Quels types d’instruments à vent existe-t-il ? Types d'instruments à vent

Les instruments de musique sont conçus pour produire divers sons. Si le musicien joue bien, alors ces sons peuvent être appelés musique, sinon, alors cacaphonie. Il y a tellement d'outils que les apprendre est comme jeu passionnant pire que Nancy Drew ! Dans la pratique musicale moderne, les instruments sont divisés en différentes classes et familles selon la source du son, le matériau de fabrication, la méthode de production du son et d'autres caractéristiques.

Instruments de musique à vent (aérophones) : groupe instruments de musique, dont la source sonore est constituée des vibrations de la colonne d'air dans l'alésage du canon (tube). Ils sont classés selon de nombreux critères (matériau, conception, méthodes de production sonore, etc.). DANS orchestre symphonique Le groupe des instruments de musique à vent est divisé en bois (flûte, hautbois, clarinette, basson) et en cuivre (trompette, cor, trombone, tuba).

1. La flûte est un instrument de musique à vent. Le type moderne de flûte traversière (à pistons) a été inventé par le maître allemand T. Boehm en 1832 et comporte des variétés : petite flûte (ou flûte piccolo), flûte alto et basse.

2. Le hautbois est un instrument de musique à anche en bois. Connu depuis le 17ème siècle. Variétés : petit hautbois, hautbois d'amour, cor anglais, heckelphone.

3. La clarinette est un instrument de musique à anche en bois. Construit au début 18ème siècle Dans la pratique moderne, les clarinettes soprano, la clarinette piccolo (piccolo italien), l'alto (appelé cor de basset) et les clarinettes basses sont utilisées.

4. Basson - un instrument de musique à vent (principalement orchestral). Survenu en 1ère mi-temps. 16e siècle La variété de basse est le contrebasson.

5. Trompette - un instrument de musique à vent et à embouchure en cuivre, connu depuis l'Antiquité. Le type moderne de tuyau de valve développé vers le gris. 19ème siècle

6. Corne – un instrument de musique à vent. Apparu à la fin du XVIIe siècle suite au perfectionnement du cor de chasse. Le type moderne de klaxon à pistons a été créé dans le premier quart du 19e siècle.

7. Trombone - un instrument de musique à cuivres (principalement orchestral), dans lequel la hauteur du son est régulée par un dispositif spécial - un coulisseau (appelé trombone coulissant ou zugtrombone). Il existe également des trombones à pistons.

8. Le tuba est l'instrument de musique en cuivre qui sonne le plus bas. Conçu en 1835 en Allemagne.

Les métallophones sont un type d'instrument de musique dont l'élément principal est constitué de touches plates frappées avec un marteau.

1. Instruments de musique à sonorité automatique (cloches, gongs, vibraphones, etc.), dont la source sonore est leur corps métallique élastique. Le son est produit à l'aide de marteaux, de bâtons et de batteurs spéciaux (langues).

2. Des instruments tels que le xylophone, contrairement à ceux dont les plaques du métallophone sont en métal.


Instruments de musique à cordes (cordophones) : selon la méthode de production sonore, ils sont divisés en instruments à cordes frottées (par exemple, violon, violoncelle, gidzhak, kemancha), pincés (harpe, gusli, guitare, balalaïka), percussions (dulcimer), percussions -clavier (piano), pincé -claviers (clavecin).


1. Le violon est un instrument de musique à 4 cordes. Le registre le plus élevé de la famille des violons, qui constituait la base de l'orchestre symphonique classique et du quatuor à cordes.

2. Le violoncelle est un instrument de musique de la famille des violons du registre basse-ténor. Apparu aux XVe-XVIe siècles. Modèles classiques créé Maîtres italiens 17-18 siècles : A. et N. Amati, G. Guarneri, A. Stradivari.

3. Gidzhak - instrument de musique à cordes (tadjik, ouzbek, turkmène, ouïghour).

4. Kemancha (kamancha) - un instrument de musique à archet à 3-4 cordes. Distribué en Azerbaïdjan, en Arménie, en Géorgie, au Daghestan ainsi que dans les pays du Moyen-Orient.

5. La harpe (de l'allemand Harfe) est un instrument de musique à plusieurs cordes pincées. Premières images - au troisième millénaire avant JC. Sous sa forme la plus simple, on le trouve dans presque tous les pays. La harpe à pédales moderne a été inventée en 1801 par S. Erard en France.

6. Gusli est un instrument de musique russe à cordes pincées. Les psaltères en forme d'ailes (« annelés ») ont 4 à 14 cordes ou plus, celles en forme de casque - 11 à 36, rectangulaires (en forme de table) - 55 à 66 cordes.

7. Guitare (espagnol guitarra, du grec cithare) - à cordes instrument pincé type de luth. Connu en Espagne depuis le XIIIe siècle, il s'est répandu aux XVIIe et XVIIIe siècles dans les pays d'Europe et d'Amérique, notamment comme instrument folklorique. Depuis le XVIIIe siècle, la guitare à 6 cordes est devenue couramment utilisée ; la guitare à 7 cordes s'est répandue principalement en Russie. Les variétés incluent ce qu'on appelle le ukulélé ; en moderne musique pop une guitare électrique est utilisée.

8. La balalaïka est un instrument de musique folklorique russe à 3 cordes pincées. Connu depuis le début. 18ème siècle Amélioré dans les années 1880. (sous la direction de V.V. Andreev) V.V. Ivanov et F.S. Paserbsky, qui ont conçu la famille des balalaïkas, et plus tard - S.I. Nalimov.

9. Cymbales (polonais : cymbaly) - un instrument de musique à percussion à plusieurs cordes origine ancienne. Inclus dans orchestres folkloriques Hongrie, Pologne, Roumanie, Biélorussie, Ukraine, Moldavie, etc.

10. Piano (pianoforte italien, de forte - fort et piano - silencieux) - Nom commun instruments de musique à clavier avec mécanique à marteaux (piano à queue, piano droit). Le piano a été inventé au début. 18ème siècle Apparence type moderne piano - avec ce qu'on appelle double répétition - remonte aux années 1820. L'apogée du piano - 19-20 siècles.

11. Clavecin (clavecin français) - un instrument de musique à cordes pincées au clavier, le prédécesseur du piano. Connu depuis le 16ème siècle. Il y avait des clavecins de différentes formes, types et variétés, notamment la cymbale, le virginel, l'épinette et le clavicytherium.

Instruments de musique à clavier : un groupe d'instruments de musique unis par une caractéristique commune : la présence d'une mécanique à clavier et d'un clavier. Ils sont divisés en différentes classes et types. Les instruments de musique à clavier peuvent être combinés avec d’autres catégories.

1. Cordes (claviers à percussion et claviers à cordes pincées) : piano, célesta, clavecin et ses variétés.

2. Cuivres (clavier-vent et anche) : orgue et ses variétés, harmonium, accordéon à boutons, accordéon, mélodica.

3. Électromécanique : piano électrique, clavinet

4. Électronique : piano électronique

piano (fortepiano italien, de forte - fort et piano - silencieux) est le nom général des instruments de musique à clavier avec mécanique à marteaux (piano à queue, piano droit). Il a été inventé au début du XVIIIe siècle. L'émergence d'un type de piano moderne - avec ce qu'on appelle. double répétition - remonte aux années 1820. L'apogée du piano - 19-20 siècles.

Instruments de musique à percussion : un groupe d'instruments unis par la méthode de production sonore - impact. La source du son est un corps solide, une membrane, une corde. Il existe des instruments à hauteur définie (timbales, cloches, xylophones) et indéfinie (tambours, tambourins, castagnettes).


1. Timpani (timbales) (du grec polytaurea) est un instrument de musique à percussion en forme de chaudron avec une membrane, souvent appariée (nagara, etc.). Distribué depuis l'Antiquité.

