Introduction
Culture
2. Moralité
3. Culture morale
Conclusion
Bibliographie
Introduction
Presque chaque jour, directement ou indirectement, chaque personne est confrontée au concept de culture. Où que nous soyons, nous voyons ou entendons toutes sortes d’expressions et d’affirmations directement ou indirectement liées à ce concept. Par exemple, souvent à la vue d'un groupe important et bruyant de jeunes s'exprimant de manière obscène et grossière, une vieille femme qui passe par là leur déclare avec audace : « Comme vous êtes incultes, les gars », ou « Les jeunes sont partis - immoraux. »
Que cela nous plaise ou non, tout ce qui nous entoure et tout ce avec lequel nous sommes essentiellement liés est culture. Ce concept est fermement entré dans nos vies et nous ne le laisserons en aucun cas de côté dans un coin sombre et lointain.
Bien que nous ayons entendu si souvent le mot culture, peu d’entre nous peuvent se vanter de s’être intéressés ou même d’avoir étudié en profondeur ce concept. Le plus souvent, nous nous limitons à simplement comprendre notre compréhension d’un concept et ne cherchons pas à aller plus loin. Mais à mon avis, ce n'est pas tout à fait exact. C'est pourquoi j'aimerais approfondir et découvrir quelques concepts par moi-même.
Sur la base du sujet que j'ai choisi, il s'ensuit qu'au début de mon travail je me suis fixé les tâches spécifiques suivantes : donner une conception claire et, à mon avis, correcte de la culture, de la morale et, surtout, par conséquent ( à mon avis) de ce qui précède, le concept de culture morale.
Il me semble que le sujet que j'ai choisi est tout à fait pertinent et intéressant. Bien avant mon apparition et toujours de longues années après moi, la « culture morale » a vécu et vivra, elle aidera les gens à apprendre et à devenir des individus, elle les guidera pour faire le bon pas, qui est correct de son point de vue, et si une personne peut comprendre ses pulsions et apprécier sa contribution à la vie quotidienne non seulement d'un individu, mais de l'ensemble Race humaine en général, je crois alors que l'humanité aura l'espoir d'un avenir brillant et saint, car, à mon avis, c'est dans la culture morale que réside la garantie de la paix et du bien-être humains.
1.Culture
La culture est l'un des domaines les plus importants vie publique. Dans le concept de « culture », une personne et ses activités agissent comme une base de synthèse, puisque la culture elle-même est la création de l'homme, le résultat de ses efforts créatifs. Mais dans la culture humaine, il n’y a pas seulement un être actif, mais aussi un être changeant lui-même.
Les débuts de la culture sont découverts dès les premiers stades de l'existence historique des hommes ; les premières idées à ce sujet deviennent possibles à un niveau de développement social et spirituel assez élevé. Les gens ont toujours vécu dans la culture, même s’ils n’en ont pas immédiatement pris conscience. Alors qu'une personne dans sa vie dépendait de circonstances purement naturelles, non encore transformées par le travail, elle attribuait le rôle décisif dans sa vie non pas à elle-même, mais à ces circonstances, qu'elle transformait en objet de vénération religieuse ou de culte. Les cultures mythologiques et religieuses de l'Antiquité, qui déifiaient les forces et les éléments naturels, dotaient la nature de propriétés purement humaines - la conscience, la volonté et la capacité de prédéterminer le cours des événements. Ce n’est qu’au fur et à mesure de leur évolution que les gens ont commencé à se rendre compte que leur vie dépendait en grande partie d’eux-mêmes, de la façon dont ils pensaient et agissaient. Les premières idées, initialement vagues et vagues, sur la culture y sont liées. Il suffisait, par exemple, de voir la raison d'une bonne récolte non pas dans la miséricorde des dieux, mais dans la qualité du sol, pour distinguer le culte comme déification de la nature et la culture comme sa culture et sa culture. amélioration. La présence même de la « culture » dans la langue témoigne de la compréhension par une personne de son rôle particulier et indépendant dans le monde, de son activité caractéristique, qui ne peut être réduite à l'action des forces à la fois naturelles et divines. Apparence de ce mot signifiait la naissance du « culte » de l’homme lui-même, qui remplaçait tous les autres cultes de l’Antiquité.
Le sujet de l’histoire culturelle a son propre contenu et sa spécificité parmi un certain nombre de disciplines historiques. L'histoire de la culture présuppose avant tout une étude approfondie de ses différents domaines - l'histoire de la science et de la technologie, l'éducation et la pensée sociale, le folklore et les études littéraires, l'histoire de l'art, etc. par rapport à eux, l'histoire culturelle agit comme une discipline généralisatrice qui considère la culture comme un système intégral dans l'unité et l'interaction de tous ses domaines.
Pour chaque culture, l’isolement national, qui conduit à la stagnation, et l’ignorance des traditions nationales, qui constituent sa base interne et lui assurent la stabilité, sont également néfastes.
La culture se traduit littéralement par culture, transformation, soin, amélioration. Dans les textes latins les plus anciens, l’usage de ce mot est associé à l’agriculture. Cicéron a utilisé le terme culture pour caractériser esprit humain. Son dicton « la philosophie est la culture de l'âme » est largement connu ; par la suite, l'utilisation du mot « culture » dans le sens de bonnes manières, d'éducation, d'illumination devient traditionnelle.
La volonté d’utiliser le mot « culture » pour ne pas désigner des orientations, des méthodes et des résultats individuels activités de transformation L'homme et tout ce qu'il a créé ont émergé au XVIIe siècle, en phase avec le développement de la pensée éducative allemande. Le premier auteur à utiliser le terme « culture » dans ce nouveau sens large fut Samuel Puffendorf (1632-1694).
"...L'éducation de la race humaine est un processus à la fois génétique et organique - grâce à l'assimilation et à l'application de ce qui est transmis. Nous pouvons appeler cette genèse humaine comme nous voulons dans le deuxième sens, nous pouvons l'appeler culture, c'est-à-dire cultiver le sol, ou nous pouvons nous souvenir de l'image de la lumière et appeler cela l'illumination..."
Ainsi, par culture, nous entendons l'ensemble de toutes les valeurs matérielles, de toutes les connaissances et expériences, de toutes les expériences pratiques, visant à résoudre la tâche trinitaire - reproduction, préservation et amélioration. vie humaine. Aucun domaine de la vie - qu'il s'agisse de l'économie ou de la politique, de la famille ou de l'éducation, de l'art ou de la moralité - n'est possible en dehors de la culture.
2. Moralité
Avant de parler de culture morale, considérons des concepts tels que l'éthique, la moralité, la moralité.
Actuellement, ils sont tous utilisés de manière identique au quotidien. Cependant, d’un point de vue scientifique, l’éthique est une science où les concepts de bien et de mal forment un système. La moralité doit être comprise comme un ensemble de normes et de règles de comportement décent. La moralité est la pratique d'un tel comportement. Ainsi, une structure en trois étapes se construit : l'éthique en tant que science, la moralité en tant qu'ensemble d'instructions pour la création du bien, la moralité en tant que pratique d'un bon comportement.
Tous ces concepts constituent ensemble l’essence de la culture morale. La culture, au sens moderne du terme, est le processus de création, de stockage, de diffusion et de développement de valeurs matérielles, spirituelles et sociopolitiques. Sur le plan personnel, la culture est le niveau, le degré et l'ampleur de la maîtrise de valeurs de trois ordres (matériel, spirituel, socio-politique).
La culture morale est un facteur puissant dans la formation de la personnalité d’une personne, transformant et enrichissant ses besoins et son monde intérieur pour le mieux.
Je ne peux qu'être d'accord avec la pensée du célèbre philosophe Karl Popper :
«L'homme a créé de nombreux mondes - les mondes du langage, de la poésie, de la science, mais le plus important d'entre eux est peut-être le monde de la moralité, le monde des valeurs et des réglementations morales, le monde des exigences morales - la liberté, l'égalité. , miséricorde."
La moralité est un ensemble de règles non écrites qui déterminent le bon comportement humain. Elle repose sur la morale, c'est-à-dire un accord volontaire de personnes qui tentent de corréler leurs sentiments, leurs aspirations et leurs actions avec les attitudes de vie des autres, avec les intérêts et la dignité de l'ensemble de la société.
*La valeur est l’attitude de vie et pratique du comportement d’un individu, exprimant ce qui est important pour lui. Une personne place l'honneur au-dessus de la vie, une autre aspire à la liberté, une troisième insiste sur l'indestructibilité du bien, une quatrième glorifie le sentiment conquérant de tout : l'amour.
Depuis de nombreux siècles, les philosophes, les penseurs religieux et les enseignants de la vie se sont intéressés aux problèmes moraux et éthiques. Le sens moral inhérent uniquement à l'homme a permis de se rendre compte de sa différence avec les animaux. Le sentiment moral largement déterminé actions humaines. Conformément à cela, les gens ont construit leurs relations avec la nature, avec les autres, avec la société dans son ensemble. Enfin, les normes morales aidaient à choisir un mode de vie décent. De nombreux penseurs considéraient la moralité comme le chemin vers Dieu.
La moralité (du latin moralis - «morale») est le domaine des valeurs morales reconnues par les gens, la vie morale du peuple. Le contenu de cette sphère et sa spécificité évoluent dans le temps et diffèrent selon les différentes nations. Dans la morale de tous les peuples et de tous les temps on retrouve Les valeurs humaines, principes moraux et réglementations.
Moralité (du latin moralis - « morale ») moralité, un système de normes et de concepts de valeurs qui déterminent et régulent le comportement humain. Contrairement aux simples coutumes ou traditions, les normes morales sont justifiées sous la forme d’idéaux du bien et du mal, du dû, de la justice, etc.
Le philosophe russe Vladimir Soloviev (1853-1900) croyait que la moralité est une propriété humaine innée qui nous distingue des animaux. « Les sentiments fondamentaux de honte, de pitié et de respect sont ressentis dans le domaine des relations morales possibles d'une personne avec ce qui est en dessous d'elle, ce qui lui est égal et ce qui est au-dessus de elle », écrit-il dans son livre « La Justification ». du Bien. » Le penseur russe a comparé la philosophie morale à un guide qui décrit des lieux qui méritent d'être visités, mais en même temps ne dit pas à une personne où aller. Les gens prennent leurs propres décisions quant à l’endroit où diriger leurs pas. Par conséquent, selon Soloviev, « aucune présentation de normes morales, c'est-à-dire les conditions pour atteindre un véritable objectif de vie, ne peut avoir de sens pour une personne qui s'est consciemment fixé non pas cela, mais un objectif complètement différent »...
