à-dire se dilater ou se comprimer, en alternance avec son arrêt complet. Cette méthode de conduite à soufflet est utilisée lorsqu'il est nécessaire d'effectuer une séquence accentuée de plusieurs sons ou harmonies. La fin du son s'effectuera soit avec le soufflet seul, soit avec le soufflet et les doigts en même temps. Cette méthode La méchologie est utilisée lors de la lecture de musique rythmée ou syncopée, ce qui nécessite l'isolement des accords et des harmonies individuels.

Soufflet trémolo– changement rapide et périodique des modes du soufflet « desserrer » - « presser » sur le son ou la consonance. Dans le même temps, le début et la fin du son sont effectués par le soufflet, puisque les doigts maintiennent enfoncées les touches nécessaires pendant cette période. Une variante de cette technique est détachée, dans laquelle un changement de direction de mouvement du soufflet pour chaque nouveau son se produit simultanément à la transition des doigts vers les touches correspondantes.

Vibrato- vibrations sonores fréquentes. Traduit du latin par « tremblant ». Il existe de nombreuses options pour exécuter un vibrato, à la fois avec la main droite et la main gauche. Le vibrato exécuté par la main gauche est directement lié aux mouvements du soufflet. Il existe deux options pour le vibrato à fourrure : la première est une vibration rapide de la paume de la main gauche et la seconde est de légers coups avec toute la paume sur la moitié gauche du corps à divers points du coin du clavier.

Conclusion

La maîtrise réussie des techniques de manipulation de la fourrure enrichit considérablement votre arsenal moyens expressifs accordéon à boutons et accordéon. Grâce au soufflet, vous pourrez profiter pleinement des capacités sonores de ces instruments.

Une posture rationnelle, un positionnement stable de l'instrument et une position correcte de la main gauche sont des conditions nécessaires pour un contrôle réussi du soufflet.

Le développement des techniques de manipulation de la fourrure doit débuter dès les premiers cours et se poursuivre à toutes les étapes de la formation, en faisant activement appel au contrôle auditif et à la motricité de l’élève.

Les types, les techniques de soufflet et les méthodes de modification du mouvement du soufflet sont déterminés par la nature de chaque morceau de musique spécifique et son genre.

Les endroits où la direction du mouvement du soufflet change sont déterminés par la division du discours musical en motifs, phrases, phrases, parties, ainsi que par la prise du « souffle » naturel ou de la logique du développement de la pensée musicale.

La répartition de la fourrure, c'est-à-dire l'intensité de son exécution, est déterminée par le développement dynamique, les nuances et les traits de l'œuvre. La prévenance et la minutie dans la répartition des fourrures sont garantes non seulement d'un jeu stable, d'un sentiment de confiance psychologique et de confort dans le processus de représentation, mais également d'un signe du professionnalisme et de la culture de l'interprète.

Des jeux de nature différente nécessitent la maîtrise de certaines méthodes de conduite de la fourrure. La maîtrise des techniques du soufflet est la capacité d'un accordéoniste et d'un accordéoniste à utiliser une gamme dynamique - du pianissimo au fortissimo ; dosage fin diminuendo et crescendo ; c'est la maîtrise des traits - du plus mélodieux au plus accentué et clair.

Ainsi, la maîtrise de la technique du soufflet contribue à la formation des compétences d’interprétation de l’étudiant, à la performance expressive, à la divulgation vivante du contenu d’une œuvre musicale, ainsi qu’à l’activité créatrice réussie du futur musicien, amateur et professionnel.

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INSTITUTION BUDGÉTAIRE MUNICIPALE
FORMATION COMPLÉMENTAIRE "UINSKAYA"
ÉCOLE DES ARTS POUR ENFANTS"

Rapport méthodologique

« Travailler sur la technique de maintien de la fourrure

accordéon à boutons et accordéon.

Compilé par:

Shaydullina Liliya Rafikovna , professeur je catégorie de qualification

MBU DO "École d'art pour enfants d'Uinskaya"

2017

Travail sur la technique du soufflet jouant à l'accordéon à boutons et à l'accordéon

Le son expressif est la base de l'interprétation artistique d'une œuvre musicale. Par conséquent, les efforts de l’interprète doivent viser non seulement à développer la maîtrise des doigts, mais également à former un son expressif. Les instruments de musique tels que l'accordéon à boutons et l'accordéon sont capables d'effectuer divers coups avec diverses nuances, créant ainsi un son plus fin, des contrastes dynamiques nets et une flexibilité dynamique expressive. Cependant, les capacités sonores de ces instruments ne peuvent être pleinement utilisées et révélées sans maîtriser la technique du soufflet. Il convient de noter que la science de la fourrure est associée à des questions aussi importantes en matière de technique d'exécution de l'accordéon à boutons et de l'accordéon que la production sonore et la science du son. Dans son livre «L'art de jouer du Bayan», Friedrich Lips accorde une grande attention aux questions de. posséder un soufflet. Selon ses mots : « La fourrure remplit la fonction de poumons, « insufflant la vie » au travail effectué.