2. Bells - un instrument de musique à percussion orchestrale au son autonome : un ensemble de disques métalliques.

3. Xylophone (de xylo... et du grec phone - son, voix) - un instrument de musique à percussion et à sonorité autonome. Se compose d'une série blocs de bois différentes longueurs.

4. Tambour - un instrument de musique à membrane de percussion. On en trouve des variétés chez de nombreux peuples.

5. Tambourin - un instrument de musique à percussion à membrane, parfois avec des pendentifs métalliques.

6. Castagnettes (espagnol : castanetas) - instrument de musique à percussion ; plaques de bois (ou de plastique) en forme de coquilles, fixées sur les doigts.

Instruments électromusicaux : instruments de musique dans lesquels le son est créé en générant, en amplifiant et en convertissant des signaux électriques (à l'aide d'équipements électroniques). Ils ont un timbre unique et peuvent imiter divers instruments. Les instruments de musique électriques comprennent le thérémine, l'émiriton, la guitare électrique, les orgues électriques, etc.

1. Theremin est le premier instrument électromusical domestique. Conçu par L. S. Theremin. Le pas d'un thérémine varie en fonction de la distance main droite interprète à l'une des antennes, volume - de la distance de la main gauche à l'autre antenne.

2. Emiriton est un instrument de musique électrique équipé d'un clavier de type piano. Conçu en URSS par les inventeurs A. A. Ivanov, A. V. Rimsky-Korsakov, V. A. Kreitzer et V. P. Dzerzhkovich (1er modèle en 1935).

3. Guitare électrique - une guitare, généralement en bois, avec des micros électriques qui convertissent les vibrations cordes métalliques dans l'hésitation courant électrique. Le premier micro magnétique a été fabriqué par l'ingénieur Gibson Lloyd Loehr en 1924. Les guitares électriques à six cordes sont les plus courantes.


cor français(de l'allemand Waldhorn - « cor de forêt », corno italien, cor français anglais, cor français) - un instrument de musique pour cuivres du registre basse-ténor. Issu d'un cor de signalisation de chasse, est entré dans l'orchestre milieu du XVIIe siècle siècle. Jusque dans les années 1830, comme les autres cuivres, il n'avait pas de pistons et était un instrument naturel avec une échelle limitée (le soi-disant « cor naturel », utilisé par Beethoven). Le cor est utilisé dans les orchestres symphoniques et de cuivres, ainsi que comme instrument d'ensemble et solo. Actuellement, il est utilisé principalement en fa (dans l'accordage Fa), dans les fanfares également en Mi (dans l'accordage mi bémol). La plage sonore réelle du cor va de H1 (contre-octave de Si) à f² (seconde octave de Fa) avec tous les sons intermédiaires le long de l'échelle chromatique. Les notes du cor sont écrites en clé de sol une quinte plus haute que le son réel et en clé de fa une quarte plus basse que le son réel (précédemment notées sans signes clés). Le timbre de l'instrument est quelque peu rugueux dans le registre inférieur, doux et mélodieux au piano, léger et brillant au forte - dans le registre moyen et supérieur.

Le cor est bon pour jouer des notes longues (y compris sur le poste d'orgue) et des mélodies à respiration large. La consommation d'air sur cet instrument est relativement faible (sans compter les registres extrêmes).

DANS
Tuba Agner
(Wagnertuba allemand, tuba anglais Wagner, Tuba wagneriana italien ou Tuba di Wagner, Tuba wagnerien français ; le nom vient du nom du compositeur Richard Wagner) - un instrument de musique pour cuivres du registre basse-ténor, combinant les caractéristiques de conception du cor et tuba. Le nom « tuba Wagner » n'est pas tout à fait correct, car cet instrument est plus proche dans sa conception d'un cor et, de plus, il utilise un embout en cor, donc dans la grande majorité des cas, il est joué par des cornistes professionnels. Il est plus correct de le classer comme un type de corne. Cependant, le nom existant s'est développé historiquement dans plusieurs langues européennes. Le son du tuba Wagner ressemble à un euphonium, donc en l'absence de cet instrument dans l'orchestre, l'euphonium le remplace souvent.

L'invention de cet instrument est attribuée à Richard Wagner, qui l'a utilisé pour la première fois dans ses œuvres. Vraisemblablement, l'inventeur du saxophone, Adolf Sax, a également participé à la conception du tuba Wagner. Le tuba Wagner est assez rarement utilisé par les compositeurs. Le plus connu oeuvres musicales avec la participation de cet instrument - la tétralogie de Richard Wagner « L'Anneau du Nibelungen », les symphonies n° 7, 8 et 9 d'Anton Bruckner, le ballet « Petrushka » d'Igor Stravinsky, les opéras « Electra » et « Femme sans ombre » de Richard Strauss, ainsi que sa « Home Symphony ».

T frotter (naturel), malgré son histoire vieille de plusieurs siècles, l'instrument est très jeune. Pourtant, c'est vrai ! La trompette est l'enfant du progrès technologique, sa production est associée à la transformation des métaux et les premiers instruments que l'on peut appeler trompette sont apparus vers 3600 avant JC - à l'âge du bronze.

On connaît les trompettes égyptiennes du règne du pharaon Toutankhamon (1500 avant JC), les trompettes romaines : lur, cornu, lituus, buccina. Chaque progrès se reflétait invariablement dans la qualité et la forme des tuyaux fabriqués. L'épaisseur de la tôle à partir de laquelle l'outil a été fabriqué a changé, la qualité des joints de soudure s'est améliorée et le métal lui-même à partir duquel le tuyau a été fabriqué (bronze, argent, cuivre) a également changé. Naturellement, il existait une grande variété de formes d’instruments. L'essentiel restait : le but du tuyau. Pendant des siècles, il a été utilisé dans les cortèges des dirigeants et comme instrument de signalisation parmi les troupes.

Finalement, au début du XVIIe siècle, la pipe acquiert différentes qualités et formes. C’est ainsi que les compositeurs l’ont connu, de Monteverdi et Purcell à Mendelssohn et Berlioz. (La première mention de facteurs d'instruments, comme Schnitzer en Allemagne, remonte à environ 1590.) Au cours des deux siècles suivants, la forme de la pipe changera peu. Nous appelons désormais cet instrument une trompette naturelle. Les sons sont produits par soufflage et construits en fonction des harmoniques. En raison de la grande longueur de l'instrument, la note inférieure (pédale) était située dans une grande octave et des passages en forme de gamme pouvaient être utilisés à partir de la huitième harmonique.

L’« âge d’or » de la pipe naturelle se situe au XVIIe siècle. La trompette naturelle brille dans les œuvres de maîtres tels que G. Purcell, A. Scarlatti, A. Vivaldi, G.F. Telemann et atteint des sommets dans la musique de G.F. Haendel et J.S. Bach. Le rôle de la trompette dans la musique de cette époque est double. Premièrement, la trompette reste un instrument de signalisation et un groupe de trompettes (généralement trois musiciens) associé à des timbales crée un son festif et invitant. Deuxièmement, les compositeurs utilisent le registre supérieur de la trompette solo pour des phrases émouvantes et des anniversaires (par exemple, dans les sonates de G. Purcell et A. Corelli, les concertos de A. Vivaldi, G. F. Telemann, le Concerto brandebourgeois n° 2 de J. S. Bach) et ils le combinent avec brio avec une voix soliste (six airs de A. Scarlatti, airs de cantates de J. S. Bach et oratorios de G. F. Handel). La trompette entre en compétition avec la voix sur un pied d'égalité. Hélas, de telles compétitions n'étaient pas toujours couronnées de succès pour les trompettistes. Souvenons-nous du film « Castrato Farinelli » sur le célèbre chanteur virtuose, où il y a une scène sur la place du marché où Farinelli entre en compétition avec un trompettiste et le bat, se révélant plus virtuose.