« La règle d’or de la moralité » : « Faites aux autres ce que vous voudriez que les autres vous fassent. »
Culture morale
Actuellement, il existe un intérêt large et croissant pour une conscience philosophique plus profonde de la culture. En même temps, nous réalisons que la culture n’est ni relative, ni situationnelle, qu’elle ne peut être liée à aucun intérêt social ou politique actuel, mais qu’elle exprime l’essence même de l’humanité et est un facteur de développement d’une société humaine.
Je crois, et j’en suis sûr, que beaucoup croient aussi que la culture d’une personne repose entièrement sur sa culture morale au sens le plus large. La culture morale présuppose à la fois le respect de la tradition, des modèles de comportement généralement acceptés et la capacité de trouver les siens, solution créative. Dans les cas où nous sommes confrontés à des problèmes « éternels », à des situations universelles comme la naissance et la mort, la maladie et la santé, la jeunesse et la vieillesse, l’amour et le mariage, il est très important d’écouter la tradition et d’agir conformément à l’étiquette. C’est ainsi que se construit la vie. Et son développement et son progrès dépendent en grande partie du niveau élevé de culture d’une société.
La culture morale est représentée par les sujets de la société et leurs relations. Il comprend : a) des signes et des éléments de culture conscience morale sujets de société; b) culture du comportement et de la communication ; c) une culture d'actions et d'activités morales. La culture morale est en corrélation avec d'autres types de culture de la vie matérielle et spirituelle de la société, mais elle s'oppose avant tout aux antipodes de la morale : le mal, l'inégalité, l'injustice, le déshonneur, le manque de dignité et de conscience, et d'autres phénomènes anti-moraux. .
En termes de contenu, la culture morale est le développement de la conscience morale et de la vision du monde des sujets de la société ; l'unité du moralement obligatoire et du moralement existant ; manifestation dans le système de comportement, de communication et d'activité des normes de bonté, d'honneur, de conscience, de devoir, de dignité, d'amour, d'interaction, etc. mener des activités de vie selon les principes de l'humanisme, de la démocratie, du travail acharné, de l'égalité sociale, une combinaison d'égoïsme raisonnable (dignité) et d'altruisme, de tranquillité.
La culture morale est aussi l'efficacité de la régulation morale de la vie des personnes, la complémentarité de la régulation morale et juridique, le respect de la « règle d'or de la moralité », les règles de l'étiquette.
On en parle partout et beaucoup sont même convaincus que la moralité publique et personnelle connaît aujourd’hui une grave crise. Il y a beaucoup de choses qui sont troublantes. Et la croissance de la criminalité, de l'injustice sociale et de l'effondrement des idéaux qui servaient de support officiel à la moralité. Il est bien évident que la culture morale ne peut pas être élevée si le système social est inefficace et ignore les exigences de la justice et du bon sens.
Il est nécessaire d'adapter les relations entre les personnes à travers la culture morale, qui est un facteur de développement d'une société rationnelle, qui devient chaque jour de plus en plus évident.
Notre conscience a une manière d’influencer directement le monde matériel. Ceci, comme on le dit parfois, est une manifestation du triomphe de la pensée sur la matière. Le grand physiologiste russe I.P. Pavlov a déclaré : « L’homme est le seul système capable de s’autoréguler dans de larges limites, c’est-à-dire de s’améliorer. » Il est important de noter ici que beaucoup dépend de nous-mêmes.
Si nous voulons que notre civilisation survive, il est nécessaire de prévenir de tels incidents le plus rapidement possible. C'est pourquoi notre devoir, notre devoir sacré, est de créer une nouvelle idée de nous-mêmes et de la conscience à travers la culture morale, afin que, guidée par ce nouveau modèle dans la pratique, l'humanité puisse non seulement survivre, mais se retrouver dans une situation plus niveau d'existence parfait.
Bien sûr, les fissures dans la culture morale de la société sont évidentes ; à mon avis, la culture morale de la communication peut servir d'exemple face à divers malentendus entre les personnes dans la communication presque quotidienne.
Une culture morale de la communication présuppose la présence de convictions morales, la connaissance des normes morales, la préparation à l'activité morale et le bon sens, en particulier dans les situations de conflit.
La communication morale est une expression du contenu et du niveau de l'apparence spirituelle d'une personne.
La culture morale de la communication représente l'unité de la conscience morale et du comportement. Cela nécessite souvent du dévouement et de la maîtrise de soi de la part d'une personne. Et quand il s'agit de la Patrie, le patriotisme, le sens du devoir, puis la capacité de se sacrifier.
La culture morale de la communication est divisée en : 1) interne et 2) externe.
La culture interne est constituée d'idéaux et de lignes directrices morales, de normes et de principes de comportement, qui constituent le fondement de l'apparence spirituelle d'un individu. Ce sont les fondements spirituels sur lesquels une personne construit ses relations avec les autres dans toutes les sphères de la vie publique. La culture interne de l'individu joue un rôle moteur et déterminant dans la formation de la culture externe de la communication dans laquelle elle trouve sa manifestation. Les modalités d'une telle manifestation peuvent être variées - échanger des salutations et des informations importantes avec d'autres personnes, établir diverses formes de coopération, des relations d'amitié, d'amour, etc. La culture interne se manifeste dans les manières de se comporter, dans les manières de s'adresser à un partenaire, dans la capacité s'habiller sans susciter les critiques des autres.
Les cultures interne et externe de la communication morale sont toujours interconnectées, se complètent et existent dans l'unité. Toutefois, cette relation n’est pas toujours évidente. Il existe de nombreuses personnes qui, derrière leur apparente insociabilité et un certain secret, révèlent une personnalité spirituellement riche, prête à répondre à votre demande, à apporter de l'aide si nécessaire, etc. En même temps, il y a aussi des individus qui cachent leur nature misérable derrière un brillance externe et essence malhonnête.
Il existe de nombreux exemples dans la vie où, pour certaines personnes, le côté extérieur de la communication devient une fin en soi et constitue en fait une couverture pour atteindre des objectifs égoïstes et égoïstes. Une variété de ces comportements sont l'hypocrisie, l'hypocrisie et la tromperie délibérée.
La reconnaissance de la valeur d’une personne est étroitement liée aux évaluations spécifiques des personnes entrant en communication. De nombreuses difficultés qui surviennent dans le processus de communication sont générées par l’écart entre l’estime de soi d’une personne et son évaluation par les autres. En règle générale, l'estime de soi est toujours supérieure à l'évaluation des autres (même si elle peut être sous-estimée).
Les Saints Pères disaient : une personne se forme dès l'enfance, même dès le ventre de sa mère, et non à la fin de l'école. Et maintenant, une attention particulière doit être accordée à l'éducation dans notre école ; c'est la principale institution qui dispense une éducation à la jeune génération. Hélas, l’école a désormais perdu son moment éducatif, elle ne fournit qu’une somme de connaissances, mais il ne faut pas oublier qu’à l’école, on décide non seulement si un jeune apprendra à compter et à écrire, mais aussi comment il grandira. Comment il perçoit le monde, comment il traite son prochain, comment il évalue toutes les actions.
Par conséquent, même dès l'école, il est nécessaire de mener des conversations morales avec les enfants. Dès l’âge de deux ans, l’enfant entre dans le champ des normes morales. Découvrez ce qui est bon et ce qui est mauvais. Tout d'abord, les adultes, puis les pairs, commencent à s'assurer qu'il observe certaines formes de comportement. Si vous inculquez à un enfant qu'il est nécessaire de prendre soin de ceux qui en ont besoin, d'aider une personne en souffrance ou en deuil, nous pouvons affirmer avec certitude que l'enfant grandira en se souciant, en comprenant la douleur et le chagrin des autres. Cela ne nécessite aucun techniques spéciales et des méthodes, il vous suffit de démontrer plus souvent des exemples positifs. Les conversations morales vous apprennent à voir les avantages et les inconvénients de votre propre comportement et de celui des autres dans la vie de tous les jours et dans les lieux publics (dans la rue, dans les transports, dans un magasin) ; acquérir les notions de « juste - malhonnête », « juste - injuste », « bien - mal » ; Ils forment un « code d’honneur », la capacité d’agir équitablement, et de subordonner leurs désirs aux intérêts communs.
Un conte de fées est la première œuvre d'art qui permet à un enfant d'éprouver un sentiment de participation au chagrin et à la joie des héros, de détester l'avidité et la trahison et de désirer passionnément la victoire du bien. Un conte de fées élargit l’expérience morale d’un enfant.
L’avenir de la Russie se forme à l’école. Naturellement, tout influence la moralité : la presse, la famille, l’école et même un simple passant. Par conséquent, la responsabilité de la moralité dans la société n’incombe à personne seul. On ne peut pas dire qu’un seul journaliste orthodoxe puisse influencer l’état moral. Si une personne écrit ça
Il n'y a pas assez de bons sujets moraux à la télévision et il y a beaucoup de choses qui détruisent l'âme, apportent une sorte de confusion, de tentation. La télévision doit avoir un pouvoir créatif, contribuer à construire notre État et à le rendre fort. Et l'État ne peut être fort sans moralité, sans foi, sans amour pour la patrie et le prochain.
La religion et la morale sont étroitement liées. La religion est impossible sans moralité, et la moralité est impossible sans religion. La foi sans les œuvres est morte. Seuls les démons croient avec une telle foi (croient et tremblent). La vraie foi (vivante et non morte) ne peut exister sans les bonnes actions. Tout comme une fleur naturellement parfumée ne peut qu’être parfumée, de même la vraie foi ne peut qu’être attestée par une bonne moralité. À son tour, la moralité ne peut exister sans fondement religieux et sans lumière religieuse et se fanera certainement, comme une plante privée de racines, d’humidité et de soleil. La religion sans moralité est comme un figuier stérile ; La morale sans religion est comme un figuier coupé.
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Conclusion
En conclusion, je voudrais résumer tout ce qui a été dit ci-dessus. Après avoir étudié la littérature, j'ai répondu aux questions posées. Elle a défini elle-même une conception claire de la culture morale, de son rôle dans la vie publique et de sa signification pour l'homme.