Dans la pratique pédagogique, on est également souvent confronté à un faible niveau technique de changement dans la direction du mouvement du soufflet, qui se traduit par de grandes césures, des changements dans les notes sonores et des changements dans les niveaux dynamiques. La raison de ces lacunes est le manque de contrôle auditif nécessaire de la part de l'élève.

Méthodes de jeu moteur pour contrôler la fourrure sur l'accordéon à boutons et l'accordéon

Par où commencer le travail avec un étudiant pour maîtriser la technique de manipulation de la fourrure ? On peut répondre avec certitude à cette question en sachant que la formation des techniques de contrôle de la fourrure commence par la maîtrise des méthodes de contrôle de la fourrure par jeux moteurs, qui sont associées àassise rationnelle de l'étudiant, placement stable de l'instrument et position correcte de la main gauche.

Position assise correcte des étudiants , comme le souligne F. Lips, doit avoir trois points d'appui : l'appui sur la chaise, l'appui sur les pieds et l'appui dans le bas du dos. Vous devez vous asseoir devant la chaise. La hauteur de la chaise doit garantir que vos jambes sont positionnées à angle droit, légèrement écartées, avec votre jambe droite légèrement devant votre jambe gauche. Le corps du musicien doit être légèrement incliné vers l'avant.

Mise en place de l'instrument doit assurer le confort de l’élève et la liberté de ses mouvements de jeu. Les bretelles doivent être soigneusement ajustées, la sangle droite étant légèrement plus longue que la gauche, ce qui permettra à la partie inférieure du demi-corps droit de reposer sur la cuisse droite et créera une stabilité pour les instruments lorsque le soufflet se comprime. Des sangles trop lâches rendent l'instrument instable (balancement) et provoquent un soulèvement instinctif des épaules. À leur tour, des ceintures serrées peuvent conduire au fait que l'accordéon à boutons s'accrochera davantage à elles qu'à vos genoux. La chambre du soufflet doit reposer fermement sur la hanche gauche, ce qui permet au corps gauche des instruments de bouger librement sans difficulté, alors qu'il est important de s'assurer que lors de l'ouverture et de la fermeture du soufflet, la jambe gauche ne se lève pas et les instruments ne bougent pas. se déplacer dans le sens de déplacement du soufflet.

Fourrure contrôlémain gauche, La charge physique est extrêmement élevée, en raison du jeu direct sur le clavier gauche. La longueur de la ceinture de travail gauche doit être ajustée de manière à ce que la main ne pende pas entre elle et le côté gauche du corps. Une ceinture trop longue oblige l'artiste à plier le poignet gauche, tandis qu'une ceinture trop courte limitera le mouvement du poignet. Ainsi, avec une totale sensation de liberté, la main gauche doit être en contact permanent avec la ceinture et le demi-corps, ce qui permet de changer discrètement le soufflet (sans jeu-pause de la poussée) et d'assurer le meilleur amincissement du son.

Lors de l'ouverture du soufflet, le principal point d'appui de la main gauche est le poignet, et lors de la compression, le poignet et l'avant-bras. La technologie de déclenchement du soufflet s'effectue en redressant progressivement le bras gauche en l'étendant au niveau de l'articulation du coude. Après avoir amené le soufflet approximativement au milieu de son étirement, la partie supérieure du bras, c'est-à-dire l'épaule, cesse de bouger, et la seconde moitié du soufflet est étendue jusqu'au bout avec un seul avant-bras, ainsi le bras se redresse à ce moment-là, se dépliant au niveau de l'articulation du coude. Lorsque vous maintenez le soufflet pour la compression, la séquence de mouvements de la main gauche sera inversée.

Concernantla trajectoire correcte du mouvement de la fourrure, il faut alors s'assurer que lors du jeu, la fourrure bouge en éventail. L'ingénierie mécanique doit être réalisée non pas selon le principe « gauche-droite », mais « gauche-bas et droite-haut », ce qui permet d'utiliser l'énergie potentielle inhérente au demi-corps gauche de ces instruments, qui est en position élevée. Le mouvement en forme d'éventail du soufflet facilite une arrivée d'air uniforme et assure une position stable des instruments pendant le jeu.

Technique de la fourrure