L'histoire nous a conservé les noms des trompettistes de cette époque. Il s'agit de Girolamo Fantini, l'auteur de huit sonates pour trompette et de « Modo per impare a sonare di tromba » - la première école de trompette publiée, D. Shore, I. Clark, pour qui G. Purcell et G.F. Haendel, ainsi que Johann Gottfried Reiche de Leipzig - le premier interprète de la musique de J.S. Bach. La fin du XVIIIe siècle marque le début des évolutions techniques qui amènent la pipe à son aspect et sa qualité actuels. Les interprètes avaient besoin d'un instrument chromatique et les compositeurs ont commencé à utiliser des combinaisons de tonalités de plus en plus complexes dans leurs compositions. La première trompette chromatique (qui date de 1793) avait des valves installées à la manière de celles de la flûte et de la clarinette. Bien que cette innovation n'ait pas été développée davantage, puisqu'avec les valves ouvertes la trompette perdait le son, la trompette à valve fut immortalisée dans les concerts de I. Haydn (1798) et I.N. Hummel (1803), commande du trompettiste viennois Anton Weidinger (1766-1852). Ces concerts restent les plus populaires du répertoire des trompettistes. Les expériences se sont poursuivies. Leur signification pratique était d'utiliser certains mécanismes pour allonger le tube de l'instrument, abaissant ainsi les notes de la gamme naturelle. Ne pensez pas que lors de ces recherches le tuyau naturel a perdu sa position. Les instruments chromatiques ont jusqu'à présent été inférieurs aux instruments naturels en termes de qualité sonore et les compositeurs ont dû faire des miracles d'ingéniosité, en trouvant davantage de pauses pour changer de couronne ou, comme G. Berlioz et le premier R. Wagner, en utilisant quatre trompettes naturelles. différents systèmes par deux.

T
chemise piccolo,
comme la petite trompette en ré, elle a été inventée à peu près à la même époque et dans le même but : jouer de la musique ancienne. Son beau timbre sonore et sa large tessiture ont permis de faire revivre de nombreuses belles œuvres de maîtres anciens.

En 1884, le célèbre trompettiste allemand Julius Kozlek (1835-1905), après de nombreuses expériences, conçut une trompette en accordage en La à deux pistons, sur laquelle il pouvait facilement jouer les parties de clarino les plus difficiles, en utilisant également un bec à cône profond. -en forme de tasse, il a obtenu un timbre sonore inhabituellement léger et beau.

La trompette piccolo a 4 pistons et 4 couronnes supplémentaires. Le quatrième piston est un piston de quatuor, c'est-à-dire qu'il abaisse chaque son naturel d'un quart. Il sert à remplir la zone de Do à Fa de la première octave, ainsi qu'à. créer des sons individuels inexacts. L'instrument dispose d'un tube supplémentaire pour l'accordage du si bémol au la.

De nos jours, on le joue avec un bec plus petit, ce qui permet de produire plus facilement des sons dans le registre supérieur et une intonation plus claire.

La trompette piccolo a commencé à être utilisée dans les orchestres au 20e siècle (par exemple, Stravinsky dans « Petrouchka », où se trouve un célèbre solo de trompette piccolo). Et dans la pratique en solo lors de l'exécution de musique ancienne, l'instrument est encore plus populaire que la trompette piccolo. Trompette en ré.

De merveilleux trompettistes comme Adolf Scherbaum, Ludwig Güttler, Maurice Andre, Wynton Marsalis, Hakan Hardenberger et bien d'autres jouaient et jouent encore de petites trompettes et de trompettes piccolo.

T
ruba
(Tromba italienne, trompette française, trompette allemande, trompette anglaise) est un instrument de musique à cuivres du registre alto-soprano, le son le plus élevé parmi les cuivres. La trompette naturelle est utilisée depuis l'Antiquité comme instrument de signalisation et est devenue partie intégrante de l'orchestre à partir du XVIIe siècle environ. Avec l'invention du mécanisme à pistons, la trompette a reçu une gamme chromatique complète et est devenue à partir du milieu du XIXe siècle un instrument à part entière de la musique classique. L'instrument a un timbre brillant et brillant et est utilisé comme instrument soliste, dans les orchestres symphoniques et de cuivres, ainsi que dans le jazz et d'autres genres.

Les tuyaux sont en laiton ou en cuivre, moins souvent en argent et autres métaux. Déjà dans l’Antiquité, il existait une technologie permettant de fabriquer un instrument à partir d’une seule feuille de métal.

À la base, un tuyau est un long tube plié uniquement pour des raisons de compacité. Il se rétrécit légèrement au niveau de l'embouchure, s'élargit au niveau de la cloche et présente dans d'autres zones une forme cylindrique. C'est cette forme de tube qui donne à la trompette son timbre brillant. Lors de la fabrication d'un tuyau, un calcul extrêmement précis de la longueur du tuyau lui-même et du degré d'expansion de la cloche est important - cela affecte radicalement la structure de l'instrument.

Le principe de base du jeu de la trompette est d'obtenir des consonances harmoniques en changeant la position des lèvres et en changeant la longueur de la colonne d'air dans l'instrument, obtenu à l'aide d'un mécanisme à valve. La trompette utilise trois pistons qui réduisent le son d'un ton, d'un demi-ton et d'un ton et demi. L'appui simultané sur deux ou trois pistons permet d'abaisser l'échelle globale de l'instrument à trois tons. Ainsi, la trompette reçoit une gamme chromatique.

Sur certains types de trompettes (par exemple, la trompette piccolo), il y a également une quatrième valve (valve quart), qui abaisse l'accordage d'une quarte parfaite (cinq demi-tons).

La trompette est un instrument pour droitiers : lorsqu'on joue, les pistons sont pressés avec la main droite, la main gauche soutient l'instrument.

À
trombone à pattes
diffère d'un trombone ordinaire en ce que la hauteur des notes est modifiée par trois pistons (un principe similaire est utilisé dans la trompette d'orchestre). Ces valves donnent à l'interprète beaucoup de liberté, mais le son d'un trombone à valve est inférieur en luminosité et en richesse à celui d'un trombone ordinaire. Jusqu'au milieu du XXe siècle, les trombones à pistons étaient très répandus dans les ensembles de danse et les orchestres de théâtre, mais ils sont désormais principalement utilisés dans la musique jazz.

À
ornette
(cornetto italien - "corne") ou cornet-a-piston (cornet à pistons français - "corne avec pistons") - un instrument de musique à vent en laiton qui ressemble à une trompette, mais a un tube plus large et plus court et n'est pas équipé de valves , mais des pistons. Il provient du cornet postal. Il a été construit en France vers 1830.

Le volume du son réel du cornet coïncide avec la tessiture de la trompette - de e (octave mineure E) à do3 (jusqu'à la troisième octave). Utilisées dans les accordages en si bémol (en si) et en la (en la), les notes sont généralement écrites sans marques de tonalité, un ton ou un ton et demi (selon l'accordage) plus haut que le son réel.

Au XIXe siècle, les cornets étaient souvent introduits dans l'orchestre avec les trompettes. Malgré le fait que les trompettes étaient déjà des instruments chromatiques, les compositeurs leur confiaient rarement des épisodes solos et virtuoses. On croyait que le cornet avait de plus grandes capacités virtuoses et un timbre plus doux que la trompette. Les cornets ont été utilisés dans des œuvres orchestrales de Berlioz (symphonie « Harold en Italie »), Bizet (musique du drame « La Arlésienne »), Tchaïkovski (Capriccio italien, « Francesca da Rimini »). L'un des numéros solos les plus célèbres pour cornet est la Danse napolitaine du ballet Le Lac des Cygnes de Tchaïkovski.