Les « défauts » révélés de la culture morale moderne
"Sauvez votre âme, commencez par vous-même et des milliers de personnes autour de vous changeront." En fait, vous devez d’abord surmonter le problème qui se trouve en vous.
La valeur et l’importance de la culture morale, comme la moralité, se retrouvent dans le comportement, la communication et les activités des personnes, dans l’opinion publique et dans l’exemple personnel.
Ainsi, la culture morale est l'élément traditionnel le plus important de leur culture pour l'homme et la société.
La communauté mondiale accorde de plus en plus d’attention à l’état de la culture. Il est compris principalement comme le contenu et le processus de l’activité vitale des personnes, le résultat de leur activité sociale productive active et ciblée, bien que pas toujours opportune et réussie. La culture est l'un des principaux signes de la civilisation planétaire ; elle distingue la vie des humains de celle des autres êtres vivants sur terre et d'éventuelles civilisations extraterrestres.
La culture est un indicateur fondamental et historiquement long de la créativité des gens, de la corrélation des niveaux et de la qualité du développement des communautés et des peuples individuels, un critère pour évaluer le cheminement historique et les perspectives des grandes entités sociales, de chaque individu. La culture est une « seconde nature ».
Il a été créé par des personnes, indique des lois et des facteurs fondamentalement différents dans le fonctionnement de la société (peuples planétaires et spécifiques, États), contrairement à la nature naturelle (première). Il est important de souligner que la seconde nature en tant que culture comprend non seulement des éléments matériels et physiques, mais aussi spirituels (idéaux). Cette disposition distingue également la culture de la nature naturelle. La culture révèle les capacités et propriétés spirituelles et subjectives des personnes.
Les perspectives de développement de la société mondiale aux XXe et XXIe siècles sont de plus en plus déterminées par des phénomènes de crise qui surgissent au sein de la culture en tant qu'antipodes et indicateurs de l'imperfection culturelle humaine. L'un de ces problèmes complexes est l'augmentation de l'agressivité humaine, la destructivité accrue, l'anticulturalisme de son comportement et de ses activités, non seulement par rapport au naturel, mais aussi à l'artificiel, créé par l'homme lui-même, l'environnement social et les personnes elles-mêmes. Type moderne la personnalité acquiert une incohérence et une dualité de plus en plus menaçantes et dangereuses. Cette situation ne caractérise pas l’ensemble de l’humanité, mais la tendance est assez évidente et stable.
La culture morale vise à reproduire la conscience, à satisfaire les besoins moraux des personnes. La morale se manifeste dans la pratique dans d'autres sphères de la vie - dans l'économie, la politique, la vie sociale, le droit, etc. C'est un phénomène non seulement de la vie spirituelle, mais aussi de la vie matérielle, et ses spécificités sont clairement exprimées.
Bibliographie
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L.K. Kruglova "Fondements des études culturelles". Saint-Pétersbourg 1994.
Yu.G. Marchenko I.I. Mamai "FONDAMENTAUX DE LA CULTUROLOGIE" ( Didacticiel). Novossibirsk 1995.
Conversations simples sur la moralité.
Mots clés: Culture morale Culturologie abstraite
Culture morale est l'un des principaux fondements de la vie spirituelle de la société. Avec le droit, la sphère de la moralité agit comme le principal mécanisme de régulation du comportement humain, créant des exemples de normes et d'idéaux de comportement « non écrits », formés spontanément (contrairement à la loi). Les principes de moralité ont le caractère d'une obligation et se présentent comme une exigence universelle, même si en réalité ils ne sont inhérents qu'à un certain groupe social.
La moralité en tant que forme de régulation du comportement est un élément constitutif de la culture humaine. À l’époque de son apparition, il était étroitement associé aux croyances religieuses. Les premières interdictions et normes de communication avec les ancêtres et les membres de la tribu ont permis à la société d'exister comme un système de relations précisément définies culturellement. En d’autres termes, la moralité crée un espace spirituel au sein duquel l’existence humaine se déroule précisément en tant qu’humaine.
La fonction régulatrice de la moralité s'incarne dans la création de tout un système de normes, de principes, d'idéaux et de valeurs.
Moeurs- un comportement approprié dont la violation, de l'avis du groupe, lui porte préjudice. Elles sont formulées comme des règles d'action précises : céder votre place aux aînés, dire bonjour lors de vos rencontres, ne pas offenser les plus jeunes, ne pas être en retard, ne pas utiliser de langage obscène, porter une burqa, ne pas tuer. , ne vole pas.
Principes moraux(l'égoïsme, l'altruisme, l'humanisme, le collectivisme, l'individualisme, l'ascétisme, l'altruisme, l'exigence) fixent la direction de l'activité morale.
Idéaux moraux créer l'image d'une personne moralement parfaite et exprimer le but ultime des actions. Ainsi, l'idéal moral chrétien s'incarne à l'image du Christ - le maître de justice et le grand martyr. Cet idéal est associé à la retenue, à l'humilité, à la patience, à la compassion et à l'amour du prochain. Il faut garder à l'esprit que l'idéal moral n'est qu'un horizon sans fin, une ligne de comportement, un processus de réalisation, et qu'il ne peut donc pas s'incarner dans la réalité.
Valeurs morales les plus élevées agir comme des lignes directrices personnelles pour la vie, des objectifs extrêmement généraux de l'activité morale de chacun. Nous parlons de valeurs telles que le bonheur, le sens de la vie, la liberté. Ce sont les valeurs morales les plus élevées qui sont le régulateur suprême du comportement moral, des sentiments et des pensées. La culture morale se réalise dans le domaine de la conscience, des sentiments et des actions. La conscience morale fonctionne au niveau de la justification théorique des normes morales, des valeurs et des idéaux, ainsi que sous la forme de la compréhension subjective d'une personne des valeurs morales, des évaluations et des motivations de son comportement. La moralité présuppose aussi la présence de sentiments moraux (honte, culpabilité, conscience). La pratique morale agit comme une sphère de relations morales réalisées dans les actions. Une personne qui n'agit pas pratiquement ne peut pas être considérée comme morale.
La culture morale est un phénomène historique. Chaque époque et chaque nation crée ses propres idées sur le bien et le mal et ses propres mécanismes de fonctionnement de la moralité. Ainsi, dans les sociétés traditionnelles, les normes et valeurs morales sont considérées comme immuables et leur acceptation se fait pratiquement sans choix personnel (il n'y a pas d'alternative). Les actions individuelles sont strictement subordonnées à des processus supra-individuels plus importants. Ici, le centre de l'existence humaine, les critères de sa volonté et de ses jugements, les valeurs les plus élevées se situent en dehors de l'homme - dans un Tout,
auquel il appartient avec d'autres. Dans la culture européenne moderne, le comportement humain repose sur la conscience du pouvoir qu'il contient, généré par sa volonté, sa réflexion constante et son auto-réflexion. Par conséquent, les valeurs morales apparaissent à ses yeux comme créées par lui-même sans la participation des autres, c'est-à-dire sont de la nature d’un choix individuel.
Néanmoins, nous avons le droit de parler de l’existence de normes et de valeurs morales universelles.
La culture morale fonctionne au niveau de la société dans son ensemble, de diverses formations sous-culturelles et de l'individu. Regardons de plus près ce dernier. La culture morale d'un individu reflète le degré avec lequel une personne maîtrise l'expérience morale de la société, la capacité de mettre en œuvre systématiquement des valeurs et des principes moraux dans ses actions et sa volonté de s'améliorer. Ici, la synthèse des normes sociales et de l'expérience morale personnelle joue un rôle important. Extérieurement, la culture du comportement moral se manifeste par la conformité des actions et des paroles aux normes développées par la société. Mais ils ne seront strictement moraux que s’ils sont commis sur la base d’une motivation morale et conformément à des principes moraux, c’est-à-dire lorsque la connaissance éthique coïncide avec des motivations et des actions morales. Il est possible de dire que la culture morale n'est devenue une composante interne de l'individu que lorsque les normes morales et les valeurs de la société se transforment en croyances. La culture morale d’un individu présuppose la capacité d’une personne à comprendre les sentiments et les motivations de ses actions, la capacité de les relier aux intérêts des autres.
Formation de la culture morale la société comprend la fixation de normes de comportement et d'idéaux formés spontanément, qui prennent la forme de mythes, de commandements religieux et, à un stade ultérieur, servent de justification théorique à des idéaux moraux qui correspondent à l'air du temps. Une composante nécessaire du processus de formation d'une culture morale est la diffusion et l'introduction des connaissances et des exigences morales existantes dans la conscience des personnes à travers la formation, l'éducation, les traditions, les coutumes, l'organisation. formes de masse communications, etc Dans le processus de formation d'une culture morale, chaque société crée certains mécanismes de reproduction des valeurs morales à travers l'opinion publique, diverses formes de contrôle, l'exemple, etc.
La régulation et la gestion des processus moraux dans la société s'effectuent à travers le système éducation morale, dont le contenu n'est pas aujourd'hui uniforme, car dans une société socialement différenciée, sur la base d'une moralité généralement acceptée, il existe différents types de moralité : laïque, religieuse, philistine, professionnelle. Par conséquent, dans la culture moderne, il ne peut y avoir de programme et de méthodes d’éducation universelles. Ce ne sont que des lignes directrices générales.
L'éducation morale est le processus de transformation des connaissances morales en attitudes, habitudes et croyances internes. Dans la culture moderne, l’éducation est considérée comme la gestion du processus de développement de la personnalité (plutôt que comme la gestion de la personnalité). Elle s'effectue donc à travers la communication dialogique, la recherche commune de la vérité, la création de situations éducatives et l'activité créatrice.
L'éducation morale implique plusieurs directions:
Former un lien avec la société, coordonner le comportement personnel avec ses normes.
Familiarisation avec les idéaux moraux et les normes de la société.
Assimilation de la culture externe du comportement.
Formation d'habitudes morales nécessaires à la société.
Formation de sentiments moraux stables (conscience, devoir, dignité, honte) et de qualités (honnêteté, intégrité).
Transformer les connaissances en croyances.