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le cornet était très populaire. En 1869, une classe de cornet est ouverte au Conservatoire de Paris ; le fondateur et premier professeur est le célèbre cornettiste virtuose Jean Baptiste Arban.

Au XXe siècle, les améliorations apportées à la conception des trompettes et aux compétences des trompettistes ont pratiquement éliminé le problème de la fluidité et du timbre, et les cornets ont disparu de l'orchestre. De nos jours, les parties orchestrales des cornets sont généralement interprétées sur des trompettes, bien que parfois un instrument original soit utilisé.

Le cornet est un membre ordinaire d'une fanfare, où il interprète la voix mélodique. Elle a été utilisée aux débuts du jazz, mais a ensuite cédé la place à la trompette.

Actuellement, en plus de la fanfare, le cornet est utilisé comme instrument pédagogique et occasionnellement comme soliste.

T
ouba
(Italien du latin tuba - « trompette », tuba anglais, tuba allemand, tube français) est un instrument de musique en cuivre à large perce, le plus grave dans le registre. Le modèle moderne de l'instrument a été conçu au cours de la seconde quart du XIX siècle par Adolphe Sax. Le tuba a un timbre dur et massif ; le son du tuba est difficile à intoner. Il est principalement utilisé dans un orchestre symphonique, où il joue le rôle d'instrument de basse dans une section de cuivres. Il est activement utilisé dans les fanfares, relativement moins souvent dans divers orchestres et ensembles de jazz et de pop. Le tuba apparaît relativement rarement comme instrument soliste.

Dans un orchestre symphonique, en règle générale, un, moins souvent deux ou trois tubas sont utilisés. Le tuba joue généralement le rôle de basse dans un groupe de cuivres. Dans la partition, la partie de tuba est écrite en dessous des autres instruments de ce groupe, souvent sur la même ligne que la troisième partie de trombone.

Grâce au mécanisme à valve, le tuba est un instrument assez souple techniquement (qui ne s'applique cependant pas aux registres les plus extrêmes), cependant, dans les passages diatoniques et chromatiques rapides, ainsi que dans les arpèges, l'intonation de le tuba devient indistinct.

Le staccato au tuba sonne assez distinctement, bien qu'un peu lourd. Cela fonctionne mieux en forte qu'en piano.

Des trilles à valve sont utilisés sur le tuba de plus, il est possible d'extraire plusieurs trilles avec les lèvres dans le registre supérieur ;

En raison du poids assez impressionnant de l'instrument, les interprètes jouent rarement debout, en utilisant une ceinture de soutien ou, parfois, tout un système de celles-ci. Habituellement, jouer du tuba debout est une mesure nécessaire due au fait que l'orchestre joue en mouvement (en marche). Dans d'autres situations où l'orchestre joue debout, il n'est pas rare que les tubistes restent assis : comme ils sont généralement placés dans la rangée la plus éloignée de l'orchestre, cela ne gâche pas l'apparence de l'orchestre à l'avant.

Une variété de sourdines ont été créées pour le tuba. Mais en raison de la « protestation silencieuse » selon laquelle les artistes doivent porter un instrument déjà difficile, les musiciens boycottent pour la plupart l’utilisation des sourdines.

E
guitare électrique
- un type de guitare avec des micros électriques qui convertissent les vibrations des cordes métalliques en vibrations du courant électrique. Le signal des micros peut être traité pour produire divers effets sonores, puis amplifié pour être lu via des haut-parleurs. Le mot « guitare électrique » lui-même est né de l’expression « guitare électrique », mais beaucoup de gens l’oublient et l’appellent à tort « guitare électronique ».

Certaines personnes pensent que les guitares électriques sont en plastique ou en métal, mais en réalité elles sont généralement en bois. Les matériaux les plus courants sont l'aulne, le frêne, l'acajou (acajou), l'érable. Le palissandre, l'ébène et l'érable sont utilisés comme touches.

Les guitares électriques à six cordes sont les plus courantes. L'accordage classique d'une guitare à six cordes est similaire à celui d'une guitare acoustique : E B G D A E. Très souvent, on utilise l'accordage «dropped D», dans lequel la corde inférieure est accordée sur D (D) et les accordages inférieurs (Drop C, Drop B), qui sont principalement utilisés par les guitaristes de métal et de musique alternative. Dans les guitares électriques à sept cordes, le plus souvent la corde grave supplémentaire est accordée sur B (B). Une guitare à huit cordes est une guitare électrique dotée de 7 et 8 cordes supplémentaires pour une musique extrêmement lourde. Fabriqué pour la première fois sur commande et utilisé par le groupe de metal suédois Meshuggah. Grâce à la popularité de ce groupe, la première guitare à 8 cordes produite en série, l'Ibanez 2228, est sortie pour les fans de ce type de musique.

Les modèles typiques, les plus populaires et l'un des plus anciens de guitares électriques sont la Telecaster (sortie en 1951) et la Stratocaster (1954) de Fender, ainsi que la Les Paul (1952) de Gibson. Ces guitares sont considérées comme des guitares de référence et possèdent de nombreuses copies et imitations produites par d'autres sociétés. De nombreuses grandes sociétés d'instruments de musique d'aujourd'hui ont commencé par produire uniquement des copies des modèles populaires Fender et Gibson. Cependant, par la suite, des sociétés telles que Rickenbacker, Ibanez, Jackson, Yamaha, Hamer (anglais), B.C. Rich, ESP, Schecter et d'autres ont lancé leurs propres gammes d'instruments qui sont devenues très populaires dans le monde.

B guitare ca- un instrument de musique à cordes pincées conçu pour jouer dans le registre grave. Utilisé dans de nombreux styles musicaux et des genres comme instrument d'accompagnement et, moins souvent, comme instrument solo. Depuis son apparition au milieu du XXe siècle, elle est devenue l’un des instruments de basse les plus répandus.

La partie de guitare basse dans un morceau de musique est appelée ligne de basse ou ligne de basse, et le joueur qui joue de la guitare basse est appelé bassiste ou bassiste.

Le principal domaine d'application de la guitare basse est la musique populaire et jazz moderne, en musique classique La guitare basse est moins fréquemment utilisée que la guitare classique à six cordes. Le rôle de la guitare basse dans un ensemble diffère également du rôle d'une guitare ordinaire - la guitare basse est plus souvent utilisée pour l'accompagnement et le soutien rythmique que comme instrument solo.

La guitare basse sonne une octave plus bas que d'habitude. Il est complètement symétrique (c'est-à-dire que chaque corde ouverte suivante est accordée une quarte plus bas que la précédente), de sorte que l'accordage standard d'une guitare basse est le même que l'accordage des quatre cordes basses d'une guitare ordinaire, seulement une octave. plus bas (l'accordage de la guitare basse est le même que celui de la contrebasse). La gamme d'une guitare basse ordinaire à quatre cordes en accordage classique est d'un peu plus de trois octaves - du contre-octave de mi à la première octave de sol.

Contrairement à d'autres types de guitares, la guitare basse présente les caractéristiques de conception suivantes, en raison de la nécessité d'obtenir une gamme sonore plus basse :

Grandes tailles ;

Diapason augmenté (864 mm (34") contre 650 mm pour une guitare classique) ;

Cordes plus épaisses ;

Nombre de cordes réduit (les guitares basses à 4 cordes sont les plus courantes).

Historiquement, la guitare basse est apparue pour la première fois sous la forme d'une basse électrique et ce n'est qu'alors qu'une version acoustique a été créée, contrairement à la guitare, où tout était inverse - d'abord l'émergence d'une guitare acoustique, puis sa transformation en une guitare électrique.

ET
L'instrument, issu de l'ancienne cithare, apparaît devant nous dans l'une des incarnations professionnelles les plus habiles.

Dulcimer hongrois Aujourd'hui encore, on les retrouve principalement dans les ensembles gitans hongrois, où ils sont joués de main de maître par des musiciens vêtus de costumes nationaux.

DANS fin XIX siècle, lorsque la version de concert du dulcimer hongrois est apparue, l'instrument était encore considéré comme ethnique, folklorique, malgré le fait que le maestro Franz Liszt s'y soit tourné.

La situation a été changée par les représentants éminents de l’école hongroise de composition Béla Bartók et Zenon Kodály. Plus tard, ils furent rejoints par Igor Stravinsky, qui ne manquait jamais une occasion d'expérimenter de nouveaux sons. Le timbre et le style individuels du dulcimer hongrois ont embelli et diversifié le tissu musical de sa composition Tale about a Fox.

C itra(allemand : cithare) est un instrument de musique à cordes pincées qui s'est répandu en Autriche et en Allemagne au XVIIIe siècle. Il possède un corps plat en bois de forme irrégulière, au sommet duquel sont tendues de 30 à 45 cordes (selon la taille de l'instrument). Plusieurs cordes les plus proches de l'interprète (généralement 4-5), tendues sur une touche avec des frettes métalliques, sont pincées en les mettant pouce main droite avec un plectre, une mélodie y est jouée. Les cordes restantes servent d'accompagnement d'accords et sont jouées avec les doigts restants.

Souligner différentes sortes cithare : cithare aiguë, cithare basse, cithare de concert, etc. Le volume total du groupe est de la contre-octave de sol à la quatrième octave de ré. Dans les œuvres orchestrales, la cithare joue le plus souvent en solo.

La cithare est célèbre en Europe de l'Ouest de la fin du XVIIIe siècle, est apparu en Russie dans la seconde moitié du XIXe siècle. Des instruments similaires d’origine ancienne se retrouvent chez de nombreux peuples. Ainsi, les cithares étaient courantes en Chine et au Moyen-Orient.

À
oto
(Japonais 琴) ou cithare japonaise est un instrument de musique à cordes pincées japonaises. Le koto, avec les flûtes hayashi et shakuhachi, le tambour tsuzumi et le luth shamisen, est un instrument de musique traditionnel japonais.

Des instruments similaires sont caractéristiques de la culture coréenne (kayageum) et chinoise (qixianqin).

L'histoire du koto en tant qu'instrument de musique japonais remonte à plus de mille ans. Il a été introduit au Japon depuis la Chine pendant la période Nara (710-793 CE) comme instrument pour l'orchestre du palais et a été utilisé dans la musique gagaku (雅楽). Le Koto a atteint son apogée à l'époque Heian, en tant qu'attribut invariable de l'éducation et du passe-temps aristocratiques. L'une des pièces les plus célèbres écrites spécifiquement pour le koto est la composition « Rokudan no Shirabe » (六段の調べ, « Musique des six marches ») créée au XVIIe siècle par le maître aveugle Yatsuhashi Kengyo.

Le koto se joue à l'aide de faux cure-ongles (kotozume, japonais 琴爪), placés sur le pouce, l'index et le majeur de la main droite. Les modes et les touches sont ajustés à l'aide de ponts à cordes immédiatement avant de jouer.

Jouer du koto est l'un des arts nationaux traditionnels japonais, qui s'est répandu principalement à la cour impériale. Cependant, cet instrument est encore aujourd’hui très populaire. Grâce à sa plasticité, le koto trouve une application dans la musique japonaise moderne et contribue à son développement.

Il existe actuellement deux grands types d’outils :

Un « kin » à sept cordes de 1 m de long - utilisé comme instrument solo ;

et "so" - de 1,80 à 2,00 m de long, avec un nombre de cordes de 13 et plus - utilisé comme instrument d'orchestre.

g
Itara Torres.
Ce type de guitare a été produit à partir de 1852 par un maître espagnol nommé Antonio de Torres Jurado, qui vivait à Almeria.

La guitare de Torres était la base standard de la guitare classique moderne. Torres a augmenté la taille du corps de la guitare et a redessiné la structure interne, ce qui a considérablement amélioré le son de l'instrument.

Cette guitare est le prédécesseur direct de la guitare acoustique moderne. Elle doit son nom à son créateur, Antonio de Torres (1817-1892). La guitare a un corps large, surtout dans la partie basse. À l'intérieur, sous le pont supérieur, sont situées d'une certaine manière des bandes résonantes dont la tâche est d'améliorer le son et d'améliorer la tonalité.

Le système de ventilation est un ensemble de bandes de renfort de pont sur à l'intérieur platines qui sortent de la prise. Il répartit les vibrations et enrichit le son de l'instrument. Torres n'a pas inventé le système de lamelles en éventail, mais il l'a amélioré. Il a établi le nombre optimal (sept) de ressorts de ventilateur et un nouveau principe pour leur emplacement. Ils semblent diriger l'air vers l'auditeur.

Stand : Le stand de Torres en était un autre. étape importante. Depuis 1857, le maître commence à utiliser un sillet inférieur (os) sur un support, ce qui lui permet d'ajuster avec précision la hauteur des cordes. Les ficelles, passant à travers le support, y sont attachées par des nœuds.

Sheika : C'est l'une des parties les plus importantes de la fabrication d'une guitare. Ici, l'épaisseur du col, du plateau et la hauteur du support doivent être prises en compte. Torres a augmenté la largeur du manche côté boîtier d'accordage à 5 cm, ce qui a facilité le jeu de la main gauche. L'angle du manche détermine la position de la corde par rapport aux frettes et la nature du son dépend de l'angle de tension de la corde par rapport à la table d'harmonie supérieure. Le manche est devenu plus large et légèrement plus convexe par rapport au plan de la table d'harmonie et se poursuit jusqu'à la rosace, qui coïncide avec la 12ème case.

Matériaux : Il accorde une attention particulière au choix du bois pour le plateau, mais ne se soucie pas outre mesure du choix des matériaux pour les éléments cosmétiques. De plus, il a utilisé du cyprès, de l'érable, du palissandre et d'autres bois pour le fond et les éclisses, sans préférence particulière. Torres lui-même travaillait avec du bois trop fin. Cela rendait la guitare plus vivante, mais peut-être plus fragile.

Finition (rosaces, etc.) : Il réalise aussi bien des rosaces simples que des rosaces plus délicates et complexes, mais toujours en respectant le contexte. Cela dépend de ce que le client a payé. La plupart de ses guitares avaient des finitions simples. À moins bien sûr que cela ne concerne les parties fonctionnelles de l'instrument.

Le reste : Il a pris en compte divers éléments - épaisseur et forme du manche, largeur des sillets, angle de la tête d'accordage, mécanique, mix and match des matériaux, finition, etc. et ainsi de suite.

U
kulélé
(du hawaïen ʻukulele [ˈʔukuˈlele]) est un instrument de musique pincé à quatre cordes. Apparue dans les années 1880 comme une évolution de la braguinha, une guitare miniature de l'île de Madère, apparentée au cavaquinho portugais. Le ukulélé est courant sur diverses îles du Pacifique, mais il est principalement associé à la musique hawaïenne depuis la tournée des musiciens hawaïens à l'Exposition du Pacifique de 1915 à San Francisco. Le réglage standard est GCEA (Sol-Do-E-A).

Le nom est traduit selon une version par "puce sauteuse", puisque le mouvement des doigts lors du jeu du ukulélé ressemble au saut d'une puce, selon une autre - comme "un cadeau venu ici".

Il existe 4 types de ukulélés :

soprano (longueur totale 53 cm) - le premier et le plus courant type ;

concert (58 cm) - légèrement plus grand ;

ténor (66 cm) - apparu dans les années 20 du XXe siècle ;

baryton (76 cm) - le plus grand, apparu dans les années 40 du 20e siècle.