Pour réaliser ces tâches, diverses formes et méthodes sont utilisées. Le plus important formes d'éducation morale sont des tâches et des instructions, des conversations individuelles, du travail avec des militants, des informations de masse et des événements organisationnels (réunions, rapports, conférences, conférences, soirées à thème), des formes efficaces et pratiques (équipes de propagande, conseillers, groupes d'aide, etc.). Basique méthodes d'éducation morale: persuasion, exercice, exemple positif, approbation (du geste et du ton à la gratitude déclarée), condamnation, organisation d'activités moralement positives, auto-éducation. Déjà à l'adolescence, le développement des habitudes morales doit s'effectuer dans des conditions d'activité indépendante prononcée, dans une situation de haute responsabilité envers soi-même.
Formation de la culture morale dans la société biélorusse moderne est associé à un certain nombre de problèmes. La critique du système soviétique a conduit à la destruction des anciens fondements spirituels, normes et principes moraux. Tout en reprochant à juste titre à la morale socialiste son caractère abstrait et ses deux poids, deux mesures, de nombreuses valeurs humaines universelles ont en réalité été discréditées au cours du processus de critique. Les nouveaux idéaux ont longtemps été absents. Cette situation a donné lieu à un nihilisme extrêmement moral, à un mépris ouvert des normes morales et à un tournant vers l’égoïsme et l’individualisme. La société était confrontée à la tâche de former un nouveau type de moralité dont les principales lignes directrices étaient les valeurs humaines universelles, l'humanisme et la moralité chrétienne. Il existe également une tendance à construire un système d'éducation morale basé sur l'idéologie de la classe moyenne, où le professionnalisme et les qualités morales associées sont mises au premier plan - décence, fiabilité, devoir, honnêteté, exigence envers soi-même et envers les autres, responsabilité, discipline. , etc.
Il faut dire que l'affaiblissement des mécanismes de régulation morale est aussi dû aux particularités culture moderne. Le culte de la technologie au XXe siècle a tout mené plus de développement pensée technocratique, pour laquelle les orientations morales, notamment vers des principes moraux extrêmement généralisés, ont importance secondaire. Les processus d’urbanisation ont conduit à une augmentation de l’anonymat de la vie. DANS grande ville les mécanismes de contrôle des comportements moraux (condamnation, boycott, opinion publique) s'affaiblissent de plus en plus et la régulation juridique des relations entre les personnes prend le dessus. Par conséquent, même dans la société occidentale prospère, les problèmes de culture morale sont aujourd’hui très aigus.
Enfin, un problème important est le développement insuffisant de méthodes détaillées pour éduquer diverses habitudes morales, sentiments et normes de comportement. Aujourd’hui, de plus en plus d’études de ce type apparaissent. De plus, ils ne peuvent être efficaces que s’ils combinent des connaissances dans les domaines de l’éthique, de la psychologie et de la pédagogie.
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Pourtant, la culture médiévale a conservé certaines formes culturelles créées par l’Antiquité (Rome en premier lieu). C'est vrai, très souvent sous une forme épurée et superficielle. Et toujours en lien avec de nouvelles valeurs
Le christianisme dans la culture du Moyen Âge
Le christianisme constitue le fondement idéologique du Moyen Âge, laissant sa marque dans toutes les sphères de la vie spirituelle et matérielle. Le système de valeurs au Moyen Âge a sa signification absolue
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Après la prise de l’Empire par les tribus germaniques, l’Église romaine fut confrontée à la nécessité de se convertir au christianisme. peuples barbares, dont la conscience était bien plus archaïque qu’ancienne. À
Carnaval, caractère humoristique de la culture populaire
Le caractère carnavalesque et humoristique de la culture populaire est une caractéristique importante de la culture du Moyen Âge, qui se manifeste le plus clairement dans les villes. Carnaval I
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La classe militaire était une composante nécessaire de la culture antique et germanique. Mais là le guerrier n'était qu'un mercenaire, il servait son maître ou chef. Tout au long du début du Moyen
Culture artistique du Moyen Âge
La vision médiévale du monde a déterminé les spécificités de l'art de cette époque : Appel à Dieu. L'art était censé amener une personne à Dieu, la mettre devant son image, et
Formation de la culture de la Renaissance
Tout d’abord, il convient de noter la signification du terme « renaissance » ou « renaissance ». Nous parlons avant tout de la renaissance d'idéaux anciens - au sens le plus large - en tant que normes, définissant
Idées de l'humanisme antique
Une autre idée importante formulée dans le cadre de la Renaissance est l'idée du principe divin chez l'homme, avec le type préféré de comportement social actif, de recherche et
Sciences et arts
La vision scientifique émergente du monde est inextricablement liée à la pratique artistique de la Renaissance. Aucun des grands artistes de cette époque, que ce soit Léonard de Vinci, Michel-Ange ou Albrecht
Renaissance du Nord
La Renaissance du Nord, qui comprend la France, l'Allemagne, les Pays-Bas, etc., a adopté les idées humanistes de la Renaissance italienne, mais en même temps la culture de ces pays est restée
Culture du peuple biélorusse de la Renaissance
Les idées humanistes de la Renaissance touchaient à la sphère la plus importante de la vie spirituelle l'Europe médiévale- des églises. L'idée surgit d'un retour au vrai sens des relations religieuses, qui
L'ère du capitalisme
Le XVIIe siècle s'ouvre nouvelle ère- l'ère du capitalisme. Dans le même temps, le protestantisme a donné une impulsion puissante à la rationalisation de tous les types d'activités et à la création de la science du Nouvel Âge - la connaissance expérimentale. Il sanctifie
Développement de la science européenne
A la fin du 16ème siècle XVIe siècle Galilée a posé les bases d'une nouvelle mécanique-dynamique, a fait des découvertes importantes dans le domaine de l'astronomie, I. Kepler a généralisé les observations astronomiques dans des formules mathématiques (lois de Ke
Développement du mouvement éducatif
Fin du XVIIe siècle. XVIIIe siècles Dans la culture européenne, est née l'idéologie des Lumières, prêchant la priorité de la science, de la raison dans la vie de l'individu, de la société, de l'État, l'idée d'éduquer des personnes parfaites.
Développement de la science au XIe siècle
Le XIe siècle fut l'apogée des sciences naturelles classiques et la création d'un système unifié de sciences. Les premiers laboratoires scientifiques travaillant pour l'industrie apparaissent. Découvertes scientifiques de plus en plus dans
Développement de l'art et de l'architecture
Les grands changements intervenus dans le développement de la science et de la technologie ont eu un impact considérable sur culture artistique. Les mouvements artistiques déterminants sont le classicisme, le romantisme et le réalisme critique.
culture du 20ème siècle
Le XXe siècle est resté dans l’histoire comme le plus tragique et le plus sanglant. Sa principale caractéristique est l’essor puissant de la science et de la technologie sur fond de gigantesques affrontements et révolutions.
La science dans la culture du XXe siècle
Les discussions sur l'essence et le rôle des différents types de cultures se sont inévitablement tournées vers des problèmes liés à la clarification de la place de la science dans la société moderne. De plus, au 20e siècle. la science en tant qu'élément socioculturel particulier
Mouvements artistiques dans la culture du 20e siècle
Les principales innovations culturelles apparues dans la première moitié du XXe siècle se sont formées principalement dans le courant dominant du modernisme, qui est devenu une voie spécifique
Culture musicale du XXe siècle
Culture musicale XXe siècle plus clairement que fiction, se caractérisent par une recherche de moyens et de formes d'expression artistique modernistes. Il est clair
Compréhension moderne de la civilisation
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Arrêtons-nous plus en détail sur les idées principales des scientifiques fondateurs de la théorie de la civilisation moderne. La théorie des types locaux par N.Ya.Danilevsky (1822-1885). Dans votre principal
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Études culturelles
Cours magistral 3ème édition, complété Dans l'édition de l'auteur Responsable du numéro O.N.
La culture morale d'un individu est une caractéristique du développement moral d'un individu, qui reflète le degré avec lequel il maîtrise l'expérience morale de la société, la capacité de mettre en œuvre systématiquement des valeurs, des normes et des principes dans son comportement et ses relations avec les autres. les gens et la volonté de s’améliorer constamment. La culture morale agit comme un programme complexe, comprenant l'expérience acquise de l'humanité, qui aide à agir moralement dans des situations traditionnelles, ainsi que des éléments créatifs de la conscience, tels que la raison morale, l'intuition, qui contribuent à prendre des décisions morales dans des situations problématiques.
Une personne accumule dans sa conscience et son comportement les acquis de la culture morale de la société. Par conséquent, la culture morale d'un individu est le degré avec lequel un individu perçoit la conscience morale et la culture de la société, un indicateur de la profondeur et de l'organicité des exigences de la moralité dans les actions d'une personne en raison de l'influence formatrice de la société sur elle. .
La tâche de former une culture morale d'un individu est de parvenir à une combinaison optimale de traditions et d'innovations, de combiner l'expérience spécifique d'un individu et toute la richesse de la moralité publique.
Culture morale de l'individu. Théorie.
La culture morale de la société se concrétise et se personnalise principalement dans la culture morale de l'individu. Il représente la totalité et la mesure du développement de la conscience morale et de la vision du monde, des qualités morales, l'intégralité et la cohérence de leur manifestation dans l'autorégulation, le comportement, la communication et l'activité personnelle.
La structure de la culture morale d’une personne est :
a) développement de la conscience morale (connaissance morale sur la bonté, l'honneur, etc. ; sentiments et émotions moraux, volonté morale, valeurs morales) ;
b) le développement d'une vision morale du monde (idéaux, normes et principes moraux, orientations et intérêts moraux, convictions et croyances) ;
c) la perfection des qualités morales (philanthropie, attitude respectueuse envers les personnes, compassion, empathie, justice, conscience, gentillesse, honnêteté, dignité, sens et compréhension du devoir, de la responsabilité, etc.) ;
d) manifestation cohérente de qualités morales, adhésion aux normes et principes moraux.
En termes de contenu, la culture morale d'un individu coïncide largement avec la culture morale d'une société ou d'un groupe. Mais il peut en différer considérablement par la subjectivité de la compréhension et de l'expression, la prédominance de certaines valeurs morales et l'orientation. Ainsi, la « règle d’or » de la morale commande et recommande : « traitez les autres comme vous aimeriez être traité ». Cela peut être exprimé par d'autres jugements. Mais chacun comprend cet impératif à sa manière.