B
Alalaïka
- Instrument de musique folklorique russe à trois cordes pincées, de 600-700 mm (prima balalaïka) à 1,7 mètres (contrebasse balalaïka) de long, avec une forme triangulaire légèrement incurvée (en XVIII-XIX siècleségalement ovale) corps en bois. La balalaïka est l'un des instruments devenus (avec l'accordéon et, dans une moindre mesure, l'accordéon) un symbole musical du peuple russe.

Le corps est collé à partir de segments séparés (6-7), la tête du long cou est légèrement courbée vers l'arrière. Les cordes sont en métal (au XVIIIe siècle, deux d'entre elles étaient des cordes veinées ; les balalaïkas modernes sont en nylon ou en carbone). Sur le manche d'une balalaïka moderne, il y a 16 à 31 frettes métalliques (jusqu'à la fin du 19ème siècle - 5 à 7 frettes fixes).

Le son est clair mais doux. Les techniques de production sonore les plus courantes : cliquetis, pizzicato, double pizzicato, simple pizzicato, vibrato, trémolo, rouleaux, techniques de guitare.

Avant la transformation de la balalaïka en instrument de concert à la fin du XIXe siècle par Vasily Andreev, elle ne disposait pas d'un système constant et répandu. Chaque interprète accordait l'instrument en fonction de sa manière de jouer, de l'ambiance générale des morceaux joués et des traditions locales.

Le système introduit par Andreev (deux cordes à l'unisson - la note "E", une - un quart plus haut - la note "A" (à la fois "E" et "A" de la première octave) s'est répandu parmi les joueurs de balalaïka de concert et a commencé être appelé "académique". Il existe également un accordage « folk » - la première corde est « G », la seconde est « E », la troisième est « C ». Dans cet accordage, les triades sont plus faciles à jouer ; est la difficulté de jouer sur des cordes ouvertes. En plus de ce qui précède, il existe également des traditions régionales d'accordage de l'instrument. Le nombre de réglages locaux rares atteint deux douzaines.

Dans l'orchestre moderne d'instruments folkloriques russes, cinq variétés de balalaïkas sont utilisées : prima, seconde, alto, basse et contrebasse. Parmi ceux-ci, seule la prima est un instrument solo virtuose, tandis que les autres se voient attribuer des fonctions purement orchestrales : la seconde et l'alto mettent en œuvre l'accompagnement d'accords, et la basse et la contrebasse remplissent la fonction de basse.

La balalaïka est un instrument de musique assez courant étudié dans les écoles de musique universitaires de Russie, de Biélorussie, d'Ukraine et du Kazakhstan.

La durée de la formation à la balalaïka dans une école de musique pour enfants est de 5 à 7 ans (selon l'âge de l'élève), et en moyenne établissement d'enseignement- 4 ans, dans un établissement d'enseignement supérieur 4-5 ans. Répertoire : arrangements de chansons folkloriques, transcriptions d'œuvres classiques, musique originale.

Claviers

À PROPOS
L'orgue de Hammond
est un orgue électrique conçu et construit par Lawrence Hammond en avril 1935. Les orgues Hammond étaient à l'origine vendus aux églises comme alternative peu coûteuse aux orgues à tuyaux, mais l'instrument était souvent utilisé dans le blues, le jazz, le rock and roll (années 1960 et 1970) et le gospel. L'orgue Hammond a gagné en popularité dans les ensembles militaires pendant la Seconde Guerre mondiale et dans les années d'après-guerre.

Actuellement (2011), la marque Hammond appartient à Suzuki Musical Inst. Fab. Co., Ltd., et s’appelle Hammond Suzuki Co., Ltd.

Pour simuler les sons d'un orgue avec des rangées de tuyaux dans plusieurs registres, l'orgue Hammond a utilisé la synthèse additive d'un signal sonore issu d'une série harmonique. Cette solution technologique n'est pas sans rappeler les premiers modèles Telharmonium de Thaddeus Cahill, où chaque signal individuel était créé par une roue phonique mécanique tournant sous un capteur électromagnétique. L'orgue Hammond est souvent appelé orgue électronique, ce qui, en principe, n'est pas tout à fait vrai. Au sens strict, l'orgue Hammond devrait être appelé un orgue électrique, puisque le son des instruments originaux n'est pas généré par un oscillateur électronique, mais par une roue phonique mécanique.

Une caractéristique des orgues Hammond était de petits leviers qui pouvaient être utilisés pour mélanger différentes formes de signaux de différentes manières. Les modèles d'instruments ultérieurs étaient également équipés d'un vibrato électromécanique. Le son distinctif du « clic », qui était à l'origine plutôt un défaut de conception, est rapidement devenu partie intégrante du son caractéristique de l'orgue Hammond. Cette fonctionnalité est prise en compte lors de la création de copies modernes d'instruments originaux. Dans le même temps, simuler avec précision le son d'un orgue Hammond basé sur des circuits électroniques est assez difficile, car de cette manière, il est seulement difficile de reproduire avec précision les changements dans la relation de phase entre les roues phoniques.

Les haut-parleurs Leslie étaient largement utilisés dans les orgues Hammond, même si Leslie était au départ un concurrent sérieux de Hammond. Les haut-parleurs Leslie avaient un composant rotatif pour créer un effet vibrato et sont très vite devenus le standard de facto pour les orgues Hammond, car ils créaient le son typique de « grognement ».

Le B-3 a toujours été et reste le modèle le plus populaire, même si le C-3 ne diffère que par les détails. apparence. Classiquement, les « orgues Hammond » peuvent être divisés en deux groupes :

orgues de console pleine grandeur, tels que B-3, C-3, A-100, dotés de deux manuels de 61 touches

des orgues à épinette compacts tels que le L-100 et le M-100, dotés de deux manuels de 44 touches.

La plupart des orgues Hammond ne disposent pas d'un pédalier AGO complet, ce qui augmente considérablement le coût et la taille de l'instrument (ainsi que le poids : le poids total du modèle B3 avec banc et pédalier était de 193 kg).

Informations de base L'alto (althorn) est un instrument de musique à vent en laiton de la famille des saxhorns. En raison de son son plutôt sourd et inexpressif, le champ d'utilisation de l'alto est limité aux fanfares, où il interprète généralement des voix moyennes. La tessiture de l'alto va de A à b1 (A de l'octave majeure - Si bémol de la première). Vidéo : Viola (althorn) en vidéo + son Grâce à ces vidéos vous


Informations de base Le cor (allemand : waldhorn (cor de forêt), italien : corno, anglais : cor français, français : cor) est un instrument de musique à vent en cuivre du registre basse-ténor. Le cor est utilisé dans les orchestres symphoniques et de cuivres, ainsi que comme instrument d'ensemble et solo. Origine Le cor d'harmonie est issu d'un cor de signalisation de chasse et est entré dans l'orchestre au milieu du XVIIe siècle. Jusque dans les années 1830, comme les autres cuivres


Informations de base Helikon (du grec hélice - tordu, courbé) est l'instrument de musique en cuivre au son le plus grave. Helikon n'est utilisé que dans les fanfares militaires. Il est pratique pour une utilisation dans l'armée car un musicien peut en jouer, par exemple, assis à califourchon sur un cheval - le tube incurvé de l'hélicon est accroché à l'épaule gauche et les mains du joueur restent libres.


Informations de base Le cor (de l'allemand cor - cor) est un instrument de musique à vent en laiton, l'ancêtre de tous les cuivres. Le dispositif Horn ressemble à une trompette, mais il lui manque un mécanisme à valve, c'est pourquoi ses capacités de performance sont fortement limitées : le Horn ne peut reproduire des notes que dans les consonances harmoniques. La hauteur du son lors du jeu du clairon ne peut être ajustée qu'à l'aide de l'embouchure.


Informations de base Karnai est un instrument de musique à vent folklorique ouzbek, lié aux cuivres basé sur le principe de la production sonore. Largement distribué en Iran, au Tadjikistan et en Ouzbékistan. Karnai est un tuyau long, parfois supérieur à deux mètres, généralement non plié. En registre et en timbre, il est proche du trombone. Karnai se caractérise par l'exécution de signaux militaires ou cérémoniaux. L'instrument a un son puissant et fort. DANS


Informations de base Le cornet (cornetto italien - cor) ou cornet à piston (cornet français à pistons - cor avec pistons) est un instrument de musique à vent en laiton qui ressemble à une trompette, mais a un tube plus large et plus court et n'est pas équipé de valves, mais avec des pistons. Conception, application La gamme du son réel du cornet coïncide avec la gamme de la trompette - de e (octave mineur E) à do3


Informations de base Un klaxon postal est un instrument de musique à vent cylindrique en cuivre ou en laiton avec un embout, sans valves ni évents, utilisé pour signaler l'arrivée ou le départ d'un facteur à pied ou à cheval et est devenu un symbole international du courrier. Le cor postal était le prédécesseur du cornet à piston. Origine, histoire Le cor postal remonte au cor des bouchers (bergers) qui, en soufflant dans le cor, annonçaient


Informations de base Les Saxhorns sont une famille d'instruments de musique en cuivre à large échelle. Il s'agit d'instruments chromatiques de forme ovale dans lesquels le tube s'élargit progressivement depuis l'embouchure jusqu'au pavillon (contrairement aux cuivres traditionnels, qui ont un tube majoritairement cylindrique). Les Saxhorns ont été conçus par Adolf Sax dans le deuxième quart du 19e siècle. Les Saxhorns forment une famille qui comprend : l'alto ; ténor;


Informations de base Le Serpent (serpent français - serpent) est un ancien instrument de musique en laiton, l'ancêtre de plusieurs instruments à vent modernes. Il tire son nom de sa forme incurvée. Conception Le canon serpentin à perce conique sans cloche, généralement doté de 6 trous pour les doigts, est recouvert de cuir. Le serpent était fabriqué à partir de matériaux variés : bois, cuivre, zinc. Avait un bec très similaire aux becs en laiton modernes


Informations de base Le trombone (italien : trombone - grande trompette) est un instrument de musique à vent en cuivre du registre basse-ténor. Le trombone est connu depuis le XVe siècle. Il diffère des autres cuivres par la présence d'un backstage - un tube mobile spécial en forme de U, à l'aide duquel le musicien modifie le volume d'air contenu dans l'instrument, obtenant ainsi la possibilité d'interpréter des sons de la gamme chromatique ( à la trompette, au cor et


Instruments à vent

Étonnamment, il n’existe aucun groupe ethnique au monde dont la tradition musicale ait négligé les capacités expressives des instruments de musique à vent. Malgré toute la diversité de leurs types, ils utilisent le même principe de génération sonore : les vibrations de l'air insufflé dans le tube sont amplifiées par la colonne d'air qui s'y trouve. Les outils ont évolué avec la culture et la société. Au début, les coquilles, les cornes creuses d'animaux et de plantes servaient de tubes, et ce n'est que bien plus tard que d'autres matériaux ont commencé à être utilisés - bois, alliages, plastique.

Aujourd'hui, les instruments à vent sont classiquement divisés en bois et en laiton. Mais la qualité du son dépend avant tout des différences entre les sources sonores :

· dans les flûtes - peut-être l'origine la plus ancienne, le son est formé par dissection flux d'air sur une arête vive ;

· pour les instruments à anches, le corps sonore est constitué d'anches (clarinette, saxophone, hautbois, basson, etc.) ;

· dans les cuivres, le son est formé par la vibration des lèvres du musicien, serrées par la coupelle de l'embouchure (trompette, trombone, cor, etc.).

L'échelle chromatique des bois est assurée par un système de coussinets qui recouvrent des trous qui modifient la taille de la colonne d'air du tube. Les instruments à vent en cuivre utilisent des mécanismes (valves ou glissières) qui forcent le flux d'air à travers des anneaux de tubes supplémentaires et modifient ainsi la hauteur du son.

Les timbres des instruments à vent sont extrêmement divers. Ils sont donc indispensables dans les ensembles et orchestres. Mais soulignons une autre caractéristique qui renforce la popularité des instruments à vent : leur jeu est associé à des schémas respiratoires, qui enrichissent l'intonation avec les caractéristiques de la parole et du chant humains.

C'est pourquoi l'art de jouer des instruments à vent exige que le musicien possède des compétences complexes qui sont simultanément liées à la formation du son, à la distribution de la respiration et à l'intonation. ligne mélodique et technologie de contrôle pour la partie mécanique de l'outil.

Notre boutique en ligne propose un large assortiment d'instruments de musique à vent. Parfois, face à une telle variété, les acheteurs se sentent confus dans leur choix. Que faut-il prendre en compte lors du choix d'un outil ?

Premièrement, certaines considérations relatives aux prix doivent être clarifiées. Un facteur important qui augmente le coût est la marque, l'autorité de la société d'origine de l'instrument. Vous pouvez et devez être fier de votre J.Keilwerth, mais en même temps, il est utile de comprendre qu'une part importante du montant dépensé correspond aux frais d'étiquetage. Par conséquent, si vous n'êtes pas un soliste virtuose d'un orchestre professionnel, faites attention aux produits de compagnies moins prestigieuses, mais dont les produits sont plutôt bons. Les nouveaux arrivants qui tentent de gagner leur « place au soleil » se soucient de leur réputation.

Deuxièmement, choisir un outil pour enseignement primaire, il faut savoir que les embouchures - c'est-à-dire la manière dont les lèvres de l'interprète sont actives, ainsi que les techniques de jeu des cuivres et des bois - sont fondamentalement différentes. Il ne sera donc pas possible de passer du « cuivre » au « bois » simplement et sans pertes. Essayez de décider tout de suite.

Troisièmement, demandez-vous s’il vaut la peine de maîtriser immédiatement les instruments à vent « d’élite ». Peut-être vaut-il mieux commencer à s'entraîner et préparer un appareil respiratoire sur flûte à bec longitudinale, mélodica à vent ou harmonica, dont le choix dans notre boutique en ligne ne laissera personne indifférent.

Une liste d'entre eux sera donnée dans cet article. Il contient également des informations sur les types d'instruments à vent et le principe d'extraction du son.

Instruments à vent

Ce sont des tuyaux qui peuvent être en bois, en métal ou tout autre matériau. Ils ont forme différente et produire différents timbres sons musicaux, qui sont extraits par flux d'air. Le timbre de la « voix » d'un instrument à vent dépend de sa taille. Plus il est grand, plus il y a d’air qui le traverse, ce qui rend sa fréquence de vibration plus faible et le son produit faible.

Il existe deux manières de modifier la sortie d'un type d'instrument donné :

  • régler le volume d'air avec les doigts, à l'aide de culbuteurs, de valves, de valves, etc., selon le type d'outil ;
  • augmenter la force de soufflage d'une colonne d'air dans le tuyau.

Le son dépend entièrement du flux d'air, d'où le nom d'instruments à vent. Une liste d'entre eux sera donnée ci-dessous.