L'un le transforme uniquement en relations familiales, l'autre en relations interpersonnelles informelles, le troisième en relations professionnelles et officielles. Il peut y avoir de nombreuses options de ce type. Néanmoins, la valeur et le sens de cette règle-norme sont préservés, restent compréhensibles et recherchés.
La différence entre la culture morale d'un individu et la culture de la société réside dans le fait que les positions, comportements et conduites anticulturelles et immorales se produisent principalement chez l'individu. De grandes masses de personnes se tournent vers des actions immorales, soit en succombant à l’influence de dirigeants orientés négativement, soit lorsqu’elles sont réduites à l’extrême pauvreté et au manque de droits.
2.1 Moralité.
Le mot « moralité » dans le langage moderne signifie à peu près la même chose que moralité. En effet, étymologiquement, le terme « moralité » remonte au mot latin « mos » (pluriel « moris »), signifiant « tempérament », « moralis » - « moral ». Une autre signification de ce mot est loi, règle, réglementation. Dans la littérature philosophique moderne, la moralité est comprise comme la moralité, une forme particulière de conscience sociale et un type de relations sociales ; l'un des principaux moyens de réguler les actions humaines dans la société par le biais de normes.
La moralité naît et se développe sur la base du besoin de la société de réguler le comportement des personnes dans diverses sphères de leur vie. La moralité est considérée comme l’un des moyens les plus accessibles pour comprendre les processus complexes de la vie sociale. Le problème fondamental de la moralité est la régulation des relations et des intérêts de l'individu et de la société.
Les idéaux, principes et normes moraux sont nés des idées des gens sur la justice, l’humanité, la bonté, le bien public, etc. Le comportement des personnes qui correspondaient à ces idées était déclaré moral, le contraire étant immoral. En d’autres termes, ce qui est moral, c’est ce que les gens croient être dans l’intérêt de la société et des individus. Ce qui apporte le plus d'avantages. Naturellement, ces idées changeaient de siècle en siècle et, de plus, elles étaient différentes selon les représentants des différentes couches et groupes. C'est aussi de là que vient la spécificité de la moralité parmi les représentants des diverses professions. Tout ce qui précède permet de dire que la morale a un caractère historique, social et professionnel.
Le concept de « moralité » est extrêmement polysémantique. Il existe plusieurs dizaines de moralités spécifiques, mais le plus souvent, la moralité est comprise comme l'un des principaux moyens de régulation normative des actions humaines dans la société, ainsi qu'une forme particulière de conscience sociale et un type de relations sociales.
La moralité, dans son ensemble, est un système de valeurs caractéristique d'une certaine personne et d'une certaine société à un moment donné. La morale, qui régit les relations humaines, ne repose pas sur le pouvoir du pouvoir d'État, mais sur le pouvoir de la conscience, sur la conviction. Le terme « morale » est utilisé comme une instruction morale, pratique et un enseignement moral distinct. (La morale de cette fable est...) Les mots « moral » et « moralité » sont plutôt utilisés comme une définition qualitative d'une action, dans le contexte de savoir si elle est décente et digne.
On peut dire que la moralité repose sur trois fondements importants.
Il s'agit d'abord de traditions, de coutumes, de mœurs qui se sont développées dans une société donnée, au sein d'une classe, d'un groupe social donné. Une personne apprend ces valeurs morales, ces normes de comportement traditionnelles, qui deviennent des habitudes et deviennent la propriété du monde spirituel de l'individu. Ils se réalisent dans son comportement dont les motivations sont formulées ainsi : « c'est comme ça que c'est accepté » ou « ceci n'est pas accepté », « tout le monde le fait comme ça », « les gens et moi », « c'est comment cela se faisait depuis des temps immémoriaux", "nos pères et nos grands-pères ont fait de même et nous ferons de même." L’importance de ces motivations est indéniable. Après tout, sans maîtriser ce qui est accepté ou non dans une société donnée, il est impossible de comprendre « ce qui est bien » et « ce qui est mal ».
Deuxièmement, la moralité repose sur le pouvoir de l'opinion publique qui, en approuvant certaines actions et en condamnant d'autres, régule le comportement d'un individu et lui apprend à se conformer aux normes morales. Les instruments de l'opinion publique sont, d'une part, l'honneur, la bonne réputation, la reconnaissance publique, qui deviennent le résultat de l'accomplissement consciencieux par une personne de ses devoirs, de sa stricte adhésion aux normes morales d'une société donnée ; d’un autre côté, la honte, faire honte à une personne qui a violé les normes morales.
Troisièmement, la moralité repose sur la conscience de chaque individu, sur sa compréhension de la nécessité d'harmoniser les intérêts personnels et publics.
Cela détermine le choix volontaire, le comportement volontaire, qui se produit lorsque la conscience devient une base solide pour le comportement moral d’une personne. La réalité du nom des trois justifications de la morale est attestée par toute son histoire. Ceci a été enregistré et la sagesse populaire. Ce n’est pas pour rien qu’on dit d’une personne très mauvaise, immorale et immorale : « Pas de honte, pas de conscience ». Cela signifie que l’opinion publique n’a aucun effet sur lui et que sa conscience n’est pas développée. Vous ne pouvez pas battre une telle personne avec la morale ; vous devez utiliser des moyens d'influence plus durs, conçus pour un faible niveau de conscience. (« Celui qui n'est pas honoré sera battu par le bâton », dit l'un des proverbes).
Ainsi, la moralité comprend un ensemble de normes et de règles de comportement et constitue un moyen important de révéler les capacités humaines, la formation et l'affirmation de la personnalité humaine.
Les difficultés de l'étude de la moralité tiennent au fait qu'elles sont associées à des mécanismes psychologiques et sociaux très « subtils ». La moralité naît là où les relations mentales entre les personnes sont établies. Mais ces relations se forment au niveau social, où les expériences mentales sont associées à des idées sur le bien et le mal, la justice, l'honneur, le devoir, la conscience, le bonheur, etc. Naturellement, les animaux n'ont pas et ne peuvent pas avoir de telles idées sous une forme clairement exprimée, car les relations morales sont des relations mentales d'un niveau social supérieur, inhérentes uniquement aux humains.
Des difficultés surgissent également lorsque nous nous efforçons de localiser la moralité, de l'isoler des autres connexions et relations. Cela ne peut pas être fait. Le fait est que la morale a une capacité pénétrante et n’est pas localisée dans un domaine particulier : science, politique, production, famille, etc. La même action peut s'avérer morale, immorale, extra-morale - tout dépend si elle exprime l'attitude d'une personne envers le système de valeurs en vigueur dans la société. En général, il faut dire que la moralité, la moralité ou l'immoralité n'existent pas en soi, séparément des actions et actions d'une personne. Toute personne peut se doter verbalement de n'importe quelle qualité. De plus, il peut sincèrement croire en ce qu’il dit. Cependant, seule une analyse impartiale des actes et des actes de cette personne peut confirmer ou infirmer sa déclaration.
Tout cela doit être pris en compte, car non seulement chaque individu, mais aussi chaque classe, couche sociale et le groupe social de la société essaie toujours d'utiliser la moralité à des fins idéologiques, de l'adapter à ses intérêts et de justifier son mode de vie avec son aide.
1.1 La culture morale comme problème philosophique et pédagogique
La science moderne couvre les domaines les plus divers de la vie et de l'activité humaine, pénétrant les secrets des lois de la nature et de la société. Mais l’un des objets de connaissance les plus attrayants, les plus importants et les plus complexes est la culture et son porteur et créateur – l’homme. La culture a de nombreuses sources : tout ce qui se passe dans le monde, dans la société, en politique et tout ce qui se passe dans groupe social, dans la famille, et tout expérience personnelle, et tout ce que le peuple enseigne, tant la littérature que l'art. Ce n'est qu'en s'inspirant des valeurs culturelles humaines universelles que l'on peut devenir une personne de haute culture.
La situation économique et socioculturelle de la République de Biélorussie, au stade de la transition vers une économie sociale, une société civile et un État de droit, a compliqué le processus d'éducation des jeunes générations. Parmi eux, l'anxiété sociale, l'incertitude, l'agressivité et la cruauté ont commencé à apparaître de plus en plus ; le nombre d’élèves ayant des comportements déviants a augmenté. À bien des égards, cela est devenu possible grâce à une diminution du potentiel éducatif des établissements d'enseignement depuis le début des années 90 : dans le travail éducatif, le formalisme n'a toujours pas été éliminé, consistant en l'assimilation mécanique et l'utilisation de certaines dispositions, normes et règles de comportement. sans leur assimilation consciente et la capacité de les appliquer de manière indépendante dans la vie. Le formalisme se manifeste également dans la planification de modèles travail éducatif et activités sportives et récréatives, manque d'analyse réalisée auprès des étudiants.
À cet égard, la tâche consistant à identifier de nouvelles approches théoriques, méthodologiques et pratiques de l’éducation moderne, reflétées dans le « Concept d’éducation des enfants et des étudiants en République de Biélorussie », est devenue urgente. Le but de l'éducation est également indiqué - la formation de personnes sociales, spirituelles et moralement mûres personnalité créative– avec un haut niveau de culture, avec un potentiel créatif, capable de s’auto-développer et de s’autoréguler, avec les qualités inhérentes d’un citoyen, d’un patriote, d’un travailleur acharné et d’un père de famille. La conscience de la valeur intrinsèque de la vie humaine et l'accent mis sur le renouveau des valeurs spirituelles et morales déterminent la stratégie éducative, dans la mise en œuvre de laquelle la culture joue un rôle majeur. C'est l'approche culturologique qui permet de faire de la culture le contenu, et de l'éducation le processus de création culturelle. Puisque la culture morale et éthique est une composante fondamentale de la culture personnelle, alors la tâche la plus importante l'éducation est le développement moral de l'individu, ce qui présuppose que les élèves soient conscients du fait de l'interaction dans le monde de nombreuses cultures avec leurs idéaux, leurs valeurs spirituelles et morales ; maîtriser les concepts de culture, de moralité, de spiritualité ; éducation aux qualités morales et expérience du comportement moral.
« Le 21ème siècle sera le siècle de la culture humanitaire, si tant est qu’il y en ait une. » Ces mots appartiennent au célèbre philosophe français K. Lévi-Strauss, et leur signification est que l'humanité n'aura peut-être pas d'avenir si elle ne s'intéresse pas au développement humanitaire de l'individu, aux aspects moraux de sa vie.
Le problème de la culture morale se situe à la frontière de l’éthique et de la théorie culturelle. Actuellement, il existe deux approches pour révéler l'essence du concept de « culture morale ». La première commence par révéler l'essence du concept générique - « culture », et la seconde approche - la spécifique - « moralité ».
Pour avoir une idée de ce qu'est la culture morale, il faut tout d'abord se tourner vers l'étymologie du mot « culture ».
Dans le monde antique, le mot latin « cultura » signifiait à l'origine « culture de la terre », sa « culture », c'est-à-dire changements de la nature sous l'influence de l'homme et de ses activités. Plus tard, la « culture » a commencé à être comprise comme tout ce qui était créé par l’homme.
Des penseurs éminents du passé ont accordé une grande attention au problème de la culture. Dans les œuvres de Cicéron (106-43 avant JC), on trouve le concept de « cultura animi », qui peut être traduit par « traitement, amélioration de l'âme ». Il a écrit : « Tout comme un champ fertile sans culture ne produit pas de récolte, l’âme aussi. Cultiver l’âme est une philosophie : elle élimine les vices de l’âme, la prépare à recevoir les semailles et ne confie, pour ainsi dire, que les graines qui, une fois mûres, apportent une récolte abondante.
Dans les temps anciens, la compréhension de la culture se résumait à la reconnaissance dans sa composition de l'unité inextricable de la Vérité, du Bon et de la Beauté. Cette triade éternelle a ensuite donné naissance à la science moderne, à la morale et à l’art le plus riche. Dans le même temps, le culte de la raison et l’importance accordée à la science dans le concept de culture remontent à la fin du XVIIIe siècle.
Le grand philosophe allemand I. Kant (1724-1804), bien qu'il ait reconnu la triade d'idées au cœur de l'univers - Vérité, Bonté et Beauté - est cependant parvenu avant tout à une conscience morale du concept de « culture ». Sa déclaration est bien connue : « Deux choses remplissent toujours l'âme d'une surprise et d'un respect nouveaux et toujours plus forts, plus nous y réfléchissons souvent et longtemps : c'est le ciel étoilé au-dessus de moi et la loi morale en moi. »
Un autre scientifique allemand exceptionnel, G. Hegel (1770-1831), a évalué la culture comme un développement naturel, la révélation progressive du pouvoir créateur de « l'esprit du monde » existant en dehors de l'homme, identifié à Dieu.
Le grand penseur N.K. Roerich a interprété le mot « culture » comme une fusion de deux fondements : culte - vénération et ur - lumière. Il croyait que « seule l’introduction de la Lumière détruit les ténèbres ». C'est précisément l'aspect principal de la culture, c'est-à-dire apporter la Lumière dans toutes les sphères de la vie et de l’activité humaine, y compris l’éducation. N.K. Roerich a déclaré : « Il n’y a pas de place pour la frivolité dans la culture. C’est une culture qui est une cognition consciente, une sophistication spirituelle et un pouvoir de persuasion.
Dans la littérature moderne nationale et étrangère, le terme « culture » est utilisé comme un processus d'humanisation, cultivant le monde naturel et l'homme lui-même ; le résultat du processus de culture ; moyens de culture.
Ainsi, on peut affirmer que la culture est le processus et le résultat de l'éducation et de l'éducation, car elle implique l'amélioration, l'ennoblissement des pouvoirs physiques et, principalement, spirituels de l'homme et de la société, c'est-à-dire culture de l'esprit.
Cette approche se retrouve également dans la définition de la culture donnée par V.I. Dahlem : "Culture - traitement et soins, culture, éducation mentale et morale".
Cette position est également confirmée par le philosophe allemand L. Feuerbach (1804-1872). Il a dit que « ce n’est pas la chair, mais l’esprit qui fait d’une personne une personne ».
Ainsi, il convient de noter que le terme latin « culture » en relation avec l’homme signifie aussi culture, perfectionnement et formation.
Il existe actuellement plusieurs centaines de définitions de la culture. La culture est un niveau historiquement déterminé de développement de la société, des pouvoirs créatifs et des capacités d'une personne, exprimés dans les types et les formes d'organisation de la vie et des activités des personnes, dans leurs relations, ainsi que dans les valeurs matérielles et spirituelles qu'elles créent. /
La culture est une manière spécifique d’organiser et de développer l’activité humaine, représentée dans les produits du travail matériel et spirituel, dans les valeurs spirituelles, dans l’ensemble des relations des hommes avec la nature et entre eux.
La culture dans l’éducation est une composante significative, une source de connaissances sur la nature, la société, les méthodes d’activité, l’attitude émotionnelle-volontaire et fondée sur les valeurs d’une personne envers les personnes qui l’entourent, le travail, la communication, etc. .
En tenant compte de ces définitions, nous comprendrons la culture comme le processus, le moyen et le résultat de l'éducation et de l'éducation.
Le concept de culture morale est également étroitement lié aux termes « moralité » et « moralité », qui sont essentiellement synonymes.
La signification étymologique du concept de « moralité » est associée à l'explication du mot latin « moralis », qui signifie « moral » en tant que système de principes et de normes de comportement qui déterminent les relations des personnes entre elles, avec la société et classes individuelles, et comme règles de comportement moral /
Cependant, l'écart évident entre la valeur normative, le côté idéal de la moralité et les relations morales réelles a incité certains chercheurs (A.A. Guseinov, A.K. Zvejnieks, etc.) à remplir ces concepts avec un contenu sémantique différent. En règle générale, les tentatives de distinction entre les concepts de « moralité » et de « moralité » se résument à la relation entre ce qui est et ce qui devrait être, où la sphère de la moralité apparaît comme un ensemble de normes, de principes et de valeurs, et la moralité, à son tour, se caractérise comme l’incarnation relative de la conscience morale dans des relations et des activités réelles.
Pour la première fois, une justification théorique de la séparation des concepts de moralité et d'éthique a été proposée par Hegel, qui croyait qu'ils devaient décrire divers phénomènes de la vie spirituelle. Par moralité, il comprenait la signification subjective du comportement humain, et la moralité est une relation pratique incarnée dans expérience historique famille, société civile et État.
Selon A.A. Guseinov, les arguments suivants peuvent être considérés en faveur de la séparation de ces termes. Premièrement, l'individu est directement inclus dans la définition morale, la moralité est sanctifiée par la tradition, la moralité en tant qu'expression d'une conviction intérieure est une preuve de l'esprit. Deuxièmement, la moralité coïncide avec les comportements réellement pratiqués ; la moralité est une obligation subjective. Troisièmement, la moralité exprime le point de vue de la communauté (famille, État, société) et la moralité est l'expression de la volonté individuelle.
Enseignants I.F. Kharlamov, B.T. Likhachev, V.A. Slastenin estime qu'une telle division, bien que quelque peu artificielle, a sa propre logique. Cependant, dans ce travail nous considérerons les concepts de moralité et d’éthique comme synonymes. La synonymie de « moralité » et de « moralité » a des racines plus profondes, et la pratique linguistique témoigne de leur équivalence.
L'intérêt pour la personnalité, pour le problème de sa formation dans l'histoire de la pensée humaine, a toujours été grand et s'est encore intensifié aux tournants du développement de la société, lorsque s'est fait sentir le besoin de trouver des voies de sortie de crise.
Bien que le concept de culture morale soit apparu au milieu du XXe siècle, les racines de ce concept remontent à l’Antiquité. Déjà dans l’Antiquité, des questions de moralité, de comportement moral, d’idéal moral et de personne morale se posaient.
Ainsi Socrate (469-399 avant JC) absolutise la moralité, la considère comme le fondement d'une vie digne, la base de la culture. Pour lui meilleur moyen la réalisation de soi d'une personne - son activité morale. Soulignant l'importance de l'amélioration morale de l'individu, Socrate a soutenu que seule une personne morale peut être heureuse.
Le concept éthique de Platon (427-347 avant JC) contient la doctrine du perfectionnement intellectuel et moral de l'homme. Le philosophe n'imagine pas la moralité d'un individu indépendamment de son lien avec la société, c'est-à-dire le contenu de l'existence individuelle doit être socialement significatif.
L'ancien philosophe grec Aristote (384-322 av. J.-C.) a été le premier à parler d'une science pratique particulière de la moralité, dont le but est d'enseigner à une personne comment devenir vertueuse (heureuse). Contrairement à Platon, Aristote nie le caractère inné des vertus, ce qui lui donne l'occasion d'évoquer le problème de l'éducation morale. Pour lui, une personne morale est celle qui est guidée par la raison couplée aux vertus. Il a soutenu ce qui suit : « Si nous avançons dans le domaine de la connaissance et non dans celui de la moralité, alors nous n’avançons pas, mais reculons. » La pensée d'Aristote est toujours d'actualité, alors que notre société se préoccupe du caractère moral de la jeune génération.
Le Moyen Âge se caractérise par le fait que la base de l'interprétation de la morale n'est pas la raison, mais la foi religieuse. Dans le contexte de l'idée de l'amour, la « règle d'or de la moralité » reçoit son expression : « Et ainsi en tout, ce que vous voulez que les gens vous fassent, faites-le aussi à eux… ».
À la Renaissance, la personnalité humaine acquiert une grande valeur. Un homme de la Renaissance est une personnalité brillante qui agit en tant que créateur de sa vie et de son destin. La Renaissance se distingue également par son attrait pour des thèmes sociaux et civiques, dont le rôle dans la culture morale de la société au Moyen Âge était faible.
Ainsi, N. Machiavel (1469-1527) nie le rôle prépondérant de la religion dans la formation d'une personnalité moralement parfaite, arguant que c'est l'apanage d'un État centralisé fort.
Thomas More (1478-1533) croyait que la tâche sociale prioritaire était l'éducation à la morale, c'est-à-dire favoriser les sentiments de justice, d’altruisme, d’humanité et d’honnêteté. Ainsi, une personne doit être éduquée dans un esprit de moralité, ce qui est dans l’intérêt de la société.
Le sujet d'étude à l'ère des Temps Nouveaux est la nature environnante, d'où la réduction de la moralité du ciel à la terre. Les penseurs sont confrontés à des questions de justification de la valeur morale de l'individu.