Variétés d'instruments à vent

Il existe deux types principaux : le cuivre et le bois. Initialement, ils étaient ainsi classés en fonction du matériau à partir duquel ils étaient fabriqués. Maintenant en dans une plus grande mesure Le type d’instrument dépend de la manière dont le son est produit. Par exemple, la flûte est considérée comme un instrument à vent. De plus, il peut être en bois, en métal ou en verre. Le saxophone est toujours produit uniquement en métal, mais appartient à la classe des bois. Outils en laiton peut être constitué de divers métaux : cuivre, argent, laiton, etc. Il existe une variété particulière : les instruments à vent à clavier. Leur liste n'est pas si longue. Ceux-ci incluent l'harmonium, l'orgue, l'accordéon, le mélodica et l'accordéon à boutons. L'air y pénètre grâce à des soufflets spéciaux.

Quels instruments sont des instruments à vent ?

Listons les instruments à vent. La liste est la suivante :

  • tuyau;
  • clarinette;
  • trombone;
  • accordéon;
  • flûte;
  • saxophone;
  • organe;
  • zurna;
  • hautbois;
  • harmonium;
  • balaban;
  • accordéon;
  • Cor français;
  • basson;
  • tuba;
  • cornemuses;
  • douk;
  • harmonica;
  • gaida macédonienne;
  • shakuhachi;
  • ocarina;
  • serpent;
  • corne;
  • hélicon;
  • didgeridoo;
  • kuraï;
  • trembita.

Vous pouvez nommer d’autres outils similaires.

Laiton

Les instruments de musique à vent en laiton, comme mentionné ci-dessus, sont fabriqués à partir de divers métaux, bien qu'au Moyen Âge, il existait également des instruments en bois. Le son en est extrait en renforçant ou en affaiblissant l’air soufflé, ainsi qu’en changeant la position des lèvres du musicien. Initialement, les cuivres n'étaient joués que dans les années 30 du 19ème siècle, des valves y sont apparues. Cela a permis à ces instruments de reproduire une gamme chromatique. Le trombone dispose d'une glissière rétractable à cet effet.

Cuivres (liste) :

  • tuyau;
  • trombone;
  • Cor français;
  • tuba;
  • serpent;
  • hélicon.

Bois

Les instruments de musique de ce type étaient initialement fabriqués exclusivement en bois. Aujourd'hui, ce matériau n'est pratiquement pas utilisé pour leur production. Le nom reflète le principe de production sonore : il y a une anche en bois à l'intérieur du tube. Ces instruments de musique sont équipés de trous sur le corps, situés à une distance strictement définie les uns des autres. Le musicien les ouvre et les ferme en jouant avec ses doigts. Grâce à cela, un certain son est obtenu. Les instruments à vent sonnent selon ce principe. Les noms (liste) inclus dans ce groupe sont les suivants :

  • clarinette;
  • zurna;
  • hautbois;
  • balaban;
  • flûte;
  • basson.

Instruments de musique à anches

Il existe un autre type d'instrument à vent : le roseau. Ils sonnent grâce à une plaque vibrante flexible (langue) située à l'intérieur. Le son est produit en l’exposant à l’air ou en le tirant et en le pinçant. Sur la base de cette fonctionnalité, vous pouvez créer une liste d'outils distincte. Les instruments à vent à anches sont divisés en plusieurs types. Ils sont classés selon la méthode d'extraction sonore. Cela dépend du type d'anche, qui peut être en métal (par exemple, comme dans les tuyaux d'orgue), glissant librement (comme dans la guimbarde et les harmonicas), ou battante, ou en roseau, comme dans les bois de roseau.

Liste des outils de ce type :

  • harmonica;
  • La harpe de Juif;
  • clarinette;
  • accordéon;
  • basson;
  • saxophone;
  • kalimba;
  • harmonique;
  • hautbois;
  • Hulus.

Les instruments à vent avec une anche glissant librement comprennent : l'accordéon à boutons, le labial. Dans ceux-ci, l'air est pompé en soufflant par la bouche du musicien ou par un soufflet. Le flux d'air fait vibrer les anches et produit ainsi le son de l'instrument. La harpe appartient également à ce type. Mais sa langue vibre non pas sous l’influence d’une colonne d’air, mais avec l’aide des mains du musicien, en la pinçant et en la tirant. Le hautbois, le basson, le saxophone et la clarinette sont d'un type différent. Chez eux, la langue bat, et cela s'appelle une canne. Le musicien souffle de l'air dans l'instrument. En conséquence, l'anche vibre et un son est produit.

Où sont utilisés les instruments à vent ?

Les instruments à vent, dont la liste a été présentée dans cet article, sont utilisés dans des orchestres de compositions diverses. Par exemple : militaire, cuivres, symphonique, pop, jazz. Et parfois, ils peuvent se produire au sein d’un ensemble de chambre. Il est extrêmement rare qu’ils soient solistes.

Flûte

Cette liste de tuyaux liés à ce type a été donnée ci-dessus.

La flûte est l'un des instruments de musique les plus anciens. Il n’utilise pas d’anche comme les autres bois. Ici, l'air est coupé à travers le bord de l'instrument lui-même, grâce à quoi le son est formé. Il existe plusieurs types de flûtes.

Syringa - instrument à un ou plusieurs canons La Grèce ancienne. Son nom vient du nom de l'organe vocal de l'oiseau. Le seringa à plusieurs canons est devenu plus tard connu sous le nom de flûte de Pan. Sur cet instrument les temps anciens les paysans et les bergers jouaient. DANS Rome antique Syringa a accompagné les performances sur scène.

Bloc flûte - instrument en bois, appartenant à la famille des sifflets. A proximité se trouvent la sopilka, la pipe et le sifflet. Sa différence avec les autres bois est qu'il face arrière il y a une valve d'octave, c'est-à-dire un trou à fermer avec un doigt, dont dépend la hauteur des autres sons. Ils sont extraits en soufflant de l’air et en fermant les 7 trous sur la face avant avec les doigts du musicien. Ce type de flûte était le plus populaire entre le XVIe et le XVIIIe siècle. Son timbre est doux, mélodieux, chaleureux, mais en même temps ses capacités sont limitées. De grands compositeurs comme Anthony Vivaldi, Johann Sebastian Bach, George Frideric Handel et d'autres ont utilisé la flûte à bec dans nombre de leurs œuvres. Le son de cet instrument est faible et sa popularité diminue progressivement. Cela s’est produit après l’apparition de la flûte traversière, qui est de loin la plus utilisée. De nos jours, la flûte à bec est principalement utilisée comme instrument pédagogique. Les flûtistes débutants le maîtrisent d'abord, puis passent au flûtiste longitudinal.

La flûte piccolo est un type de flûte traversière. Il possède le timbre le plus élevé de tous les instruments à vent. Son son est sifflant et perçant. Piccolo est deux fois moins long que d'habitude. Sa plage va de la seconde « D » à la cinquième « C ».

Autres types de flûtes : traversière, flûte de pan, di, irlandaise, kena, flûte, pyzhatka, sifflet, ocarina.

Trombone

Il s'agit d'un instrument à cuivres (la liste de ceux inclus dans cette famille a été présentée dans cet article ci-dessus). Le mot « trombone » est traduit de l'italien par « grande trompette ». Il existe depuis le XVe siècle. Le trombone diffère des autres instruments de ce groupe en ce qu'il possède une glissière - un tube avec lequel le musicien produit des sons en modifiant le volume du flux d'air à l'intérieur de l'instrument. Il existe plusieurs types de trombone : ténor (le plus courant), basse et alto (utilisés moins fréquemment), contrebasse et soprano (pratiquement peu utilisés).

Khulus

C'est un laiton chinois instrument à anche, ayant des tubes supplémentaires. Son autre nom est bilandao. Il a trois ou quatre tuyaux au total - un principal (mélodique) et plusieurs bourdons (graves). Le son de cet instrument est doux et mélodique. Le plus souvent, les hulus sont utilisés pour des performances en solo, très rarement - dans un ensemble. Traditionnellement, les hommes jouaient de cet instrument pour déclarer leur amour à une femme.