Spinoza (1635-1677) parle déjà de l'énorme importance de la connaissance dans l'amélioration morale de l'individu.
Les éducateurs français considèrent que les normes morales dépendent directement de droits civiques et les responsabilités des individus, c'est-à-dire tout est extrêmement socialisé. Ainsi pour John Locke (1632-1704) un homme moral est un citoyen, un gentleman qui « devrait être utile à son pays.
Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), considérant l'homme faible dans sa connaissance rationnelle, l'élève en dignité morale. Il voyait le but de l'éducation dans la formation non pas d'un fonctionnaire, ni d'un soldat, mais d'une personne. Il pensait que : « dans le domaine idées morales il faut procéder le plus lentement possible, les leçons de morale doivent être dans les actes et non dans les discours. D'après Zh.Zh. Rousseau, ce n'est que entre 15 ans et l'âge adulte (25 ans) que se forme la formation du caractère moral d'un jeune homme. Durant ces années, il se familiarise avec les coutumes des sociétés.
Particularité Les philosophes russes de la fin du XIXe siècle ont une foi sans limites dans le développement spirituel et moral de l'homme. Ils ne considéraient pas la moralité de manière abstraite, uniquement du point de vue de l'idéal de la spiritualité humaine, mais intégraient dans ce concept les actions réelles de l'individu.
Une personne morale, selon S.N. Trubetskoy, ne peut pas être coupée des autres et vivre uniquement de ses propres intérêts. « Un principe moral n’est vivant que lorsqu’il inspire réellement une personne et s’incarne dans ses actions. »
I. Kant est parti du fait que la moralité n'est possible que si une personne remplit son devoir, donc la culture de la moralité consistera en son parfait accomplissement. La culture morale elle-même dépend en grande partie de la motivation interne de l’activité humaine. Seule une action qui découle du sens du devoir peut être morale. La motivation à l'activité détermine de manière significative la culture morale d'un individu.
Franz Baader, un romantique allemand du XIXe siècle, croyait que le but de la culture morale était de purifier, d'éclairer et d'affiner la vision intérieure de l'individu. Cela réside dans la recherche constante du miracle de l’amélioration spirituelle. Si cela ne se manifeste ni dans la vie publique ni dans la vie individuelle, cela signifie que « l’homme et les gens sont corrompus et étrangers à l’esprit ».
Après avoir examiné les points de vue de deux auteurs, on peut noter que, lorsqu’ils parlent du concept de culture morale, ils mettent l’accent sur l’aspect interne et motivationnel de la moralité d’un individu. La caractéristique fondamentale de la culture morale est l’orientation vers l’amélioration spirituelle. L'accent mis sur cet aspect de la culture morale est extrêmement important, mais il semble possible d'inclure d'autres caractéristiques significatives monde spirituel de l'individu, qui sont décrits par ce concept.
Les tendances du développement de la pensée philosophique apparues à la fin du XIXe siècle se développent également au XXe siècle. En Europe occidentale, des mouvements tels que le positivisme, le pragmatisme, l'existentialisme et d'autres apparaissent.
Ainsi, un adepte du pragmatisme, Charles Pierce (1839-1914), a critiqué l'irrationalisme et le dogmatisme, qui absolutisent les valeurs morales comme éternelles et immuables.
J. Dewey (1859-1952) a noté qu'une personne résout progressivement des problèmes spécifiques pour atteindre des objectifs qui répondent à ses impulsions volontaires. Le rôle de la raison dans ce cas est de choisir les moyens adéquats pour atteindre les objectifs. Ces moyens et actions seront moraux.
Le pragmatisme considère la moralité comme une source de mécontentement interne, comme un moyen d'atteindre le confort mental et la satisfaction de la vie ; il est devenu plus pertinent d'aborder les problèmes de l'existence morale et du statut civil de l'individu dans la société ;
Le processus d'éducation morale de l'individu et de formation de la culture morale est devenu le sujet de recherches de nombreux scientifiques et enseignants étrangers et nationaux.
L'enseignant soviétique V.A. Soukhomlinski (1918-1970). Il a présenté l'algorithme de formation de la culture morale comme la relation des éléments suivants : la conscience et l'acceptation des normes de la moralité universelle ; éducation des sentiments; formation d'habitudes morales; gérer vos envies ; formation de motifs (motifs) pour les actions morales.
Ainsi, le but et le principal résultat de l'organisation du processus d'éducation morale, le principal indicateur de son efficacité est la formation d'une culture morale de l'individu.
Selon V.A. Sukhomlinsky, la culture morale d'un individu est une facette, un moment de l'essence sociale d'une personne, reflétant le potentiel moral d'un individu, qui réside dans la conscience d'un lien socialement significatif avec le monde et les autres, ainsi que dans des moyens de maîtriser et de reproduire les relations morales.
L'importance de l'activité pratique est également soulignée par N.I. Boldyrev croyait que l'inclusion de l'individu dans divers types d'activités crée la possibilité de former une conscience morale, de développer des sentiments moraux, de développer des compétences et des habitudes de manifestation de qualités morales. Il a également accordé une attention particulière à l’acquisition ciblée par les étudiants de connaissances sur les normes et principes moraux.
Professeur célèbre I.F. Kharlamov se concentre sur la formation des qualités morales de l'individu. À son avis, un système permettant d'expliquer l'importance d'une norme morale spécifique pour un individu, en organisant des activités et des exercices appropriés pour développer des compétences, des capacités et des habitudes de comportement moral, joue un rôle important.
Révéler l'essence et le contenu du concept moderne de « culture morale personnelle » nécessite une analyse des points de vue existants sur le problème.
Certains auteurs (L.M. Arkhangelsky, V. Vichev, V.M. Sokolov, V. Blyumkin et autres) considèrent la culture morale comme l'unité, comme la connexion et l'interaction de la conscience et du comportement, comme l'harmonie de la culture de la conscience morale et des aspects moraux du comportement. COMME. Zubra identifie la culture morale avec la maturité morale de l'individu, avec le degré d'assimilation des normes morales. I.I. Kazimirskaya, N.E. Chtchourkov réduit la culture morale à une « activité morale », y compris dans son contenu les relations morales, la conscience morale et le comportement moral.
En d’autres termes, du point de vue du contenu, il n’y a fondamentalement aucune différence entre les thèses ci-dessus sur la place de la conscience morale et le comportement moral réalisé en tant que contenu principal de la culture morale. Dans le même temps, certains des auteurs mentionnés ci-dessus n’incluent pas les compétences morales, les traditions, les coutumes et les sentiments dans la culture morale. Ainsi, le contenu du concept est dans une certaine mesure restreint. Et ici, il est important de souligner que sans une culture développée des sentiments moraux, sans compétences et habitudes morales formées, la connaissance éthique « ne fonctionne pas ». Par conséquent, trouver une définition plus précise de l’essence de la culture morale nécessite de considérer l’individu dans son ensemble.
Les points de vue de R. Zimaitis et L. Greenberg sont différents à cet égard. Ainsi, R. Zhimaitis souligne qu'au niveau empirique, le concept de « culture morale » est un indicateur d'un domaine unique de valeurs morales et, en même temps, un moyen de réaliser ces valeurs dans l'esprit des gens. comportement.
Dans la continuité de ces réflexions, L. Greenberg note que la culture morale pourrait être considérée comme le degré d'acquisition de valeurs morales progressives et la maîtrise des compétences nécessaires à leur mise en œuvre dans l'activité spirituelle et la pratique morale. Par conséquent, cela inclut nécessairement une composante d’estime de soi personnelle et de réflexe moral. L.M. Arkhangelsky interprète la culture morale comme l'unité et l'interaction de la conscience et du comportement, comme le processus de transformation de valeurs culturelles objectivement existantes en culture personnelle.
D’autres auteurs (Yu.M. Smolentsev, V.A. Bachinin et autres) considèrent la culture morale comme un indicateur de la moralité d’un individu, reflétant le niveau de développement humain atteint. Ainsi, selon A.S. Laptenka, la culture morale d'un individu est une caractéristique qualitative du développement moral d'un individu. Il reflète le degré avec lequel un individu maîtrise l'expérience morale de la société et la mesure dans laquelle cette expérience s'incarne dans son comportement et ses relations avec les autres.
Selon le scientifique bulgare E. Rangelova, la culture morale d'un individu est la totalité des connaissances acquises et des croyances formées, des normes et principes de vie, des sentiments moraux expérimentés, des émotions (positives et négatives), des compétences morales acquises, des attitudes et des relations avec les gens et la société, formé des qualités et des idéaux moraux, des capacités et une créativité morale et la lutte contre les phénomènes immoraux et inhumains.
COMME. Zubra considère la culture morale d'un individu comme une unité de sentiments moraux et d'intellect. Les éléments du niveau sensoriel de la conscience morale constituent l'une des formes spécifiques de l'attitude morale envers le monde, les personnes et le travail. Les éléments rationnels apparaissent sous la forme de principes, d'idéaux, de catégories, de normes, d'idées sur ce qui est approprié et juste, personnel et social ; ils expriment plus clairement le degré de culture morale de l'individu ;
Si nous nous tournons vers le dictionnaire de l'éthique, nous trouverons alors la définition suivante de la culture morale d'une personne : la culture morale d'une personne est le degré avec lequel un individu perçoit la conscience morale et la culture de la société, un indicateur de la profondeur et de la organiquement, les exigences de la moralité s'incarnent dans les actions d'une personne grâce à l'influence formatrice de la société et de l'auto-éducation.
Ainsi, la culture morale d'un individu est un programme complexe qui comprend l'expérience maîtrisée de l'humanité, qui aide à agir moralement dans des situations traditionnelles, ainsi que des éléments créatifs de la conscience - la raison morale, l'intuition, qui contribuent à la prise de décisions morales face à un problème. situations.
Lors de la détermination des principales composantes et des éléments correspondants d'une structure unifiée de culture morale, certains auteurs (V.M. Sokolov) sont guidés par la divulgation de l'essence du processus cognitif et des caractéristiques de sa mise en œuvre dans le développement de l'individu. Ils révèlent la structure de la culture morale dans l'ordre suivant : connaissances éthiques ; qualités morales, principes et croyances ; compétences et capacités pour exercer une action morale; manifestations morales actives quotidiennes de l'individu.
D'autres auteurs (V.A. Blumkin, V. Vichev, N.B. Krylova) analysent la culture morale comme une structure à deux composantes principales - le comportement moral et la conscience ou à trois composantes (L.M. Arkhangelsky, R. Zhimaitis) - la conscience morale, les relations morales, l'activité morale. Il n’y a pas de différence significative ici. Cela dépend plutôt de la composante (conscience ou comportement) qui occupe la première place dans la structure et pourquoi.
Le troisième groupe d'auteurs (I.I. Kazimirskaya, A.S. Laptenok, B.T. Likhachev, E.N. Rangelova) reconnaît trois composantes principales de la culture morale - une culture de la conscience morale, une culture des sentiments moraux, une culture du comportement. Mais tant en termes théoriques que pratiques, il est difficile de séparer les sentiments moraux de la conscience morale. En plus des opinions sur le comportement moral et immoral, la conscience morale comprend les valeurs morales, les objectifs, les idéaux et les sentiments moraux.
Une analyse des positions théoriques présentées permet de conclure que chacun des auteurs mentionnés a contribué à l'explication de l'essence du concept de « culture morale ». Ce qu’ils ont en commun, c’est une compréhension de la culture morale de l’individu dans son ensemble. Ses composantes et éléments individuels sont des caractéristiques nécessaires et ne peuvent être révélés que dans la structure holistique du phénomène.
Ainsi, dans notre travail, par culture morale d'un individu, nous comprendrons la mise en œuvre d'une culture de conscience morale et de sentiments moraux dans l'activité, qui conduit à la formation d'une culture de comportement moral (Fig. 1.1)
Le problème de la culture morale se situe à la frontière de l’éthique et de la théorie culturelle. L'étude de la littérature philosophique et pédagogique a montré qu'il existe deux approches pour révéler l'essence du concept de « culture morale ». La première commence par révéler l'essence du concept générique - « culture », et la seconde approche - la spécifique - « moralité ».
La culture est une manière spécifique d’organiser et de développer l’activité humaine, représentée dans les produits du travail matériel et spirituel, dans les valeurs spirituelles, dans l’ensemble des relations des hommes avec la nature et entre eux.
La moralité est un type spécifique de régulation des relations humaines ; c'est un ensemble de normes de comportement, de communication et de relations acceptées dans une société particulière.
Quant à la « culture morale (morale) », elle caractérise ce qui fait désormais partie de la pratique de la vie, montre le niveau de perception dans la conscience publique et le degré d'incarnation des valeurs.
La culture morale caractérise la moralité, limitée par les conditions historiques de son incarnation réelle, comme le disait N.N. Krutova, « la morale en action ». Cela montre le niveau réel d’inclusion des valeurs morales dans la pratique des relations humaines.
Actuellement, il n’existe pas de point de vue unique sur la définition du concept de « culture morale personnelle ». La culture morale d'une personne est :
Unité, connexion et interaction de la conscience et du comportement, harmonie de la culture de la conscience morale et des aspects moraux du comportement (L.M. Arkhangelsky, V. Vichev, etc.) ;
Le degré de valeurs morales acquises et la maîtrise des compétences pour leur mise en œuvre dans l'activité spirituelle et la pratique morale (L. Greenberg, R. Zhimaitis) ;
Un indicateur de la moralité d’un individu, reflétant le niveau de développement humain atteint (V.A. Bachinin, A.S. Laptenok, etc.).
1. Conscience morale, activité morale, relations morales (L.M. Arkhangelsky).
2. Conscience morale et comportement (V.A. Blyumkin).
3. Pensée éthique, sentiments moraux, comportement moral (A.S. Laptenok).
Des positions présentées en considérant la structure de la culture morale, nous pouvons conclure que la culture morale d'un individu est une structure unique et qu'il est impossible de parler de sa formation en l'absence d'au moins un des éléments.
La culture morale est une caractéristique synthétisant les qualités spirituelles d’une personne. Il couvre toutes les sphères d'une personne, à la fois spirituelles et volitives, toutes ses manifestations comportementales, étant une caractéristique intégrale de la personnalité ; détermine l'existence et le fonctionnement d'une personne conformément à un système de valeurs morales, de principes, de normes, d'idéaux, de besoins et de capacités. Ainsi, les options proposées pour la structure de la culture morale peuvent être utilisées pour résoudre des problèmes au niveau de la personnalité d'un adolescent moderne.
Qualités des adolescents. L'auto-éducation physique contribue au développement harmonieux de l'individu et sert à résoudre une grande variété de problèmes éducatifs. 5. Formation de la culture morale des lycéens, en tenant compte des caractéristiques d'âge Le processus de développement moral des lycéens est déterminé personnellement. Ce n'est pas un hasard si les principaux chercheurs sur le contenu de l'enseignement scolaire...
Augmenter le nombre de personnes généreuses en réduisant le nombre de personnes sans âme, indifférentes et lâches - tels devraient être les résultats de ce travail ciblé." 2.4 Recherche sur le rôle d'un cours de musique dans la formation d'une culture environnementale chez les écoliers Au cours de travaux sur ce sujet, nous avons mené une étude sur le rôle d'un cours de musique dans la formation d'une culture environnementale chez les écoliers de 5e année...
2) la structure de la culture morale.
Le terme « culture morale » s'est formé sur la base de deux concepts « moralité » et « culture ». La moralité, comme on le sait, est l’incarnation pratique d’idéaux, d’objectifs et d’attitudes moraux dans diverses formes de vie sociale, dans la culture du comportement des gens et des relations entre eux. Le mot « culture » lui-même, comme on le sait, vient du latin « cultura », qui signifie en russe culture, transformation, amélioration, éducation, éducation. Le sujet de la culture, son porteur, sont à la fois la société dans son ensemble et ses formations structurelles : les nations, les classes, les couches sociales, les communautés professionnelles et chaque individu. Et dans tous ces cas, la culture agit comme une caractéristique qualitative du degré de perfection de toute sphère de la vie humaine et de la personne elle-même. L'homme est le sujet et l'objet de la culture. La spécificité de la culture réside dans le fait qu’elle révèle le côté qualitatif de l’activité humaine, montrant dans quelle mesure cette dernière agit comme une réalisation du potentiel créatif d’une personne, et dans quelle mesure cette activité répond à certaines exigences et normes.
Le niveau de développement moral de la société et de l'individu peut être différent : élevé ou faible, puisque le degré d'assimilation des valeurs morales développées par la société, et surtout leur mise en pratique à différents moments, est différent. Lorsque ce degré, ce niveau est élevé, on parle d’une haute culture morale de la société et vice versa.
Dans la conscience morale d'un individu, deux niveaux peuvent être distingués : théorique (rationnel) et psychologique (sensuel). Les deux sont étroitement liés l'un à l'autre, s'influencent mutuellement et permettent d'évaluer le plus pleinement et le plus profondément, avec l'esprit et le cœur, les phénomènes sociaux du point de vue du bien et du mal et d'influencer les actions et les actes d'une personne du point de vue du bien et du mal. mêmes postes. Cependant, ce serait une erreur d’ignorer les différences entre eux. Le contenu du niveau théorique ou rationnel de conscience morale est constitué de connaissances éthiques, de vues et d'idéaux, de principes et de normes, de besoins moraux. Le contenu de ce niveau de conscience morale est déterminé à dessein à la fois par les institutions publiques concernées (école maternelle, école, université, équipe de service) et par les efforts de l'individu lui-même. Les éléments de ce niveau sont plus stables ; ils sont plus étroitement liés à la conscience politique et juridique. Ils sont plus profonds et plus complets, car ils reflètent les liens, modèles et tendances les plus significatifs de la vie morale de la société. C'est grâce à cela qu'ils peuvent contrôler et guider, restreindre les sentiments moraux et les émotions de l'individu. Les besoins moraux, étant, comme les croyances, le résultat de l'activité de l'esprit et du cœur, deviennent un objectif important du mécanisme de transmission de la conscience morale au comportement moral.
La culture des besoins moraux est un niveau de leur développement qui exprime le désir constant d'un employé des pompiers de l'État de remplir consciemment et de manière altruiste son devoir civique et officiel, de se conformer aux exigences de la moralité publique et de l'éthique du feu dans la vie quotidienne officielle et non- activités officielles. Plus les besoins moraux sont élevés, plus le niveau des qualités morales est élevé.
Comme indiqué ci-dessus, le deuxième niveau de conscience morale est niveau psychologique ou sensoriel. Parfois, on l'appelle le niveau de conscience morale ordinaire. Il comprend une riche gamme de sentiments moraux, d'émotions, de goûts et de dégoûts, d'idées sur la morale et l'immoralité, de règles morales, de mœurs, de coutumes, etc., développés et consolidés par l'individu dans le processus expérience de la vie Ce sont en quelque sorte des éléments primaires de la conscience morale. Dans les sentiments, les émotions, les goûts et les aversions, la formation de la position morale d’une personne se produit émotionnellement et directement. Parfois, cela se manifeste de manière très impulsive : une personne est heureuse ou en colère, pleure ou rit, se prosterne, se retire et parfois, comme on dit, laisse libre cours à ses mains. Les sentiments moraux sont très nombreux et sont classés selon des critères divers. Certains les divisent selon la sphère de manifestation de la vie : morale-politique, morale-travail, morale-combat, réellement morale. Les trois autres groupes sont situationnels, intimes et sentiments d'expérience sociale. D'autres encore classent en fonction de la profondeur de l'expérience.
Par exemple, les sentiments intimes sont des sentiments d'amour, d'amitié, de fidélité, de haine ou de dévotion, etc. Ils naissent dans des relations avec d'autres personnes, ils expriment de la sympathie et de l'antipathie, de l'aimer et de l'aversion.
Les sentiments de l'expérience sociale sont d'une nature complètement différente. Ce sont, par essence, des sentiments moraux et politiques, car ils reflètent des attitudes non pas tant envers les autres, mais envers des phénomènes de grande importance civile : c'est un sentiment de patriotisme et d'internationalisme, de collectivisme et de solidarité, de fierté nationale, etc. Ils sont complexes dans leur contenu, divers dans leurs manifestations et représentent plutôt une fusion du personnel et du social. Il convient également de souligner que, contrairement, par exemple, aux sentiments intimes, qui sont mobiles et dynamiques, les sentiments moraux et politiques sont plus stables et stabilisés.